Braux et les communes voisines (cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
Le village est situé à 950 m d’altitude, au bout d’une route, dans la vallée du Coulomp[2]. La route qui y mène se poursuit par une piste semi-goudronnée vers le hameau de Chabrières.
Les communes limitrophes de Braux sont Le Fugeret, Castellet-lès-Sausses, Saint-Benoît et Annot.
Bois du Fa au nord du village.
Géologie
Le village est établi sur une résurgence locale de grès datant de l’oligocène (la même que celle qui concerne Annot) au milieu de marnes et de calcaires du jurassique et de l’éocène[3].
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Annot auquel appartient Braux est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[5], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[6]. La commune de Braux est également exposée à trois autres risques naturels[6]:
feu de forêt;
inondation;
mouvement de terrain: la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[7].
La commune de Braux n'est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[8].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[8] et le Dicrim n’existe pas non plus[9].
Le tremblement de terre ressenti de la manière la plus sensible dans la commune est celui du 23 février 1887, avec une intensité macro-sismique de VII sur l’échelle MSK et Imperia-Bussana pour épicentre[10]. Parmi les glissements de terrain et éboulements récents, les plus importants sont ceux de 1978 et du 5 novembre 1994. Celui de 1994 concerne une superficie de 13 hectares sur une épaisseur de 6 m, en dessous du Rocher des Meules (ravin de la Laurière), qui avait emporté plusieurs fermes[11].
Climat
La variété des reliefs lui confère deux types de climat, classés Cfb dans la classification de Köppen et Geiger: méditerranéen et montagnard[12].
Urbanisme
Typologie
Braux est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].
La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92,5% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (90,1%), zones agricoles hétérogènes (7,5%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,4%)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Planification de l'aménagement
La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)[20].
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 44 personnes, dont 5 chômeurs[21]. La répartition entre travailleurs salariés et indépendants est à peu près équilibrée (20 salariés sur 42 actifs)[22]; ils travaillent majoritairement hors de la commune (30 actifs sur 42)[22]. L’essentiel des emplois salariés de la commune se trouvent dans l’administration, avec 7 salariés sur les 9 de la commune[23].
Agriculture
Jusqu’au milieu du XXesiècle, un vignoble existait à Braux, uniquement pour la consommation locale. Il n’en reste plus rien aujourd’hui[24].
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait quatre établissements actifs au sens de l’Insee, sans aucun emploi salarié[23].
Le secret statistique couvre les résultats de l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture: le nombre d’exploitations est passé en dessous du seuil de cinq dans les années 2000, essentiellement des élevages bovins[25]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement baissé, de 221ha à 44ha, alors que le nombre d’exploitations s’effondrait (de 31 à 4)[26].
Une association, le Castagnou de Braou(en occitan: le châtaignier de Braux) restaure les plantations de châtaignier, pour créer une filière économique viable basée sur la transformation de la châtaigne; 3000 pieds de châtaignier sont concernés[27]. Cette action est soutenue par la mission Forêts du Pays A3V, basée à Annot.
La forêt couvre 84% du territoire communal, dont 511 ha pour la forêt communale. Elle constitue une des principales ressources. Elle est composée à 68% de pin sylvestre (exploité pour la charpente, la menuiserie et la trituration), de hêtre (23% de la surface, en progression, exploité comme bois de chauffage), de chêne et diverses autres espèces. Elle fait partie d’une Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[28].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait quatre établissements, employant deux salariés[23].
Une carrière exploitant les calcaires marneux[29] de Barmettes-Pont du Gay[30] est en activité depuis 1987; elle produit des blocs destinés aux enrochements (le long des rivières, sur les coteaux)[29]. Elle est concédée à la société Cozzi[30].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait trois établissements (sans emploi salarié), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif (salariant sept personnes)[23].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[31], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non marchande[32]. Les seules structures d’hébergement existant dans la commune sont des meublés[33],[34]. Ce sont donc les résidences secondaires qui pèsent le plus lourd dans la capacité d’accueil[35], avec 160 unités dont 21 avec plus d’un logement, soit 60% des logements de la commune[36],[37].
