Teilhet (prononcer [tɛjɛ]; Telhet en occitanlanguedocien, prononcé localement [tejet] ou [tejɛːt]) est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien «Pays de Cocagne», lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de «grenier à blé du Languedoc».
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Hers-Vif, le ruisseau de Gorgues et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 («Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Teilhet est une commune rurale qui compte 152 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 442 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Pamiers. Ses habitants sont appelés les Teilhetois ou Teilhetoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Jean-l'Évangéliste, inscrite en 1955.
Géographie
Localisation
La commune de Teilhet se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 20 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 14 km de Pamiers[2], sous-préfecture, et à 8 km de Mirepoix[3], bureau centralisateur du canton de Mirepoix dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mirepoix[I 1].
Sur le plan historique et culturel, Teilhet fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien «Pays de Cocagne», lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de «grenier à blé du Languedoc»[5].
La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien, certaines parties étant recouvertes par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles «n°1057 - Pamiers» et «n°1058 - Mirepoix» de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et leurs notices associées[9],[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 8,96 km2[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 8,98 km2[8]. L'altitude du territoire varie entre 262 m et 424 m[14].
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Teilhet.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par l'Hers-Vif, le ruisseau de Gorgues, le ruisseau de Malpas, le ruisseau Poumirol et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[16],[17].
L'Hers-Vif, d'une longueur totale de 134,9 km, prend sa source dans la commune de Prades et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé 41 communes[18].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune est du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[19].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 12,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23],[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Pamiers Lycagri», sur la commune de Pamiers, mise en service en 1985[25] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[26],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13°C et la hauteur de précipitations de 785,8 mm pour la période 1981-2010[27].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Carcassonne», sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 48 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 13,7°C pour la période 1971-2000[29], à 14,1°C pour 1981-2010[30], puis à 14,5°C pour 1991-2020[31].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: «Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste»[33], d'une superficie de 9 581ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs, avec des zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[34].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[35]:
les «coteaux de Manses à Teilhet» (229ha), couvrant 2 communes du département[36], et
le «cours de l'Hers» (891ha), couvrant 41 communes dont 32 dans l'Ariège, 7 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[37]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 8],[35]:
l'«ensemble de coteaux au nord du Pays de Mirepoix» (9 691ha), couvrant 17 communes dont 10 dans l'Ariège et 7 dans l'Aude[38];
«l'Hers et ripisylves» (1 417ha), couvrant 41 communes dont 32 dans l'Ariège, 7 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[39].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Teilhet.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Teilhet est une commune rurale[Note 9],[40]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[41].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pamiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,2% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (49,4%), zones agricoles hétérogènes (23,9%), terres arables (13,5%), prairies (12,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8%), eaux continentales[Note 11] (0,2%)[42].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux
Dreuil, Lescure...
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 99, alors qu'il était de 100 en 2013 et de 93 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 64,6% étaient des résidences principales, 28,4% des résidences secondaires et 7,1% des logements vacants. Ces logements étaient pour 97% d'entre eux des maisons individuelles et pour 2% des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Teilhet en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (28,4%) supérieure à celle du département (24,6%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,1% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,5% en 2013), contre 66,3% pour l'Ariège et 57,5% pour la France entière[I 6].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
28,4
24,6
9,7
Logements vacants (en%)
7,1
9,7
8,2
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Teilhet est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[43],[44].
Risques naturels
Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Teilhet.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, l'Hers-Vif, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant l'Hers figure la crue torrentielle de 2014 de l'Hers amont impactant en particulier le village de Lassur[45].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50% de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Teilhet[46]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[47].
Près de 50% de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Teilhet[46]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[47].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 8 décembre 2009[48].
Risques technologiques
Sur le département de l’Ariège on dénombre cinq grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 80 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[49].
Toponymie
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Histoire
Sur une colline proche, le cimetière de «Tabariane», site archéologique mérovingien découvert vers 1870 avec les premières fouilles commencées en 1901, révèle une nécropole particulièrement bien conservées des VIeetVIIIesiècles.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Teilhet est membre de la communauté de communes du Pays de Mirepoix[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Mirepoix. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[50].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Mirepoix pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[51].
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1977
2001
Jacques Baysselier
2001
2014
Fernand Simon
2014
En cours
Francis Chauvry
SE
Retraité
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].
En 2019, la commune comptait 152 habitants[Note 12], en diminution de 0,65% par rapport à 2013 (Ariège: +0,39%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
346
339
390
398
403
401
422
403
442
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
407
373
342
332
327
300
276
256
250
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
221
221
222
169
166
145
140
128
144
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
150
135
93
112
125
152
182
164
156
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
152
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 62 ménages fiscaux[Note 13], regroupant 142 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 710 €[I 10] (19 820 € dans le département[I 11]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 90 personnes, parmi lesquelles on compte 75% d'actifs (65,2% ayant un emploi et 9,8% de chômeurs) et 25% d'inactifs[Note 14],[I 12]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Pamiers, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 15]. Elle compte 28 emplois en 2018, contre 40 en 2013 et 27 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 63, soit un indicateur de concentration d'emploi de 43,9% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,4%[I 16].
Sur ces 63 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 25% des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 87,5% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6% les transports en commun, 7,9% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].
Activités hors agriculture
18 établissements[Note 15] sont implantés à Teilhet au [I 19].
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,2 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 18 entreprises implantées à Teilhet), contre 13,2% au niveau départemental[I 20].
Agriculture
1988
2000
2010
Exploitations
5
3
4
Superficie agricole utilisée (ha)
297
437
389
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée «Coteaux de l'Ariège»[56]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[57]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 17] de 2010 (cinq en 1988). La superficie agricole utilisée est de 389ha[57].
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Jean-l'Évangéliste de Teilhet dédiée à saint Jean l'évangéliste. L'édifice a un clocher mur, sa façade occidentale est inscrite au titre des Monuments historiques en 1955[59].
Façade avec son clocher peigne du XIVesiècle. Le portail est surmontée d'une haute muraille réalisée après la guerre des Albigeois.
Frise avec de têtes au dessus du portail.
Un cavalier couvert de haubert et de mailles, le bouclier au bras, semble sortir de la muraille.
Sur le site de Tabariane, importante nécropole mérovingienne avec environ 300 tombes mises au jour[60].
Château de Roques avec jardin à la française et parc (privé, converti pour l'hôtellerie et les réceptions), appartenant à l'origine au marquisat de Portes.
Maisons dans le village.
Paysage agricole près de Teilhet.
Paysage agricole près de Teilhet.
Maisons dans le village.
Site archéologique de Tabariane (nécropole mérovingienne).
Personnalités liées à la commune
François-Félix Verdié (né à Teilhet en 1810), fils de Jean-François Verdié simple « martinetteur » aux Forges de Mans et Rose Raboute. Il créa en 1854 les aciéries et forges de Firminy dans la Loire qui occuperont jusqu'à plus de 10 000 ouvriers lors de la Première Guerre mondiale. Il mourut le 16 mai 1878 à Dombrowa en Pologne où il inaugurait la création d'une de ses usines.
Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[32].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[58].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
«Eglise», sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
«Teilhet et Vals. Nécropole mérovingienne de Tabariane», dans Robert Sablayrolles (coordination) et Marie-Laure Maraval, Guide archéologique de Midi-Pyrénées. 1000 av. J.-C. - 1000 ap. J.-C., Fédération Aquitania, Bordeaux, 2010, (ISBN2-910763-18-8), p.344-345
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