Saint-Sauveur-Lalande est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine, qu'il ne pas confondre avec Saint-Sauveur, autre commune du même département.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Sauveur-Lalande est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e5-6, est la formation de Guizengeard supérieur (Lutétien supérieur à Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles «no781 - Montpon-Ménestérol» et «no805 - Sainte-Foy-la-Grande» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Carte géologique de Saint-Sauveur-Lalande.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFp :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées
CF :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g1b :
Formation de Boisbreteau moy.: sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses - deuxième séquence différenciée et cartographiée sur la feuille de Sainte-Foy-la-Grande (Rupélien inf. continental)
g1a :
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde: sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Éocène
e7 :
Formation Boisbreteau inf.: sable fin silto-argileux marron, à petits graviers et débris de cuirasses ferrugineuses, argile silteuse (Priabonien sup. continental)
e5-6 :
Formation de Guizengeard sup.: sables feldspathiques micacés, graviers, galets et argiles sableuses, ensemble ferrugineux, versicolore à lentilles argileuses parfois kaoliniques (Lutétien sup. à Bartonien sup. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 53 mètres et 118 mètres[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Landais, au sein de l'unité de paysage «La Double et le Landais», deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[10]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 9,30 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,33 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Tord, le Pazaillac, le Bournazeau et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14,5 km de longueur totale[16],[Carte 1].
Le Tord, d'une longueur totale de 11,5 km, prend sa source dans la commune de Saint-Géraud-de-Corps et se jette dans la Lidoire en rive droite, en limite de Saint-Géraud-de-Corps et de Saint-Rémy, face à Saint-Méard-de-Gurçon[17],[18]. Il borde l'intégralité du sud de la commune sur trois kilomètres, face à Saint-Géraud-de-Corps.
Affluent de rive gauche de l'Isle, le Pazaillac sert de limite naturelle au nord-est sur trois kilomètres et demi, face à Beaupouyet.
Le Bournazeau, affluent de rive gauche du Pazaillac, arrose la commune au nord-est et au nord sur trois kilomètres dont près de la moitié marque la limite avec Saint-Martial-d'Artenset.
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Sauveur-Lalande.
Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Saint-Sauveur-Lalande.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Dordogne Atlantique» et «Isle - Dronne». Le SAGE «Dordogne Atlantique», dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Le SAGE «Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est également l'EPIDOR[20]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].
Au nord, le bassin versant du Pazaillac concerne la majeure partie du territoire communal (environ 60%) et dépend du SAGE Isle - Dronne. Au sud, la zone restante concerne le bassin du Tord, rattaché au SAGE Dordogne Atlantique.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[22]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]
Moyenne annuelle de température: 12,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[26] complétée par des études régionales[27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Port Ste Foy», sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, mise en service en 1956[28] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[29],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,5°C et la hauteur de précipitations de 802,2 mm pour la période 1981-2010[30].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bergerac», sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 23 km[31], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[32], à 13,1°C pour 1981-2010[33], puis à 13,3°C pour 1991-2020[34].
Urbanisme
Typologie
Saint-Sauveur-Lalande est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[35],[36],[37].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpon-Ménestérol, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[38],[39].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,9% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (56,9%), zones agricoles hétérogènes (43,1%)[40].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Saint-Sauveur-Lalande est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[41]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[42].
Saint-Sauveur-Lalande est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[43]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[44],[45].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sauveur-Lalande.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[46]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[47]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[48].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1992 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[41].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Sent Sauvador de la Landa[49].
Histoire
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Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[50],[51].
Dans le domaine judiciaire, Saint-Sauveur-Lalande relève[55]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[57].
En 2019, la commune comptait 149 habitants[Note 10], en augmentation de 3,47% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
253
130
271
220
227
269
278
286
264
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
297
302
270
289
239
227
223
232
220
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
233
225
210
180
180
175
183
191
172
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
148
146
136
121
129
116
118
116
139
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
147
149
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Emploi
En 2015[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent soixante-deux personnes, soit 42,2% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (six) a diminué par rapport à 2010 (huit) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,7%.
Établissements
Au , la commune compte seize établissements[60], dont sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois au niveau des commerces, transports ou services, trois dans l'industrie, deux dans la construction, et un relatif au secteur administratif[61].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le parvis de l'église.
Église de la Transfiguration-de-Notre-Seigneur[62],[63].
Château de Beausoleil, maison de maître construite en 1898 pour les familles Joubert et Prud'homme. La carte de Belleyme, au XVIIIesiècle, mentionne un fief au-lieu-dit Beausoleil. Un acte notarié de 1792 y mentionne un repaire noble[64].
Personnalités liées à la commune
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Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[24].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[25].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884: Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p.264.
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