Aussurucq (basque souletin: Altzürükü) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Aussurucq
La mairie dans le château, côté cour.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité
Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire Mandat
Jean-Marie Queheille 2020-2026
Code postal
64130
Code commune
64081
Démographie
Gentilé
Altzürükütar
Population municipale
239 hab. (2019 )
Densité
5,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 09′ 01″ nord, 0° 55′ 57″ ouest
Altitude
Min. 191 m Max. 1 284 m
Superficie
47,12 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Mauléon-Licharre (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Montagne Basque
Législatives
Quatrième circonscription
Localisation
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Aussurucq
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Aussurucq
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Aussurucq
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Aussurucq
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Géographie
Localisation
La commune d'Aussurucq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 69 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 39 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 11 km de Mauléon-Licharre[4], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[1].
Sur le plan historique et culturel, Aussurucq fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[8],[9]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[10]. Elle se divise en Haute-Soule, Basse-Soule et Arbaille, dont fait partie la commune.
La commune est drainée par la Bidouze, le Laurhibar, le ruisseau Apouhoura, azalegiko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[12],[13].
La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord en direction de Saint-Just-Ibarre. Elle se jette dans l'Adour à Guiche, après avoir traversé 26 communes[14].
Le Laurhibar, d'une longueur totale de 28,1 km, prend sa source dans la commune de Mendive et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Nive à Saint-Jean-Pied-de-Port, après avoir traversé 8 communes[15].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[17].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[16]
Moyenne annuelle de température: 13,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 10,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Licq-Atherey», sur la commune de Licq-Athérey, mise en service en 1970[21] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[22],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,9°C et la hauteur de précipitations de 1 507,1 mm pour la période 1981-2010[23].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 49 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[25], à 13,4°C pour 1981-2010[26], puis à 13,8°C pour 1991-2020[27].
L'une des richesses patrimoniales de la commune d'Aussurucq est constituée par son sous-sol. En effet, une grande partie sinon la totalité du territoire de la commune s'étend en milieu karstique.
Ce milieu se caractérise notamment par la présence de cavités naturelles de formes complexes qui ne sont pas encore toutes découvertes ni a fortiori explorées à ce jour.
Les spéléologues du département et d'ailleurs ont entrepris l'exploration, la description et la publication de ce patrimoine, dans le respect de l'environnement et des populations locales.
L'une des plus belles cavités de cette commune est le Nébélé, qui fait l'objet de travaux et explorations réguliers depuis 1972.
Le pic d'Ascune se dresse à 860 mètres[11], l'Echagorry à 935 mètres[11], le pic d'Elsarré à 1 153 mètres, le pic Sihigue à 1 193 mètres et le pic Etchecortia à 1 204 mètres[11]. Au sud-ouest du territoire, le Bohorcortia s'élève à 1 214 mètres[11].
La Bidouze prend sa source au nord-ouest du territoire de la commune[11], avant de couler sur Saint-Just-Ibarre.
Urbanisme
Typologie
Aussurucq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[29],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,7% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (57,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27%), prairies (8%), zones agricoles hétérogènes (5,8%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,5%), zones urbanisées (0,5%)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La route pastorale de Béhorléguy à Alçay ou Aussurucq, qui passe par le col d'Aphanize (sans le traverser), franchit la ligne de partage des eaux non loin du col de Burdin Olatzé mais en le surplombant légèrement.
La commune est desservie par les routes départementales 117, 147 et 348[11].
Lieux-dits et hameaux
12 quartiers composent la commune d'Aussurucq[34]:
Ajerbürgüa
Ahüzki (Ahüzkia sur les cartes IGN)
Arabehera
Arantzetabürgüa
Arkürütxea
Barnetxborda (Barnexborda sur les cartes IGN)
Barrikata
Garraibi
Gesalea
Kharrika
Latsebarria
Üxia.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Aussurucq est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Aphurhura, l'Arangoreneko erreka et la Bidouze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2003, 2009, 2014 et 2021[37],[35].
