Bargème est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Bargème | |
Mairie. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur |
Département | Var |
Arrondissement | Draguignan |
Intercommunalité | Dracénie Provence Verdon agglomération (ex Communauté d'agglomération dracénoise) |
Maire Mandat |
Jacques Gérard 2020-2026 |
Code postal | 83840 |
Code commune | 83010 |
Démographie | |
Gentilé | Bargémois |
Population municipale |
225 hab. (2019 ![]() |
Densité | 8,1 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 43′ 51″ nord, 6° 34′ 25″ est |
Altitude | Min. 824 m Max. 1 589 m |
Superficie | 27,95 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Flayosc |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Ses habitants sont appelés les Bargémois[1].
À 1 097 m d'altitude, Bargème est le plus haut village du Var[2].
Après avoir été rattachée à la communauté de communes Artuby Verdon, la commune a rejoint la Communauté d'agglomération dracénoise[3] devenue Dracénie Provence Verdon agglomération.
La commune de Bargème est accessible par la route départementale RD 21, entre Comps-sur-Artuby et La Bastide et La Roque-Esclapon.
Les transports urbains sont gérés par la communauté d'agglomération dracénoise (TED Bus). Les collectivités territoriales ont mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![4].
Les lignes interurbaines :
En dehors du village, la commune compte huit hameaux :
Brenon | La Martre | La Bastide |
Comps-sur-Artuby | ![]() |
La Bastide, La Roque-Esclapon |
Comps-sur-Artuby | Seillans | La Roque-Esclapon |
Bargème fait partie de la communauté de Dracénie Provence Verdon agglomération (ex-Communauté d'Agglomération Dracénoise)[5] de 110 019 habitants en 2019[6], créée le 31 octobre 2000. Les communes composant la communauté d'agglomération en 2019 sont (par ordre alphabétique) :
Bargème est membre du Parc naturel régional du Verdon.
La protection des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique de la commune témoigne de la qualité de l’environnement[7] :
Le périmètre de protection autour de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence a été étendu au territoire des communes de Bargème, Le Bourguet, Châteauvieux, Comps-sur-Artuby, La Martre et Trigance (Var)[8].
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[9] :
Il existe trois zones de sismicité dans le Var :
La commune de Bargème est en zone sismique de faible risque Ib[12].
Bargème est soumis à un climat méditerranéen d'intérieur, classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[13]. Les hivers sont frais (1 °C de moyenne minimale en février), avec des gelées fréquentes (moyenne de 50 jours de température minimale en dessous de 0 °C), avec une influence du mistral et des vents glaciaux venant des Alpes. Tandis que les étés sont très chauds et secs (30 °C de moyenne maximale en juillet et août), avec souvent des orages. La température moyenne varie entre 5,7 °C en janvier et 22,1 °C en juillet, avec 13,2 °C de température moyenne annuelle.
La moyenne annuelle des précipitations est de 800 mm/m2[14].
Bargème n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Draguignan[15].
Ville | Ensoleillement![]() |
Pluie![]() | Neige![]() | Orage![]() | Brouillard![]() |
---|---|---|---|---|---|
Médiane nationale | 1 852 | 835 | 16 | 25 | 50 |
Draguignan | 2561 | 734 | 1 | 29 | 1 |
Paris | 1 662 | 637 | 12 | 17 | 8 |
Nice | 2 724 | 733 | 1 | 27 | 1 |
Strasbourg | 1 693 | 665 | 26 | 28 | 51 |
Brest | 1 530 | 1 210 | 7 | 12 | 76 |
Bordeaux | 2 035 | 944 | 3 | 31 | 69 |
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 5,2 | 5,7 | 6,9 | 9,8 | 13,4 | 16,9 | 22,4 | 22,1 | 17,4 | 9,6 | 8,3 | 5,5 | 11,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,6 | 13 | 14,1 | 15,4 | 19,6 | 24,1 | 28,1 | 28,7 | 24,9 | 15,2 | 14,8 | 11,9 | 18,8 |
Record de froid (°C) | −11,8 | −8,8 | −6,3 | 5,1 | 6,2 | 9,3 | 14,5 | 16,1 | 4,7 | 3,8 | −1,2 | −9,6 | −9,5 |
Record de chaleur (°C) | 21,6 | 23,8 | 25,5 | 26,1 | 29,7 | 37,6 | 38,9 | 39,4 | 33,4 | 24,9 | 21,3 | 20,7 | 35,4 |
Précipitations (mm) | 89,9 | 66,2 | 70,8 | 69 | 52,3 | 32,7 | 20,5 | 28,9 | 70,1 | 101,2 | 98,1 | 88,4 | 834,7 |
Bargème est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,8 %), prairies (7,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,5 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
La mention du nom la plus ancienne, Bergemulu, semble venir de la composition de deux racines anciennes d'origine indo-européenne.
Ces racines se retrouvent dans plusieurs langues de peuples pouvant avoir donné le nom du lieu. Il est donc difficile de dire la langue d'origine. Par exemple celtique : *berg-o + *mello; ou grec ancien : *byrgos/pyrgos + molos.
Mais le sens devait être « grosse bosse de terrain fortifiable, ou fortifiée ». Ce nom désignait donc probablement la forme du promontoire où est le château actuel et où une première installation défensive importante a pu être installée. Donc soit à l'époque des Celtes (siècles aux environs de l'an -1000), soit à l'époque des Grecs venus s'installer autour de Nice vers l'an -600.
Selon une autre hypothèse[23], le nom de Bargème serait identique à celui du mons Berigiema, dans la région de Gênes, mentionné dans une inscription latine de l'an 117 avant notre ère, et où l'on reconnaît un composé indo-européen (ligure ou celtique) signifiant littéralement « porte-neige », allusion à sa position géographique.
Bargème s'écrit Bergemulu en 814[24], Bargema en provençal selon la norme classique (attesté depuis 1024) et Bargemo selon la norme mistralienne[25].
Le château est construit au XIIIe siècle par les Pontevès.
La seigneurie de Bargème appartient à la famille de Pontevès depuis 1220, lors du mariage de Douceline de Fouques avec Isnard II d'Agoult[26]. Foulques de Pontevès (?-av.1337), lieutenant du sénéchal (1317), viguier d'Avignon (1333), chevalier, conseiller et chambellan du roi Robert, fut seigneur de Cotignac, de Carcès, de Bargême, etc[27]. Fils de Foulquet II de Pontevès et Marguerite des Porcellets, il épousa de Galburge d'Agoult de Sault[28]. Il fut le père de Jean et de Fouquet V[29].
En 1342, la communauté de Bargème est rattachée à la viguerie de Castellane (actuel département des Alpes-de-Haute-Provence) par le comte de Provence[30].
Pendant les guerres de Religion, le château est occupé par Jean-Baptiste de Pontevès (1505-1579)[31], lieutenant pour le roi en Provence, seigneur du lieu, un vieillard tyrannique n'hésitant pas à s'approprier les biens de ses sujets. En 1578, il est en procès avec les habitants de Callas, et risquait d'avoir un jugement en sa défaveur. Il fit alors appel à son cousin, le chef ligueur Hubert de Garde de Vins, pour se venger. Le bourg de Callas fut pillé par les hommes de Vins, plusieurs habitants ont été rançonnés ou égorgés. Jean-Baptiste de Pontevès et son fils menacèrent d'exterminer la population si le village ne se désistait pas au procès. Un accord fut signé sous cette contrainte par les habitants reconnaissant comme légitimes les spoliations du seigneur.
En avril 1579, les habitants de Callas, aidés par Jacques Sossy, lieutenant d'une compagnie de huguenots, pénétrèrent dans le château grâce à des complices et tuèrent Pierre de Pontevès, firent prisonnier Jean-Baptiste de Pontevès, sa femme et son fils Balthazar. Puis ils assassinèrent le 24 mai Jean-Baptiste de Pontevès. Quelques mois plus tard, deux fils, Joseph et Jean-Baptiste, sont égorgés à Bargème au cours d'un guet-apens. Deux ans plus tard, c'est Balthazar de Pontevès, nouveau seigneur du lieu après la mort de Joseph, qui est assassiné à Bargème. Le petit-fils, Antoine de Pontevès, est tué au cours d'une messe en 1595.
Les biens passent à un fils cadet, Foulques ou Fouquet VII de Pontevès-Bargème[32]. Il a d'abord été accusé d'avoir été l'inspirateur du crime de son neveu et condamné à mort par sentence du grand sénéchal avant d'être absous par le Conseil privé du roi. L'entreprise de démolition du château est commencée pendant ces évènements.
Le , le parlement du Dauphiné a condamné par contumace trois des auteurs au supplice de la roue, d'autres au bannissement et la commune de Callas à perdre tous ses droits et à édifier une chapelle près du château pour y faire célébrer une messe basse tous les jours de l'année et une messe haute avec office des morts à laquelle devaient participer les consuls tous les 24 mai et à payer les frais de reconstruction du château et de ses dépendances.
Le château est resté abandonné tout en continuant à appartenir aux Sabran-Pontevès[33].
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 11 membres (article L2121-2 du code général des collectivités territoriales[34]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Pierre Jassaud a été réélu conseiller municipal avec le sixième total de 105 voix, soit 69,08 % des suffrages exprimés. La participation a été de 89,47 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[35].
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour deux ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à trois journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, la constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour cinq ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1789 | 1792 | Jacques Giraud | Cultivateur | |
1792 | 1793 | François Pélissier | ||
1793 | 1793 | Honoré Astier | Officier de santé | |
1793 | 1797 | François Pélissier | ||
1797 | 1797 | Claude Perraimond | ||
1797 | 1798 | Honoré Magnaud | ||
1798 | 1801 | Antoine Charrier | ||
1801 | 1804 | Joseph-Léger Bérenger | ||
1804 | 1808 | Joseph-Ignace Rebuffel | ||
1808 | 1809 | Jean-Baptiste Pélissier | ||
1809 | 1813 | Joseph-François Pélissier | Propriétaire | |
1813 | 1823 | Joseph-Sébastien Gaymard | Propriétaire | |
1823 | 1830 | Louis-Sébastien Foucou | Propriétaire | |
1830 | 1831 | Jean-François Bernard | Ménager | |
1831 | 1837 | Joseph-Léger Bérenger | Avocat | |
1837 | 1841 | Antoine Ricard | Ménager | |
1841 | 1844 | Jules-Sébastien Gaymard | Propriétaire | |
1844 | 1846 | Joseph-Hippolyte Foucou | Propriétaire | |
1846 | 1848 | Paul Perrimond | Propriétaire | |
1848 | 1870 | Jean-François Bernard | Ménager | |
1870 | 1881 | Auguste-Frédéric Pélissier | Propriétaire | |
1881 | 1884 | Pierre-Joseph Hugues | Tailleur d'habits | |
1884 | 1892 | Joachim Bernard | Propriétaire | |
1892 | ? | Ferdinand Giraud | Propriétaire | |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
mars 1971 | mars 2011 | Pierre Jassaud | ||
avril 2011 | En cours | Jacques Gérard | DVD | Retraité agricole |
Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
---|---|---|---|---|
Taxe d'habitation (TH) | 7,50 % | 0,00 % | 6,15 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) | 5,35 % | 0,00 % | 7,43 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) | 29,00 % | 0,00 % | 23,44 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle (TP) | 11,00 % | 0,00 % | 8,55 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[39]).
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[40] :
Avec les taux de fiscalité suivants :
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 15 490 €[41].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].
En 2019, la commune comptait 225 habitants[Note 2], en augmentation de 22,95 % par rapport à 2013 (Var : +4,68 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
356 | 383 | 347 | 440 | 471 | 434 | 408 | 404 | 407 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
398 | 384 | 360 | 353 | 351 | 334 | 299 | 294 | 275 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
248 | 222 | 212 | 173 | 158 | 124 | 108 | 92 | 55 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
58 | 61 | 77 | 74 | 85 | 115 | 137 | 140 | 180 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
217 | 225 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,4 % la même année, alors qu'il est de 32,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 120 hommes pour 103 femmes, soit un taux de 53,81 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,05 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,0 | 90 ou + | 0,0 |
6,0 | 75-89 ans | 12,0 |
22,2 | 60-74 ans | 23,0 |
29,1 | 45-59 ans | 22,0 |
17,1 | 30-44 ans | 17,0 |
13,7 | 15-29 ans | 9,0 |
12,0 | 0-14 ans | 17,0 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,9 | 90 ou + | 2,3 |
9,6 | 75-89 ans | 12,1 |
19,4 | 60-74 ans | 20,6 |
20,3 | 45-59 ans | 20,2 |
17,2 | 30-44 ans | 16,7 |
15,7 | 15-29 ans | 13,5 |
16,8 | 0-14 ans | 14,6 |
Établissements d'enseignements[48] :
La situation géographique de Bargème, non loin des gorges du Verdon, fait du village l'un des lieux d'hébergement des randonneurs pédestres et équestres. Plusieurs chambres d'hôtes[54] et gîtes ruraux sont proposés aux touristes.
L'élevage ovin et caprin est l'activité principale agricole du village et des hameaux[55],[56].
Patrimoine civil :
Patrimoine religieux :
![]() |
Les armes de Bargème se blasonnent ainsi[73] : |
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