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Villers-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 2 543 habitants[Note 1].

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Villers-sur-Mer

L'avenue de la République.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Cœur Côte Fleurie
Maire
Mandat
Thierry Granturco
2020-2026
Code postal 14640
Code commune 14754
Démographie
Gentilé Villersois
Population
municipale
2 543 hab. (2019 )
Densité 283 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 14″ nord, 0° 00′ 23″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 136 m
Superficie 8,99 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Trouville-sur-Mer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-l'Évêque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Villers-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Villers-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Villers-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Villers-sur-Mer
Liens
Site web mairie.villers.fr

    Géographie


    Représentations cartographiques de la commune
    Mairie
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    La commune est située sur le littoral de la Manche, sur la Côte Fleurie, entre Deauville et Houlgate, à environ 45 km de Caen, 70 km du Havre, 100 km de Rouen, 200 km de Paris.

    Méridien de Greenwich.
    Méridien de Greenwich.

    Villers-sur-Mer est également la commune française la plus septentrionale traversée par le méridien de Greenwich. Ce dernier est matérialisé sur la promenade du front de mer, entre la rue du Commandant-Franchetti et la rue de la Rosière, par une marque bleue au sol et sur le parapet. Cette marque est néanmoins décalée de 32 mètres vers l'ouest par rapport au méridien.

    Les communes limitrophes sont Blonville-sur-Mer, Saint-Pierre-Azif, Saint-Vaast-en-Auge, Gonneville-sur-Mer et Auberville.


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 755 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et qui se trouve à km[7],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[8] à 10,7 °C pour 1981-2010[9], puis à 11 °C pour 1991-2020[10].


    Urbanisme



    Typologie


    Villers-sur-Mer est une commune rurale[Note 6],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[14] et 36 564 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Trouville-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,6 %), zones urbanisées (31,3 %), terres arables (10,3 %), forêts (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].


    Toponymie


    Le nom de la localité est attesté sous les formes Villaris en 1282[24],[25].

    L'appellatif toponymique Villers est issu du gallo-roman villare, issu lui-même du latin villa rustica, « domaine rural ».
    Le locatif sur-Mer est présent dès 1801[26], mais absent sur la carte de Cassini (1758)[27].

    Le gentilé est Villersois.


    Histoire


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    L’occupation humaine du site de Villers est attestée par les archéologues depuis le premier siècle avant Jesus Christ puisque lors de la construction de nombreuses villas, au dix neuvième siècle, il a été trouvé des poteries datant de cette époque.

    Ces poteries démontrent l’existence sur le site de Villers, au bord du Marais et en contrebas des collines, d’une « industrie ayant en partie pour base l’argile » en rapport avec « l’extraction de sel marin » qui s’est perpétuée jusqu’au XIXe siècle : la méthode consistant à laver les sables salés puis à porter à ébullition les eaux de lavage pour en extraire le sel après séchage.

    Le nom du lieu-dit « les Salines » en témoigne.

    (Voir les annales de Normandie, 1964, « une station de la tène finale à Villers sur Mer » Robert Caillaud, Edouard Lagnel p. 83-102) https://www.persee.fr/doc/annor_0003-4134_1964_num_14_2_6716

    L’occupation a perduré à l’époque romaine : il existait d’ailleurs une voie romaine succédant à une voie gauloise (lieu-dit la « Vé Maine) dans le même quartier où ont été trouvées les poteries gauloises.

    (Voir les Annales de Normandie, 1975, « Introduction a une étude de l’époque gallo-romaine en Basse-Normandie » Dominique Bertin p. 67-74) https://www.persee.fr/doc/annor_0003-4134_1975_num_25_2_6321

    Il semble que Villers-sur-Mer (alors appelée Villers) présentait plutôt l'aspect, au début du XIXe siècle, d'une agglomération de hameaux[28]. On pouvait ainsi constater sur le cadastre le château avec son manoir et, parsemées, diverses fermes. La carte de Cassini, datant du XVIIIe, fait en effet apparaître une église, deux fermes (la Motte et la Fontaine) et le château[27].

    La station balnéaire de Villers-sur-Mer aurait été créée en 1856 après celle de Trouville-sur-Mer (1825), Beuzeval (1849-1850), Cabourg (1853), Houlgate (1854), Deauville n'ayant été créée qu'en 1859. L'endroit aurait été apprécié dans les années 1840 par certains artistes (Paul Huet, Constant Troyon, Alphonse Karr). La station est fondée par Félix Pigeory, architecte à Paris, créateur et rédacteur de la Revue des Beaux-Arts, et par Pierre-Michel-François Chevalier dit Pitre-Chevalier, succédant à la direction du journal Le Figaro à Alphonse Karr qui l'aurait donc initié aux charmes de Villers-sur-Mer.

