Bouquet est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.
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Bouquet | |
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![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté de communes Pays d'Uzès |
Maire Mandat |
Catherine Ferrière 2020-2026 |
Code postal | 30580 |
Code commune | 30048 |
Démographie | |
Gentilé | Bouquentencs |
Population municipale |
175 hab. (2019 ![]() |
Densité | 5,8 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 09′ 36″ nord, 4° 17′ 27″ est |
Altitude | Min. 159 m Max. 600 m |
Superficie | 30,26 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton d'Alès-2 |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
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De climat méditerranéen, la commune inclut un site Natura 2000 (les « garrigues de Lussan ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Bouquet est une commune rurale qui compte 175 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 503 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Bouquentencs ou Bouquentenques.
Son territoire inclut un ancien oppidum des Segustones ou Segusiones.
Bouquet est un petit village dans la partie nord du département du Gard. Le département de l'Ardèche est à 11,3 km (à vol d'oiseau) au nord (commune de Saint-Sauveur-de-Cruzières) et celui de Lozère à 24,3 km à l'ouest (Saint-Martin-de-Boubaux)[1].
Alès est à 20 km au sud-ouest, Nîmes à 51 km sud, Uzès à 25 km sud-sud-est, Avignon à 67 km sud-est[2]
Allègre-les-Fumades | Fons-sur-Lussan | |
Navacelles | ![]() |
Lussan |
Brouzet-lès-Alès | Seynes | Vallérargues |
La commune est drainée par plusieurs cours d'eau saisonniers, tous très ramifiés et à sec en été. Le valat de Séguissous est celui avec la plus grande longueur sur la commune. Il prend naissance au sud-est de Bouquet, remonte vers le nord-ouest et vers le bourg, puis part vers l'ouest rejoindre l'Alauzène à la limite de Navacelles et d'Allègre-les-Fumades. L'Alauzène est un affluent de l'Auzon, lui-même affluent de la Cèze et sous-affluent du Rhône[1]. Le Séguissous tire son nom des Ségustones, peuple qui a occupé la région dans l'Antiquité[3].
L'Alauzène prend naissance dans le sud-est de la commune mais en sort presque immédiatement pour couler sur Seynes, fait une boucle au sud-ouest et remonte vers le nord en passant sur Saint-Just-et-Vacquières, Brouzet-lès-Alès, Les Plans, Navacelles et Allègre-les-Fumades[1].
À l'ouest de la naissance de l'Alauzène, naissent le valat de Caraye et le valat de la Lèque, tous deux se rejoignant au pied du versant nord du Petit Puech (293 m d'altitude) et devenant l'Aiguillon, qui rejoint la Cèze au nord-ouest de Verfeuil[1].
L'Argensol et son petit affluent le valat des Gigalous prennent naissance au nord de Bouquet et rejoignant l'Auzon sur Allègre-les-Fumades[1].
Le sommet du mont Bouquet, à 629 m d'altitude au sud de Bouquet, manque de peu être sur la commune : son sommet est sur Brouzet-lès-Alès et tout son flanc sud-est est sur Seynes. Il est le sommet d'un arc qui s'étire jusqu'à Navacelles au nord_ouest. Le territoire de Bouquet, côté nord du mont éponyme, a sa limite à environ 590 m d'altitude ; à 620 m au nord du sommet se trouve le col du Bourricot (525 m d'altitude) où passe la D607, et 400 m au nord du col est le sommet "le Clergue" (582 m d'altitude) où la carte IGN indique un oppidum. Un peu plus au nord-nord-ouest du Clergue, le sommet de Seynette (555 m d'altitude)[1].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[4].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mejannes-le-Clap », sur la commune de Méjannes-le-Clap, mise en service en 1992[9] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 032,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 36 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[13], à 15,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[15].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « garrigues de Lussan »[17], d'une superficie de 29 150 ha. Ce site abritait en 1999 un site de nidification d'un couple de vautour percnoptère. Ce site constitue un lien essentiel dans la petite population méditerranéenne résiduelle du Sud-Est de la France (comprenant une vingtaine de couples seulement), situé entre les noyaux d'Ardèche et Drôme-Isère, au nord, des gorges du Gardon, au sud, du Lubéron et des Alpilles, à l'est, du haut montpelliérais et des Gorges Tarn-Jonte[18].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[19] : les « rochers de St-Peyre et d'Aiguières » (171 ha), couvrant 3 communes du département[20], et la « serre du Mont Bouquet » (497 ha), couvrant 3 communes du département[21] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[19] : le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » (37 159 ha), couvrant 40 communes du département[22].
