Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hérault, le ruisseau de l'Avenc et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (les «gorges de l'Hérault» et les «hautes garrigues du Montpelliérais») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Jean-de-Fos est une commune rurale qui compte 1 727 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Jeannifossiens ou Jeannifossiennes.
Géographie
Carte
Saint-Jean-de-Fos est un village situé à la sortie des gorges de l'Hérault, là où le massif de la Séranne (massif calcaire) appelé aussi causses du Larzac, rejoint la plaine de la vallée de l'Hérault. Il se trouve sur les bords de l'Hérault là où le pont du Diable enjambe le fleuve. Le climat est méditerranéen, chaud et ensoleillé.
Le village est en circulade et est à ce titre membre de l'association le réseau des Circulades[réf.nécessaire].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 15°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 17,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Le Pouget», sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6°C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Sete», sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 35 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15°C pour la période 1971-2000[10], à 15,4°C pour 1981-2010[11], puis à 15,8°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[14]:
les «gorges de l'Hérault», d'une superficie de 21 736ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[15]
les «hautes garrigues du Montpelliérais», d'une superficie de 45 444ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30% des effectifs régionaux[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[17]:
la «rivière de l'Hérault de Gignac à Canet» (317ha), couvrant 8 communes du département[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[17]:
le «cours moyen de l'Hérault et de la Lergue» (976ha), couvrant 22 communes du département[19];
le «massif des gorges de l'Hérault et de la Buège» (21 342ha), couvrant 17 communes du département[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Saint-Jean-de-Fos.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Jean-de-Fos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[21],[I 1],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
cultures permanentes (52,6%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17,2%), forêts (12,6%), zones agricoles hétérogènes (10,4%), zones urbanisées (6%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Jean-de-Fos est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hérault et le ruisseau de l'Avenc. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2002 et 2014[26],[24].
Saint-Jean-de-Fos est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[27].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Jean-de-Fos.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 63,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 848 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 383 sont en en aléa moyen ou fort, soit 45%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 751 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 732 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 550 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 036 personnes, parmi lesquelles on compte 77% d'actifs (65,9% ayant un emploi et 11,1% de chômeurs) et 23% d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 370 emplois en 2018, contre 258 en 2013 et 230 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 697, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53,1% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,2%[I 10].
Sur ces 697 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 263 travaillent dans la commune, soit 38% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 79,5% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7% les transports en commun, 10,3% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
164 établissements[Note 12] sont implantés à Saint-Jean-de-Fos au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
164
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
18
11%
(6,7%)
Construction
35
21,3%
(14,1%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
39
23,8%
(28%)
Information et communication
2
1,2%
(3,3%)
Activités financières et d'assurance
6
3,7%
(3,2%)
Activités immobilières
7
4,3%
(5,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
21
12,8%
(17,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
26
15,9%
(14,2%)
Autres activités de services
10
6,1%
(8,1%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,8 % du nombre total d'établissements de la commune (39 sur les 164 entreprises implantées à Saint-Jean-de-Fos), contre 28% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[31]:
Le Roc Pointu, hébergement médicalisé pour personnes âgées (1 261 k€)
Oyas Environnement, fabrication d'articles céramiques à usage domestique ou ornemental (1 256 k€)
Grotte De Clamouse Societe G Vila, gestion des sites et monuments historiques et des attractions touristiques similaires (762 k€)
Chateau De Valloubiere, culture de la vigne (301 k€)
La principale économie du village est la viticulture, l'oléiculture, la production de poterie (11 ateliers et galeries de potiers) et le tourisme avec les visiteurs du pont du Diable et Argileum. De nombreux hébergements touristiques sont proposés.
L'artisanat y est aussi bien implanté. Chaque année le Marché des Potiers réunit 50 exposants pour le plus grand rassemblement autour de la céramique du département.[32]
Agriculture
La commune est dans le «Soubergues», une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 113 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 94 en 2000 puis à 75 en 2010[35] et enfin à 66 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 42% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67% de ses exploitations[36],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 704 ha en 1988 à 507 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 8 ha[35].
Histoire
Monument aux mortsArpentement général du terroir (1767-1768)
On trouve les premières mentions du lieu en 804 sous le nom Litenis.
Le village s'est ensuite développé autour de l'église de St-Jean entre 1031 et 1060 à la suite de la construction du Pont du Diable qui constitue un relais important entre Saint-Guilhem-le-Désert et Aniane.
La place a été successivement fortifiée au Moyen Âge.