    Publicité pour Villers-sur-Mer en 1910.
    Publicité pour Villers-sur-Mer en 1910.
    Vestige d'un établissement municipal de bains chauds, rue Michel-d'Ornano.
    Vestige d'un établissement municipal de bains chauds, rue Michel-d'Ornano.

    La station se serait d'abord développée vers le secteur des falaises des Vaches noires qui offre à la fois les avantages de la mer et de la campagne (Villers à l'est était marquée par des terrains marécageux). À la fin des années 1850, la station possédait une cinquantaine de constructions et un casino (d'abord en bois sur pilotis puis en dur face à la mer). Entre 1870 et 1900, la station se développe, sans doute grâce à l'arrivée du train en 1882, avec l'installation d'un second casino, la construction de nombreuses villas dans le quartier historique des falaises puis vers les terrains marécageux de l'est qui se développeront principalement autour de 1900. En 1883, la station comporte plus de 190 constructions, l'hôtel de ville étant érigé en 1887. Villers-sur-Mer est alors une station familiale réputée. Le Villers-sur-Mer des Villersois se développe également dans le centre-ville et dans les rues plus marginales à l'époque (rues Fanneau, Sandret, Forin).

    Dans l'entre-deux-guerres, Villers-sur-Mer se développe toujours vers l'est. Dans les années 1930, la station fera l'objet d'un plan d'embellissement alors obligatoire pour les stations balnéaires, avec notamment la construction d'une nouvelle digue en 1934 et d'un nouveau quartier (rue du Docteur-Sicard entre le rond-point des Tennis et le rond-point du Plein-Air).

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, Villers-sur-Mer est occupée par l'armée allemande, ainsi qu'en atteste la présence de plusieurs blockhaus sur le territoire de la commune (quartier des falaises et de l'actuel Villers 2000). Villers-sur-Mer est libérée le par la brigade belge du général Jean-Baptiste Piron.

    À partir des années 1950, les nouveaux quartiers de l'est se développent, après la récession qui suit la fin de la Seconde Guerre mondiale et le début de ce que l'on appelle les « Trente Glorieuses ».

    À partir des années 1970, Villers-sur-Mer accentue le développement du tourisme avec la création de Villers 2000, sa nouvelle digue (sur les anciens terrains marécageux et les anciennes dunes de sable) et la construction de nombreux lotissements (vers le quartier de la Gare et le château de San Carlo). Ce développement continue encore aujourd'hui plus en hauteur vers la route de Dives.


    Politique et administration


    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1971[29] 1989 André Salesse SE  
    1989[29] juin 1995 Julien Perdrisot SE  
    juin 1995[29] mars 2014 Gérard Vauclin SE Administrateur de biens
    mars 2014[30] juillet 2020 Jean-Paul Durand SE Médecin généraliste
    juillet 2020[31] En cours Thierry Granturco SE Avocat
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres, dont le maire et cinq adjoints[31].


    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2019, la commune comptait 2 543 habitants[Note 8], en diminution de 6,54 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %). La population résidente varie selon la saison. Durant la saison touristique, elle dépasse les 20 000 personnes.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    186428417479457456435385379
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4074789899691 1241 4691 5201 3421 408
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4111 3941 4321 4421 5601 5231 4681 7611 656
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 6081 6691 7691 8532 0192 3182 5662 5412 707
    2014 2019 - - - - - - -
    2 7392 543-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie et tourisme


    Depuis , Villers-sur-Mer bénéficie de la dénomination commune touristique[35].


    Médias


    Journaux disparus, localisés à Villers-sur-Mer[36] :


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Activité, labels et manifestations



    Associations et activités culturelles

    Villers-sur-Mer accueille un nombre relativement important d'associations loi de 1901 et a ouvert pour elles, en 2010, Le Villare, espace associatif et culturel, près de l'église. Parmi les associations particulièrement actives figure notamment l'Association paléontologique de Villers-sur-Mer[43] qui depuis 1979, offre un programme d'activités aux amateurs de fossiles et dispose de bons contacts avec les milieux scientifiques. Elle organise des excursions dans la région, des voyages d'études en France et à l'étranger et organise des conférences, dont trois par an qui sont destinées au grand public (juillet/août). Depuis 1995, elle publie une revue annuelle, L'Écho des Falaises, consacrée à des sujets relatifs à la paléontologie en Normandie (ISSN.1253-6946).

