Sainte-Foy-lès-Lyon est une commune française située dans la métropole de Lyon en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour les articles homonymes, voir Sainte Foy et Lyon (homonymie).
Sainte-Foy-lès-Lyon | |
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![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Circonscription départementale du Rhône |
Métropole | Métropole de Lyon |
Arrondissement | Lyon |
Maire Mandat |
Véronique Sarselli (LR) 2020-2026 |
Code postal | 69110 |
Code commune | 69202 |
Démographie | |
Gentilé | Fidésiens |
Population municipale |
22 175 hab. (2019 ![]() |
Densité | 3 247 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 44′ 05″ nord, 4° 48′ 12″ est |
Altitude | Min. 173 m Max. 320 m |
Superficie | 6,83 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Lyon (banlieue) |
Aire d'attraction | Lyon (commune du pôle principal) |
Élections | |
Métropolitaines | Ouest |
Législatives | Douzième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | site officiel de Sainte-Foy-lès-Lyon |
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Ses habitants s'appellent les Fidésiens[1].
Sainte-Foy-lès-Lyon surplombe Lyon par l'ouest, juste au sud de la basilique Notre-Dame de Fourvière, au-dessus du confluent du Rhône et de la Saône à l'est et de la vallée de l'Yzeron à l'ouest et au sud, en limite des communes de Francheville et Oullins.
Elle se distingue par son cadre de vie[évasif] agréable, très vert, voire champêtre. Sainte-Foy-lès-Lyon est considéré comme le poumon vert le plus proche de Lyon.
Le centre-ville de Sainte-Foy est à 15 minutes en voiture de la presqu'île lyonnaise. La ville est mitoyenne, au Nord, du 5e arrondissement de Lyon, à l'Est, de La Mulatière, à l'Ouest, de Francheville, au Sud d'Oullins et de Chaponost.
La ville est desservie par plusieurs bus du réseau des transports en commun lyonnais[2].
Sainte-Foy-lès-Lyon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[6] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (95 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (77,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (90,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), forêts (0,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Le nom de la commune est constitué de Foy, martyre qui serait morte à Agen au IIIe siècle, et d'une référence à sa proximité avec Lyon[13], différenciant ainsi la ville de ses homonymes .
Le site, proche de la capitale des Gaules Lugdunum, connaît une activité intense à l'époque romaine[14]. Le territoire situé dans le prolongement sud de la ville antique est traversé par deux voies romaines au moins : celle reliant Lugdunum à Vienne par la rive droite du Rhône, située sous l'actuel chemin des Fontanières[15], et une autre voie supposée en direction de Saint-Symphorien-sur-Coise qui emprunterait le chemin de Chantegrillet[16]. L'aqueduc romain du Gier a laissé des vestiges en sept points différents du territoire actuel : le siphon de l'Yzeron et son réservoir terminal[17], la tranchée dite « de Narcel »[18], les arches du chemin de Narcel[19], le tunnel du Vingtain, entièrement détruit, la tranchée du Fort, les arches de la rue Georges Clemenceau et la tranchée de Chavril[20]. D'autres vestiges ont été observés, notamment des fosses datant de l'Antiquité tardive ou du haut Moyen Âge, des tegulae et céramiques antiques, un fragment de sarcophage, des traces de bâtiments dont la fonction est inconnue[21] et une habitation gallo-romaine[22].
C'est en 1170 qu'apparaît la plus ancienne mention connue de Sainte-Foy qui appartient aux chanoines de Saint-Just[réf. nécessaire]. En 1189, elle passe sous la dépendance du chapitre de Saint-Jean jusqu'à la Révolution.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Bonnefey et de Mont-Chalier[23].
Dès 1834, une mairie-école est construite et, l'année suivante, est créé un service d'omnibus à chevaux. En 1840, un marché hebdomadaire voit le jour et trois ans plus tard l'église paroissiale est reconstruite après la démolition complète de l'ancien édifice. L'année suivante est marquée par la mort de Laurent Mourguet, le créateur de Guignol, époux d'une Fidésienne, Jeanne-Marie Trigon, dont la maison natale est devenue un cinéma d'art et d'essai portant son nom d'épouse (Cinéma Jeanne Mourguet).
En 1871, on perce l'avenue Valioud. À partir de 1880, la viticulture, ruinée par le phylloxera, laisse peu à peu place à l'arboriculture et aux propriétés résidentielles. En 1885, La Mulatière est détachée de Sainte-Foy et devient une commune indépendante.
Dans les années 1870, la commission chargée par la ville de Lyon de trouver l'emplacement de son futur observatoire astronomique choisit un site sur la commune de Sainte-Foy. Cependant, Charles André, fondateur et premier directeur de l'établissement, ignorera ces travaux et choisira de construire l'observatoire à Saint-Genis-Laval[24].
En 1893, un hôpital est créé par le Dr Barral, cependant que la même année une ligne de tramways électriques de la Société du tramway de Sainte Foy est mise en service, avant d'être reprise en 1898 par le Fourvière Ouest-Lyonnais, lui-même absorbé en 1911 par l'OTL. L'éclairage des rues est installé en 1894.
L'activité économique de Sainte-Foy-Lès-Lyon a principalement été tournée autour de l'agriculture au début et milieu du XXe siècle, avec entre autres les exploitations maraichères de la famille Moyroud.
En 1968, la ville est jumelée avec Limburg an der Lahn en Allemagne de l'Ouest. L'année suivante, la commune entre dans la communauté urbaine de Lyon (COURLY).
La vie économique est marquée par l'installation des Laboratoires Boiron en 1974 et la vie religieuse par la visite du pape Jean-Paul II en .
En 2006 est inauguré le troisième gymnase en présence de Jean-François Lamour.
Le , la commune quitte le département du Rhône et rejoint la collectivité territoriale de la métropole de Lyon qui remplace la communauté urbaine.
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 20 000 et 29 999, le nombre de membres du conseil municipal est de trente-cinq[25].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Liste des maires avant 1944
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Adrien Replumaz | PCF | Ingénieur, résistant | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Maurice Jarrosson | SE | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Raymond Barlet | Rad. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Maurice Moulin | UDF | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Jean Salles | UDF-CDS | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Michel Chapas | UDF puis UMP | Retraité | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
En cours (au 19 janvier 2021) |
Véronique Sarselli | UMP-LR | Professeur certifiée de faculté Réélue pour le mandat 2020-2026 |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[26],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 22 175 habitants[Note 4], en augmentation de 2,44 % par rapport à 2013 (Rhône : +5,39 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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2 044 | 2 110 | 1 697 | 2 016 | 2 312 | 2 808 | 2 737 | 3 120 | 3 127 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
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4 114 | 4 462 | 5 042 | 4 668 | 5 118 | 5 732 | 3 105 | 2 907 | 2 914 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
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3 106 | 3 147 | 3 358 | 3 782 | 4 505 | 5 074 | 5 335 | 6 270 | 7 290 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
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9 592 | 16 583 | 21 698 | 21 521 | 21 450 | 21 193 | 22 208 | 21 585 | 21 995 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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22 175 | - | - | - | - | - | - | - | - |
Le bourg agricole qui ne compte que 5 335 habitants en 1936 a laissé place à une cité de 22 151 habitants en 2007, forte de 130 associations et de 350 entreprises. Sa population ne cesse de s'accroître du fait du cadre de vie attractif et de la proximité de Lyon.
Sainte-Foy-lès-Lyon est située dans l'académie de Lyon. La ville est pourvue de 10 écoles primaires, dont 2 sont privées, la plupart accueillant également un cycle pré-élémentaire (maternelle). La ville n'accueille en revanche qu'un seul établissement de cycle secondaire, le collège du Plan du Loup, les plus proches étant le collège Saint-Marc, le collège Charcot, le collège-lycée La Favorite Sainte-Thérèse, le lycée Saint-Just. Le séminaire Saint-Irénée accueillant l'École supérieure de Philosophie et de Théologie était également basé à Sainte-Foy-lès-Lyon (les bâtiments, inscrits en 2007 monument historique, ont été cédés à un promoteur immobilier en 2010).
La ville possède un Conservatoire de musique et de danse, agréé par l'état comme conservatoire à rayonnement communal. Il compte 24 professeurs et 500 élèves, et propose l'enseignement de 21 disciplines instrumentales, et de nombreux ensembles de pratique collective. Il propose une quarantaine de rendez-vous musicaux et chorégraphiques publics par an[28]. Il fait des échanges avec les villes de Limburg an der Lahn (Allemagne), Doncaster et Lichfield (Angleterre). L'école dépend de la mairie, mais son administration et une partie importante de ses cours sont 92, chemin des Fonts. Les lieux suivants sont également utilisés pour les cours : l’école Robert-Schumann (24, rue de Chavril) et pour les répétitions des orchestres et des percussions, la salle de l'Ellipse (24, rue Sainte-Barbe).
Le Conservatoire de musique et de danse propose une quarantaine de concerts par an. Plusieurs chorales résidant à Sainte-Foy produisent également des concerts. La bibliothèque Léopold Sédar Senghor, œuvre de l'architecte Grange-Chavanis, située au 20 de la rue du Châtelain, est un bâtiment de 1 500 m2, fédérant, en plus de sa fonction de bibliothèque de nombreuses manifestations et expositions[29]. La MJC Marcel Achard[30] très grosse association regroupant 2 200 adhérents en plus de ses nombreuses activités culturelles et musicales, accueille également régulièrement des spectacles dans sa salle. Enfin, la ville de Sainte-Foy-lès-Lyon propose également depuis 2014 des rendez-vous culturels variés.
