Valros [val.ʁos] est une commune française située dans le sud du département de l'Hérault en région Occitanie.
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Valros | |
![]() Tour médiévale de Valros | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Béziers |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée |
Maire Mandat |
Michel Loup 2020-2026 |
Code postal | 34290 |
Code commune | 34325 |
Démographie | |
Gentilé | Valrossiens |
Population municipale |
1 641 hab. (2019 ![]() |
Densité | 248 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 25′ 16″ nord, 3° 22′ 02″ est |
Altitude | Min. 24 m Max. 99 m |
Superficie | 6,61 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Béziers (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pézenas |
Législatives | Septième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://valros.fr/ |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par divers petits cours d'eau.
Valros est une commune rurale qui compte 1 641 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Béziers. Ses habitants sont appelés les Valrossiens ou Valrossiennes.
Tourbes | ||
Servian | ![]() |
Nézignan-l'Évêque |
Montblanc | Saint-Thibéry |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pezenas-Tourbes », sur la commune de Tourbes, mise en service en 1993[6]et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 631,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 27 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].
Valros est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[I 1],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (82,7 %), zones urbanisées (10,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Valros est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1989, 2014, 2016 et 2019[21],[19].
Valros est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[22].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 750 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 750 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].
Le nom de Valros apparaît pour la première fois dans les textes à la date de 888. Dans la transaction qui fait passer Valros du diocèse d’Agde à celui de Béziers, le village s’y trouve décrit par Servus Dei, évêque de Gérone et héritier des lieux par ses parents[réf. nécessaire].
Attestée sous les formes Valcros en 990[26], puis podium seu gardam de Valrano en 1199, de Valranis en 1247 et 1248, Valranis en 1323, Valras en 1425, Valros en 1643[27].
Le nom en occitan est Valròs [βal.'rɔs].
Aux temps préhistoriques, une civilisation « chasséenne » s’y est développée. Depuis la plus haute antiquité, le pays est peuplé sans discontinuité. Celtes et Grecs ont laissé de nombreux vestiges, témoins de leur passage du côté du Pirou.
Une très importante occupation gallo-romaine s’installe ensuite depuis le Ier siècle av. J.-C. jusqu'aux alentours du Ve siècle apr. J.-C. De récentes fouilles ont mis au jour tout un réseau de « villae », de chemins, d’aqueducs, de cimetières dans le bas du village. Le pays fait ensuite partie de la Septimanie Wisigothique comme l’atteste une nécropole créée alors au lieu de « la Tour » et qui perdurera jusqu'à l’époque carolingienne;
En , Raymond Roger Trencavel, vicomte de Béziers, donne à son vassal, Étienne de Servian, l'autorisation de construire les fortifications de la fortia sur le podium de Valros. Jusqu'en 1247, Valros appartenait à la vicomté de Béziers. Cette dernière était divisée en seigneuries ecclésiastiques et en seigneuries royales dont celle de Valros. En 1362, Valros est intégré au comté de Pézenas créé par le roi Jean II le Bon pour Charles d'Artois. Six ans plus tard, le dit comté est réuni au domaine royal par le roi Charles V.
En , le maréchal de Dampville, gouverneur de la province de Languedoc, prend d'assaut Valros à la suite d'un siège.
Il lui a été décerné le titre de capitale du centre du monde depuis cette date par la confrérie de la Dent d'Oche.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Janvier 1790 | décembre 1790 | François Fabre | ||
Janvier 1791 | décembre 1793 | Bernard Goud | ||
Janvier 1794 | décembre 1804 | Jean Abbal | ||
Janvier 1805 | décembre 1808 | Jacques Goud | ||
Janvier 1809 | décembre 1817 | Jacques Abbal | ||
Janvier 1818 | décembre 1818 | Louis Fabre | ||
janvier 1819 | octobre 1830 | Marc Goud | ||
octobre 1830 | juillet 1836 | Jacques Abbal | ||
juillet 1836 | juillet 1840 | Jacques Besard | ||
juillet 1840 | décembre 1840 | Joseph Espagnac | ||
décembre 1840 | octobre 1854 | Jean Martel | ||
octobre 1854 | février 1866 | Lubin Martel | ||
février 1866 | octobre 1872 | Isidore Bouyala | ||
octobre 1872 | octobre 1876 | Justin Goud | ||
octobre 1876 | janvier 1878 | Alban Garenq | ||
janvier 1878 | octobre 1883 | Gustave Garenq | ||
octobre 1883 | mai 1888 | Sylvain Rech | ||
mai 1888 | mai 1891 | Louis Fabre | ||
mai 1891 | mai 1892 | Ephrem Dejean | ||
mai 1892 | mars 1896 | Cyprien Laporte | ||
mars 1896 | mai 1896 | Gustave Garenq | ||
mai 1896 | mai 1900 | Marius Counienq | ||
mai 1900 | novembre 1904 | Aristide Routie | ||
novembre 1904 | mai 1907 | Joseph Boudet | ||
mai 1907 | mai 1912 | Alphonse Castan | ||
mai 1912 | décembre 1919 | Eugene Sargues | ||
décembre 1919 | octobre 1926 | Henri Goud | ||
octobre 1926 | octobre 1930 | Irennee Pierre | ||
octobre 1930 | août 1944 | Hilarion Crouzillac | ||
août 1944 | mai 1945 | Emile Amalric | ||
mai 1945 | mai 1953 | Marcel Cambon | ||
mai 1953 | septembre 1973 | Roger Counienq | ||
mars | mars | François Granier | Viticulteur | |
mars | mars | Louis Maffre | Viticulteur | |
mars | mars 2001 | Jocelyn Blanc | Viticulteur | |
mars 2001 | mars 2014 | Roger Delgado | DVG | Professeur de SVT |
mars 2014 | en cours | Michel Loup | DVD | Expert automobile. |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2019, la commune comptait 1 641 habitants[Note 7], en augmentation de 5,87 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
405 | 432 | 470 | 551 | 553 | 525 | 530 | 502 | 556 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
512 | 544 | 534 | 582 | 630 | 609 | 580 | 689 | 794 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
934 | 879 | 868 | 924 | 865 | 861 | 762 | 754 | 701 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
808 | 788 | 761 | 753 | 1 021 | 1 130 | 1 225 | 1 252 | 1 550 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 641 | 1 641 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, la commune compte 742 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 706 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 520 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 6,8 % | 10,8 % | 12,1 % |
Département[I 7] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 925 personnes, parmi lesquelles on compte 80,6 % d'actifs (68,5 % ayant un emploi et 12,1 % de chômeurs) et 19,4 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 229 emplois en 2018, contre 218 en 2013 et 205 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 644, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,9 %[I 10].
Sur ces 644 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 128 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 89,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
103 établissements[Note 10] sont implantés à Valros au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 103 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 6 | 5,8 % | (6,7 %) |
Construction | 26 | 25,2 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 26 | 25,2 % | (28 %) |
Information et communication | 2 | 1,9 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 2,9 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 6 | 5,8 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 15 | 14,6 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 8 | 7,8 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 11 | 10,7 % | (8,1 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,2 % du nombre total d'établissements de la commune (26 sur les 103 entreprises implantées à Valros), contre 28 % au niveau départemental[I 14].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[32] :
La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 115 | 105 | 54 | 30 |
SAU[Note 13] (ha) | 920 | 826 | 451 | 292 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 115 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 105 en 2000 puis à 54 en 2010[35] et enfin à 30 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 74 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[36],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 920 ha en 1988 à 292 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 8 à 10 ha[35].
![]() |
Les armoiries de Valros se blasonnent ainsi : |
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