world.wikisort.org - France

Search / Calendar

Tour-de-Faure est une commune française, située dans le sud du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Cajarc, le plus petit des quatre causses du Quercy, enserré dans les méandres du Lot et du Célé.

Cet article est une ébauche concernant une commune du Lot.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade « Bon début » quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune.
Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.

Tour-de-Faure

Habitations troglodytiques au Port.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cahors
Maire
Mandat
Patrick Teyssédre
2020-2026
Code postal 46330
Code commune 46320
Démographie
Population
municipale
317 hab. (2019 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 28′ 04″ nord, 1° 41′ 40″ est
Altitude Min. 127 m
Max. 375 m
Superficie 8,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Tour-de-Faure
Géolocalisation sur la carte : France
Tour-de-Faure
Géolocalisation sur la carte : Lot
Tour-de-Faure
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Tour-de-Faure

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Célé, le Lot et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « moyenne vallée du Lot inférieure ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Tour-de-Faure est une commune rurale qui compte 317 habitants en 2019. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Tourdefaurois ou Tourdefauroises.


    Géographie


    La commune est située dans la vallée du Lot, à 30 km à l'est de Cahors et au cœur du parc naturel régional des Causses du Quercy. Le Lot sert de limite naturelle avec la commune de Saint-Cirq-Lapopie dont elle s'est distinguée en 1902[1].


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Tour-de-Faure[2]
    Cabrerets Sauliac-sur-Célé
    Bouziès Saint-Martin-Labouval
    Saint-Cirq-Lapopie Crégols Cénevières
    (par un quadripoint)

    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 878 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 39 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].


    Milieux naturels et biodiversité



    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[17]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[18],[19]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[20],[21].


    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.
    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « moyenne vallée du Lot inférieure »[23], d'une superficie de 2 554 ha, abritant plusieurs espèces d'intérêt communautaire (Lamproie de Planer, Toxostome, Odonates) ainsi que des boisements alluviaux et des prairies humides[24].


    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[25] : le « cours moyen du Lot » (1 543 ha), couvrant 33 communes dont huit dans l'Aveyron et 25 dans le Lot[26] et la « rivière Célé » (1 383 ha), couvrant 15 communes du département[27] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[25] :


    Urbanisme



    Typologie


    Tour-de-Faure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[I 1],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), terres arables (12,3 %), eaux continentales[Note 9] (5,6 %), zones urbanisées (3,3 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Tour-de-Faure est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].


    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot et le Célé. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[35]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2003 et 2021[36],[33].

    Tour-de-Faure est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de la Moyenne vallée du Lot. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[37].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Tour-de-Faure.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Tour-de-Faure.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[38]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[39].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 49,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 260 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 191 sont en en aléa moyen ou fort, soit 73 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[40],[Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[39].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et et par des éboulements et/ou chutes de blocs en 1994[33].


    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval et de Sarrans, des ouvrages de classe A[Note 10] disposant d'une retenue de respectivement 270,6 millions[42] et 296 millions de mètres cubes[43],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[44].


    Toponymie


    Le toponyme Tour-de-Faure est basé sur le nom d'une famille de chevaliers[45].

    Cette commune s'appelait autrefois Montanhac, toponyme basé sur un anthroponyme Montanius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. C'était le domaine de Montanius[46].

    Tour-de-Faure dépendait d'une paroisse nommée Saint-Etienne-de-Montagnac[47].


    Histoire


    Une pierre gravée, trouvée en 1858 dans un sarcophage en grès, indiquerait qu'une église devait se trouver à l'emplacement de Tour-de-Faure dans les premiers temps du christianisme[47].

    Avant 1444, Tour-de-Faure dépendait de la paroisse nommée Saint-Etienne-de-Montagnac comme le montrent les actes issus des monographies du chanoine Edmond Albe[47] :

    Cette paroisse était une annexe de Saint-Cirq-Lapopie, desservie par un vicaire[47].


    Politique et administration


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1974 1985 Louis Pradel   Agriculteur
    1985 2008 Jacques Célarié   Ouvrier
    2008 en cours Jean Jacques Pechberty SE Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49]. En 2019, la commune comptait 317 habitants[Note 11], en diminution de 11,2 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    504507434419364371338312312
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    331288307296350353365387334
    2019 - - - - - - - -
    317--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie



    Revenus


    En 2018, la commune compte 144 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 316 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 720 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).


    Emploi


    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]6,3 %10,1 %10,5 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 173 personnes, parmi lesquelles on compte 76 % d'actifs (65,5 % ayant un emploi et 10,5 % de chômeurs) et 24 % d'inactifs[Note 13],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 70 emplois en 2018, contre 78 en 2013 et 83 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 117, soit un indicateur de concentration d'emploi de 59,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,3 %[I 10].

    Sur ces 117 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 44 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 77,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6 % les transports en commun, 9,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].


    Activités hors agriculture



    Secteurs d'activités

    39 établissements[Note 14] sont implantés à Tour-de-Faure au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble39
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    25,1 %(14 %)
    Construction717,9 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1435,9 %(29,9 %)
    Activités financières et d'assurance12,6 %(2,8 %)
    Activités immobilières512,8 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    820,5 %(13,5 %)
    Autres activités de services25,1 %(8,7 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,9 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 39 entreprises implantées à Tour-de-Faure), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].


    Entreprises et commerces

    Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[52] :


    Agriculture


    1988200020102020
    Exploitations231797
    SAU[Note 16] (ha)161162144754

    La commune est dans la vallée du Lot », une petite région agricole s'étendant d'est en ouest et de part et d'autre du cours du Lot, particulièrement réputée pour ses vignes, celles du vignoble de Cahors plus précisément[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la culture de fleurs et/ou horticulture diverse[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 18] (23 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 754 ha[55],[Carte 5],[Carte 6].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Personnalités liées à la commune



    Voir aussi



    Références



    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Tour-de-Faure » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Tour-de-Faure » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Tour-de-Faure » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Tour-de-Faure » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Un siècle.. une histoire », sur ladepeche.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Gery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Tour-de-Faure et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Tour-de-Faure et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    16. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    19. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    21. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Tour-de-Faure », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7300912 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Tour-de-Faure », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « cours moyen du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF la « rivière Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF la « basse vallée du Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF la « Moyenne vallée du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. « Les risques près de chez moi - commune de Tour-de-Faure », sur Géorisques (consulté le )
    34. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    35. DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    36. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    37. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le )
    38. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    39. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Tour-de-Faure », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    40. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    41. Article R214-112 du code de l’environnement
    42. « barrage de Grandval », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    43. « barrage de Sarrans », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    44. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    45. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 117 (lire en ligne)
    46. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 125.
    47. « Tour de Faure : Les monographies de Albe », sur quercy.net (consulté le )
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    52. « Entreprises à Tour-de-Faure », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    53. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    54. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    55. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Tour-de-Faure - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    56. « Recherche: base de données - tour - Tour-de-Faure - Lot : patrimoines.laregion.fr », sur patrimoines.laregion.fr (consulté le ).
    57. « Recherche: base de données - église paroissiale Saint-Etienne de Montagnac - Tour-de-Faure - Lot : patrimoines.laregion.fr », sur patrimoines.laregion.fr (consulté le ).
    58. Yann LESELLIER, « Tour-de-Faure. L’écluse de Crégols », sur lot-46, (consulté le ).

    Notes et cartes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[41].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    14. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    15. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    16. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[54].
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Liens externes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    На других языках


    [de] Tour-de-Faure

    Tour-de-Faure ist eine französische Gemeinde mit 317 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Lot in der Region Okzitanien. Sie gehört zum Arrondissement Cahors und zum Kanton Causse et Vallées.

    [en] Tour-de-Faure

    Tour-de-Faure (French pronunciation: ​[tuʁ də fɔʁ]; Occitan: Torre-de-Faure) is a commune in the Lot department in south-western France.

    [es] Tour-de-Faure

    Tour-de-Faure es una población y comuna francesa, situada en la región de Mediodía-Pirineos, departamento de Lot, en el distrito de Cahors y cantón de Saint-Géry.
    - [fr] Tour-de-Faure



    Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

    Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

    2019-2025
    WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии