Saint-Benoît (Sant Beneset en occitanprovençal) est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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ravins du Riou, de Mallunes, du Gros vallon, de Saint-jean, de la Lare, du Fontanil, du Courtévéras,
torrent le Coulomp.
Climat
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Article détaillé: Climat des Alpes-de-Haute-Provence.
Environnement
La commune compte 1 200ha de bois et forêts, soit plus de la moitié de sa superficie[1].
Voies de communications et transports
Voies routières
Deux petites routes relient le village à la route nationale 202.
Transports en commun
Le chemin de fer est inauguré en 1908: alors qu’il arrivait à pont de Gueydan depuis l’année précédente, le train relie alors Saint-Benoît à Annot dans un sens, et à Nice dans l’autre[4]. La ligne de Nice à Digne est achevée un peu plus tard, et inaugurée du 5 au 7 août 1911 en présence de Victor Augagneur, ministre des Travaux Publics[5].
La commune dispose également d’un arrêt facultatif sur la ligne du train des Pignes[6].
Risques naturels et technologiques
La commune de Saint-Benoît est exposée à trois risques naturels[7]:
feu de forêt,
inondation (dans la vallée de la Vaïre),
mouvement de terrain: plusieurs versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[8].
La commune de Saint-Benoît est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[9]. La départementale RD 900 (ancienne route nationale 100) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[10].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[9] et le Dicrim n’existe pas[11].
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Annot auquel appartient Saint-Benoît est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[12], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[7].
Urbanisme
Typologie
Saint-Benoît est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].
La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,5% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (53,2%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (19%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,3%), zones agricoles hétérogènes (11,5%)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Planification de l'aménagement
La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[20].
Histoire
Le territoire de la commune est fréquenté à l’époque néolithique et à l’âge du bronze (découvertes archéologiques dans les grottes de Saint-Benoît[21], au-dessus du Coulomp[22]).
Le nom du peuple installé dans la vallée à l’arrivée des Romains n’est pas certain, mais il peut s’agir des Nemeturii[23]. Après la Conquête (achevée en 14 av. J.-C.), le territoire de l’actuelle commune de Saint-Benoît est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas[24].
Moyen Âge et Ancien Régime
Le village est initialement installé sur la colline de Villevieille. La fondation au XIIIesiècle d'un prieuré bénédictin par l'abbaye Saint-Dalmas de Valdeblore[25] entraîne le déplacement du village sur son site actuel[26],[27]. Le prieuré passe ensuite à l'abbaye Saint-Dalmas de Pedona (aujourd'hui à Borgo San Dalmazzo)[28]. Les Pontevès sont les seigneurs du lieu aux XIVeetXVesiècles; les Lombard leur succèdent du XVesiècle à la Révolution française[27].
Administrativement, la communauté de Saint-Benoît relevait de la baillie d’Outre-Siagne, circonscription administrative du comté de Provence jusqu’en 1245. Celle-ci est ensuite démembrée en plusieurs circonscriptions plus petites, et après une période de stabilisation, on sait qu’en 1264 Saint-Benoît faisait partie de la viguerie de Puget-Théniers[29]. Elle est ensuite rattachée à celle d’Annot à sa création au XVIIIesiècle[26].
Après la guerre de Cent Ans et une fois la sécurité revenue, de 1442 à 1471, 40 familles quittent les deux villages de Braux et Saint-Benoît pour s'installer dans des régions plus faciles à cultiver, ou dans des fiefs où les paysans sont moins imposés[30].
Révolution française
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[31]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Collet[32].
Période contemporaine
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1830 que le cadastre dit napoléonien de Saint-Benoît est achevé[33].
Au XIXesiècle, une paroisse est créée pour le hameau d’Ourges, qui dessert également le hameau de Jaussiers sur la commune voisine d’Ubraye[26]. Une école est aussi située à Jaussiers, alors que le hameau d’Ourges en est dépourvu[34].
Comme de nombreuses communes du département, Saint-Benoit se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, elle compte déjà deux écoles dispensant une instruction primaire aux garçons, situées au village chef-lieu et au hameau des Clots[34]. Aucune instruction n’est donnée aux filles: ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Saint-Benoît[35],[36]. La deuxième loi Duruy (1877) lui permet, grâce aux subventions de l’État, de rénover l’école du village[37]. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les petites filles de la commune sont scolarisées.
Jusqu’au milieu du XXesiècle, un vignoble existait à Saint-Benoît, dont la production était consommée sur place et s’exportait. Il n’en reste plus rien aujourd’hui[38].
Toponymie
Le nom du village apparaît pour la première fois vers 1200 (castrum sant Benedicti), sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite[39].
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: D’or à une fasce d’azur, chargée d’une crosse épiscopale couchée d’or, et accompagnée de trois joubarbes de sinople, tigées et arrachées du même, posées deux en chef et une en pointe.[40],[41].
Économie
Agriculture
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Industrie-Construction
Une carrière est exploitée par l'entreprise Cozzi, filiale de la SCREG (elle-même filiale via Colas du groupe Bouygues) dans le lit du Var à Pont de Gueydan[42].
L’usine hydroélectrique du Pont de la Donne est située sur la commune de Saint-Benoît (parfois signalée à Annot). Elle utilise les eaux du torrent le Coulomp via une conduite forcée. La turbine ainsi mise en mouvement a une puissance de 3,4 mégawatts[43].
Un inventaire des anciens sites industriels et activités de service a été réalisé[44].
Retraité Président de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière (depuis 2020)
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[48]:
total des produits de fonctionnement: 142 000 €, soit 1 043 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 95 000 €, soit 701 € par habitant;
total des ressources d'investissement: 83 000 €, soit 610 € par habitant;
total des emplois d'investissement: 101 000 €, soit 744 € par habitant;
endettement: 5 000 €, soit 37 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d'habitation: 14,02%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 9,02%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 34,355%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 58,73%;
cotisation foncière des entreprises: 18,65%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014: médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation: 22 502 €[49].
Intercommunalité
Saint-Benoît a fait partie, de 2004 à 2016, de la communauté de communes Terres de Lumière; depuis le , elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019, Saint-Benoit comptait 145 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016, etc. pour Saint-Benoit). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
Évolution de la population [modifier]
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
429
550
396
445
523
512
556
590
548
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
516
479
431
395
392
385
405
415
402
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
379
269
298
258
244
248
191
183
174
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
146
97
71
54
66
85
112
122
129
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2016
2019
-
-
-
-
-
-
-
152
145
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Évolution démographique avant 1765
1471
61 feux
(Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[27])
L’histoire démographique de Saint-Benoît, après la saignée des XIVeetXVesiècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXesiècle, est marquée par une période d’«étale» où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure peu, de 1836 à 1846. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique rapide et de longue durée. En 1901, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841[52]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1970. Depuis, la population a repris sa croissance, doublant en trente ans.
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
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Santé
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Cultes
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Lieux et monuments
Patrimoine civil
Pont dit de la reine Jeanne[53] (faisant référence à la reine Jeanne de Provence): long de 39 m, large de 2,7, en dos-d'âne. L'arche a un diamètre de 29 m et une hauteur sous voûte de 12,5 m. Un pont existait déjà en 1296, trente ans avant la naissance de la reine Jeanne. Le pont actuel, à la construction soignée, date en partie du dernier quart du XVIIesiècle, en partie des années 1728-1735, date de sa dernière reconstruction après une crue. La chaussée, caladée, s’élargit aux extrémités (ailes). Les trous de boulins ayant servi à soutenir le cintre lors de la construction sont encore visibles[54]. L’architecte responsable de sa dernière reconstruction est Tallon[55]. Il est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[56].
Pont de Gueydan, au débouché des gorges de Daluis, date du début des Temps modernes. Les parties conservées (tunnels d’accès et une partie des culées) sont classées monument historique[57]. Il a été doublé par un pont après 1843: tous deux sont détruits à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Un nouveau pont est construit en 1979, avec une arche de 37 m de portée, le tablier étant porté, par l’intermédiaire de voûtes d'élégissement, par deux arcs parallèles et indépendants[58].
Viaduc de chemin de fer du Coulomp.
Patrimoine religieux
L’église paroissiale, sous le titre de Saint-Benoît et le patronage de saint Marc[59] (roman XVIesiècle): autel et porche en marbre. Le mur du chœur intérieur est doublé par un second mur, qui date d’une église précédente (XIIIe ou début du XIVesiècle)[60]. Quant à la nef, elle date de la fin du XVIIesiècle (1677)[61].
Dans son mobilier, un calice du XVIIIesiècle est classé monument historique au titre objet[62].
Le pont de la Reine Jeanne et l'entrée de la grotte de la Lare.
Pont de la Reine Jeanne.
Le village de Saint-Benoît dans la vallée du Coulomp.
Personnalités liées à la commune
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Sources
Bibliographie
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Références
Roger Brunet, «Canton d’Annot», Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence: le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. «Villes et villages de France», 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7)
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 14 août 2012
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p 400
Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 «Peuples et habitats de l’époque pré-romaine», in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire
Brigitte Beaujard, «Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s.», Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
Daniel Thiery, «Saint-Benoît», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 14 août 2012.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p. 194
Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIeauXVIesiècle, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIesiècle, Paris: SEVPEN/EHESS, 1961. Collection «Démographie et société», 5. p.85
Patrice Alphand, «Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p 296-298
Jean-Bernard Lacroix, «Naissance du département», in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p 113
Alexeï Laurent, «Paysages ruraux de la première moitié du XIXesiècle dans le sud-est des Basses-Alpes», in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIesiècles, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains: Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN978-2-86004-016-7), p.10.
Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN978-2-86-004-015-0), p.9.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, vol.3: Formations dialectales (suite); formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll.«Publications romanes et françaises» (no195), , 1852p. (lire en ligne)., § 28315, p 1610
Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition: Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
Terres de Lumière: Dallas, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
Mathieu Ruillet, Éric Ruchet, Étude du potentiel régional pour le développement de la petite hydroélectricite, Groupe énergies renouvelables, environnement et solidarité (GERES), 5 décembre 2005, p. 60
Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre: les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 110
Serge Montens, Les plus beaux ponts de France, Paris, Bonneton, 2001, (ISBN2-86253-275-4), p. 41
Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre, op. cit., Forcalquier 2006, p 111-112
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