Vidauban est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, sur les bords de l'Argens. Elle connaît une croissance démographique rapide: 8 546 habitants en 2005, 11 667 habitants en 2019[1].
Vidauban
Église Saint-Jean-Baptiste.
Héraldique
Administration
Pays
France
Région
Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département
Var
Arrondissement
Draguignan
Intercommunalité
Dracénie Provence Verdon agglomération
Maire Mandat
Claude Pianetti (LR) 2020-2026
Code postal
83550
Code commune
83148
Démographie
Gentilé
Vidaubannais
Population municipale
12 616 hab. (2019 )
Densité
171 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 25′ 34″ nord, 6° 25′ 57″ est
Altitude
Min. 29 m Max. 324 m
Superficie
73,93 km2
Type
Commune urbaine
Unité urbaine
Vidauban (ville isolée)
Aire d'attraction
Vidauban (commune-centre)
Élections
Départementales
Canton de Vidauban (bureau centralisateur)
Législatives
Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Vidauban
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Vidauban
Géolocalisation sur la carte: Var
Vidauban
Géolocalisation sur la carte: Provence-Alpes-Côte d'Azur
Vidauban
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Géographie
Localisation
Vidauban est située à l'extrémité nord de la plaine des Maures, à la fois dans la partie orientale du massif des Maures et dans la moyenne vallée de l'Argens.
Elle est distante de 6 km de Les Arcs, 11 de Le Luc et 18 de Draguignan[2].
Géologie et relief
Son territoire couvre 7 393 hectares. Plus de 4 000ha se composent de forêts et plus de 1 100ha sont à vocation agricole.
Les nombreux domaines viticoles qui s’adonnent à la culture de la vigne produisent un vin de qualité reconnue, d’appellation «A.O.C» (la majeure partie) ou «vin de pays».
Sismicité
La commune se trouve en zone de sismicité 2 «faible» [3],[4].
Climat
Selon la classification de Köppen et Geiger le climat est classé de type Csa[5].
C'est une commune viticole, traversée par la RN 7 (devenue départementale N 7) et l'autoroute A8. Ces deux voies routières majeures du département délimitent assez nettement le nord (pins d'Alep, chênes, peupliers) et le sud (pins parasols, bruyères et grès rosés) de cette commune traversée par l'Argens.
Le a été mise en service la déviation de la départementale N 7 à Vidauban. Cette voie de contournement d'environ 3 km, dont la maîtrise d'ouvrage a été confiée au conseil général du Var, a nécessité 200 000 m3 de terrassement, cinq bassins de traitement des eaux, deux carrefours giratoires, cinq passages supérieurs et un inférieur. Elle diminue désormais les importantes difficultés de circulation liées aux lourds trafics en transit dans l'agglomération.
Transports en commun
Gare de Vidauban.
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
La commune est desservie par les réseaux de lignes régulières Varlib et Tedbus[6].
Lignes SNCF
Vidauban est desservie par la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille, avec un arrêt en gare de Vidauban.
Autres gares SNCF: Gare de Nice-Ville et Gare de Toulon.
Hydrographie et les eaux souterraines
Cascades de l'Aille, dans la Réserve naturelle nationale de la plaine des Maures.
La commune est traversée par l'Aille et la Florièye, deux affluents de l'Argens.
vallons de souate, des bertrands, de saint-daumas, de belleïman, de sartouresse, des bugades, du cros d'aillé, de réoulet, de grimaud, du verne, de bozole,
ruisseaux de la condamine[10], Florièye[11], de fenouils[12], du cavalier[13], d'Emponse[14], de règue courte[15], de la rine[16], de la berthe[17], de langastoua[18], de Mouresse[19], de Pedeban[20], de l'Arguillet[21], la blaquière, vallat le marri ruisseau,
ravin du nartassier.
Protection de l'environnement
Station d'épuration Intercom «Taradeau-Vidauban»[22],[23] d'une capacité de 23 694 équivalent-habitants.
Urbanisme
Typologie
Vidauban est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[24],[25],[26].
