world.wikisort.org - France

Search / Calendar

Sainte-Brigitte [sɛ̃tbʁiʒit] est une commune française située en Argoat dans le pays du Kost ar c'hoad, dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Cet article est une ébauche concernant une commune du Morbihan.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade « Bon début » quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune.
Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.

Sainte-Brigitte

L'église paroissiale.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Pontivy Communauté
Maire
Mandat
Stéphane du Pontavice
2020-2026
Code postal 56480
Code commune 56209
Démographie
Gentilé Brigittois
Population
municipale
179 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Population
agglomération
42 209 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 09′ 48″ nord, 3° 07′ 40″ ouest
Altitude 220 m
Min. 120 m
Max. 286 m
Superficie 17,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pontivy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gourin
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Brigitte
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Brigitte
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Sainte-Brigitte
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Sainte-Brigitte
Liens
Site web sainte-brigitte.fr

    Toponymie


    Le nom de la commune en breton est Berc'hed ou Santez Berch'hed en référence à Brigitte de Kildare, abbesse et patronne de l'Irlande[1],[2].

    Panneau d'entrée d'agglomération bilingue de Sainte-Brigitte
    Panneau d'entrée d'agglomération bilingue de Sainte-Brigitte

    Géographie



    Situation


    La commune de Saint-Brigitte se trouve dans le nord du département du Morbihan, à la limite avec le département des Côtes-d'Armor, à 15 km au nord-est de Pontivy et à 62 km au nord-est de Vannes.

    Communes limitrophes de Sainte-Brigitte
    Saint-Gelven
    Côtes-d'Armor
    Perret
    Côtes-d'Armor
    Saint-Aignan
    Silfiac Cléguérec

    La commune de Sainte-Brigitte appartient par ses traditions au pays Bro Kost ar c'hoad (en Argoat), pays qui englobe également les trois communes voisines de Gouarec, Plélauff et Perret. Ce pays doit son nom à la présence de la vaste forêt de Quénécan. Bro Kost ar c'hoad signifie en effet en français le pays à côté du bois. Ce pays traditionnel a donné son nom à une danse bretonne traditionnelle, une gavotte en 8 temps[3].

    carte de la commune (contours en orange) et des communes voisines.
    carte de la commune (contours en orange) et des communes voisines.

    Paysage et relief


    La commune de Sainte-Brigitte est vallonnée. Son territoire s'étage en effet entre 120 m ( lac de Guerlédan) et 286 m d'altitude (relief situé à l'extrémité sud de la commune ne portant pas de nom). La forêt de Quénécan s'étend sur une bonne partie de son territoire. Celle-ci est parfois surnommée la Petite Suisse bretonne en raison de son relief bosselé. La commune de Sainte-Brigitte est la commune la moins densément peuplée du département du Morbihan avec seulement 10 hab./km2. C'est aussi l'une des plus boisées avec 1 075 ha de bois pour une superficie totale de 1 774 ha, soit un taux de boisement de 60 %[4].


    Hydrographie


    Le cours canalisé du Blavet ( canal de Nantes à Brest) borde la commune au nord sur une courte distance. En aval de l'écluse de Bellevue le Blavet commence à s'élargir pour former un lac suite à la construction du barrage de Guerlédan sur son cours plus en aval. Le ruisseau des Forges borde la commune à l'ouest. Il est long de km. Il prend sa source près du bourg de Sainte-Brigitte et se jette dans le Blavet après avoir traversé le village des Forges des Salles. Il alimente en eau plusieurs étangs : l'étang des Salles et l'étang du Fourneau.


    Cadre géologique


    Carte géologique du Massif armoricain.
    Carte géologique du Massif armoricain.
    Coupes dans des cristaux d'andalousite (faciès chiastolite). Ils  cristallisent en baguettes à section carrée dont la cassure transversale montre des inclusions carbonées formant des taches noires dont la répartition régulière mime une croix sombre sur fond clair.
    Coupes dans des cristaux d'andalousite (faciès chiastolite). Ils cristallisent en baguettes à section carrée dont la cassure transversale montre des inclusions carbonées formant des taches noires dont la répartition régulière mime une croix sombre sur fond clair.
    Articles connexes : géologie du Massif armoricain et glossaire de géologie.

    Sainte-Brigitte est situé au cœur du domaine centre armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui correspond à une structure s'allongeant sensiblement en direction W-E, depuis la baie de Douarnenez jusqu'au bassin de Laval. S'opposant aux bas plateaux littoraux méridionaux et septentrionaux, ce bassin sédimentaire est principalement constitué de schistes briovériens (sédiments détritiques essentiellement silto-gréseux issus de l'érosion du segment occidental de la chaîne cadomienne, accumulés sur plus de 15 000 m d'épaisseur et métamorphisés), formant un socle pénéplané sur lequel repose en discordance, dans sa partie orientale, des formations paléozoïques sédimentaires déformées lors de l'orogenèse varisque (plis d'orientation N 110° et plusieurs familles de failles d'orientations différentes)[5].