Aussurucq est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[38]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[39],[40].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[41]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[42].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aussurucq.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[43]. 62,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[44].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Aussurucq apparaît sous les formes
Auçuruc (1189[45]),
Auzuruc (1337[45]),
Aussuruc (1385[45]),
Aussuruc (1455[46], collection Duchesne volume CXIV[47]),
Ausseruc (1412[46], notaires de Navarrenx[48]),
et dans les titres de Bayonne[49]: Ausuruc (1454[46]), Sent-Martin d'Auçuruc (1471[46]) et Auserucus (1471[46]). D’autres graphies sont également mentionnées, telles que
Ausuruc (1520[45]),
Dassurucq, Ausuruc et Aussurucq (1690 pour ces trois formes[45]),
Étymologie
Jean-Baptiste Orpustan[45] indique que le toponyme provient du basquealtzu, «aulne», qui s’explique par la position de vallée arrosée, appréciée des aulnaies. La seconde partie du composé est plus énigmatique. Il s’agirait, suivant le même auteur, soit du mot urru («de l’autre côté»), ou iri donnant alzu-(i)ri-ku, «lieu du domaine de l’aulnaie».
Autres toponymes
La fontaine d'Ahusquy et ses eaux minérales sont mentionnées en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[46].
Arabéhère, Aran, Arhanset, Ariadar et Arsusqui, toponymes désignant des anciennes fermes, sont mentionnés en 1520[46] (coutume de Soule[50]), tout comme les fermes Béherégaray (Béhèregaray en 1863[46]), Carricart, Carrica, Carriquiri (peut-être la Carriquiborda actuelle), Goyen, Gotti, iribanne, Lapistoy (Lapitztoy en 1863[46]), Mendiburu, Nécol (peut-être le Nékolha actuel), Sagarspe et Urruchoro.
Le col de Burunolatxé joint les communes d’Alçay-Alçabéhéty-Sunharette et d’Aussurucq. Escuré était un bois de la commune, mentionné en 1863[46].
Au paléolithique moyen, la Soule était déjà peuplée, car on a trouvé des restes préhistoriques de l'homme de Néanderthal dans les grottes Xaxixiloaga à Aussurucq[52]. Au Néolithique, un ensemble de tumulus funéraires sont édifiés au fond de la vallée des Arbailles, les deux dolmens d'Ithe y sont encore visibles.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[58].
En 2019, la commune comptait 239 habitants[Note 10], en diminution de 5,16% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
596
574
637
700
711
632
701
740
716
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
662
660
640
643
640
604
570
564
570
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
523
512
518
472
502
459
437
432
401
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
379
347
289
293
274
254
254
252
246
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
239
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
L'activité est essentiellement centrée sur l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église au clocher trinitaire, façade et escalier d'honneur.
Stèles discoïdales.
En 2002, Aussurucq a accueilli une pastorale, sur le thème de Ürrüti Jauregiko Peirot, écrite par Niko Etxart.
Le château de Ruthie héberge une bibliothèque. Depuis le début de l'année 2017, dans le hall du château se trouve une boite à livre. Le château accueille régulièrement des expositions.
Une fois par an la commune organise un concert lyrique qui rassemble des artistes de renom au cours d'une soirée, Gaü-Izartsü ou Soirée étoilée
Patrimoine civil
Le château de Ruthie.
Une enceinte à gradins se dresse au lieu-dit Gaztelü, à 582 mètres d'altitude.
Le château de Ruthie, dont les origines[61] remontent au XIesiècle, remanié aux XVe, XVIIe et XVIIIe siècles, et inscrit aux monuments historiques le 30 avril 1925, est érigé sur le territoire de la commune.
Patrimoine religieux
Église à clocher trinitaire, curiosité de l'horloge sur le toit.
La commune dispose d'une église possédant un clocher-mur dit «trinitaire» ou souletin, c'est-à-dire que la crête du mur, percé de baies où tintent les cloches, s'y achèvent par trois grandes pointes à peu près d'égale hauteur, figurant la Trinité[62].
L'église recèle une croix de procession en bois du XVIIesiècle[63], classée par les monuments historiques.
Personnalités liées à la commune
Nées au XVesiècle
Pierre V de Charritte de Ruthie, né à Aussurucq, aumônier de François Ier[64].
Nées au XXesiècle
Gilen Epherre, né à Aussurucq en 1911 et mort à Bayonne en 1974, est un écrivain, prêtre, académicien et acteur culturel important de la période de l'après-guerre.
Pour approfondir
Bibliographie
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Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français: le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[18].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque: noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll.«Centre d'études linguistiques et littéraires basques», , 246p. (ISBN978-2-86781-396-2 et 9782867813962, BNF40190262).
Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208p. (BNF31182570, lire en ligne)..
Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Titres de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques et de la mairie de Bayonne
La charge du messager, sorte de procureur royal, était la surveillance d'une zone géographique définie - Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
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