Saint-Sauveur-de-Cruzières est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.
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Saint-Sauveur-de-Cruzières se situe à l'extrémité sud-ouest de l'Ardèche. C'est la commune la plus au sud du département[1], à la limite du département du Gard. Rattachée à l'Ardèche, elle est située entre les villes gardoises de Saint-Ambroix et Barjac, distantes toutes deux de 8 km.
Saint-Sauveur-de-Cruzières se trouve au bord de la Claysse, un affluent de la Cèze qui à cet endroit traverse une cluse dans un petit massif urgonien qui s'étend de la Cèze à l'Ardèche entre Saint-Ambroix et Sampzon. Au sud-ouest de Saint-Sauveur-de-Cruzières, ce massif porte le nom de montagne d'Uzège. Son point culminant (451 m) est également celui de la commune. Au nord, se trouve le serre de Cruzières (394 m). La partie est de la commune s'étend dans la plaine de Barjac où l'altitude est d'environ 150 m.
Climat
Le climat est de type méditerranéen. L'ensoleillement moyen est de plus de 2 500 heures par an.[réf.nécessaire]
Urbanisme
Typologie
Saint-Sauveur-de-Cruzières est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4].
La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,3% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (26,8%), cultures permanentes (24,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,5%), forêts (18,3%), prairies (8,1%), zones urbanisées (1,8%), terres arables (0,1%)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Histoire
Peu après la révolution de 1848, le conseil municipal vote une motion de soutien au nouveau gouvernement «afin d’assurer le bonheur de la France notre patrie»[9].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
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Administration municipale
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[12].
En 2019, la commune comptait 533 habitants[Note 2], en augmentation de 1,72% par rapport à 2013 (Ardèche: +2,47%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
602
639
704
573
792
918
962
1 066
1 092
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 042
1 037
1 017
1 005
954
889
927
812
823
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
751
704
693
561
598
565
539
494
475
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
464
431
389
409
441
491
519
522
530
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
533
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le Castellas, ancien château au Moyen Âge qui fut presque entièrement détruit à cette époque. Actuellement il ne reste plus que des ruines situées sur le haut d'une colline. En 1260, il avait pour seigneur Guillaume de Châteauneuf[15].
La chapelle de Saint-Privas qui offre une vue imprenable sur le village.
Zones naturelles protégées
Le secteur du marais de Malibaud depuis la commune de Bessas est classé zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1, sur une surface de 1 287 hectares.
Personnalités liées à la commune
Chantal Brel (fille ainée de Jacques Brel), née le 6 décembre 1951 et décédée le 4 janvier 1999, y a résidé une vingtaine d'années[16].
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Liste de points extrêmes de la France
«Zonage rural», sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Éric Darrieux, «L'accueil de la Seconde République au village en Ardèche», Rives nord-méditerranéennes, no5, (lire en ligne, consulté le ).
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