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Allons
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Allons
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Géographie
Allons et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
La commune d'Allons occupe un territoire principalement situé dans la petite vallée de l'Ivoire, affluent du Verdon, à l’écart de la route principale de la vallée du Verdon. On peut observer deux fermetures naturelles du site, l'une au niveau de Vauclause qui correspond à la limite de la commune au niveau de la vallée du Verdon, l'autre immédiatement située à la sortie du village où on distingue des restes de fortification.
Allons est une des 46 communes adhérentes du parc naturel régional du Verdon.
crête de Puy de Rent (1 996 m); le Puy (1 820 m); Basse d’Allons (1 493 m)
le Roncheret (1 617 m); le Puel (1 532 m); le col de l’Iscle (1 394 m); sommet de Montagnone (1 775 m)
crête de Chamatte; Basse d’Angles; crête des Serres, 1 778 m au Serre Gros
Hydrographie
Allons est traversé par l'Ivoire (affluent du Verdon, lui-même affluent de la Durance)[2], rivière de 165,9 km affluent de la Durance, ainsi que par plusieurs ruisseaux et torrents.
ravins de Défens, de Pra Chiriei, de Barbette, des Combes, de Saint-Domnin.
Climat
Le climat y est chaud et tempéré de type Cfb, selon la classification de Köppen-Geiger[4]
Environnement
La commune compte 2 266ha de bois et forêts, soit plus de la moitié de la superficie[5].
Flore
La commune correspond à un bassin versant orienté est-ouest, avec donc un grand ubac et un grand adret.
Sur l'ubac, se trouve une pinède[6]. Une forêt de hêtres pousse à côté du village[6]. Une ripisylve abondante en saules pousse le long de l'Ivoire[6].
Transports
Un arrêt facultatif du train des Pignes est partagé entre la commune d’Allons et celle d’Argens[7].
En voiture, l’accès se fait uniquement par la route départementale 52, embranchement de la RD 955.
Hameaux
La Moûtière; la Forêt.
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient Allons est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[8], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9]. La commune d’Allons est également exposée à trois autres risques naturels[9]:
feu de forêt,
inondation, de façon marginale dans la vallée,
mouvement de terrain: la commune est concernée par un aléa moyen à fort sur le versant situé au-dessus de Vauclause, dans la vallée du Verdon[10],
et avalanche.
La commune d’Allons n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[11] et aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[11]; le Dicrim existe depuis 2011[12].
La commune a été l’objet d’un seul arrêté de catastrophe naturelle, en 1994 pour des inondations et coulées de boue[9].
Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1113 (sous la forme Alonz). Ce toponyme s’est formé sur un nom propre germanique, Alonius, selon Ernest Nègre[13]. Charles Rostaing et les Fénié avancent que le nom s’est formé sur la racine orographique (en rapport avec la montagne) Al- (qui entre dans la composition d’alpe)[14],[15]. Cette racine est probablement antérieure aux Gaulois[16].
Un oppidum occupait le site du Castellas à l’âge du fer[17]. Auguste fait la conquête de la vallée du Verdon en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de la civitas dont Allons dépendait au Haut-Empire: Eturamina (Thorame), Civitas Saliniensum (Castellane) ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, semblent avérés[18].
Une statue de bronze datant de l’Antiquité a été retrouvée sur la commune (actuellement perdue)[19].
Moyen Âge
Il est possible que la chapelle Saint-Domnin, à la Moûtière, ait été construite à l’emplacement occupé par la communauté d’Allons au Haut-Moyen Âge, en lien avec un premier monastère. Sur le versant opposé se trouvent plusieurs toponymes les Villas qui renforcent cette hypothèse[17]. Le site de Haut-Ville, en fond de vallée, peut être contemporain[17].
En 1072, Pons Sylvain (Pontius Silvanus) est propriétaire du domaine et donc d’une partie importante, si ce n’est de toute la vallée. Il fait don de terres à l’abbaye Saint-Victor de Marseille, qui y établit à la fin du XIe-début du XIIesiècle, un prieuré, Saint-Martin. Le village d’Allons se crée peu après, autour d’une nouvelle église elle aussi sous la titulature de saint Martin, et le prieuré est abandonné au XIIIesiècle[17].
Le fief appartient d’abord aux évêques de Senez, puis à l’abbaye Saint-Victor de Marseille[20].
