Chepoix est une commune française située dans le département de l'Oise et la région Hauts-de-France.
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Ses habitants sont appelés les Chepoisiens et les Chepoisiennes.
Géographie
Descrioption
Paysage du village.
Chepoix est un village-rue agricole du Plateau picard. Situé à 29 km au nord-est de Beauvais, à 33 km au sud d'Amiens et à 40 km au nord-ouest de Soissons, il est aisément accessible par les anciennes routes nationales RN 30 (actuelle RD 930) et RN 16 (actuelle RD 916).
Le territoire communal constitue une vaste plaine traversée du sud au nord par un vallon ramifié qui descend vers la vallée de la Noye[1].
Il est traversé par la ligne de Paris-Nord à Lille, mais la gare la plus proche est celle de Breteuil-Embranchement, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 10,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Rouvroy-les-Merles», sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5°C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Beauvais-Tillé», sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[12] à 10,6°C pour 1981-2010[13], puis à 11,1°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Chepoix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (85%), forêts (11%), zones urbanisées (4%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Lieux-dits, hameaux et écarts
Vue sur le hameau de Petit-Chepoix.
La commune compte plusieurs hameaux:
Warmaise, située sur la route de Bonvillers, est une dépendance de Chepoix.
Petit Chepoix, situé au sud-est du village.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 193, alors qu'il était de 185 en 2013 et de 165 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 82,9% étaient des résidences principales, 5,2% des résidences secondaires et 11,9% des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,9% d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,1% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chepoix en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,2%) supérieure à celle du département (2,5%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,9% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,9% en 2013), contre 61,4% pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
5,2
2,5
9,7
Logements vacants (en%)
11,9
7,1
8,2
Toponymie
La localité a été connue sous les noms de Sepoix , Chépoy , Chepois , Chepoi , Cepoix (Chepeyum en 1302, Cepoium en 1190, Chepcium en 1280, Cepeium. en 1165)[1]
Histoire
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Les sires de Chepoix eurent une importante forteresse au village pendant le Moyen Âge était en ruine en 1431 et a été détruite sur ordre de Charles VII[1], dont il ne reste malheureusement rien. Elle aurait été remplacée par un autre édifice au hameau de Warmaise, qui existait encore en 1862 et était flanqué de deux tours[22].
Au Moyen Âge toujours, la paroisse dépendait de la commanderie d’Ivry-le-Temple de l'ordre de Malte[23].
Selon Louis Graves[1], «Chepoix avait de l'importance ou moyen-âge. Philippe-le-bel exempta les habitons des subsides qu'il leva sur le royaume à son avènement au trône, à cause des terres dont il était possesseur sur leur territoire, en compagnie de religieux qu'on croit être des templiers».
L'église médiévale est détruite pendant la Guerre de Cent Ans[23].
La commune de Bacouël a été détachée de celle de Chepoix par une loi du [24].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives de l'Oise et Liste des députés de l'Oise.
Articles détaillés: Liste des cantons de l'Oise, Conseil départemental de l'Oise et Liste des conseillers généraux de l'Oise.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[27], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[28].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[29], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [30].
Chef d'entreprise retraité Vice-président de la CC de l'Oise Picarde (2020 → ) Réélu pour le mandatr 2020-2026[32],[33]
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2019, la commune comptait 455 habitants[Note 7], en augmentation de 15,19% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
831
847
928
859
907
900
904
957
986
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
985
1 014
966
448
448
411
418
409
433
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
417
401
384
411
341
335
328
330
359
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
327
287
259
271
297
302
357
373
395
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
447
455
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique
La baisse de la population constatée en 1866 est liée à la création de Bacouël, détachée de Chepoix en 1865.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,4%, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5% la même année, alors qu'il est de 22,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 218 hommes pour 229 femmes, soit un taux de 51,23% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,0
90 ou +
0,9
6,9
75-89 ans
5,7
13,3
60-74 ans
16,2
13,3
45-59 ans
10,0
23,9
30-44 ans
27,1
16,1
15-29 ans
12,7
26,6
0-14 ans
27,5
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,3
75-89 ans
7,5
15,1
60-74 ans
15,8
20,9
45-59 ans
20,1
19,5
30-44 ans
19,4
17,9
15-29 ans
16,5
20,8
0-14 ans
19,4
Manifestations culturelles et festivités
Chepoix est réputée pour ses illuminations et les décorations de ses maisons lors de la période de noël[39],[40].
Culture locale et patrimoine
Intérieur de la chapelle funéraire de la famille Joseph Bellemère.
Lieux et monuments
Article détaillé: Chapelle funéraire de la famille Joseph Bellemère.
Chapelle funéraire de la famille Joseph Bellemère: construite de la deuxième moitié du XXesiècle dans l'art contemporain de l'époque, elle fut réalisée par Gérard Ansart (mosaïste) et Pierre Ansart (architecte, décorateur). Elle est classée monument historique depuis 2011[41].
Église Saint-Léger, du XVIesiècle: L'édifice appartenait à l'ordre de Malte. Le clocher à flèche date du XVIesiècle. Au-dessus du portail, dans une niche, se trouve une statue de saint Léger mitré, crossé, tenant une palme. À l'intérieur, retable de la Vierge à l'Enfant, chaire datant de 1739 et vitrail du début du XVesiècle représentant une pietà. On trouve également un ensemble de deux statues de saint Léger et de saint Jean-Baptiste. Les verrières et ces statues sont classées monuments historiques[42],[23]. Une statue en pierre polychrome représentant une pieta a été retrouvée le , dissimulée sous l’autel de la Vierge et cachée sous un tas de gravats depuis plus de 200 ans. Elle a été déposée au musée de Vendeuil-Caply[43],[44].