    L'anticlinal briovérien de la forêt de Quénécan et le synclinal paléozoïque (schistes ordoviciens) de Sainte-Brigitte font partie de ces plis. Les roches ont été transformées en schistes à andalousite par métamorphisme de contact lié au granite de Rostrenen. Ce métamorphisme se manifeste ainsi par la présence de gros cristaux de chiastolite (variété d'andalousite). Ces cristaux se présentent en prismes de section presque carrée. Les schistes à chiastolite ont été remarqués depuis longtemps sur leurs terres par la famille de Rohan qui les collectionne dans le château des Salles, appréciant leurs taches (en latin macula, « tache, macle ») mimant une croix (losange clair autour d'un centre charbonneux), d'où le nom de macles donnés à ces schistes (sans aucun rapport avec les macles cristallographiques. Leur beauté a incité Jean Ier de Rohan à les prendre pour emblème de la famille et faire figurer sept macles d'or sur le blason des Rohan; leurs descendants en ajoutent deux supplémentaires à partir du milieu du XVIe siècle[6].

    Marc Gilbert de Varennes[7] a écrit en 1640 : « Vers le chasteau des Salles sont tous marquez de temps immémorial de ces figures de macles, et que ca esté de là que les premiers Barons de ces terres fort nobles ont chargé leurs armoiries ».

    Des macles sont représentés en motifs décoratifs sur les murs du château des Rohan à Pontivy, y compris sur les descentes d'eau en granite[6].


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 052 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caurel-Edf », sur la commune de Caurel, mise en service en 1999[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 112,2 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, dans le département des Côtes-d'Armor, mise en service en 1985 et à 45 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[18], à 11,2 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[20].


    Urbanisme



    Typologie


    Sainte-Brigitte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontivy, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24],[25].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte orthophotographique de la commune de Sainte-Brigitte.
    Carte orthophotographique de la commune de Sainte-Brigitte.

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC). L'occupation des sols met en évidence la nette prédominance de la forêt sur les terres agricoles (67,4 % contre 31,5 %). La commune est en effet située dans le massif forestier de Quénécan. Par ailleurs les essences de feuillus sont prédominantes dans la forêt par rapport aux essences de conifères. Les terres agricoles ont conservé leur structure bocagère.

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Extraction de matériaux 0,1 % 1,7
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 0,9 % 15,3
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 0,3 % 4,7
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 20,0 % 352
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 11,2 % 197
    Forêts de feuillus 47,4 % 833
    Forêts de conifères 10,0 % 176
    Forêts mélangées 10,0 % 176
    Forêt et végétation arbustive en mutation 2,1 % 90
    Source : Corine Land Cover[26]

    Histoire


    Monument aux morts de Sainte-Brigitte.
    Monument aux morts de Sainte-Brigitte.

    Moyen Âge


    Sainte-Brigitte était autrefois une simple trève de la paroisse de Cléguérec.


    Le château des Salles de Rohan


    Le château des Salles de Rohan, dit aussi Penret, ou encore Pen-Raithé[27], situé dans la forêt de Quénécan, à la limite de Sainte-Brigitte et Perret, édifié initialement sur les ruines d’une motte féodale par un vicomte de Rohan, Alain Ier de Rohan, en 1128, est reconstruit à la fin du XIVe siècle par Alain VIII de Rohan. Le terme « Salles » vient de l'ancien français et désigne un logis. Le château des Salles de Rohan appartient au réseau de forteresses des Rohan (Pontivy, Josselin, etc). Il contrôle un site connu très tôt pour la fabrication du fer : on voit encore, sur la plage de l’étang, des concrétions de cristaux d’oxyde de fer, les fameuses “macles” qui ornent le blason des Rohans. Minerai et charbon de bois issus de la forêt de Quénécan alimentèrent le premier haut fourneau de Sainte-Brigitte créé dès 1440 par Alain IX de Rohan[28].


    Époque moderne


    La nouvelle forge des Salles de Rohan fondée en 1622 ou 1623 par le duc Henri II de Rohan permit le rassemblement à cet endroit d’une communauté d’une douzaine de familles huguenotes comprenant le premier adjudicataire des forges, Geoffroy de Fineman, sieur d’Angicourt, venu des Ardennes. Ceux-ci sont à l'origine de la communauté protestante locale[28].

    Après une décadence au début du XVIIIe siècle, les forges redevinrent plus actives un peu avant la Révolution française et connurent leur apogée vers le milieu du XIXe siècle, mais déclinèrent à partir de 1870 pour fermer dès 1880.

    Article détaillé : Forges des Salles.

    Révolution française


    Sainte-Brigitte fut érigée en commune en 1790 et en paroisse en 1820.


