Épineuse est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Spinosiens et les Spinosiennes.
Épineuse | |
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![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Oise |
Arrondissement | Clermont |
Intercommunalité | CC de la Plaine d'Estrées |
Maire Mandat |
Christophe Yssembourg 2020-2026 |
Code postal | 60190 |
Code commune | 60210 |
Démographie | |
Gentilé | Spinosiens, Spinosiennes |
Population municipale |
260 hab. (2019 ![]() |
Densité | 37 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 23′ 52″ nord, 2° 33′ 18″ est |
Altitude | Min. 81 m Max. 142 m |
Superficie | 7,12 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis |
Législatives | 7e circonscription de l'Oise |
Localisation | |
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Épineuse est un village du Clermontois dans l'Oise situé à 58 kilomètres au sud d'Amiens, à 34 kilomètres à l'est de Beauvais, à 20 kilomètres à l'ouest de Compiègne et à 61 kilomètres au nord de Paris[1].
Maimbeville | Fouilleuse | Bailleul-le-Soc |
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Catenoy | Sacy-le-Grand | Avrigny |
Le territoire se compose d'un plateau et de quelques vallons tel le fond d'Éraine au nord-est du village, le fond de l'Hardière se prolongeant vers la commune de Maimbeville et se situe également à proximité de la vallée des Chats-Huants, sur les territoires voisins de Maimbeville et Fouilleuse, au nord-ouest[2]. Le territoire, qui a sa direction principale du nord au sud, constitue une plaine découverte dépourvue d'eau, et traversé par un ravin courant au nord du chef-lieu[3]
La commune s'étend entre 81 mètres et 142 mètres au-dessus du niveau de la mer. La mairie du village se situe à 118 mètres d'altitude. Le point le plus bas se situe à la limite sud du bois de Favières et le point le plus élevé du territoire se trouve à l'intersection des limites communales entre Fouilleuse, Bailleul-le-Soc et Épineuse. Le bois de Favières, au sud, se situe entre 81 et 100 mètres d'altitude.
Les cailloux sont brisés en petits fragments, tel qu'on le voit au sud du village[3]. Sur cette étendue de la région du nord du Clermontois se développe un terrain de formation crayeuse[4]comme en témoigne deux anciennes carrières se trouvant au nord du chef-lieu[2].
La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[5].
Aucun cours d'eau ne traverse la commune. Deux mares, l'une à l'ouest du village, la seconde au nord, sont les seuls éléments aquatiques présents sur le territoire.
Les fonds de l'Hardière et d'Éraine font partie du bassin versant du ruisseau Béronnelle, rejoignant la Brêche, sous-affluent de la Seine par l'Oise. La partie basse du fond de l'Hardière, au nord, se situe au-dessus d'une nappe phréatique sous-affleurante[6].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[13] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 33 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[17] à 10,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[19].
Épineuse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[20],[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,1 %), forêts (14,4 %), zones urbanisées (3,5 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
L'habitat est uniquement concentré dans le chef-lieu Épineuse. La commune ne possède pas de hameaux sur son territoire[2].
Le village, situé au milieu d'une grande plaine découverte, est formé de plusieurs rues sinueuses bordées de mares, il comprenait 64 maisons en 1890. À cette époque, les rues sont appelées rues d'Amiens, d'En Haut, ruelle Saint-Lucien, Langreux, des Poissonniers, du Château, et du Cul-de-Sac[a 1]. Les rues actuelles se nomment rues Spuller, de Favières, Nicolas-Dubus, Caboche, Armand-Barbès, Gambetta, Ferdinand-Borée et place Bernard-Nicolas[27].
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 111, alors qu'il était de 101 en 2014 et de 102 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 89 % étaient des résidences principales, 4 % des résidences secondaires et 7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Épineuse en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 92,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92,6 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Épineuse[I 1] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 89 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4 | 2,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 7 | 7,1 | 8,2 |
Épineuse, tangentée au sud par le route nationale 31, est desservie par une unique route départementale, la RD 161, reliant Catenoy à la RD 75 près de Bailleul-le-Soc. Elle traverse le chef-lieu par les rues Spuller et Gambetta. Plusieurs routes communales relient le village aux communes alentour de Maimbeville et d'Avrigny. Une voie étroite débute de la RD 161 à l'entrée nord du village pour se terminer en impasse. Une voie contourne également le nord-ouest de l'agglomération[2].