Depuis 1988, la ville possède également un cinéma, initialement appelé le Cinéma Jeanne Mourguet avant d'être renommé Ciné Mourguet[31]. Bâti au 43 Grande Rue, avec une salle, il a déménagé le dans de nouveaux locaux, avec deux salles neuves (de 200 et 80 places), au 15 rue Deshay. Classé « Art et Essai » avec les labels « Jeune Public » et « Patrimoine et Répertoire », il se distingue par ses nombreuses séances jeune public et ses multiples débats avec invités (plus de 40 par an). Le cinéma, en partenariat avec le CCCF et la Ville de Sainte-Foy-lès-Lyon, organise depuis 1991 une biennale consacrée aux cinémas et aux cultures africaines : Caravane des Cinémas d'Afrique[32]. La 14e édition, en , célèbre les 25 ans du festival.
Sainte-Foy-lès-Lyon possède un hôpital au 78 chemin de Montray, et une clinique privée, la clinique Charcot, au 51-53 avenue du commandant Charcot.
L’hôpital[33] possède 170 lits répartis en
La clinique Charcot[34] possède 106 lits avec
Elle accueille par ailleurs
Dix pharmacies sont réparties dans les différents quartiers de Sainte-Foy.
Deux vétérinaires dont une clinique vétérinaire existent également sur le territoire de la commune.
À Sainte Foy, l'activité sportive est dynamique avec un office municipal des sports, et 35 associations sportives y possèdent leurs sièges[35]. Elles totalisent 7 000 adhérents. L'une d'elles (basket) se distingue par son appartenance à la division nationale 2.
La commune accueille un club de tir à l'arc[Note 5] depuis 1989, affilié aux fédérations FFTA et FFH ainsi qu'un club de pétanque[Note 6].
Une école de Rugby League (Rugby XIII) est créée en 2014 avec le soutien du Comité Rhône-Alpes de Rugby XIII et compte plus de 130 licenciés.
Le Club Sportif Charcot compte plus de 800 adhérents dont plus de 200 pour le tennis de table. En , le club a fêté ses cinquante ans d'existence ainsi que le jubilé de Christophe Durand plusieurs fois médaillé d'or en tennis de table aux jeux paralympiques. Guy Tisserand ancien président du club de tennis de table CS Charcot a été aussi plusieurs fois médaillé d'or aux jeux paralympiques. Il compte 28 titres nationaux et 14 titres internationaux.
La municipalité entretient une piscine[36] située 6, avenue du .
Sainte Foy offre un cadre vie nature remarquable avec 20 % de son territoire (46 hectares) en espaces verts. Des jeux d'enfants et des agrès sportifs y sont entretenus.
La commune est particulièrement fleurie sur 18 sites où se répartissent 45 massifs de fleurs répartis entre les parcs, squares et jardins, les ronds points et autres îlots de voirie, avec 214 jardinières. Plus de 40 000 plantes sont ainsi entretenues chaque année dont certaines demandent deux arrosages par semaine[37].
Tous les , le vallon du chemin des prés se transforme en marché aux fleurs et produits du terroir[38]. Cet endroit constitue toute l'année un espace de promenade verdoyant pour les vélos et les rollers. Il se prolonge par le chemin des Hauts du Bois dominant le domaine forestier plus sauvage du Vallon des Sources, bordé d'un pré où paissent des bovins.
La proportion de logements sociaux est faible : 8,4 % de HLM en 2006[réf. nécessaire]. La proximité du centre-ville de Lyon, accessible en moins de 20 minutes grâce aux lignes C19, C20 et 49 des transports en commun de Lyon notamment et le nombre important de demeures « de prestige » explique l'attrait des hauts-revenus lyonnais pour cette ville. La ville révèle plusieurs facettes : des quartiers populaires de Saint-Luc aux quartiers résidentiels de Châtelain ou du Vallon, du Centre ou de l'Hormet, la ville est une mosaïque sociale assez restreinte néanmoins car l'image « d'un havre pour les riches lyonnais en recherche d'un peu d'espace et de verdure »[réf. nécessaire] persiste, aussi bien dans les faits que dans les esprits. [réf. nécessaire]
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Les armes de la commune de Sainte-Foy-lès-Lyon se blasonnent ainsi : D'azur à la foi d'argent mouvant des flancs, accompagnée, en chef, d'une couronne d'or et, en pointe, d'une tête de lion arrachée du même lampassée de gueules.
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Logo de Sainte-Foy-lès-Lyon : …
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En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 37 088 € ce qui plaçait Sainte-Foy-lès-Lyon au 4 463e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[40].
En 2005, 44,4 % de la population est active, 21,5 % des Fidésiens travaillent dans la commune, 4 Fidésiennes (25 à 59 ans) sur 5 travaillent (3 sur 4 en 1990) et le taux de chômage s'élève à 7 %, inférieur à la moyenne du Grand Lyon (11,4 %) et du département (13 %).
Entreprise fidésienne de réputation internationale, les Laboratoires Boiron, leader mondial de l'homéopathie, sont installés sur la commune depuis 1974 et y emploient 550 salariés.
Localisation de Sainte-Foy-lès-Lyon, Limburg an der Lahn, Lichfield et Kraljevo. |
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