Elle appartient à l'unité urbaine de Vidauban, une unité urbaine monocommunale[27] de 12 616 habitants en 2019, constituant une ville isolée[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vidauban, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,3% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,7%), cultures permanentes (20,3%), forêts (18,6%), zones urbanisées (9,6%), zones agricoles hétérogènes (8,5%), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2%)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[33].
Toponymie
Attestée sous la forme in castro Vite Albano («la vigne d'Auban») en 1014[34].
L'origine du mot Vidauban est Vitis Alba (vigne blanche), c'est-à-dire la clématite ( vidalbo en occitan) que l'on trouve sur les rives de l’Argens. On trouve aussi, dans d'anciens documents, les appellations de Vicus Albanorum et Castrum de Vidalban. Le nom de Vidauban est d'origine romaine. Quelques ruines, inscriptions et le passage de la Voie romaine en attestent. Cette écriture se retrouve plus précisément sur une carte de 1293 sous la forme Vidalban[35].
Histoire
Antiquité et Moyen Âge
Les enceintes fortifiées, situées sur les hauteurs de Sainte-Brigitte, au fort des Mûres, à Châteauneuf, confirment une présence humaine à l'âge de fer.
Les vestiges de voie romaine ont été dégagés dans le secteur des Blaïs. D'autres permettent de penser que l'antique cité de Forum Voconii devait se situer entre le hameau actuel des Blaïs et le domaine des termes au Cannet des Maures.
Vers la fin du premier millénaire, pour éviter les Sarrasins implantés à la Garde Freinet, les habitants se repliaient alors sur les hauteurs mais temporairement, leur vie s'organisant le long de la route d'Italie bordée d'un dizaine de chapelles. C'est à cette époque que l'existence de Castrum nomine Vite Albano apparaît dans les chartes[36]. C'était une possession de la famille princière des comtes de Marseille.
Par la suite, le «fief très noble de Vidalban» apparaît dans diverses transactions, même s’il demeure dans le patrimoine des vicomtes.
Au XIVesiècle le lieu de Vidauban était déjà formé en communauté. Les habitants possédaient une bonne partie des terres cultivables et leurs biens ne devaient pas être soumis à la "tasque" en grains et vins.
En 1390, le fief de Vidauban revient à Raimond de Villeneuve, fils de Giraud, baron des Arcs. Il demeurera dans cette famille pendant plus de 300 ans.
Dans la deuxième partie du XVesiècle, l'histoire de Vidauban est très mal connue. On sait seulement que le terroir a été momentanément déserté par la population, et que l’ancien village, dans le secteur dit «Derrière le château», a été détruit en 1500[37].
XVIe au XIXesiècle
En 1511, un «acte d’habitation» est signé entre Louis de Villeneuve et 17 «manants». Le seigneur dispose de ses privilèges (justice, impôts...), mais les habitants peuvent se constituer en communauté; ils peuvent aussi élire des administrateurs qui, pendant leur mandat d’un an, s’occupent des affaires communales et des services publics. Ce contrat régira les rapports entre seigneur et habitants jusqu’à la Révolution de 1789.
Au début du XVIesiècle, le village se déplace en direction de la route d'Italie, autour de l'église actuelle. L'époque des Villeneuves durera jusqu'en 1698, date à laquelle le comte de Vintimille recevra, de messire de Raity, le fief, terre et seigneurie de Vidauban. À cette époque-là, Vidauban compte 146 chefs de familles, 83 maisons habitées et 72 non habitées.
Lors des derniers soubresauts des princes ligueurs le duc d' Epernon fut battu par le duc de Guise, envoyé par Henri IV
En 1707, le village est pillé et brûlé, l’église exceptée, par l’armée de Savoie qui venait de lever le siège de Toulon. De nombreux habitants parviennent à fuir; d’autres, réfugiés dans l’église, y seront massacrés. Le village sera progressivement reconstruit. Une nouvelle invasion aura encore lieu en 1747.
En 1776, Vidauban compte 1 205 habitants. En 1786, l’ancien cimetière, Derrière le Château, est abandonné au profit de celui de l’Aubrède.
C'est ainsi que débutent, le , l'estimation, fixation, évaluation et cotisation de toutes les propriétés, droits et revenus appartenant au seigneur, comte de Vintimille. Le 12 frimaire an II () des lots sont formés et vendus. 1793 est aussi l’année de la destruction du château. Par la suite, l’ancienne place du château deviendra la place de la Mairie.
Lors de la Deuxième République, Vidauban est une commune dont la population est républicaine convaincue: les huit chambrées comptent 560 membres en 1849[38]. Par ailleurs, Cavaignac recueille 170 voix en , Ledru-Rollin 83, et Louis-Napoléon Bonaparte seulement 113[38].
Après le coup d'État du 2 décembre 1851, la commune se soulève dès que la nouvelle de la dissolution de l’Assemblée nationale par Louis-Napoléon Bonaparte est connue. Ainsi, le jeudi , c’est la prise du pouvoir à Vidauban, durant laquelle Les républicains s’emparent de la mairie. Le , les colonnes d’insurgés venant du Luc et de la Garde-Freinet se rallient à Vidauban. Les Vidaubannais se joignent à elles et partent le lendemain, , vers Les Arcs pour la bataille d’Aups[39]. Le , marquera pourtant le début d’une terrible répression, qui laissera une cinquantaine de morts parmi les 6 000 hommes de l’armée républicaine, notamment à Lorgues.
Après la bataille, c’est le 6erégiment d'infanterie qui occupe le village et impose le retour à l’ordre[40]. 288 Vidaubannais sont poursuivis, et 77 condamnés (dont 39 par contumace): avec les deux morts de la commune, on peut estimer à environ 300 au moins le nombre de Vidaubannais ayant participé à la résistance au coup d’État[41].
Avant 1850, on dénombrait beaucoup de fours à poix sur le territoire communal. La plupart produisait de la poix «navale», substance résineuse et collante. À la fin du XIXesiècle, Vidauban est devenue une commune à vocation semi-industrielle, prospère notamment grâce à l’industrie du liège et des bouchons.
Les Templiers et les Hospitaliers
Au XIIIesiècle, Vidauban est sans doute située au sud de la colline de Sainte-Brigitte, dans le secteur dit Derrière le Château. En 1220, Bertrand et Jourdan de Vidauban donnent des biens à l’ordre du Temple, lesquels formeront plus tard la commanderie d’Astros, dépendant de la commanderie du Ruou[42].
La Révolution atteint Vidauban en 1790, avec l'application d'un décret de l'Assemblée Nationale demandant le recensement des "Biens Nationaux", autrement dit des biens des nobles, du clergé et, à Vidauban, de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. En effet, les Hospitaliers avaient pris possession du domaine d’Astros, à la suite de la dissolution de l’ordre des Templiers par Philippe le Bel en 1308.
XXesiècle
Lors de la Première Guerre mondiale, la commune met à la disposition de la 15erégion militaire l’établissement numéro 12, pour l’assistance aux convalescents militaires (ACM). Cette structure dispose de 20 lits pour accueillir les blessés du front.
Le village de Vidauban est occupé pendant la Seconde Guerre mondiale, d'abord par les Italiens, qui s’y installent en 1942, puis par les Allemands en 1943. Pressentant un débarquement imminent en Provence, beaucoup de Vidaubannais sont mobilisés en 1944 pour le travail obligatoire aux défenses du littoral, au Lavandou et à La Londe. Le village est libéré par les troupes américaines le après-midi, à la suite du débarquement de l’opération «Dragoon» qui a eu lieu la veille sur les côtes varoises.
XXIesiècle
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans le Var.
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Entrepreneur de pompes funèbres, ancien maçon Conseiller général du canton du Luc (2011 → 2015) Conseiller départemental du canton de Vidauban (2015 → ) 1er vice-président de la CA dracénoise
Intercommunalité
Vidauban fait partie de la communauté de Dracénie Provence Verdon agglomération (ex-Communauté d'Agglomération Dracénoise) qui regroupe vingt-trois communes du département du Var, dont Draguignan[47] de 110 019 habitants en 2019[48], créée le . Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2019 sont (par ordre alphabétique):
Ampus; Bargemon; Bargème; Callas; Claviers; Comps-sur-Artuby; Flayosc; La Bastide; La Roque-Esclapon; Le Muy; Montferrat; Saint-Antonin-du-Var; Salernes; Sillans-la-Cascade; Vidauban
Urbanisme
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme qui a été approuvé par délibération du conseil municipal du [49],[50].
La commune bénéficiera du schéma de cohérence territoriale (SCOT) de la Dracénie[51] en cours d'instruction.
Budget et fiscalité 2020
Mairie de Vidauban.
En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[52]:
total des produits de fonctionnement: 12 066 000 €, soit 1 005 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 10 586 000 €, soit 881 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 539 000 €, soit 449 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 538 000 €, soit 448 € par habitant;
endettement: 9 019 000 €, soit 751 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 14,62%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 22,05%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 113,92%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00%;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018: Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation: 19 980 €[53].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[54],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 12 616 habitants[Note 4], en augmentation de 15,45% par rapport à 2013 (Var: +4,68%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 320
1 485
1 388
1 476
2 006
1 942
2 088
2 203
2 150
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 296
2 576
2 706
2 880
3 132
2 948
3 003
2 736
2 629
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 650
2 695
3 014
2 752
3 016
3 196
3 062
2 658
2 583
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2 611
2 757
2 930
3 805
5 460
7 311
9 569
10 608
11 545
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
12 616
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
Hôpitaux à Le Luc (12 km), Trans-en-Provence (13 km),
Le Centre hospitalier de la Dracénie se trouve à Draguignan, à 17 km[60],[61]. Il dispose d'équipes médicales dans la plupart des disciplines[62]: pôles médico-technique; santé mentale; cancérologie; gériatrie; femme-mère-enfant; médecine-urgences; interventionnel.
Sports
Vidauban est ville départ de la 2eétape du Tour du Haut-Var 2019.
Profitant de la notoriété grandissante des vins Côtes-de-provence, qui ont accédé au rang d’Appellation d'origine contrôlée en 1977, la viticulture est devenue l’activité principale de la commune de Vidauban.
Elle réunit aujourd'hui cinq châteaux[65], cinq domaines[66], une cave coopérative[67] et la maison du rosé-Pôle et Œnologie de la chambre d'agriculture[68].
Le vin rosé représente 80% des volumes produits.
Les domaines d’Astros sont célèbres pour leur opération «Cueillez les pommes»[69] avec leurs 10 000 pommiers d’une douzaine de variétés différentes, mais aussi par le tournage du "château de ma mère"[70].
Tourisme
Vidauban, placée au cœur du Var, est le point de départ idéal pour découvrir les sites historiques et culturels de la Provence. Sa situation privilégiée, ses paysages et sa végétation en font un cadre agréable, qui n'est éloigné de la côte méditerranéenne que de 25 kilomètres, et de moins de 100 kilomètres des premières stations de ski des Alpes du Sud.
L'ancienne chapelle dédiée à Saint-Julien[101] dans le Château Saint Julien d'Aille. En 1014, l’Abbaye Saint-Victor de Marseille[102], alors propriétaire du domaine, y fit édifier une chapelle[103]. Une bulle papale datant de 1095 sanctifie ces lieux à Saint Julien[104]. Le château Saint Julien d'Aille doit son nom à Saint Julien, centurion romain martyrisé en l'an 304 après J.C. et à l'Aille, petite rivière affluent de l'Argens qui longe le domaine[105];
Georges Cayol, «Vidauban et le coup d’État», p.164-195 de Provence 1851: une insurrection pour la République, Actes des journées de 1997 à Château-Arnoux et de 1998 à Toulon, Association pour le 150eanniversaire de la résistance au coup d’État du , Les Mées, 2000.
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France au Moyen Âge, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978, reprint 1991, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Page 1220: Vidauban
Henri Michel, Une enfance provençale au temps de la première guerre mondiale - Vidauban dans la mémoire d’Henri Michel, Éditions C'est-à-dire, Forcalquier, 2012.
Les sentiers de randonnées & VTT[125] au cœur du domaine du Château St Julien d'Aille, brochure réalisée avec le Conservatoire d'espaces naturels Provence-Alpes-Côte d'Azur[126].
Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«lavoir des Espassiers», notice noIA00064453, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Nicolas Viton de Saint Allais, Nobiliare universel de France, ou recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, (lire en ligne).
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