L’ensoleillement de la région, le calme de la commune, le cadre naturel préservé, attirent un tourisme non négligeable, notamment de randonneurs. L’été, la population peut atteindre 400 habitants[38]. Plusieurs itinéraires permettant de découvrir la commune, sa flore et sa faune ont été aménagés[39]. La présence de truites de l’espèce salmo trutta, appelée couramment truite fario, non croisée, attire également les pêcheurs (le Coulomp est classé en 1recatégorie). Les anguilles, les barbeaux et les blageons peuvent également être pêchés[40].
Toponymie
Deux étymologies du nom de la commune sont proposées par les toponymistes:
soit Braux dérive du latin: de Bravio est dérivé de barbarus, adjectif signifiant «farouche», ou «taureau», mais dérivant plus probablement du nom propre romain Barbarus[41];
soit, d’après une forme de 739, Braux viendrait par l’intermédiaire de Braccio, du toponyme *br-, pouvant évoquer soit la terre humide, soit plutôt le plateau sur lequel se trouve Braux[42]. Ce toponyme serait probablement antérieur aux Gaulois[43].
Histoire
Le nom du peuple installé dans la vallée à l’arrivée des Romains n’est pas certain, mais il peut s’agir des Nemeturii[44]. Après la Conquête (achevée en 14 av. J.-C.), Auguste organise les Alpes en provinces. Le territoire de l’actuelle commune de Braux dépend de la province des Alpes-Maritimes et est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas[45].
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1147 (de Bravio)[2] et succède à une agglomération perchée, Petra aura, la pierre venteuse[46]. Le village appartenait aux hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem jusqu’à ce qu’il passe aux comtes de Provence en 1351 ou 1352[47]. Contrairement à une légende locale, si les templiers y avaient bien des possessions (consistant en terres et divers droits), ils n’y avaient aucun établissement, ni relais ni commanderie[48]. Jusqu’en 1245, la communauté de Braux relevait de la baillie d’Outre-Siagne, circonscription administrative du comté de Provence. Celle-ci est ensuite démembrée en plusieurs circonscriptions plus petites, et après une période de stabilisation, on sait qu’en 1264 Braux faisait partie de la viguerie de Puget-Théniers[49]. La communauté releva ensuite de la viguerie d’Annot quand elle fut créée au XVIIIesiècle[50]. Jugée trop proche de la communauté de Saint-Benoît pour survivre, Braux fusionne avec sa voisine au début du XIVesiècle (la fusion est effective en 1333)[49].
Les premières plantations de châtaigniers ont lieu en 1551[46].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1831 que le cadastre dit napoléonien de Braux est achevé[51].
En 1859, un canal est creusé sur 7 km de long, pour permettre l’irrigation d’une centaine d’hectares de terres avec l’eau du Coulomp. Il est encore en fonction et entretenu régulièrement (avec de grosses réparations en 1994), sur un périmètre plus réduit (32 ha)[52]. Comme de nombreuses communes du département, Braux se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, une école dispensant une instruction primaire aux garçons fonctionne déjà au village[53]. Aucune instruction n’est donnée aux filles: la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[54]. C’est la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, qui permet l’admission des filles[55].
À Aurent, une motte castrale est élevée au XIesiècle[56]. Aurent est une ancienne commune, d'abord rattachée à Braux en 1932, puis transférée à Castellet-lès-Sausses en 1961[57].
Durant la Seconde Guerre mondiale, le maire Antonin Grac sauve des juifs de la déportation, et a été pour cette raison distingué comme Juste parmi les nations. Parmi ces Juifs, se trouvait Maurice Rheims[58].
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: D'or à une fleur de lys d'azur, surmontée d'une coque de châtaignier de sinople[59],[60].
Une association, le comité des fêtes, organise de nombreux évènements festifs au village.
Intercommunalité
Braux a fait partie, de 2004 à 2016, de la communauté de communes Terres de Lumière; depuis le , elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.
