Bacouël est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Bacouëlois et les Bacouëloises.
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Vue aérienne de la commune et de lma gare de Breteuil-Embranchement
Bacouël est une commune rurale picarde du Santerre, situé à 13 km à l'ouest de Montdidier et à 7 km à l'est de Breteuil.
La commune est traversée par la ligne de Paris-Nord à Lille et est l'origine de la courte ligne de Breteuil-Embranchement à Breteuil-Ville Au hameau de Bacouël se trouve la Gare de Breteuil-Embranchement, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.
Bacouël se trouve au centre d'une dépression dont le fond argileux était jadis le passage d'une petite rivière que Louis Graves, dans son précis statistique sur le canton de Breteuil (Oise), arrondissement de Clermont (Oise)[1], note comme étant la Malvina, et qui rejoignait Rouvroy-les-Merles pour approvisionner la Noye, d'autres sources parlant du ru de Rouvroy (petit cours d'eau de Rouvroy-les-Merles).
Sur les hauteurs, au nord-est, l'on peut voir le bois Robinson où, selon une légende locale, des soldats allemands de la Première Guerre mondiale auraient été enfermés dans un ancien four à chaux.
À l'ouest, vers Tartigny, l'on peut apercevoir le bois du Quesnoy.
Bacouël compte de nombreuses mares dont quatre sont encore en fonction.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 10,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Rouvroy-les-Merles», sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5°C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Beauvais-Tillé», sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 26 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[12] à 10,6°C pour 1981-2010[13], puis à 11,1°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Bacouël est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (78,1%), zones urbanisées (12,8%), zones agricoles hétérogènes (6,2%), forêts (2,9%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Lieux-dits, hameaux et écarts
La commune est constituée par deux hameaux distants d'un kilomètre environ, celui de Bacouël et celui de Breteuil-Embranchement où se trouve la gare de Breteuil-Embranchement et qui est desservi par la route départementale 930.
Le lieu-dit des Masures a donné son nom à l'une des rues du village et fait maintenant partie intégrante de la commune.
Rampe sud d'accès au passage à niveau à Breteuil-Embranchement
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 232, alors qu'il était de 204 en 2013 et de 210 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 82,8% étaient des résidences principales, 4,6% des résidences secondaires et 12,5% des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2% d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bacouël en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,6%) supérieure à celle du département (2,5%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,1% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,9% en 2013), contre 61,4% pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Pour Bacouël deux explications toponymiques sont suggérées:
soit un nom gaulois Bascos+ialos "la clairière de Bascos" (Bascos prénom celte).
ou, plus vraisemblablement, du picardbasche au sens de creuset ou de dépression dérivée du gaulois "bascauda" bassin[23].
La gentilé des habitants de Bacouël est Bacouëlois et Bacouëloise[22].
Histoire
Image de ronds funéraires du même type, photographiés sur un autre site, à Conchil-le-Temple (Pas-de-Calais).
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Ronds funéraires: en 1960, Roger Agache découvrit par Archéologie aériennesur le territoire de Bacouël deux ronds funéraires datant de la période gallo-romaine[24].
Les circonscriptions administratives sous l'Ancien Régime étaient en 1789: l'élection de Montdidier; la coutume de Montdidier; le bailliage de Montdidier; l'Intendance d'Amiens; le grenier à sel d'Amiens; le Gouvernement de Picardie; et le Parlement de Paris[réf.nécessaire].
Bacouël a été détachée de la commune de Chepoix par une loi du [25]. Ses habitants ont fêté les 150 années de la commune le et un arbre commémoratif a été planté[26].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[28], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[29], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[30].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[31], cette intercommunalité, dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [32].
Employé de banque Réélu pour le mandat 2014-2020[35],[36]
2020
En cours
Bernard Pelou
Équipements et services publics
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés jusqu'en 2018 au sein du regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les communes de Bacouël, Tartigny, le Mesnil-Saint-Firmin, Rocquencourt, Sérivillers, Broyes et Plainville.
Ce RPI qui comptait quatre classes à Bacouël (maternelle moyenne et grande section, CP, CM1, CM2), une classe à Broyes (CE2, CM1), une classe à Plainville (CE1, CE2) et une classe à Tartigny (maternelle petite section) se transforme à la rentrée 2018-2019 en regroupement pédagogique concentré, grâce à la construction à Bacouël de nouveaux locaux où tous les enfants seront accueillis. Cette école, dite «La Malvina[Note 7]» de sept classes comprend également une restauration scolaire. Le coût de cette extension du bâtiment existant s'est élevé à 1,7 million d'euros, dont 1 M€ financé par l'Etat, 216 000 € de la région et 377 000 € du département. Un ramassage scolaire est assuré matin et soir vers chaque commune. Un accueil périscolaire à partir de 7h30 et jusqu'à 18h30[37],[38].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2019, la commune comptait 487 habitants[Note 8], en augmentation de 4,96% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
460
444
390
430
417
409
397
416
427
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
391
440
408
393
369
392
427
456
351
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1982
1990
1999
2005
2006
2010
2015
2019
-
323
359
387
445
454
466
468
487
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8%, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8% la même année, alors qu'il est de 22,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 255 hommes pour 234 femmes, soit un taux de 52,15% d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
1,7
6,3
75-89 ans
6,9
13,1
60-74 ans
13,4
19,8
45-59 ans
22,4
19,4
30-44 ans
23,3
15,5
15-29 ans
12,9
25,4
0-14 ans
19,4
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[43]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,3
75-89 ans
7,5
15,1
60-74 ans
15,8
20,9
45-59 ans
20,1
19,5
30-44 ans
19,4
17,9
15-29 ans
16,5
20,8
0-14 ans
19,4
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Chapelle Saint-Éloi: Au XVIIesiècle une chapelle à la dédicace de saint Éloi est érigée dans un champ, sur la commune. Lors de la fête patronale, le 1er décembre[44], la tradition voulait que les chevaux des environs fassent trois fois le tour de la chapelle avant d'être bénits par le prêtre, cela pour leur éviter de tomber malade[45],[46].
La chapelle Saint-Éloi.
Calvaire situé à l'intersection des rues Yves-Maréchal et du Pont-Papillon.
Le monument aux morts.
Plaque Michelin.
Pont-rail.
Personnalités liées à la commune
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Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La Malvina est le nom d'une ancienne rivière qui coulait à Bacouël
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 152p..[réf.incomplète].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«Bacouël», Syndicat Mixte de l’Oise Picarde (consulté le ).
Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, Paris, Bonneton, , 223p. (ISBN2-86253-265-7), p.32.
«Loi qui érige en commune la section de Bacouel, distraite de la commune de Chépoix (Oise)», Bulletin des Lois, no1500, , p.761-762 (lire en ligne).
«Merci à l'Empereur: Bacouël, indépendante depuis 150 ans: Bacoël était autrefois un hameau de Chepoix. Le 19 juin 1867, Napoléon III signe le décret d'application de la loi votée quelques mois plus tôt, qui érige Bacouël en commune indépendante de plein droit . 150 ans après on a fêté l'événement le 14 juillet», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3455, , p.19.
«La nouvelle carte intercommunale de l'oise: intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p.15.
R. Th., «La fusion des communautés de communes est définitive», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3417, , p.6«Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme».
Sylvie Godin, «Naissance de l'Oise picarde: Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3430, , p.17.
Lucien Djani, «Dominique Cordelle, maire de Bacouël, ne se représente pas», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Élu conseiller municipal en 1977, maire depuis 2003, Dominique Cordelle a décidé de ne pas se représenter».
Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source: Quotidien Le courrier picard - édition Région d'Amiens du 5 avril 2008
«Les maires déjà en place», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3283, , p.8.
S.G., «Bacouël: les enfants vont découvrir leur nouvelle école», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3409, , p.24.
«La Malvina a été inaugirée - L'école accueille les enfants de six communes: Bacouël: le regroupement pédagogique concentré a été inauguré le 9 juin. La nouvelle structure accueille 160 écoliers dans des conditions optimales», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3503, , p.20.
Abbé Christian-Philippe Chanut, «Saint-Éloi», sur Missel (consulté le ).
Guide de la Ligne du Nord, de Paris à Cologne et de Paris à Londres avec tous les embranchements, Paris, Paulin et Le Chevalier, (lire en ligne), p.21-22.
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