Audun-le-Tiche est une commune française située dans le département de la Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.
Pour les articles homonymes, voir Audun.
Audun-le-Tiche | |
Église Saint-François-d'Assise d'Audun-le-Tiche. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Thionville |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays-Haut Val d'Alzette (siège) |
Maire Mandat |
Viviane Fattorelli 2020-2026 |
Code postal | 57390 |
Code commune | 57038 |
Démographie | |
Gentilé | Audunois |
Population municipale |
7 048 hab. (2019 ![]() |
Densité | 457 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 28′ 27″ nord, 5° 57′ 30″ est |
Altitude | Min. 294 m Max. 452 m |
Superficie | 15,43 km2 |
Type | Commune urbaine |
Aire d'attraction | Thionville, Metz |
Élections | |
Départementales | Canton d'Algrange |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
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La commune d'Audun-le-Tiche est située au nord-ouest du département de la Moselle, sur les rives de l’Alzette, aux frontières de la Meurthe-et-Moselle et du Luxembourg, à 1 kilomètre de Villerupt et à 2 kilomètres de la ville luxembourgeoise d’Esch-sur-Alzette.
Russange | Esch-sur-Alzette ![]() |
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Villerupt | ![]() |
Rumelange ![]() |
Aumetz, Crusnes | Ottange |
Elle est desservie par la gare CFL d'Audun-le-Tiche.
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par l'Alzette et le ruisseau Beler[Carte 1].
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification, dont le territoire correspond aux anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants associés, d'une superficie de 2 418 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[1]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[2].
Audun-le-Tiche est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Esch-sur-Alzette (LUX)-Villerupt (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 5 communes[6] et 20 739 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (46,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,4 %), terres arables (30,5 %), zones urbanisées (14,4 %), mines, décharges et chantiers (3,7 %), prairies (2,9 %), cultures permanentes (2,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Aqueductus en 898 ; Audeux le Thieux en 1289 ; Aydoch en 1342; Aydoth en 1347 ; Adecht en 1371; Awedeux, Audieux, Audeux le Thieux en 1389 ; Adicht en 1404; Adud en 1689; Audun-la-Tiche en 1756 ; Audun le Tige en 1793 ; Audun-le-Tiche en 1801[13],[14].
La forme savante en latin médiéval Aqueductus « aqueduc » attestée au IXe siècle peut expliquer phonétiquement les formes postérieures Audeux, Awedeux, identiques à celles d'Audun-le-Roman (Awedeux et Awdeux en 1304; Audeue-le-Romain en 1776[13]). Il s'agit probablement dans les deux cas d'une évolution du gallo-roman AQUADUCTU, issu du latin aquaeductus « aqueduc »[15],[16]. La forme régulière Audeu correspond à la prononciation locale en lorrain roman[17], Audun étant une altération tardive et savante.
Le déterminant complémentaire le Thieux apparu au XIVe siècle, sert à faire une distinction avec le village homophone d'Audun-le-Roman qui lui doit sans doute l'altération d’Audeux en Audun. Thieux signifie « francique lorrain » en ancien français et se réfère à la langue parlée thioise, c'est-à-dire tudesque[15] (thiois étant l’adjectif masculin et thie(s)che l’ancien adjectif féminin). Audun est en effet situé en Lorraine thioise. Thieux a été altéré en Tiche plus tardivement par influence probable du dialecte germanique.
La commune se dit en allemand Teutsch Oth[13] et Teutsch Altheim[13]. Deutsch-Oth et Deutschoth (1871-1918 et 1940-1944) ; en luxembourgeois standard, en minett-luxembourgeois et en stadt-luxembourgeois : Däitsch-Oth[18], Deutsch-Oth (prononcé « déïtch otte »), Adicht et Edicht.
