Épiais est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre-Val de Loire.
Pour les articles homonymes, voir Épiais-lès-Louvres et Épiais-Rhus.
Épiais | |
La mairie. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Centre-Val de Loire |
Département | Loir-et-Cher |
Arrondissement | Blois |
Intercommunalité | Communauté de communes Beauce Val de Loire |
Maire Mandat |
Michel Peignant 2020-2026 |
Code postal | 41290 |
Code commune | 41077 |
Démographie | |
Population municipale |
130 hab. (2019 ![]() |
Densité | 15 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 48′ 29″ nord, 1° 15′ 08″ est |
Altitude | Min. 108 m Max. 136 m |
Superficie | 8,7 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de la Beauce |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Localisée au centre-nord du département, la commune fait partie de la petite région agricole « la Beauce », une vaste étendue de cultures céréalières, oléagineuses (colza) et protéagineuses (pois, féverolle, lupin), avec également de la betterave sucrière, et de la pomme de terre. Elle est drainée par le Réveillon et par divers petits cours d'eau.
L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Un espace naturel d'intérêt est présent sur la commune : un site natura 2000. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 46 en 1988, à 3 en 2000, puis à 0 en 2010.
Avec 136 habitants en 2017, la commune fait partie des 20 communes les plus faiblement peuplées de Loir-et-Cher.
La commune d'Épiais se trouve au centre-nord du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole de la Beauce[1],[2]. À vol d'oiseau, elle se situe à 25 km de Blois[3], préfecture du département et à 23,5 km de Beauce la Romaine, chef-lieu du canton de la Beauce dont dépend la commune depuis 2015[4]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Vendôme[5].
Les communes les plus proches sont[6] : Sainte-Gemmes (2,2 km) , Baigneaux (3 km) , Beauvilliers (3,4 km) , Oucques (3,6 km) , La Chapelle-Enchérie (4,1 km) , Villeneuve-Frouville (4,8 km) , Boisseau (5,2 km) , Faye (5,6 km) et Rhodon (6,2 km).
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[7]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[8]. La commune fait partie de l'unité de paysage de « la Beauce »[9].
La fertile Beauce, qui couvre pas moins de six cent mille hectares, est un vaste plateau, essentiellement consacré aux grandes cultures (céréales, colza, betterave sucrière). En Loir-et-Cher, la Beauce s'avance jusqu'à Blois, bordée au nord par le Loir et au sud par la Loire, couvrant un septième du département. Ses paysages épurés et ouverts sur le ciel contrastent avec les vertes collines Percheronnes au nord et surtout avec les grandes forêts Solognotes au sud[10].
L'altitude du territoire communal varie de 108 mètres à 136 mètres[11],[12].
La commune est drainée par le Réveillon (3,291 km) et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6,88 km de longueur totale[13].
Le Réveillon traverse la commune d'est en ouest. D'une longueur totale de 15,2 km, il prend sa source dans la commune d'Oucques-la-Nouvelle (41) et se jette dans la Vienne à Saint-Ouen (41), après avoir traversé 9 communes[14]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en première catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés (truite, omble chevalier, ombre commun, huchon)[15].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11 °C |
La commune bénéficie d'un climat « océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France définie en 2010. Ce type affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, et en particulier la plus grande partie du département de Loir-et-Cher. Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires et les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée[16].
Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir cette typologie comportent 6 variables pour les températures et 8 pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[16]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[17]. Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000 suivants[18] : une ZPS, la « Petite Beauce », d'une superficie de 52 565 ha[19].
Épiais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].
L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (100 %). La répartition détaillée ressortant en 2012 de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover est la suivante : terres arables (64,5 %), forêts (35,5 %)[13].
En matière de planification, la commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[25].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Épiais en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (17,5 %) inférieure à celle du département (18 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92,2 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.
Épiais[26] | Loir-et-Cher[27] | France entière[28] | |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 73,8 | 74,5 | 82,3 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 17,5 | 18 | 9,6 |
Logements vacants (en %) | 8,7 | 7,5 | 8,1 |
Le territoire communal d'Épiais est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible)[29],[30].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[29]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[31]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[32].
Du bas latin spicarium, formé à l'aide de spica ("épi") et du suffixe collectif arium, apparaît pour la 1re fois au Ve siècle dans la loi salique; il aboutit au français espier ("bâtiment où s'entassent les épis"), et par métonymie: droit domanial en blé, en avoine, et quelquefois en d'autres produits (FEW, XII, 173b).
Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[33], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse d'Épiais devient formellement « commune d'Épiais »[33],[34].
En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Selommes et au district de Vendôme[34]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[35],[36]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[35]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[37]. Épiais est alors rattachée au canton de Selommes et à l'Arrondissement de Vendôme par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[38],[34],[39]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.
La commune d'Épiais est membre de la communauté de communes Beauce Val de Loire, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [40].
Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Blois, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[5], en tant que circonscriptions administratives[5]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de la Beauce depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[41] et à la Troisième circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[42].
Le conseil municipal d'Épiais, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal[43] avec liste ouvertes et panachage[44]. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[45].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 2008 | En cours | Michel Peignant | MoDem | Agriculteur retraité[46] |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[47].
Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[48]. En 2019, la commune est membre du syndicat intercommunal à vocation multiple de Sainte-Gemmes qui assure le service en régie[49].
En 2019, la commune d'Épiais ne dispose pas d'assainissement collectif[50].
L'assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[51]. La communauté de communes Beauce Val de Loire assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l'entretien des installations[52].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[54].
En 2019, la commune comptait 130 habitants[Note 5], en diminution de 11,56 % par rapport à 2013 (Loir-et-Cher : −0,76 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
122 | 153 | 140 | 150 | 160 | 169 | 172 | 188 | 208 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
221 | 213 | 223 | 189 | 214 | 207 | 238 | 267 | 253 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
252 | 240 | 242 | 210 | 174 | 179 | 161 | 128 | 175 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
186 | 185 | 153 | 121 | 87 | 94 | 114 | 115 | 142 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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138 | 130 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,7 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 66 hommes pour 67 femmes, soit un taux de 50,38 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,45 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,0 | 90 ou + | 1,6 |
3,2 | 75-89 ans | 4,7 |
14,3 | 60-74 ans | 15,6 |
39,7 | 45-59 ans | 28,1 |
9,5 | 30-44 ans | 9,4 |
14,3 | 15-29 ans | 20,3 |
19,0 | 0-14 ans | 20,3 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,1 | 90 ou + | 2,5 |
9 | 75-89 ans | 11,7 |
19,1 | 60-74 ans | 19,7 |
21 | 45-59 ans | 20,2 |
16,8 | 30-44 ans | 16,4 |
15,3 | 15-29 ans | 13,3 |
17,8 | 0-14 ans | 16,2 |
Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Épiais selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[59] :
total | % com (% dep[60]) | 0 salarié | 1 à 9 salarié(s) | 10 à 19 salariés | 20 à 49 salariés | 50 salariés ou plus | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Ensemble | 9 | 100,0 (100) | 5 | 4 | 0 | 0 | 0 |
Agriculture, sylviculture et pêche | 4 | 44,4 (11,8) | 1 | 3 | 0 | 0 | 0 |
Industrie | 0 | 0,0 (6,5) | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Construction | 1 | 11,1 (10,3) | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 |
Commerce, transports, services divers | 3 | 33,3 (57,9) | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 |
dont commerce et réparation automobile | 2 | 22,2 (17,5) | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 1 | 11,1 (13,5) | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Champ : ensemble des activités. |
Le secteur agricole est important puisqu'il représente 44,4 % du nombre d'entreprises de la commune (4 sur 9), contre 11,8 % au niveau départemental. Sur les 9 entreprises implantées à Épiais en 2016, 5 ne font appel à aucun salarié et 4 comptent 1 à 9 salariés.
Au , la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également[61].
En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[62]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[63]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 6 en 1988 à 3 en 2000 puis à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 82 ha en 1988 à 101 ha en 2010[62]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles d'Épiais, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[62] | |||
Nombre d'exploitations (u) | 6 | 3 | 2 |
Travail (UTA) | 9 | 4 | 3 |
Surface agricole utilisée (ha) | 491 | 253 | 201 |
Cultures[64] | |||
Terres labourables (ha) | 490 | 252 | s |
Céréales (ha) | 377 | 171 | s |
dont blé tendre (ha) | 205 | 108 | s |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 38 | s | s |
Tournesol (ha) | 47 | s | s |
Colza et navette (ha) | 61 | 30 | s |
Élevage[62] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 6]) | 47 | 5 | 0 |
.
Le territoire de la commune est intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : le vin Val-de-loire[65], les volailles de l’Orléanais[66] et les volailles du Maine[67],[68].
![]() |
Les armoiries d'Épiais se blasonnent ainsi :
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