La communauté d’Allons relevait de la viguerie de Castellane[17],[6]. On trouve dans le village trois bâtisses connues pour avoir abrité différentes familles nobles, parmi lesquelles les de Requiston et les de Richery, coseigneurs[6], les Villeneuve, les Disdier d' Allons avec Louis Disdier, seigneur d' Allons (1535-1593) qui fût aussi gouverneur de Serres (Hautes-Alpes) et les d’Autane, derniers seigneurs du fief de 1757 à la Révolution française[6]. Ces bâtisses sont assimilées à des châteaux, le plus imposant d'entre eux est celui des d’Autane implanté sur la place du même nom; il surprend par ses dimensions importantes et son style du XVIIesiècle peu commun dans la région. Depuis la Révolution le château est partagé entre plusieurs propriétaires, et plusieurs transformations ont été effectuées notamment au niveau de la toiture. Les seigneurs les plus importants étaient les Requiston[1].
En 1390, Raymond de Turenne fait le siège du château de Vauclause.
L'histoire d'Allons est aussi liée à celle de Vauclause, cet éperon rocheux qui surplombe l'entrée dans la vallée de l'Ivoire. Au Moyen Âge, une communauté s’y était installée, près d’un château-fort dont il ne reste que quelques pans de murs. Cette communauté comptait douze feux en 1315[20] et n’avait aucune église[17]. Elle est fortement dépeuplée par la crise du XIVesiècle (Peste noire et guerre de Cent Ans) et annexée par celle d’Allons[20]. Le fief de Vauclause était distinct de celui d'Allons, et le resta jusqu'à la Révolution[6]. Aujourd'hui on y trouve une ferme de grandes dimensions qui fait l'objet de travaux de restauration.
De la fin du Moyen Âge à la Révolution française
En 1745, les habitants se révoltent contre une demande de l’évêque de Senez, qui fait enlever le buste de saint Domnin, patron de l’église paroissiale mais dont le culte est jugé dépassé, voire trop proche de rites païens. La résistance villageoise provoque un déplacement de l’évêque, Mgr de Vocance, qui est bousculé, ses vêtements déchirés. Devant la menace d’intervention militaire, les habitants font mine de céder, mais en fait cachent le buste et continuent leurs dévotions[21].
Depuis la Révolution française
Il y avait deux moulins dans la commune, sur le Verdon et sur l'Ivoire aux abords du village[6].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1838 que le cadastre dit napoléonien d’Allons est achevé[22].
Comme de nombreuses communes du département, celle d’Allons se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, l’école installée au chef-lieu dispense une instruction primaire aux garçons[23]. Aucune instruction n’est donnée aux filles: ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[24], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Allons[25]. La commune profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[26], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Allons sont régulièrement scolarisées.
Le tunnel de la Colle est achevé en 1903, et la totalité de la ligne entre Saint-André et Nice est inaugurée du 5 au en présence de Victor Augagneur, ministre des Travaux Publics[27].
Au XXesiècle, l'économie agricole de polyculture vivrière évolue vers une spécialisation dans la lavande, qui est transformée sur place dans trois distilleries. Le moulin du Verdon est transformé en scierie. Ces activités sont aujourd'hui abandonnées[6].
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: «De gueules à un château donjonné de trois tours d’or maçonnées de sable»[28],[29].
Fonctionnaire, président du conseil d'administration de l'Ircantec à compter d'avril 2021[36].
Les données manquantes sont à compléter.
Intercommunalité
Allons a fait partie, jusqu'en 2016, de la communauté de communes du Moyen Verdon; depuis le , elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.
Urbanisme
Typologie
Allons est une commune rurale[Note 1],[37]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[38],[39]. La commune est en outre hors attraction des villes[40],[41].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92,5% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante: forêts (75,8%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16%), prairies (7,5%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,7%)[42].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[43].
Planification de l'aménagement
La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)[44].
Budget et fiscalité
L'imposition des ménages et des entreprises à Allons en 2009[45],[46]
Taxe
Part communale
Part intercommunale
Part départementale
Part régionale
Taxe d'habitation
10,00%
0,88%
5,53%
0,00%
Taxe foncière sur les propriétés bâties
15,50%
2,53%
14,49%
2,36%
Taxe foncière sur les propriétés non bâties
40,05%
3,33%
47,16%
8,85%
Taxe professionnelle
16,47%
2,11%
10,80%
3,84%
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable. La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale).
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[47].
Jumelages
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019, la commune d’Allons comptait 133 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2008, 2013, 2018 pour Allons). Les autres chiffres sont des estimations.
Évolution de la population [modifier]
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
359
330
350
359
467
488
517
466
408
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
378
355
340
315
284
292
277
272
214
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
195
173
194
187
179
176
163
145
112
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
96
61
64
65
62
73
81
120
131
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2013
2018
2019
-
-
-
-
-
-
145
138
133
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
Évolution démographique avant 1765
1315
1471
89 feux
19 feux
(Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[20])
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Les seuls emplois sur la commune sont trois agriculteurs et deux entreprises de maçonnerie, plus un camping au bord du Verdon et un bar qui ouvrent en période estivale. La plus grande partie de la population active travaille à l'extérieur de la commune et pour certains à Digne-les-Bains[50].
Il y a 4 éleveurs ovins sur la commune. Une entreprise de maçonnerie et un auto-entrepreneur.
Équipements et services
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Enseignement
Les établissements d'enseignement les plus proches[51]:
écoles maternelles: Thorame-Haute, Senez;
écoles primaires: Braux, Thorame-Haute, Senez;
collèges à Annot, Saint-André-les-Alpes.
Sports
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Santé
Des médecins de garde sont joignables à: Oraison, Manosque, Sisteron, Digne-les-Bains, Gréoux-les-Bains, Riez[52].
Les pharmacies les plus proches sont à Annot et Saint-André-les-Alpes[53].
Vie locale
Une association locale dénommée les «estubés-Allons» organise des animations tout au long de l'année.
Cultes
Culte catholique, paroisse (Allons, Saint-Martin), diocèse de Digne-les-Bains, Riez et Sisteron[54].
Lieux et monuments
À Vauclause, les restes du château sont appelés la Tour Sarrazine[6].
La commune compte plusieurs chapelles: chapelle Saint-Martin (en ruines)[55]; chapelle Saint-Domnin, sur l’Ivoire, et plusieurs demeures seigneuriales, parfois qualifiées de châteaux[56]:
trois dans le village;
une à Vauclause, en ruines;
une à la Moutière.
L’église Saint-Martin, paroissiale[57],[58], compte un mobilier intéressant, dont plusieurs objets ont fait l’objet d’une inscription à l’inventaire au titre des monuments historiques:
un buste-reliquaire de saint Dommin, premier évêque de Digne, en bois sculpté et doré, placé sur des brancards de procession[59] et sauvé de la destruction en 1745[21];
un ostensoir en forme de soleil, en argent repoussé et ciselé, de la fin du XIXesiècle ou du début du XXe[60];
un calice doré, de la deuxième moitié du XIXesiècle[61], et un calice d’argent richement orné, signé Dejean[62], du milieu du XIXesiècle;
les saints Dommin et Martin admirant le Sacré-Cœur, tableau d’avant 1858[63];
de petites statues, de saint Joseph, datée de 1856[64], et une Vierge à l’Enfant, de 1881[65].
Plusieurs tableaux peints par Fidèle Patritti se trouvent dans l’église et sont aussi classés:
une Annonciation, d’avant 1858[67] (hauteur: 145 cm; largeur: 117 cm) de composition classique, avec la Vierge agenouillée, soumise et sereine, baignant dans un rai de lumière qui descend du Ciel. Face à elle, l’archange Gabriel lui porte le message divin[68].;
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Références
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7)
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 25 juin 2012
Préfecture, DDRM, p. 37
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, op. cit., p. 95
Ernest Nègre, Toponymie globale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève: Librairie Droz, 1990. Volume II: Formations non-romanes; formations dialectales. Notice 14291, p 826
Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence: depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1reédition 1950), p 43
Charles Rostaing, «Toponymie d’origine pré-gauloise» in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
Daniel Thiery, « Allons», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 12 décembre 2010, mis à jour le 15 décembre 2010, consulté le 25 juin 2012
Brigitte Beaujard, «Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s.», Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22-23
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p., p 31
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p. 159
Jean Nicolas, La Rébellion française: mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Paris: Gallimard, 2008. Collection Folio, (ISBN978-2-07-035971-4), p. 753-754
Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXesiècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, . Digne-les-Bains: Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013 (ISBN978-2-86004-016-7), p.10.
Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN978-2-86-004-015-0), p.9.
Moyen Verdon 2: Allons, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
[Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], «La Libération», Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
Élie Galfard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de François Mitterrand (PS) à l’élection présidentielle de 1988, cf. Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, pages 4792, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Notice noPM04002545, base Palissy, ministère français de la Culture calice signé Dejean
Notice noPM04002542, base Palissy, ministère français de la Culture tableau: Saint Martin et saint Domnin
Notice noPM04002541, base Palissy, ministère français de la Culture statue: Saint Joseph
Arrêté du 30 janvier 1989, Notice no04001222, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 31 août 2008
Notice noPM04002536, base Palissy, ministère français de la Culture tableau: Résurrection
Notice noPM04002537, base Palissy, ministère français de la Culture tableau: Annonciation
Jean-Christophe Labadie, Des Anges, Musée départemental d’art religieux, catalogue de l’exposition à la cathédrale Saint-Jérôme (5 juillet-30 septembre 2013), 2013, (ISBN978-2-86004014-3), p.8.
Notice noPM04002538, base Palissy, ministère français de la Culture tableau: Donation du rosaire
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