Remarque : il existe un vieux haut allemand adduch, aeduch, anduch ayant le sens de « conduite d’eau, canalisation, fossé rempli d'eau », lui-même issu du gallo-roman AQUA(E)DUCTU[19], il s'agit sans doutes de mauvaises graphies pour aducht attesté en moyen haut allemand, ou sous une forme plus conservatrice āduht[20]. Il procède du vieux haut allemand agedoht[20] de même sens et issu ultimement, comme le mot roman, du latin aquaeductus.
Les premières traces d’occupation du territoire d'Audun-le-Tiche remontent au mésolithique (8000 av. J.-C.), mais c’est à l’époque romaine que la localité se développe.[réf. nécessaire]
L’aqueduc a été partiellement retrouvé ; vu son gabarit, il ne pouvait qu’alimenter des bâtiments de grande taille. La bourgade était imposante et comportait des thermes, des temples et diverses nécropoles. Des statues (Minerve, Jupiter à l’Anguipède, tête de divinité, Sirona ?, Apollon) y ont été retrouvées : elles ont probablement été élaborées sur place, en pierre d’Audun ; des carrières ont, de tout temps, fourni un calcaire local apprécié dans tous les environs. *Aquaeductus était donc un vicus en pleine expansion aux IIe et IIIe siècles, probablement un centre religieux et industriel car l’exploitation du fer lorrain y était certainement déjà pratiquée[réf. nécessaire].
Mais c’est à l’époque mérovingienne qu'Audun doit sa renommée : une grande nécropole franque du VIIe siècle, originale par de nombreux aspects, y a en effet été fouillée, révélant armes, bijoux, accessoires du costume ayant accompagné les défunts dans les 200 sépultures mises au jour. L’intérêt primordial de ce site - hormis des rites funéraires peu courants - réside dans l’extraordinaire agencement des tombes, soigneusement confectionnées en pierres réemployées provenant du site gallo-romain tout proche. Des milliers de moellons ont été ainsi réutilisés. C’est à ce jour le plus vaste site mérovingien de Moselle à avoir été publié. De là provient également une rare croix de pierre, inscrite à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques, datant de la fin du VIIe siècle et attestant d’une pratique chrétienne dès cette époque. La nécropole est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [23] puis classée par arrêté du 3 décembre 2021[23].
La langue vieux haut allemand (de 750 apr. J.-C. à 1050) comptait 6 zones géographiques dialectales: Mittelfränkisch, Rheinfränkisch, Ostfränkisch, SüdRheinfränkisch, Alemannish et Bairisch. Audun-le-Tiche faisait partie de la zone géographiques dialectale Mittelfränkisch tout comme les prestigieuses abaye de Trêves, Echternach, Cologne et Aix-la-Chapelle.
Des fouilles effectuées en 1995 ont permis de mettre au jour les restes d'un moulin hydraulique d'époque carolingienne que l'on a pu dater des années 840 - 850. Sa technologie est basée sur celle de l'Antiquité, telle qu'elle est décrite dans les écrits de Vitruve, architecte romain du Ier siècle de notre ère. De par la richesse du site qui a livré plus de deux cents objets, pour l'essentiel des pièces de bois travaillées : aubes (pales monoxyles dont certaines sont datées de 802-803, aubes assemblées du Xe siècle), alluchons du rouet, coins, chevilles, etc. et aussi des fragments de meules, les archéologues ayant pu établir avec certitude qu'il s'agissait bien d'un moulin à eau. De plus, on a repéré des traces d'un aménagement destiné à donner de la puissance au flux hydraulique, notamment des poteaux correspondant au bief d'amenée. La roue à aubes ressemble à celle trouvée à Dasing en Souabe. Les bois utilisés étaient du hêtre et du chêne. Plusieurs fragments de meules en basalte de l'Eifel ont été trouvés entre les pieux, mais il est difficile d'établir le nombre exact de ces meules en raison de leur fragmentation extrême. Peut-être n'y en a-t-il que quatre. La dizaine de maillets de bois trouvés sur le site a servi probablement à broyer des fibres, hypothèse renforcée par la présence d'un bassin de forme carrée en amont du bief qui semble avoir servi au rouissage. Enfin, on peut noter qu'il n'a été trouvé aucun clou sur le site. La reconstitution de cette roue en dessous (roue de 150 cm de diamètre à 4 rayons et à 20 pales, associée à un rouet mettant en mouvement les fuseaux de la lanterne actionnant la meule courante) suggère qu'elle avait un rendement de 30-35 % grâce à l'accélération de l'eau un niveau du coursier (rendement de 10 % pour les moulins hydrauliques au fil de l'eau) et à la grande surface utile de ses pales[24].
Une retranscription[25] du XVIIe siècle du cartuaire de l'abbaye de Villers-Bettnach fait mention d'Audun-le-Tiche en 1289 et 1389 au moyen des formes retranscrites (traduites) Awedeux, Audieux et Audeux le Thieux.
Au Moyen Âge, l’importance du site est confortée par l’érection d’un imposant château féodal, appartenant à la famille de Malberg (originaire de l’Eifel) dont les descendants resteront propriétaires de l’endroit jusqu’à la Révolution française[réf. nécessaire].
L'ancien village ou lieu-dit Heymendorf (Hernedorf en 1220) se situait autrefois sur le ban de la commune[réf. nécessaire].
C’est à Audun-le-Tiche qu’est née l’entreprise Villeroy & Boch en 1748[réf. nécessaire].
En 1817, Audun-le-Tiche, village de l’ancienne province du Barrois, avait pour annexe la ferme de Hirps ; à cette époque il y avait 561 habitants répartis dans 100 maisons[26]. Au début du XXe siècle, la sidérurgie (mines et usine) prendra le relais de l’histoire, en transformant la bourgade en une ville industrielle, qui comptera jusqu’à 8 000 habitants, ceci jusqu’à la fermeture en 1997 de la dernière mine de fer encore en activité en France. Audun–le-Tiche fut aussi, comme Villerupt, Hussigny-Godbrange, un important centre de l’immigration italienne qui était venue pour approvisionner le bassin minier de la minette en bras d’œuvre. Une grande partie de cette immigration italienne provenait de Gualdo Tadino (en Ombrie), qui est aujourd’hui jumelé avec Audun–le-Tiche[réf. nécessaire].
Une bataille a lieu le 30 août 1870[réf. nécessaire].
Au milieu du XIXe siècle, un haut fourneau au bois appartenant à la famille Bauret-Laval (Lavalle) est en activité à Audun-le-Tiche, sur un emplacement différent de la ligne des hauts-fourneaux à venir (information tirée des archives du peintre Ponsin). Puis, entre 1872 et 1899, quatre hauts-fourneaux sont mis à feu. En 1899, la société prend le nom de Société des Hauts-Fourneaux et Mines d’Audun-le-Tiche, laquelle devient en 1919 la Société Minière des Terres-Rouges (créée lors de la vente, en 1919, de l'usine confisquée à la Société de Gelsenhirchen, au Syndicat de l’Alzette, avec 55 % de capitaux français, 25 % luxembourgeois et 20 % belges[27]), pour passer en 1964 sous le contrôle de l’Arbed. En 1950, sur les quatre hauts-fourneaux existants, deux sont en service (les 2 et 3 qui produisent des fontes de moulage), le haut-fourneau 4 est en construction et le haut-fourneau 1 est prêt à être démoli[réf. nécessaire].
Période | Langues parlées | Nom de la localité | Administrations |
---|---|---|---|
avant l'époque romaine | langue indéterminée, proto-celte, celte, proto-germanique ou celto-germanique selon les historiens | indéterminé | tribu des trévires |
époque romaine | latin vulgaire principalement et comme précédemment | indéterminé | empire romain (capitale Trêves) |
antiquité tardive et haut Moyen Âge | comme précédemment mais avec un effacement progressif du latin vulgaire | indéterminé | tribu ou fédération de tribus franques, selon les historiens |
VIIe au VIIIe siècle : période caractérisée par le cimetière franc d'Audun-le-Tiche | langue indéterminée, celte, proto-germanique ou celto-germanique selon les historiens | indéterminé | royaume mérovingien ou tribu ou fédération de tribus franques, selon les historiens |
du VIIIe siècle à 1289 (environ) | dialecte du vieux haut allemand (Mittelfränkisch) | A l'écrit aquaeductus (le nom oral est du vieux haut allemand) | évêché de Trêves |
de 1289 à 1389 (environ) | vieux français (dialecte lorrain roman) et dialecte du vieux haut allemand (Mittelfränkisch) | Awedeux, Audieux, Audeux le Thieux | duché de Bar |
de 1389 à 1659 : le Luxembourg français est cédé au royaume de France en 1659 | francique mosellan | Aydoch, Aydoth, Adecht, Adicht | comté de Luxembourg |
de 1659 à 1870 | transition du francique mosellan vers le français et le dialecte lorrain roman | Adud, Audun-la-Tiche, Audun le Tige | royaume de France, empire français et république française |
de 1870 à 1918 : période de l'annexion allemande de l'Alsace-Lorraine | allemand, français et francique mosellan | Deutschoth et Deutsch-Oth | empire allemand |
de 1918 à 1940 | principalement le français mais aussi l'italien standard et certains de ses dialectes, le polonais et le francique mosellan | Audun-le-Tiche | république française |
de 1940 à 1945 : période de l'occupation allemande | comme précédemment mais aussi moins fréquemment l'allemand | Deutschoth | Allemagne nazie |
de 1945 à aujourd'hui | principalement le français mais aussi l'italien standard et certains de ses dialectes, le polonais et l'arabe dialectal algérien | Audun-le-Tiche | République française |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1877 | Jean François François | |||
1902 | François Fick | |||
1914 | Kolb | |||
1918 | François Fick | |||
1922 | Alfred Mangin | |||
1925 | Gustin Bion | |||
1935 | Emile Speck | |||
1940 | Ernest Matheis | |||
1944 | Emile Speck | |||
1946 | 1965 | Louis Jubert | sans étiquette | |
mars 1965 | mars 1983 | Alain Philippe | PCF | Agent de la circulation |
mars 1983 | septembre 1992 (décès) |
Angel Filippetti | PCF | Mineur de fer Conseiller général du canton de Fontoy (1979 → 1985) |
octobre 1992 | juin 1995 | Salvatore Bellucci | PCF | |
juin 1995 | mai 2005 (décès) |
Lucien Schaefer | PCF | |
juin 2005 | juin 2007 (décès) |
Christian Felici | PCF | |
juin 2007 | juillet 2020 | Lucien Piovano | PS | Retraité de l'Éducation nationale |
juillet 2020 | En cours | Viviane Fattorelli | DVG | Professeur de lycée |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2019, la commune comptait 7 048 habitants[Note 3], en augmentation de 6,85 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,03 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1836 | 1841 | 1861 | 1866 | 1871 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
516 | 401 | 544 | 592 | 723 | 834 | 1 008 | 971 | 1 050 |
1875 | 1880 | 1885 | 1890 | 1895 | 1900 | 1905 | 1910 | 1921 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 081 | 1 261 | 1 708 | 1 798 | 2 726 | 4 780 | 5 231 | 6 293 | 4 441 |
1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 | 1982 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
6 101 | 6 577 | 6 292 | 5 793 | 7 103 | 8 522 | 7 698 | 6 831 | 6 391 |
1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 | 2017 | 2019 | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
5 959 | 5 757 | 5 949 | 5 975 | 6 438 | 6 846 | 7 048 | - | - |
Rancy, Bétiel, Mandelot, La Dell, Orlé, Francbois, Montrouge et La Quiel.
![]() |
Blason | Parti : au 1er mi-parti d'azur à deux bars adossés d'or accompagnés de quatre croisettes recroisetées au pied fiché du même, au 2e mi-parti d'or à l'aigle bicéphale de sable, becquée et membrée de gueules ; au marteau de mineur renversé de gueules brochant sur la partition. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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