Croix de chemin, au hameau de Warmaise.
Monument aux morts.
L'école de la commune.
L'église Saint-Léger.
Calvaire situé sur le bord de la D 90.
L'église Saint-Léger, avec une croix et un repère de nivellement.
Le cimetière proche de l'église, avec la mairie en fond.
Calvaire situé sur le hameau de Warmaise.
Calvaire situé dans le cimetière.
Calvaire situé à l'intersection des rues de La Hérelle et de l'École.
Personnalités liées à la commune
La famille de Chepoix, d'ancienne chevalerie (souvent dite de Sépoix), originaire du Santerre, eut des alliances avec les Coucy, Lannoy, Ongnies, Renty, Rubempré, Saveuse, etc.:
Thibaut, sire de Chepoix, amiral, nommé en 1304 grand-maître des arbalétriers de France[45], rendit de grands services à Philippe le Bel. Il remplit la charge d'amiral de la mer dans l'expédition de Romanie de 1306 à 1308 (montée par Philippe le Bel et son frère Charles de Valois en vue de conquérir l'empire de Constantinople auquel ce dernier prétendait depuis son union en 1302 avec Catherine de Courtenay) et recevait en cette qualité trente sols par jour d'émoluments.
Jean Ier acquit vers 1311 Crouy et Houssoy sur Charles de Valois.
Jean II de Chepoix commanda les galères que Philippe de Valois envoya contre les Turcs en 1334[46].
Louis de Chepoix mourut lors de la bataille d'Azincourt[47].
Charles de Chepoix devint chambellan de Louis XII.
Méry de Chepoix fut fait chevalier par François I à la bataille de Marignan. Il mourut vice-amiral de Bretagne.
Cette illustre maison s'éteignit par la mort de Robert de Chepoix, gouverneur de Saint-Quentin et bailli du Valois, à la fin du XVIesiècle[48].
Les Boulainvilliers[49], dont Perceval et Henri, furent aussi seigneurs de Chepoix[50].
Héraldique
Les armes de Chepoix se blasonnent ainsi: d'or, à cinq châteaux maçonnés de sable. les tourelles et portails de gueules, 2, 2 et 1.
Le blason du village de Chepoix, visible sur la tour du clocher de l'église Saint-Léger, est celui de la famille de Chepoix[48].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 152p. (lire en ligne), p.65-67.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise: rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département, Paris, Imprimerie impériale, coll.«Répertoire archéologique de la France», , 213p. (lire en ligne), p.75, lire en ligne sur Gallica.
Dominique Vermand, «Chepoix, église Saint-Léger», Diocèse: Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
«Loi du 19 juin 1865 qui érige en commune la section de Bacouel, distraite de la commune de Chépoix (Oise)», Bulletin des Lois, no1500, , p.761-762 (lire en ligne) sur Google Livres
«La nouvelle carte intercommunale de l'oise: intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p.15.
R. Th., «La fusion des communautés de communes est définitive», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3417, , p.6«Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme».
Sylvie Godin, «Naissance de l'Oise picarde: Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants», Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no3430, , p.17.
Source: Hebdomadaire Le bonhomme picard du 2 avril 2008
«Jacques Taveau y retourne à Chepoix», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Jacques Taveau, le maire sortant, est candidat à sa propre succession. Cet ancien chef d'entreprise et ses colistiers ont travaillé à l'amélioration de l’accès au numérique, avec la fibre optique, du matériel informatique et de projection pour l'école. Il y a également eu les travaux des places, l'accessibilité aux lieux administratifs et les trottoirs».
Patrick Caffin, «Découvrez les merveilleuses décorations de Noël», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
«CHEPOIX Rencontre avec ceux qui créent la magie de Noël: En remontant le soir la rue principale de Chepoix, on ne peut rester indifférent à la féerie de lumières qui illumine bon nombre d’habitations», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Une pietà était cachée sous l’autel de la Vierge de l’église de Chepoix: La découverte remonte à quelques semaines. La statue a depuis été mise à l’abri», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Jean-Claude Crépin, «Aux petits soins pour la pietà de Chepoix: Les élus se sont rendus au musée de Vendeuil-Caply ce samedi pour admirer la sculpture, découverte dans leur église il y a quelques semaines», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Général Claude Marion, Chronologie des machines de guerre et de l'artillerie, depuis Charlemagne jusqu'à Charles X, Doullens, Imprimerie de Quinquempoix, , 40p. (lire en ligne), p.8.
Jean Le Féron, Catalogue des nobles admiraulx de France, depuis le roy Philippes de Valois jusques à... Henry deuxième, Paris, impr. de M. de Vascosan, , 10 ff (lire en ligne), p.3f, lire en ligne sur Gallica.
Yann Fossurier, «Azincourt 1415: d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille?: Plus de 6000 combattants français ont péri il y a 600 ans lors de la bataille d'Azincourt, dans le Pas-de-Calais. Mais seuls 500 noms nous sont parvenus. Parmi eux, peut-être, un de vos ancêtres ou le seigneur de votre commune», France 3 Hauts-de-France, (lire en ligne, consulté le ).
Paul Roger, Noblesse et chevalerie du comté de Flandre, d'Artois et de Picardie, Amiens, impr. de Duval et Herment, , 400p. (lire en ligne), p.233, sur Gallica.
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