Saint-Brès est une commune française d’environ 650 habitants, située dans le nord du département du Gard en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Brès.
Cet article est une ébauche concernant une commune du Gard.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade « Bon début » quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune.
Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Saint-Brès | |
![]() Mairie de Saint-Brès. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Alès |
Intercommunalité | Communauté de communes Cèze-Cévennes |
Maire Mandat |
Jean-Pierre Charpentier 2020-2026 |
Code postal | 30500 |
Code commune | 30237 |
Démographie | |
Population municipale |
651 hab. (2019 ![]() |
Densité | 57 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 16′ 41″ nord, 4° 11′ 53″ est |
Altitude | Min. 132 m Max. 431 m |
Superficie | 11,37 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Alès (banlieue) |
Aire d'attraction | Alès (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Rousson |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Cèze, Valat de la Vigna, Valat de Lérou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « hautes vallées de la Cèze et du Luech ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Brès est une commune rurale qui compte 651 habitants en 2019. Elle est dans l'agglomération d'Alès et fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Saint-Bresiens ou Saint-Bresiennes.
Entouré par les communes de Saint-Ambroix, Courry et Meyrannes, Saint-Brès est situé à 19 km au nord-est d'Alès, la plus grande ville aux alentours.
Situé à 173 mètres d'altitude, la rivière la Cèze est le principal cours d'eau qui traverse le village de Saint-Brès.
La commune est proche du parc national des Cévennes à environ 11 km.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sauveur Sa », sur la commune de Saint-Sauveur-de-Cruzières, mise en service en 2000[6] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 033 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 32 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,5 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[12].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « hautes vallées de la Cèze et du Luech »[14], d'une superficie de 12 680 ha, correspondant à la partie amont du bassin versant de la Cèze. Elles présentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espèces piscicoles : l'écrevisse à pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau méridional et cinq habitats d'intérêt communautaire d'origine[15].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[16] : la « rivière de la Cèze à l'aval de Saint-Ambroix » (228 ha), couvrant 9 communes du département[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[16] : le « cours moyen de la Cèze » (648 ha), couvrant 16 communes du département[18].
Saint-Brès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[19],[I 1],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Alès, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[I 2] et 95 704 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (64,9 %), forêts (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), zones urbanisées (2,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,2 %), prairies (1,4 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Saint-Brès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Alès, regroupant 37 communes autour d'Alès, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[24], retenu au regard des risques de débordements de la Cèze et des Gardons. Parmi les dernières crues significatives qui ont touché le territoire figurent celles de 1958 et de septembre 2002. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25],[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1987, 1992, 1993, 1997, 1998, 2002, 2015 et 2018[27],[22].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 75 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 390 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 351 sont en en aléa moyen ou fort, soit 90 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2012 et par des mouvements de terrain en 1983[22].
La commune est en outre située en aval du barrage de Sénéchas, un ouvrage de classe A[Note 9] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Brès est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[33].
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Mont-Usèze en 1789, puis Saint-Brés en 1793 et enfin Saint-Brès en 1801 (jusqu'à nos jours)[34].
Cette information, l'adoption d'un nouveau nom en 1789, est curieuse. Quel est ce mont "Usèze" ? Le retour à un nom de saint en 1793 encore plus ! Saint Brès désigne en effet fort probablement le successeur de saint Martin de Tours, Brice de Tours.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 10]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « hautes vallées de la Cèze et du Luech »[14], d'une superficie de 12 680 ha, correspondant à la partie amont du bassin versant de la Cèze. Elles présentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espèces piscicoles : l'écrevisse à pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau méridional et cinq habitats d'intérêt communautaire d'origine[15].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[16] : la « rivière de la Cèze à l'aval de Saint-Ambroix » (228 ha), couvrant 9 communes du département[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[16] : le « cours moyen de la Cèze » (648 ha), couvrant 16 communes du département[18].
Saint-Brès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[19],[I 1],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Alès, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[I 2] et 95 704 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].
Il n'y avait plus que 8 enfants scolarisés. L'école fut préservée par la mise en place du ramassage scolaire (avec une Renault 4L à 3 vitesses).
![]() |
Blason | De gueules au chef losangé d'or et de gueules. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 2001 | En cours | Michel Eyraud | PS | Retraité |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2019, la commune comptait 651 habitants[Note 11], en augmentation de 2,84 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
403 | 303 | 467 | 482 | 620 | 644 | 676 | 671 | 737 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
702 | 700 | 736 | 693 | 645 | 580 | 594 | 585 | 640 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
674 | 658 | 648 | 628 | 625 | 604 | 551 | 466 | 546 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
532 | 533 | 504 | 524 | 612 | 533 | 617 | 630 | 625 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
652 | 651 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 297 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 649 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 760 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 12 % | 12,1 % | 14,2 % |
Département[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 372 personnes, parmi lesquelles on compte 69,6 % d'actifs (55,4 % ayant un emploi et 14,2 % de chômeurs) et 30,4 % d'inactifs[Note 13],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 67 emplois en 2018, contre 61 en 2013 et 74 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 212, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,2 %[I 13].
Sur ces 212 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 44 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 87,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
47 établissements[Note 14] sont implantés à Saint-Brès au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 47 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 4 | 8,5 % | (7,9 %) |
Construction | 11 | 23,4 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 18 | 38,3 % | (30 %) |
Information et communication | 3 | 6,4 % | (2,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 5 | 10,6 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 3 | 6,4 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 3 | 6,4 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 38,3 % du nombre total d'établissements de la commune (18 sur les 47 entreprises implantées à Saint-Brès), contre 30 % au niveau départemental[I 17].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 26 | 10 | 12 | 2 |
SAU[Note 16] (ha) | 55 | 25 | 22 | 4 |
La commune est dans le Bas-Vivarais, une petite région agricole occupant une petite frange nord du département du Gard[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la culture de légumes ou champignons[Carte 4]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 18] (26 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 4 ha[41],[Carte 5],[Carte 6].
Sur les autres projets Wikimedia :