Bouquet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[23],[I 1],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34 %), zones agricoles hétérogènes (12,3 %), cultures permanentes (3,2 %), terres arables (2,6 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Bouquet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Alauzène et l'Aiguillon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1987, 1992, 1993, 1995, 1997, 1998, 2001 et 2002[28],[26].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[29]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 82,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 160 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 157 sont en en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983[26].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].
La plus ancienne mention du nom de Bouquet remonte à 1156 : « Castrum de Bocheto » (latinisation administrative de Bouquet), dans un acte par lequel le roi de France Louis VII le Jeune cédait un certain nombre de villes (qui peut être traduit par « ensembles de mas et castra ») du nord de l'Uzège.
Le hameau de Suzon, à 1,9 km (à vol d'oiseau) au nord-ouest du bourg[1], est un ancien oppidum supposé des Ségustones[3].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1792 | 1794 | Gueidan Charles | ||
1794 | 1796 | Cregue Etienne | ||
1796 | 1800 | Chapellier Etienne | ||
1800 | 1801 | Labeilhe Nicolas | ||
1801 | 1808 | Cregue Etienne | ||
1808 | 1816 | Labeilhe Nicolas | ||
1816 | 1826 | Saussines Pierre | ||
1826 | 1848 | Ribière Jacques | ||
1848 | 1853 | Chastagnier François-Gabriel | ||
1853 | 1859 | Ribière Jacques | ||
1859 | 1960 | Jumas Louis | ||
1860 | 1870 | Payan Alphonse | ||
1870 | 1874 | Martininche Alfred | ||
1874 | 1876 | Payan Alphonse | ||
1876 | 1881 | Massot David | ||
1881 | 1888 | Crégut Esther | ||
1888 | 1904 | Jean Paul | ||
1904 | 1908 | Jean Marcel | ||
1908 | 1914 | Benoit Abel | ||
1914 | 1915 | Massot Élie | ||
1915 | 1915 | Dussaud Albéric | ||
1915 | 1916 | Pagés Louis | ||
1916 | 1919 | Dussaud Firmin | ||
1919 | 1920 | Aussignargues Léonce | ||
1920 | 1924 | Gueydan Charles | ||
1924 | 1935 | Perrin Albert | ||
1935 | 1944 | Durand Ernest | ||
1944 | 1945 | Benoit Maurice | ||
1945 | 1965 | Massot André | ||
1965 | 1977 | Perrin Hubert | ||
1977 | 1989 | Gouzerch Yvan | DVG | |
1989 | 1995 | Letailleur Jack | ||
1995 | 2005 | Millard de Montrion Bernard | ||
2005 | 2008 | Blans Gérard | ||
2008 | 2009 | Pinatel Henri | ||
2009 | 2014 | Séclé Jean-Pierre | ||
2014 | En cours | Ferrière Catherine | DVG | |
Les données manquantes sont à compléter. |
Le , la commune passe de l'arrondissement d'Alès à celui de Nîmes[33].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2019, la commune comptait 175 habitants[Note 8], en augmentation de 1,74 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
250 | 226 | 254 | 294 | 399 | 426 | 438 | 456 | 503 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
502 | 450 | 485 | 464 | 428 | 396 | 378 | 358 | 336 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
318 | 304 | 269 | 186 | 163 | 149 | 130 | 101 | 85 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
76 | 73 | 85 | 114 | 103 | 143 | 176 | 177 | 173 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
175 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 84 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 176 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 510 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 12,2 % | 10,5 % | 9,1 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 102 personnes, parmi lesquelles on compte 74,7 % d'actifs (65,7 % ayant un emploi et 9,1 % de chômeurs) et 25,3 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 32 emplois en 2018, contre 25 en 2013 et 26 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 67, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49 %[I 10].
Sur ces 67 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 66,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,2 % les transports en commun, 6,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 21,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
25 établissements[Note 11] sont implantés à Bouquet au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 25 entreprises implantées à Bouquet), contre 30 % au niveau départemental[I 14].
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 12 | 9 | 12 | 10 |
SAU[Note 14] (ha) | 542 | 332 | 319 | 444 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 12 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 9 en 2000 puis à 12 en 2010[40] et enfin à 10 en 2020[Carte 5], un nombre stable en 22 ans. Sur cette même période, le département a perdu 61 % de ses exploitations[41],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 542 ha en 1988 à 444 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 45 à 44 ha[40].
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Les armes de Bouquet se blasonnent ainsi : Écartelé : au premier et au quatrième d'argent aux quatre têtes de maure de sable tortillées du champ, au deuxième et au troisième de gueules aux quatre pals d'or ; sur le tout de gueules au mouton d'or surmonté d'un croissant d'argent[42]. |
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