Saint-Jean-de-Fos a connu la renommée grâce à ses potiers du XIVeauXVIesiècle. Cette tradition de poterie, notamment la poterie vernissée verte, s'est perpétuée et est toujours visible dans les rues du village au travers d'éléments de faîtages, de descentes de chenaux et de gouttières par exemple.
Les potiers fabriquaient aussi des petites trompes en terre cuite (troïna ou trumpet) qui furent utilisées de la seconde moitié du XVesiècle jusqu'au début du XXesiècle. Les cloches étant «parties à Rome», entre le Jeudi Saint et Pâques, les enfants de chœur, armés de ces petites cornes, trompetaient pour appeler les fidèles à la messe. Le dimanche de Pâques une cérémonie avait lieu sous la croix de la Vierge du Roc Pointu. Il fallait s’emparer de la corne de son voisin et la briser contre le rocher. Le bas du rocher est encore recouvert des tessons accumulés pendant des années[37].
Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, créée en . Elle est baptisée «société populaire régénérée» en floréal an II. Elle compte 88 membres à cette date[38]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Fort-l’Hérault[38].
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1977
1989
Pierre Espinas
1989
2008
Pierre Capelli
mars 2008
2014
Jean-François Ruiz
mars 2014
juin 2018
Guy-Charles Aguilar
SE
Salarié du secteur médical
juillet 2018
En cours
Pascal Delieuze
SE
Démographie
Au dernier recensement, la commune comptait 1727 habitants.
Article détaillé: Recensement en France.
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 232
1 334
1 410
1 423
1 507
1 544
1 518
1 518
1 506
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 489
1 473
1 450
1 366
1 407
1 367
1 218
1 227
1 175
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 200
1 177
1 181
1 050
1 046
1 128
1 064
983
913
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
946
939
861
905
1 011
1 160
1 422
1 460
1 567
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 696
1 727
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Dans la grotte de Clamouse
La grotte de Clamouse, une des plus belles grottes de France
Argileum, le musée de la Poterie
Le Pont du diable sur l'Hérault
L'église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-de-Fos, d’architecture romane et dont la construction a commencé au XIesiècle, complétée d'une tour au XIIesiècle et agrandie au XVIesiècle. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2014[41].
L'église Saint-Géniès de Litenis, église romane des XI-XIIe siècles et située à quelques kilomètres au sud du village. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[42]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[42].
Personnalités liées à la commune
Louis Godefroy, alias «Rivière», né le à Barbaste (Lot-et-Garonne), décédé le à Saint-Jean-de-Fos, résistant français de la Seconde Guerre mondiale, compagnon de la Libération.
Peter Lörincz est un peintre allemand né à Berlin en 1938. Il enseigne aux Beaux-Arts de Mayence en Allemagne. Il s’installe dans le centre de Saint-Jean-de-Fos en 1984, et fait de sa maison, la galerie du Moustique, un atelier. Se définissant comme peintre Pararéaliste, il peint de nombreux édifice de la région. Il meurt le à l'âge de 75 ans. Il est inhumé au cimetière communal de Saint-Jean-de-Fos.[43]
Michel Capmal est un poète français né en 1948 à Saint-Jean-de-Fos.
Jean-Christophe Victor y serait décédé, fin 2016.
Jumelages
Saint-Louis(États-Unis)depuis 1975
Milan(Italie)depuis 1966
[réf.nécessaire]
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes de l'Hérault.
Les armoiries de Saint-Jean-de-Fos se blasonnent ainsi: de vair au pal fuselé d'argent et d'azur.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Pierre David, «L'épidémie de peste à Saint-Jean-de-Fos (17 octobre 1631 - 8 mai 1632)», Cahiers d'arts et traditions rurales, no10, , p.205-214
Groupe Mémoire de Saint-Jean-de-Fos, Cadastre de compois général de toute la paroisse de Saint Jean de Fos au diocèse de Lodève (anno 1678): édition et transcription, S.l., Arts et traditions rurales, , 756p.
Groupe Mémoire de Saint-Jean-de-Fos, Le livre de compoix de Saint-Jean-de-Fos (1610-1612): édition et transcription, S.l., Arts et traditions rurales, , 756p.
Jean-Claude Richard Ralite, «Les moulins et la seigneurie de Clamouse: Saint-Jean-de-Fos», Les Moulins de l'Hérault, no17, , p.141-178
Vayssettes Jean-Louis, Poteries de Saint-Jean-de-Fos, Gignac, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Région Languedoc Roussillon, (ISBN2-910096-07-6)
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales de Saint-Jean-de-Fos (1314-1960) [9,99 ml]. Cote: 267 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
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