Budget et fiscalité 2016
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[64]:
total des produits de fonctionnement: 295 000 €, soit 2 379 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 158 000 €, soit 1 271 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 75 000 €, soit 607 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 149 000 €, soit 1 202 € par habitant.
endettement: 427 000 €, soit 3 440 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 19,14%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 24,00%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 115,34%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 58,73%;
cotisation foncière des entreprises: 20,21%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014: Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation: 17 119 €[65].
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019 , la commune comptait 127 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2008, 2013, 2018, etc. pour Braux). Les autres «recensements» sont des estimations.
Évolution de la population [modifier]
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1 023
470
402
385
458
454
495
528
538
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
578
540
540
554
560
553
544
510
482
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
461
457
454
425
415
390
377
375
332
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
289
248
206
153
160
133
118
128
131
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2013
2018
2019
-
-
-
-
-
-
122
126
127
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[66].)
Évolution démographique avant 1765
1471
69 feux
(Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[47])
L’histoire démographique de Braux, après la saignée des XIVeetXVesiècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXesiècle, est marquée par une période d’«étale» où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1841 à 1881. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. À Braux, ce mouvement est plus lent que dans le reste du département: la perte de la moitié de sa population du maximum historique de 1851 n’est enregistrée que dans les années 1950[67]. Le mouvement de recul se poursuit jusqu’aux années 1990, avec une stabilisation semble-t-il dans la première décennie du XXIesiècle.
Les établissements d'enseignement les plus proches sont à:
écoles primaires: Daluis;
collège: Annot.
Santé
Des professionnels de santé sont à Annot, Entrevaux.
Cultes
Culte catholique: diocèse de Digne, Riez et Sisteron[69].
Lieux et monuments
Église de Braux.
Le mode de construction des maisons présente un particularisme partagé avec le Fugeret: les maisons anciennes étaient construites en grès (il y a une résurgence), les pignons étant montés en dalles empilées en escalier[70]. La géologie offre un point d'intérêt avec «le Rocher qui tremble»: un roc qui s'est retrouvé en équilibre par l'action de l'érosion sur la roche sur laquelle il repose, et qu'il est possible de faire basculer d'un doigt. Cette particularité géologique était déjà connue au XIIesiècle et évoquée par Gervais de Tilbury dans son livre Les Divertissements pour un empereur[71].
La maison des notaires Béroard, qui retiennent la charge dans leur famille du XVe au XIXesiècle, porte la date de 1714 sur son linteau[72].
sentier partiellement empierré entre le village de Braux, le hameau d’Argenton et au-delà le tombeau gallo-romain[73] (voir commune du Fugeret)
église Saint-Martin[74], construite en 1834, aux arches romanes et au chevet plat[75];
chapelles: Sainte-Madeleine à l’entrée du village, vendue en 1791 comme bien national[50]; chapelle Notre-Dame-du-Serre au Villard[76], qui contient un buste-reliquaire de saint Auxile en bois doré, argenté et peint du XVIIIesiècle, classé au titre objet[77] et un autre buste-reliquaire de saint Aufred, en bois doré, argenté et peint, de la même époque et également classé[78];
pont du Gay, à l’entrée sur le territoire de la commune.
Personnalités liées à la commune
Pierre Arcambot, peintre naïf, né à Braux en avril 1914, retiré à Chabrières, et qui a obtenu en 1978 le grand prix naïf de la Ville de Nice, l'Aigle d'or[79].
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Références
Roger Brunet, «Canton d’Annot», Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence: le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll.«Villes et villages de France», , 72p., relié (ISBN2-7399-5004-7).
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 3 juillet 2012
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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ONF, Braux, op. cit., p 3
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p. 166
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ONF, Braux, op. cit., p 11
Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, , 63p. (ISBN978-2-86004-015-0), p.9.
Labadie, op. cit., p.16.
Labadie, op. cit., p.18.
Parc naturel du Luberon, Autour de l’An Mil en pays de Forcalquier, catalogue d’exposition, 2007, p 31
Christiane Vidal, «Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXesiècle», Provence historique, t.21, no85, , p.289 (e-ISSN2557-2105, lire en ligne, consulté le ).
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