    En a eu lieu l'ouverture d'un espace culturel, « Paléospace, l'Odyssée », qui aborde différents thèmes : la paléontologie (via la falaise des Vaches Noires), les cycles du Marais de Villers-sur-Mer et le méridien de Greenwich.


    Labels

    La commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[44].


    Manifestations

    Festival Sable Show 2014.
    Festival Sable Show 2014.
    Festival des Nouveaux Talents 2014.
    Festival des Nouveaux Talents 2014.
    La villa du Hameau Fleuri.
    La villa du Hameau Fleuri.
    Villers Games 2017.
    Villers Games 2017.

    Jumelages


    Sports


    Personnalités liées à la commune



    Villers-sur-Mer dans les arts


    Villas à Villers-sur-Mer,Gustave Caillebotte, 1880,collection privée, vente 2011.
    Villas à Villers-sur-Mer,
    Gustave Caillebotte, 1880,
    collection privée, vente 2011.

    La dernière scène du film Les Quatre Cents Coups de François Truffaut a été tournée en 1959 sur la plage de Villers-sur-Mer (dernier tronçon de la rue Alfred-Feine).

    Le film Les Misérables (1995) de Claude Lelouch a en partie été tourné à Villers-sur-Mer.

    L'action du roman Les refuges de Jérôme Loubry se déroule en grande partie à Villers-sur-Mer.


    Héraldique


    Blason
    Taillé : au premier d'or au drakkar d'azur, la voile chargée de deux léopards d'argent passant l'un sur l'autre, au second de sinople à la coquille d'escargot d'argent ; à l'étoile de huit rais taillée d'azur et d'argent brochant en chef sur la partition [62].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi



    Notes et références



    Notes


    1. Population municipale 2019.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Villers-sur-Mer et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    9. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Unité urbaine 2020 de Dives-sur-Mer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 367.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. « Carte de Cassini » sur Géoportail..
    28. Les développements qui suivent sont issus essentiellement de l'excellent travail de Carmen Popescu, architecte du patrimoine, dont la note de travail a été publiée dans le numéro 91 d'avril 2005 de La lettre de Villers. Une présentation détaillée figure également sur le site internet de la commune de Villers-sur-Mer.
    29. « https://www.ouest-france.fr/le-maire-gerard-vauclin-ne-se-represente-pas-en-mars-1660381 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. « Jean-Paul Durand est le nouveau maire de la commune », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
    31. « Municipales à Villers-sur-Mer. Thierry Granturco devient le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    35. « Recueil des actes administratifs du Calvados n° 8/2009, page 304, » [PDF] (consulté le ).
    36. Jean Quellien et Christophe Mauboussin, Journaux de 1786 à 1944, l'aventure de la presse écrite en Basse-Normandie, Cahiers du Temps, 1998. (ISBN 2911855132)
    37. « Église Saint-Martin », notice no PA14000063, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Verrière », notice no PM14001190, base Palissy, ministère français de la Culture.
    39. « Tableau : Saint Joseph père nourricier du Christ », notice no PM14001332, base Palissy, ministère français de la Culture.
    40. Notice no PA14000030, base Mérimée, ministère français de la Culture
    41. Worldfairs, Vestiges de l'exposition universelle de 1867, https://www.worldfairs.info/forum/viewtopic.php?f=38&t=459.
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    Bibliographie



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    [de] Villers-sur-Mer

    Villers-sur-Mer ist eine französische Gemeinde des Départements Calvados in der Region Normandie. Administrativ ist sie dem Kanton Pont-l’Évêque und dem Arrondissement Lisieux zugeteilt.

    [en] Villers-sur-Mer

    Villers-sur-Mer (French pronunciation: [vilɛʁ syʁ mɛʁ] (listen)) is a commune in the Calvados department in Normandy, northwestern France, with a population of 2,644 as of 2017.[3]

    [es] Villers-sur-Mer

    Villers-sur-Mer es una población y comuna francesa, situada en la región de Baja Normandía, departamento de Calvados, en el distrito de Lisieux y cantón de Trouville-sur-Mer.
    - [fr] Villers-sur-Mer

    [it] Villers-sur-Mer

    Villers-sur-Mer è un comune francese di 2.750 abitanti situato nel dipartimento del Calvados nella regione della Normandia.

    [ru] Виллер-сюр-Мер

    Вилле́р-сюр-Мер (фр. Villers-sur-Mer) — коммуна во Франции, находится в регионе Нижняя Нормандия. Департамент коммуны — Кальвадос. Входит в состав кантона Трувиль-сюр-Мер. Округ коммуны — Лизьё.



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