La station de chemin de fer la plus proche est la gare d'Estrées-Saint-Denis à 7 km kilomètres à l'est sur la ligne d'Ormoy-Villers à Boves desservie par des trains TER Hauts-de-France, express ou omnibus, qui effectuent des missions entre les gares Amiens et de Compiègne. Située sur la ligne Paris-Nord - Lille, la gare de Clermont-de-l'Oise se trouve à 10 kilomètres à l'ouest[1], desservie elle par des trains TER de la ligne TER Hauts-de-France de Paris-Nord à Amiens.
La commune est desservie par le réseau interurbain de l'Oisee par les LR33B de Clermont à Catenoy et de Clermont à Compiègne, par la LR33C d'Estrées-Saint-Denis à Compiègne ainsi que par deux lignes de transports scolaires : l'une se dirigeant vers le collège d'Estrées-Saint-Denis, les deux suivantes vers les établissements du secondaire de l'agglomération de Clermont[28]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal a été mise en place avec les communes d'Avrigny, Blincourt et Fouilleuse [29].
Le GR 124A, branche du GR124 reliant Litz à Orrouy traverse le territoire du nord-ouest au sud-est. Il arrive sur le territoire par le fond de l'Hardière puis traverse le village par les rues Ferdinand-Borrée, Nicolas-Dubus et Spuller. Il quitte la commune en rejoignant Avrigny[2]. Le circuit no 6 de cyclotourisme de l'Oise traverse la commune en suivant le tracé de la route départementale 161[30].
La commune a porté les noms suivants au cours de son histoire : « Spinosa » en 937, « Spinosae » en 1157 puis « Spinogilum », « Espineuses » en 1218 puis « Espineuzes », « Espineuse » et « Spineuses ».
Le nom actuel d'« Épineuse » désignait à l'origine un lieu rempli d'épines[a 1],[31].
Un diplôme de Hugues le Grand, de 937, fait mention d'une localité dite « Spinosa in pago Relvacensi », qui lui avait été cédée en précaire par l'abbaye Saint-Martin de Tours. Peut-être faut-il identifier « Spinosa » avec Épineuse, bien que le souvenir de Saint-Martin, si commun pourtant dans le pays, ne s'y soit pas conservé[32].
La seigneurie appartient, dès le XIIe siècle, à une famille qui prend le nom d'Épineuse. Sur le territoire d'Épineuse, se trouve le bois de Favières, érigé en fief en 1238 par Mahaut, comtesse de Clermont, en faveur de Jean de Villers-Saint-Paul, bailli de son comté, pour les bons services qu'il lui avait rendus[3] : ce bois était à l'époque entre le bois de Royaumont et le bois Saint-Lucien de Beauvais.
À la fin du XIVe siècle, les seigneuries d'Étouy, de Haucourt et de Warty appartiennent à des représentants de cette famille. .
La cure d'Épineuse était à la collation du chapitre de Clermont, qui percevait les dîmes du terroir. Les dîmes, censives et champarts, étaient affermés 2410 livres en 1743[a 1]. En 1752, une épidémie de catarrhe suffocant sévit et cause une grande mortalité[a 2].
Les religieux de Saint-Antoine sont encore seigneurs de la paroisse en 1789. Cette même année, le bois de Favières appartient au marquis Gouy d'Arsy et à sa sœur[a 1]. On cultivait encore 5 arpents de vignes en 1789[a 2].
En 1789, le cahier de doléances des habitants réclame : la périodicité des États-généraux, la réforme des abus de la justice, la suppression des enrôlements forcés de la milice, l'abolition des privilèges pécuniaires du clergé et la noblesse, la répartition des impôts entre tous les citoyens indistinctement, la responsabilité des ministres, la vente d'une partie des domaines du roi pour acquitter les dettes de l'État. En ce qui concerne particulièrement leurs paroisses, leurs plaintes portent sur les points suivants : ils payent d'imposition diverses 3 livres 4 sous par mine, tout le territoire doit en plus un droit de champart de 10 gerbes du cent, et aux ecclésiastiques, une dîme de 7 gerbes du cent. Les habitants en demandent l'abolition. Le territoire a été mis en capitainerie en 1783 par le capitaine des princes de Condé, qui l'a cédé en 1788 au duc de Bourbon. Ce prince, bien que n'étant pas seigneur du lieu et n'ayant aucune propriété, y fait élever une quantité prodigieuse de gibier qui ravage les récoltes. Le terroir, entouré des 4 grandes bois de Favières, de Luchy, d'Avrigny et Robin, où le prince conserve des biches, cerfs, sangliers, a ses récoltes réduites d'un quart. Les habitants réclament la destruction de tout le gibier, ils demandent qu'à l'avenir on ne soit plus condamné aux galères pour fait de chasse et de contrebande, que les aides et la gabelle soient supprimées, que le tiers-état soit nommé à tous les emplois comme la noblesse. Les députés de la paroisse, à l'assemblée du bailliage de Clermont, sont : Zacharie Bulté et Antoine Denin, laboureurs[a 2].
En 1793, le le bois de Favières est déclaré bien national[a 1].
En 1838, on comptait dans la commune une carrière et un moulin à vent. La population vivait de l'agriculture, et quelques femmes pratiquaient la coûture de gants[3].
Lors de la guerre franco-allemande de 1870, le , le ballon monté Armand Barbès, parti de la place Saint-Pierre à Paris |assiégée par les Prussiens, piloté par Alexandre Jacques Trichet et monté par les ministres Eugène Spuller et Léon Gambetta, atterrit à Épineuse après avoir passé les lignes ennemies[33]. À sa descente de ballon, Gambetta fut reçu par M. Dubus, maire d'Épineuse, qui le conduisit courageusement dans sa voiture au-delà des lignes prussiennes. Le dimanche , en présence des représentants du département, au milieu d'une foule sympathique accourue de tous les points de la région, M. Spuller, ministre des Affaires étrangères, inaugura le monument élevé sur la place d'Épineuse à la mémoire de Gambetta[a 3].
En 1890, la population était exclusivement agricole. Un moulin à vent, situé à l'ouest du village, avait été converti en exploitation rurale. Il existait une carrière de moellons sur le territoire[a 2]. À cette époque, la population du village était de 240 habitants et celle du moulin à vent de 4 habitants.
La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1803 du canton de Clermont[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription de l'Oise.
Épineuse est membre de la communauté de communes de la Plaine d'Estrées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
avant 1870 | après 1870 | Nicolas Dubus[31] | ||
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1973 | 1980 | Henri Lathuin | ||
1980 | 1987 | Jean Leroy | ||
1987 | 11 janvier 2007[36] | Bernard Nicolas | Ancien instituteur puis secrétaire de mairie Décédé en fonction | |
2007 | avril 2014 | Jean-Pierre Tazzolio | DVG | Inspecteur après-vente |
avril 2014[37] | En cours (au 2 décembre 2021) |
Christophe Yssembourg | Employé Réélu pour le mandat 2020-2026[38] |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].
En 2019, la commune comptait 260 habitants[Note 8], en diminution de 0,76 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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207 | 254 | 276 | 265 | 270 | 297 | 263 | 271 | 259 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
251 | 258 | 248 | 248 | 249 | 245 | 246 | 236 | 235 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
200 | 218 | 213 | 205 | 195 | 197 | 184 | 196 | 188 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
168 | 173 | 177 | 196 | 230 | 233 | 273 | 265 | 245 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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260 | - | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 130 hommes pour 122 femmes, soit un taux de 51,59 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,8 | 90 ou + | 0,0 |
4,0 | 75-89 ans | 7,6 |
12,7 | 60-74 ans | 9,2 |
23,8 | 45-59 ans | 27,7 |
19,8 | 30-44 ans | 24,4 |
16,7 | 15-29 ans | 10,9 |
22,2 | 0-14 ans | 20,2 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,3 | 75-89 ans | 7,5 |
15,1 | 60-74 ans | 15,8 |
20,9 | 45-59 ans | 20,1 |
19,5 | 30-44 ans | 19,4 |
17,9 | 15-29 ans | 16,5 |
20,8 | 0-14 ans | 19,4 |
En 2010 est commémoré à Epineuse l'atterissage de Léon Gambetta le fuyant le Siège de Paris pour organiser la défense de la France contre l'offensive prussienne lors de la guerre franco-allemande de 1870[44].
En 2010, le village ne compte aucun commerce[45].
On peut signaler :
Le nom de certains seigneurs d'Épineuse nous est parvenu. Parmi ceux-là, on note[réf. nécessaire] :
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Blason | D'hermine à l'écusson de gueules chargé à dextre d'une étoile d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |