Crégols est une commune française, située dans le sud du département du Lot en région Occitanie.
Elle est également dans le causse de Limogne, un des quatre causses du Quercy, dénudé et clairsemé de champs de lavande, de genévriers et de chênes truffiers.
Crégols
Vue générale.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Lot
Arrondissement
Cahors
Intercommunalité
Communauté de communes du Pays de Lalbenque-Limogne
Maire Mandat
Didier Pech 2020-2026
Code postal
46330
Code commune
46081
Démographie
Population municipale
73 hab. (2019 )
Densité
4 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 27′ 25″ nord, 1° 42′ 06″ est
Altitude
Min. 129 m Max. 368 m
Superficie
18,35 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Causse et Vallées
Législatives
Première circonscription
Localisation
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Crégols
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Crégols
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Crégols
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Crégols
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lot et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (la «grotte de Fond d'Erbies» et la «moyenne vallée du Lot inférieure»), un espace protégé (la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot) et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Crégols est une commune rurale qui compte 73 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 400 habitants en 1866. Ses habitants sont appelés les Crégolais ou Crégolaises.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 12,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 12,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 8,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Gery», sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1°C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[11], à 12,7°C pour 1981-2010[12], puis à 13,1°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination «géoparc des causses du Quercy», faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].
Un autre espace protégé est présent sur la commune:
la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot, classée en 2015 et d'une superficie de 800ha, composée de 59 sites d'intérêts géomorphologique, minéralogique, tectonique et paléontologique remarquables[21],[22].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[24]:
la «grotte de Fond d'Erbies», d'une superficie de 1ha, le deuxième site du département pour la reproduction des chauves-souris[25];
la «moyenne vallée du Lot inférieure», d'une superficie de 2 554ha, abritant plusieurs espèces d'intérêt communautaire (Lamproie de Planer, Toxostome, Odonates) ainsi que des boisements alluviaux et des prairies humides[26];
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[27]:
la «combe de l'Angle, combels tributaires et pechs attenants» (616ha), couvrant 2 communes du département[28];
le «cours moyen du Lot» (1 543ha), couvrant 33 communes dont huit dans l'Aveyron et 25 dans le Lot[29],
les «vallées des ruisseaux du Bournac et de Font d´Erbies et combes tributaires» (1 618ha), couvrant 4 communes du département[30];
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[27]:
la «Moyenne vallée du Lot» (7 893ha), couvrant 36 communes dont huit dans l'Aveyron et 28 dans le Lot[31].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Crégols.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Crégols est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[I 1],[33].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,3% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (75,2%), zones agricoles hétérogènes (11,9%), prairies (10,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1%), eaux continentales[Note 8] (0,1%)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Crégols est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[37]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2003[38],[35].
Crégols est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de la Moyenne vallée du Lot. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[39].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Crégols.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[40]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[41].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 24,6% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 94 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 49 sont en en aléa moyen ou fort, soit 52%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[42],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[41].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[35].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval et de Sarrans, des ouvrages de classe A[Note 9] disposant d'une retenue de respectivement 270,6 millions[44] et 296 millions de mètres cubes[45],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de ces ouvrages[46].
Toponymie
Le nom Crégols est dérivé d'une racine indo-européenne[47] (gr/cr) qui désigne quelque chose de dur (croûte) ou rocheux (les Graves, la Crau, Gramat, gravier). Ces mots désignent sur le causse un lieu dont le sol pauvre est constitué de peu de terre et de petits cailloux[48].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51].
En 2019, la commune comptait 73 habitants[Note 10], en diminution de 8,75% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
323
316
330
369
362
390
386
372
375
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
378
384
400
388
370
352
331
290
294
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
274
247
256
220
204
176
155
151
148
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
125
98
85
65
66
72
82
83
80
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
76
73
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 42 personnes, parmi lesquelles on compte 64,3% d'actifs (42,9% ayant un emploi et 21,4% de chômeurs) et 35,7% d'inactifs[Note 11],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 7]. Elle compte 9 emplois en 2018, contre 17 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 19, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,4% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,4%[I 8].
Sur ces 19 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 9 travaillent dans la commune, soit 47% des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 68,4% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,5% les transports en commun et 21,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
6 établissements[Note 12] sont implantés à Crégols au [I 11].
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 6 entreprises implantées à Crégols), contre 13,5% au niveau départemental[I 12].
La commune est dans les Causses», une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (12 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 194ha[56],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Pigeonnier troglodyte de Font-d'Erbies inscrit au titre des monuments historiques en 2012[57].
Dolmen du Mas de Para, appelé aussi Dolmen de Pech Sec ou Tombeau du Géant: 44° 25′ 54″ N, 1° 42′ 30″ E
L'igue de Crégols, à quelques kilomètres du bourg du village.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, «Les noms des communes du Parc», Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol.1, , p.115 (lire en ligne)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[43].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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