Cabourg est une commune française située dans le département du Calvados, région Normandie. Ville de villégiature de Marcel Proust qui aimait résider dans « son » Grand Hôtel, la commune est une importante station balnéaire au bord de la Manche et a été un lieu de rendez-vous de la grande bourgeoisie européenne, principalement française, anglaise, belge, suisse et russe durant la Belle Époque et l'entre-deux-guerres. Son front de mer se couvre d'hôtels dans les années 1920. Elle est peuplée de 3 558 habitants[Note 1], les Cabourgeais.
Cabourg | |
![]() Le Grand Hôtel. | |
![]() Blason |
![]() Logo |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Lisieux |
Intercommunalité | Communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge |
Maire Mandat |
Tristan Duval 2020-2026 |
Code postal | 14390 |
Code commune | 14117 |
Démographie | |
Gentilé | Cabourgeais |
Population municipale |
3 558 hab. (2019 ![]() |
Densité | 645 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 17′ 21″ nord, 0° 06′ 55″ ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 15 m |
Superficie | 5,52 km2 |
Unité urbaine | Dives-sur-Mer (ville-centre) |
Aire d'attraction | Dives-sur-Mer (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton de Cabourg (bureau centralisateur) |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | cabourg.fr |
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Cabourg est une ville normande située entre Caen et Deauville, elle fait partie de la Côte Fleurie. La ville est située en bord de mer et en bord de la Dives. Elle se situe aux portes du pays d'Auge.
Le , la commune passe de l'arrondissement de Caen à celui de Lisieux[1].
Cabourg est sous l'influence d'un climat océanique. L'été est frais sans fortes chaleurs et l'hiver assez doux. La présence de la mer limite les grands écarts de températures et permet d'avoir des hivers relativement doux sans fortes gelées et des étés frais sans chaleur excessive. Le vent est très fréquent.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,8 | 1,9 | 3,2 | 4,9 | 7,7 | 10,4 | 12,3 | 12,3 | 10,6 | 7,9 | 4,6 | 2,7 | 6,7 |
Température moyenne (°C) | 4,5 | 4,9 | 6,9 | 8,8 | 12 | 14,8 | 17 | 17 | 15,1 | 11,9 | 7,7 | 5,4 | 10,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,3 | 8 | 10,5 | 12,7 | 16,3 | 19,2 | 21,6 | 21,7 | 19,7 | 15,9 | 10,9 | 8,1 | 14,3 |
Précipitations (mm) | 63,5 | 57,6 | 56,3 | 45,6 | 58,4 | 52,3 | 47,7 | 46,5 | 61,4 | 67,7 | 84,9 | 69 | 710,8 |
Cabourg est une commune urbaine[Note 2],[3]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[6] et 36 564 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dives-sur-Mer, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[12],[13].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (73,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (54,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (19,4 %), prairies (18,4 %), eaux maritimes (4,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,3 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Cathburgum en 1066 - 1079[16] ; Cadburgus et Cathburgus en 1077[17] et la forme normande Cadburg en 1082[16] ; Caborc en 1155 ; Cadborc en 1169 ; Caburgus en 1172 ; Cadburgus en 1190 ; Cabourc en 1297 ; Cabourt au XIVe siècle ; Cabbourg en 1554[18].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale dont l'origine précise reste à déterminer. Ernest Nègre explique Cabourg par le nom de femme Hadeburgis pris absolument[16]. Albert Dauzat et Charles Rostaing préfèrent comme la plupart des toponymistes, la juxtaposition de deux appellatifs, à savoir, pour eux, le gaulois cato- « combat » et germanique burg « village »[17] (comprendre « germanique continental »). René Lepelley se contente de reprendre le propos du précédent mais évoque un bas latin burgus[19]. Enfin pour Louis Guinet, il s'agit vraisemblablement d'un nom de lieu basé sur le vieux saxon *burg[20] que François de Beaurepaire considère comme vieil anglais en Normandie, c'est-à-dire burg, burh « bourg »[21]. Il est précédé d'un élément indéterminé, peut-être le celtique cad « combat » ou un nom de personne saxon Cada, car il se rapproche manifestement des noms de lieux britanniques du type Cadbury et Cadborough qui sont aussi d'anciens Cadburg, Cadbuhr[20]. L'hypothèse saxonne est renforcée par l'existence avérée aussi bien par les textes d'époque que par l'archéologie moderne, d'établissements saxons aux IVe-Ve – VIe siècles dans le Bessin et la campagne de Caen, ainsi que par l'existence de plusieurs lieux-dits Cabourg, Cabourt, Cabour en Normandie[20], mais pas ailleurs. Selon François de Beaurepaire, les types toponymiques en -bourg auraient pu se diffuser postérieurement, lors de l'arrivée de colons anglo-scandinaves au Xe siècle (cf. Cherbourg ou Wambourg).
Remarque : La suggestion d'Ernest Nègre reste la moins forte, autant d'un point de vue phonétique (on voit mal en effet comment Hadeburg- serait devenu Cathburg- / Cadburg-, avec passage de [h] à [c] inexplicable en Normandie) que d'un point de vue structurel (les anthroponymes, notamment féminins, employés absolument sont extrêmement rares dans la toponymie normande, en particulier ceux d'une époque aussi reculée).
En 1793, on recense à Cabourg seulement 165 habitants[22]. Le village se développe alors principalement à proximité de la Dives, au nord de la confluence avec la Divette. L'habitat s'organise autour de deux axes : l'un parallèle au fleuve et l'autre au sud de la route de Caen à Dives, l'église se trouvant légèrement isolée au sud-ouest[23]. Les dunes au nord de la commune ne sont pas peuplées[24]. Au XIXe siècle, la population augmente régulièrement jusqu'à atteindre 718 habitants en 1866.
Henri Durand-Morimbau (père d'Henri des Houx), homme d’affaires et avocat parisien, décide dans les années 1850 de créer une station balnéaire à proximité du petit village de pêcheurs. Pour ce faire, il fonde une Société thermale. Doté d'un capital de 12 millions de francs par actions au porteur, de 500 francs chacune, l'organisme achète les terrains riverains de la mer constitués de dunes et d'herbages. On confie à l'architecte Robinet, le soin de tracer un plan d'urbanisme[25]. Celui-ci choisit un plan radio-concentrique rappelant celui des théâtres gréco-romains : les avenues convergent vers une place centrale sur laquelle est érigée un casino composant la scène. La première pierre du casino, en réalité construit en bois, est solennellement posée le et des centaines d’arbres sont plantés le long des avenues nouvellement tracées. La nouvelle station balnéaire est alors inaugurée, sous le nom de Cabourg-les-Bains[26]. Mais les ressources financières viennent rapidement à manquer et la station souffre de son absence de desserte par les chemins de fer.
En 1861, un grand hôtel est construit en bordure du rivage. Il est détruit puis reconstruit en 1907 par les architectes Virault et Mauclerc. Le casino en bois est remplacé en 1867 par un nouveau bâtiment en pierre plus fonctionnel.
En 1879, une ligne de chemin de fer est ouverte entre la gare de Dives-Cabourg et celle de Mézidon, permettant ainsi des liaisons depuis Paris ; elle est prolongée jusqu'à Trouville-Deauville en 1882-1884. En 1881, une ligne entre Caen et Dozulé-Putot s'embranche sur la ligne Mézidon - Dives, améliorant ainsi la liaison entre la station balnéaire et la préfecture. En 1891 - 1892, la première ligne des chemins de fer du Calvados est ouverte entre Caen et Dives ; trois haltes sont prévues sur le territoire communal : Bas-Cabourg, Cabourg Pépinière, Cabourg (au bout de l'avenue de la Mer).
Après une légère baisse démographique dans les années 1870, la population cabourgeaise s'accroît rapidement quand le village devient une cité balnéaire à la mode. De 1881 à 1936, la population double (de 1 014 à 2 095 habitants), avant d'atteindre son maximum en 1946 avec 3 479 habitants recensés. De nombreux équipements sont construits pour faire face à l'essor de la station :
Après un fort déclin démographique dans les années 1950, la population repart à la hausse dans les années 1970 en raison de la politique de relance touristique et de promotion immobilière de Bruno Coquatrix élu maire en 1971 ; en 1999, le nombre d'habitants dépasse son seuil historique de 1946.
Le slogan de la ville est « La plage des romantiques »[réf. nécessaire].
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Les armes de la commune de Cabourg se blasonnent ainsi : Parti : au premier de gueules au bateau de sable habillé d'argent et flammé de tricolore voguant de face sur une mer d'azur, au second à l'estuaire de la Dives au naturel, formé d'un littoral d'or mouvant du flanc senestre et de la pointe, parcouru d'un fleuve sinueux d'azur mouvant de senestre et se jetant en chef dans une mer aussi d'azur ; le tout sommé d'un chef d'azur chargé d'un poisson d'argent[27].
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Le logo de la commune est reproduit ci-contre.
La ville est dotée d'un supermarché.
Dans l'artère de Cabourg, l'avenue de la Mer, il y a de nombreuses boutiques-souvenirs.
De nombreux restaurants sont implantés dans la ville.
Tous les ans, a lieu, sur la plage et la promenade Marcel-Proust, le Festival du film romantique.
Depuis , Cabourg bénéficie de la dénomination commune touristique[28]. La ville dispose d'un office de tourisme.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1800 | 1803 | Antoine Poret | Curé | |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1803 | 1829 | Jean-Guillaume Lesieur | Cultivateur | |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
? | novembre 1846 (démission) |
Charles Cléret | Propriétaire herbager | |
décembre 1846 | ? | Edmond Blochon | Propriétaire | |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1855 | 1868 | Adolphe d'Ennery | Dramaturge | |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1882 | 1884 | Victor Robinet | ||
1884 | janvier 1886[29] (révocation) |
Joseph Pégat | ||
février 1886 | mai 1896 | Edmond Loutrel | Entrepreneur de constructions | |
mai 1896 | janvier 1927 (décès) |
Charles Bertrand | Propriétaire Chevalier de la Légion d'honneur (1926) | |
1927 | 1932 | Henri-Antoine de Tulle | Comte de Villefranche | |
1932 | ? | Joseph Tribouillard | ||
1934 | ? | Henri Lacan | ||
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1946 | mars 1965 | André Thiers (1890-1973) | Maître des requêtes au Conseil d'État | |
mars 1965 | mars 1971 | Marie-Paul Manalt | Propriétaire d'hôtel | |
mars 1971 | avril 1979 (décès) |
Bruno Coquatrix | SE | Directeur de l'Olympia |
avril 1979 | mars 1989 | Michel Moles | MRG | Conseiller financier |
mars 1989 | juin 1995 | Didier Van Themsche | DVD | Éleveur de chevaux de course |
juin 1995 | avril 2004 (démission) |
Jacques Porcq[30] | RPR puis UMP | Médecin, maire honoraire Conseiller régional de Basse-Normandie (2002 → ?) Président de la CC de l'Estuaire de la Dives (2004 → 2008) |
avril 2004 | avril 2014 | Jean-Paul Henriet | UMP | Médecin Chevalier de la Légion d'honneur (2017) |
avril 2014[31] | mars 2015[32] | Tristan Duval | DVD[33] | Producteur de spectacles |
mai 2015[34] | En cours | Tristan Duval | DVD | Producteur de spectacles |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2019, la commune comptait 3 558 habitants[Note 4], en diminution de 4,07 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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165 | 227 | 245 | 224 | 276 | 323 | 321 | 345 | 375 |
1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
563 | 718 | 701 | 694 | 1 014 | 1 099 | 1 125 | 1 365 | 1 644 |
1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 852 | 1 957 | 1 897 | 2 011 | 2 036 | 2 095 | 3 479 | 3 102 | 3 022 |
1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 067 | 3 308 | 3 238 | 3 355 | 3 520 | 3 965 | 4 027 | 3 712 | 3 650 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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3 558 | - | - | - | - | - | - | - | - |
Selon le ministère de la Culture, le casino et le Grand-Hôtel constituent « l'un des ensembles balnéaires les plus cohérents et les mieux conservés de la Belle Époque »[39].
Cabourg, comme sa voisine Deauville et d'autres villes proches du littoral de Normandie situées à proximité de Paris, présente beaucoup de superbes habitations privées. Ainsi, sur les grandes artères de la ville (l'avenue de la Mer par exemple), ou dans les plus petites ruelles, on peut admirer de très belles, et souvent très grandes, demeures ou villas.
Le centre-ville est équipé en caméras de vidéo-surveillance.
Ville | Pays | Période | ||
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![]() | Atlantic City[41] | ![]() | États-Unis | |
![]() | Bad Homburg vor der Höhe[41] | ![]() | Allemagne | depuis |
Bromont[41],[42] | ![]() | Canada | depuis | |
![]() | Coire[41] | ![]() | Suisse | depuis |
![]() | Jurmala[41] | ![]() | Lettonie | depuis |
![]() | Mayrhofen[41] | ![]() | Autriche | depuis |
![]() | Mondorf-les-Bains[41] | ![]() | Luxembourg | depuis |
Oussouye[41] | ![]() | Sénégal | ||
Salcombe[41] | ![]() | Royaume-Uni | depuis | |
![]() | Spa[41] | ![]() | Belgique | depuis |
Terracine[41] | ![]() | Italie | depuis |
Dans la ville sont implantés plusieurs équipements sportifs :
Des loueurs de vélo permettent aussi d’effectuer des randonnées sur la côte et dans les marais.
Cabourg a servi de modèle à Marcel Proust pour la station balnéaire de Balbec, qui sert de cadre à une partie de À l'ombre des jeunes filles en fleurs, deuxième roman de À la recherche du temps perdu[43]. L'écrivain a résidé plusieurs années au Grand-Hôtel, de 1907 à 1914[44].
Depuis 2001, le Cercle littéraire proustien de Cabourg-Balbec décerne tous les deux ans le prix de la Madeleine d'or à une œuvre en français permettant la promotion ou l'étude de l'œuvre de Marcel Proust.
En 1989, Cabourg gagne la finale du jeu télévisé Intervilles face à Troyes[45].
La commune est classée « quatre fleurs » au Concours des villes et villages fleuris et grand prix national du fleurissement. Elle fait partie des sept villes à avoir eu la « fleur d'or » au millésime 2013.
En 2011, la commune a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[46].
Les Coques de Cabourg sont une spécialité chocolatière (appellation réglementaire : bonbons de chocolats fourrés pralinés) approuvée par la ville de Cabourg depuis 2017. Inspirées des coquillages appelés communément « coques » et scientifiquement « Cerastoderma edule » qui se ramassent sur les plages normandes, les Coques de Cabourg existent en trois saveurs, fleur de sel, caramel, et teurgoule, une spécialité normande de riz-au-lait à la cannelle cuite au four[47].