Bonneuil-les-Eaux est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
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Ses habitants sont appelés les Bonneuillois et les Bonneuilloises.
Géographie
Description
Représentations cartographiques de la commune
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Avec les communes environnantes
1: carte dynamique; 2. carte OpenStreetMap; 3: carte topographique; 4: avec les communes environnantes
Bonneuil-les -Eaux est un village rural du Plateau picard, situé entre les vallées de la Selle et de la Noye.
La commune est située entre Beauvais et Amiens, aux confins de l'Oise et de la Somme, et est accessible par la sortie 16 de l'autoroute A16 ou la route nationale 1.
En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[1].
On décrivait le territoire communal en 1843 comme constitué d'un «plateau dont les pentes sont découpées en ravins el boisées en partie[2]».
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 10,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Rouvroy-les-Merles», sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[9] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5°C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Beauvais-Tillé», sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 25 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[13] à 10,6°C pour 1981-2010[14], puis à 11,1°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
La rue de la Ville.
Typologie
Bonneuil-les-Eaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,5% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (90,8%), zones urbanisées (3,8%), forêts (2,8%), zones agricoles hétérogènes (2,7%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Hameaux et écarts
La Folie
La ferme de Montplaisir
Toponymie
Le lieu était désigné par les dénominations de Bonoglium, Nonioilum, Bonglium, Bonnoit, Bonnuel, Bonneuil-le-Plessis[23].
Histoire
Un vicus gallo-romain occupait le site, traversé par une voie romaine reliant Beauvais à Amiens[2].
La seigneurie appartenait au IXesiècle au comte d'Amiens et passa par mariage au comte de Clermont au XIIesiècle.
Bonneuil possède un riche passé historique. Cette petite commune rurale abrite une magnifique église à la géométrie assez particulière. À côté de celle-ci, se trouvent les vestiges d'un prieuré. Au cœur du village se dresse également une motte féodale du XIesiècle, très bien conservée et qui fait l'objet de nombreuses études[24].
Le pape Léon III confirme la fondation de l'abbaye Notre-Dame, proche de la motte féodale.
Louis Graves indiquait «Ce lieu devint ensuite le centre d'une des quatre châtellenies du comté de Breteuil, et passa au douzième siècle dans le comté de Clermont pur le maringe de Raoul I comte de Clermont, avec Alix fille de Valeran seigneur cle Breteuil. Les comtes y avaient un château dont il est question dans une charte de 1118, concernant une donation faite par Valeran à l'abbaye de Saint-Quentin de Beauvais. Les rois en détachèrent sans doute quelque chose , car en 1218 Philippe-Auguste donna en fief à Robert de la Tournel!e, ce qui lui appartenait à Bonneuil, en considération de la cession de ses droits sur le comté de Clermont. Louis XII avait accordé à ce bourg devenu considérable par le passage de l'ancienne route de Picardie, l’établissement d'un marché, pour la confirmation duquel Catherine de Médicis, comtesse de Clermont, obtint ou mois de septembre 1536 des lettres-patentes du roi Charles IX. La châtellenie fut engagée en 1569 avec le comté de Clermont au duc de Brunswick; mais au mois de mai 1688, lors du partage de la succession d'Anne de Montafié veuve du comte de Soissons, cette seigneurie fut distraite du comté et donnée à Marie d'Orléans, duchesse de Nemours, petite fille du comte. Celle-ci mourut en 1707 après avoir disposé de Bonneuil en faveur de Henri Louis de Bourbon , fils naturel de Louis de Bourbon comte de Soissons son oncle. Ln terre vint ensuite à la fille de ce dernier qui épousa ie duc de Luynes et de Chevreuse[2]».
Le village a souffert de la peste en 1668 et fut en partie dévasté par plusieurs incendies. De nombreuses muches issues de l'activité d'extraction de calcaire minent le village.
La commune, instituée par la Révolution française, a absorbé de 1825 à 1835 celle de Gouy-les-Groseillers[25]
L'ancienne usine de velours est aujourd'hui reconvertie.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[27], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[28].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[29], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [30].
Retraitée de l'éducation nationale Conseillère départementale de Saint-Just-en-Chaussée (2015 → ) Vice-présidente de la CC Vallées de la Brèche et de la Noye (2014 → 2016) Vice-présidente de la communauté de communes de l'Oise picarde (2017 → 2020) Réélue pour le mandat 2020-2026[32],[33] Suppléante du député LR Victor Habert-Dassault
Politique de développement durable
La commune se dote en 2017-2019 d'un réseau d'assainissement des eaux usées, envisagé de longue date[34],[35]
Équipements et services publics
Enseignement
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La commune se dote d'un nouveau bâtiment pour le périscolaire en 2020/2021, construit en continuité du bâtiment de la mairie-école[36],[37]
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2019, la commune comptait 790 habitants[Note 8], en diminution de 3,78% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 145
1 229
1 146
1 238
1 273
1 198
1 165
1 164
1 173
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 166
1 137
1 099
1 026
952
804
830
819
853
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
848
846
857
716
719
697
613
639
636
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
658
672
686
694
745
751
797
810
821
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
796
790
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1%, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27% la même année, alors qu'il est de 22,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 386 hommes pour 410 femmes, soit un taux de 51,51% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,0
90 ou +
1,0
6,0
75-89 ans
6,8
21,8
60-74 ans
18,5
20,2
45-59 ans
18,3
17,9
30-44 ans
19,5
16,3
15-29 ans
12,2
17,9
0-14 ans
23,7
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[42]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,3
75-89 ans
7,5
15,1
60-74 ans
15,8
20,9
45-59 ans
20,1
19,5
30-44 ans
19,4
17,9
15-29 ans
16,5
20,8
0-14 ans
19,4
Économie
Le village est le siège du fabricant d'accessoires de tennis de table, Cornilleau, créé en 1946 dans la commune et qui serait le leader mondial du secteur[43],[44],[45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Nicolas, fondée en tant qu’église du prieuré cure, au début du XIIesiècle par l’abbé de Breteuil Guillaume II. Elle dotée de trois chœurs et d'une nef du XVIesiècle. L'un des chœurs, celui du prieuré, est dédié à Saint Nicolas, le second , datant du XVIesiècle est dédié à Saint Joseph, et le troisième, paroissial est consacré à Notre-Dame[46],[47]. Le faux transept, de style Renaissance, et la rose datent de 1570. Le clocher à tour carrée date du XIIIesiècle. L'église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1997[48]. Le coq du clocher a été restauré et béni à nouveau en février 2021[49]
Vestiges du prieuré Saint-Nicolas: Il est parfois qualifié d'abbaye. Une porte du XVIesiècle accole le mur du cimetière entourant l'église Saint-Nicolas. Ce porche fait l'objet d'une inscription au titre monuments historiques depuis 1998[50].
L'église-prieuré
L'église Saint-Nicolas vue du nord
Façade est
Façade sud
Détail du transept
Porche de l'ancien prieuré Saint-Nicolas.
Motte féodale: Mesurant de 30 m de haut, elle est aujourd'hui le seul élément subsistant de l'ancien château. Le site, dont la mise en valeur a commencé depuis peu d'années (élagage et fauchage), a commencé à être fouillé en 2007.
La motte féodale
La motte féodale.
La motte féodale
Chapelle Saint-Roch: Construite en 1733 en mémoire de l'épidémie de peste qui affecta le village de 1668 à 1669, elle se trouve dans le cimetière communal. Les pestiférés étaient isolés dans une rue fermée par une barrière et qui porte aujourd'hui le nom de «rue de la Barre». La chapelle est le lieu d'un pèlerinage annuel célébré en souvenir de ce fléau et au dévouement de Nicolas Choart de Buzenval, évêque de Beauvais.
Ancienne usine de velours, rue de l'Usine
L'ancienne usine de velours
Personnalités liées à la commune
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La fanfare
La fanfare de Bonneuil-les-Eaux, créée en 1842 par l’instituteur du village, Jean-Louis Piat, est la plus ancienne association de la commune avec ses 175 ans en 2017[51],[52].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p.40-44.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Hebdomadaire Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers du .
«La nouvelle carte intercommunale de l'oise: intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p.15.
R. Th., «La fusion des communautés de communes est définitive», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3417, , p.6«Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme».
Sylvie Godin, «Naissance de l'Oise picarde: Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3430, , p.17.
S. G., «Bonneuil-les-Eaux: Disparition - Jean Lefèvre, ancien maire», Le Bonhomme picard, no3136, , p.19.
Réélue pour le mandat 2014-2020: «Les maires déjà en place», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3283, , p.19.
Sylvie Godin, «Bonneuil-les-Eaux: un nouveau mandat pour Nicole Cordier», Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ).
Jean-Claude Crépin, «L’assainissement de Bonneuil-les-Eaux, c’est parti: Le chantier, attendu depuis une douzaine d’années, va commencer.», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«La station d’épuration de Bonneuil-les-Eaux inaugurée: Les foyers sont raccordés porgressivement au nouvel équipement, qui utilise des roseaux pour filtrer l’eau», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Steeve Vatelin, «Une cantine et le périscolaire en projet à Bonneuil-les-Eaux», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«En attendant le nouveau périscolaire, la salle du conseil municipal de Bonneuil-les-Eaux est transformée en dortoir», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Cornilleau, leader du tennis de table», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Sylvie Godin, «Le Made in Picardie s'exporte bien: Cornilleau, leader européen de la table de ping-pong: L'entreprise créée en 1946 n'a jamais quitté Bonneuil-les-Eaux, d'où partent des tables de ping-pong livrées dans 80 pays. Prochain objectif: conquérir les USA.», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3432, , p.40.
Carlos Da Silva, «Le Made in France booste l’activité de Cornilleau à Bonneuil-les-Eaux: Le leader mondial de la table de ping-pong a enregistré une hausse de ses ventes supérieure à 20% en 2020», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«église Saint-Nicolas», notice noPA60000003, base Mérimée, ministère français de la Culture.
«Le coq du clocher de Bonneuil-les-Eaux béni comme il y a 44 ans: Les fidèles se sont réunis dans l’église Saint-Nicolas de Bonneuil-les-Eaux, tout en respectant les gestes barrières», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Prieuré Saint-Nicolas», notice noPA60000013, base Mérimée, ministère français de la Culture.
«La fanfare de Bonneuil résonne depuis 1842», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3477, , p.18.
«La fanfare de Bonneuil a fêté ses 175 ans: Plusieurs de ses membres ont été également récompensés pour leur longévité musicale», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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