    Le XIXe siècle


    Au début du XIXe siècle, l'occupation des sols de la commune d'après le cadastre était la suivante : on comptait 1025 hectares de bois (58 % des terres), 313 ha de terres labourables (18 % des terres), 198 ha de landes et de friches (11 % des terres), 164 ha de prés et de pâturages (9 % des terres), 26 ha d'étangs (1,5 % des terres), 18 ha de vergers et jardins (1 % des terres), 6 ha de terrains bâtis (moins de 1 % des terres) pour une superficie totale de 1774 hectares et 52 ares [29].


    Le XXe siècle



    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Sainte-Brigitte porte les noms de 20 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale; tous décédés sur le sol français. Parmi eux 3 s'appelaient Uzel, 2 Le Néchet et 2 Pensivy. Le premier à être tombé sur le champ d'honneur est Louis Auffret le 3 septembre 1914 à Louvercy[30].


    Politique et administration


    Mairie de Sainte-Brigitte.
    Mairie de Sainte-Brigitte.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Etienne Pinsivy DVG  
    2008 26 mai 2020 Jean-François Désiles    
    26 mai 2020 En cours
    (au 29 mai 2020)
    Stéphane du Pontavice[31]   Propriétaire du village des forges des Salles

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2019, la commune comptait 179 habitants[Note 7], en augmentation de 1,7 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    791672655729743787758813765
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    700700747632684665675640657
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    628646666648634553505453357
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    320237195186141166162155166
    2014 2019 - - - - - - -
    180179-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sainte-Brigitte a perdu 79 % de sa population entre 1851 et 1999, passant de 765 à 166 habitants entre ces deux dates. Pour la période 1851-1990 c'est la commune de Bretagne qui a perdu le plus d'habitants en valeur relative (82 % entre ces deux dates)[Note 8]. Cette commune a conjugué plusieurs facteurs défavorables : situation au cœur de l'Argoat, altitude "élevée", agriculture pauvre, situation en limite départementale ; à cela s'est ajouté la fermeture en 1880 de la sidérurgie des Forges-de-la-Salle qui employait près de 400 salariés[36].


    Lieux et monuments




    Personnalités liées à la commune



    Notes et références



    Notes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Pour la période 1851-1999 c'est Loc-Envel qui est la commune bretonne ayant perdu le plus d'habitants en valeur relative.

    Références


    1. René Kerviler, Répertoire général de bio-bibliographie bretonne. Livre premier, Les bretons. 6, Bourg-Brou, 1886-1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5816057v/f385.image.r=Loperhet.langFR
    2. http://www.geobreizh.bzh/geobreizh/fra/villes-fiche.asp?insee_ville=56209 Sainte Brigitte, geobreizh.bzh.
    3. http://chrsouchon.free.fr/dansall/kostarho.htm
    4. Cléguérec sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
    5. Yann Brekilien (dir.), La Bretagne, Éditions d'Organisation, , p. 35-39.
    6. Louis Chauris, « De l’héraldique à l’industrie des réfractaires ou la saga des schistes à andalousite en Bretagne », Bulletin du Musée de la pierre (Maffle, Belgique), t. 12, , p. 71-85
    7. Marc Gilbert de Varennes (1591-1660), jésuite français
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Caurel-Edf - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Sainte-Brigitte et Caurel », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Caurel-Edf - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Sainte-Brigitte et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pontivy », sur insee.fr (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    27. http://www.infobretagne.com/sainte-brigitte.htm
    28. http://protestantsbretons.fr/avant-1800/les-salles-de-rohan/
    29. dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne par Jean Ogée, nouvelle édition, tome 2
    30. https://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=3970&dpt=56
    31. « Municipales : Stéphane du Pontavice, maire de Sainte-Brigitte, partagera son mandat avec Anne Le Borgne », sur Actu.fr, (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. Jean Ollivro, "Bretagne. 150 ans d'évolution démographique", Presses Universitaires de Rennes, 2005, (ISBN 2-7535-0086-X).
    37. Notice no PA00089378, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Christian Le Meut, « Décès. Mort de l’écrivain de langue bretonne Herri ar Borgn », sur Le Télégramme, (consulté le ).

    Voir aussi


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Articles connexes



    Liens externes



    На других языках


    [de] Sainte-Brigitte

    Sainte-Brigitte (bretonisch: Berc’hed) ist eine französische Gemeinde mit 179 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Morbihan in der Region Bretagne. Sie gehört zum Gemeindeverband Pontivy Communauté.[1]

    [en] Sainte-Brigitte

    Sainte-Brigitte (French pronunciation: ​[sɛ̃t bʁiʒit]; Breton: Berc'hed) is a commune in the Morbihan department of Brittany in north-western France.[3]

    [es] Sainte-Brigitte

    Sainte-Brigitte (en bretón ) es una población y comuna francesa, situada en la región de Bretaña, departamento de Morbihan, en el distrito de Pontivy y cantón de Cléguérec.
    - [fr] Sainte-Brigitte



    Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

    Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

    2019-2025
    WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии