Castellet-lès-Sausses (en occitanCastelet de Saussas) est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence couvre également la commune de Castellet-lès-Sausses.
Les marnes sont présentes en masse plus ou moins importante aux environs d’Entrevaux et surtout du Castellet-lès-Sausses[4].
Sur la commune de Castellet juste en aval de Sausses, une source salée faisait l’objet, dans le passé, d’un petit commerce: l’eau salée était concentrée par évaporation, et la saumure était vendue au litre pour les besoins de l’alimentation[5].
Relief
Castellet-lès-Sausses est un village perché, dominé par le Rocher du Carton (2 598 m).
ravins de Trinquier, de la Gourre, du Riou, des Pourchiers, du Gaut, de la Tuilière, de Mallunes, de Grave Plane, du Pasqueiret, de la Valette, de Farnet,
torrent le Coulomp.
Environnement
La commune compte 1 000ha de bois et forêts, soit 18,5% de sa superficie[1].
Le site est inscrit au titre de la loi de 1930 de protection des paysages par arrêté 01 septembre 1966[11].
Hameaux
Le hameau de Enriez.
Aurent, avec motte castrale élevée au XIesiècle[12], fut abandonné de 1978 à 1980.
Enriez[13] est un hameau qui s'est développé à proximité de la route à la fin du XIXesiècle. Son église dédiée à saint Martin est classée monument historique. Elle possède un tableau donné par Napoléon III en 1869. Une partie du mobilier de l'église paroissiale est classée sur la base Palissy[14],[15].
Agnerc.
Risques naturels et technologiques
Aucune des 198 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Entrevaux auquel appartient Castellet-lès-Sausses est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[16], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[17]. La commune de Castellet-lès-Sausses est également exposée à quatre autres risques naturels[17]:
avalanche,
feu de forêt,
inondation (dans la vallée du Var),
mouvement de terrain: quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[18].
La commune de Castellet-lès-Sausses est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[19]. La route nationale 202 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[20].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[19] mais le Dicrim existe depuis 2011[21].
Les tremblements de terre ressentis de la manière la plus sensible dans la commune sont ceux du 15 mars 1993, avec une intensité macro-sismique de III et demi sur l’échelle MSK et Demonte pour épicentre, et celui du 5 avril 1959, avec une intensité de III et demi et Saint-Paul-sur-Ubaye pour épicentre[22].
Climat
Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[23].
Article détaillé: Climat des Alpes-de-Haute-Provence.
Urbanisme
Typologie
Castellet-lès-Sausses est une commune rurale[Note 1],[24]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[25],[26].
La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,1% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (38,9%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,9%), forêts (27,3%), zones agricoles hétérogènes (1,3%), prairies (0,6%)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].
Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIIIesiècle (Castelletum de Salsis, soit petit château près de Sausses)[2],[31]. Selon Ernest Nègre, le nom apparaît pour la première fois vers 1200, avec le sens de petit village fortifié, sans château[32]. La présence d’un couvent, attribué par la tradition aux Templiers, changea le nom en Castellum monasterium. Selon Joseph-Antoine Durbec, la maison attribuée aux Templiers est un exemple de faux établissement templier, l’ordre n’ayant jamais rien possédé à Castellet-lès-Sausses[33].
Le lieu-dit Moustiers est connu depuis 1376 (ecclesia Mostayreti)[34].
Selon Ernest Nègre, le nom du village d’Aurent, ancienne commune, apparu dans les textes vers 1200 (Aurens), vient du peuple des Auriensis, ou du nom de lieu Orense, en Espagne, devenu un nom de famille romain[35]. Selon Charles Rostaing, l’origine du toponyme est probablement antérieure aux Gaulois[36].
Histoire
Castellet-lès-Sausses, église et village.
Après la conquête romaine (achevée en 14 av. J.-C.), Auguste organise les Alpes en provinces. Le territoire de l’actuelle commune de Castellet dépend de la province des Alpes-Maritimes et est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas[37].
Le fief de Castellet-lès-Sausses était très morcelé. Il fut néanmoins érigé en marquisat avec Aurent pour Gaspard de Gueidan[31].
La Bastide constituait un fief et une communauté au Moyen Âge[31].
Jusqu’en 1245, la communauté de Castellet relevait de la baillie d’Outre-Siagne, circonscription administrative du comté de Provence. Celle-ci est ensuite démembrée en plusieurs circonscriptions plus petites, et après une période de stabilisation, on sait que Castellet est rattachée à la viguerie de Puget-Théniers[38]. Elle releva de la viguerie d’Annot dès sa création au XVIIIesiècle[39]. Castellet-lès-Sausses était exemptée du paiement du fouage, impôt comtal prélevé en proportion du nombre de feux de chaque communauté[40].
Le bois des forêts de Castellet était coupé et acheminé par flottage sur le Var pour être utilisé dans la construction de navires à l’arsenal de Toulon, à partir de la seconde moitié du XVIIesiècle. Cette pratique a perduré jusqu’au début du XXesiècle et l’arrivée du chemin de fer, avec d’autres usages pour le bois, dont la construction du port de Nice à partir de 1749[41].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[42].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités. Dès 1818, les cadastres dit napoléoniens d’Aurent et de Castellet-lès-Sausses sont achevés[43].
En 1845, une paroisse fut créée à Enriez[44]. Comme de nombreuses communes du département, Castellet-lès-Sausses se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, deux écoles dispensant une instruction primaire aux garçons fonctionnent, à Castellet et à Enriez[45]. Aucune instruction n’est donnée aux filles: ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent pas la commune[46],[47]. Si les subventions accordées par la deuxième loi Duruy (1877) permettent de rénover les deux écoles[48], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les petites filles de la commune sont scolarisées.
Aurent est rattaché à Castellet-lès-Sausses en 1961, après avoir été rattaché à Braux de 1932 à 1961[49]. Elle comptait 91 habitants en 1765[31]. Elle aussi comptait une école en 1863[45], réservée aux garçons[46],[47] et remplacée par un bâtiment neuf grâce aux subventions de la deuxième loi Duruy[48].
Jusqu’au milieu du XXesiècle, un vignoble existait à Castellet-lès-Sausses, dont la production était consommée sur place et s’exportait. Il n’en reste plus rien aujourd’hui[50].
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: De gueules à trois tours d'argent, maçonnées de sable, accompagnées en pointe d'une fleur de lys d'or, avec cette inscription autour: CASTELET en lettres de sable.[51],[52]
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[57]:
total des produits de fonctionnement: 189 000 €, soit 1 397 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 129 000 €, soit 957 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 149 000 €, soit 1 107 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 149 000 €, soit 1 104 € par habitant.
endettement: 63 000 €, soit 466 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 14,37%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 18,91%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 59,32%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00% ;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017: Médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation: 19 050 €[58].
Intercommunalité
Castellet-lès-Sausses fait partie:
de 2008 à 2016 de la communauté de communes du Pays d'Entrevaux[59];
à partir du , de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[60].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019, Castellet-lès-Sausses comptait 138 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2008, 2013, 2018, etc. pour Castellet-lès-Sausses). Les autres «recensements» sont des estimations.
Évolution de la population [modifier]
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
363
370
330
340
369
405
441
450
444
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
452
469
427
410
423
434
459
370
356
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
343
348
347
303
250
218
171
160
151
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
139
152
134
104
114
119
106
111
113
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2013
2018
2019
-
-
-
-
-
-
131
141
138
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[61].)
Évolution démographique avant 1793
1471
47 feux
(Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[31])
L’histoire démographique de Castellet-lès-Sausses, après le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXesiècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1836 à 1881. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1926, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population du maximum historique de 1856[62]. Le mouvement de recul se poursuit jusqu’aux années 1970. Depuis, la population s’est stabilisée au-dessus de la centaine d’habitants.
Culte catholique, paroisse paroisse Annot-Entrevaux et des villages de Braux, Castellet-les-Sausses, Enriez, Iscle de Vergons, le Fugeret, Meailles, Rouaine, Rouainette, Val de Chalvagne, Saint Benoit, Sausses, Touyet, Ubraye[65],[66], Diocèse de Digne.
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 32 personnes, dont 1 chômeur[67]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (22 sur 32)[68] et travaillent majoritairement hors de la commune (23 actifs sur 32)[68].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait trois établissements actifs au sens de l’Insee et un emploi salarié[69].
Le faible nombre d’exploitations est couvert par le secret statistique, dans l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture[70]. Il était de quatre en 2000[70], de douze en 1988[71]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement baissé, de 266ha à 113ha[71]. Actuellement[Quand?], les exploitations de la commune sont des élevages, les maraîchers et autres exploitants ayant des cultures permanentes ont disparu dans les années 2000[70].
La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à des surfaces restreintes. Le terroir de Castellet-lès-Sausses se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres. Actuellement[Quand?], l’oliveraie communale ne dépasse pas les 1000 pieds[72].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait trois établissements, sans emploi salarié[69].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait six établissements (avec deux emplois salariés), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant deux personnes[69].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est assez importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[73], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande[74]. Aucune structure d’hébergement spécialisée n’est recensée dans la commune. Dans ces conditions, les résidences secondaires apportent la seule capacité d’accueil[75]: avec 108 résidences secondaires, elles comptent pour plus des deux tiers des logements. Huit résidences secondaires possèdent plus d’un logement[76],[77].
Lieux et monuments
Grotte des Chamois
Depuis 2007, une équipe de spéléologues cartographie une grotte[78] où le Coulomp prend sa source[79] qui a un débit annuel moyen d'environ 1 100 L/s. Le réseau de galeries fait plus de quatorze kilomètres de long pour 390 m (-67; + 323) de dénivelé; le «Coulomp souterrain» formant ainsi une vaste rivière souterraine qui donne naissance par une cascade au torrent du Coulomp[80]. Les pertes des lacs de Lignin situées sur la commune de Colmars-les-Alpes sont à l'origine des eaux souterraines[81]. De 2010 à 2013, un conduit naturel de 40 m a été élargi pour servir de seconde entrée, la grotte des Fantasmes[82],[83] située sur la commune de Méailles.
Architecture civile
Le village sur son piton rocheux.
Le village, sur un piton rocheux, est considéré comme pittoresque par les historiens Duby et Baratier[31]. Le village d’Aurent se signale en constituant une pointe vers le sud de la zone où les maisons ont, traditionnellement, une couverture de montagne: bardeaux anciennement, lauzes et tuiles en écailles, sur toits à forte pente[84].
Sur la place de Castellet, une maison seigneuriale, dite le «château», a subi des travaux qui lui ont fait perdre tout caractère distinct[85].
À Enriez, le château est un bâtiment encadré de deux tours rondes, dont une incomplète (gentilhommière des XVIIe-XVIIIesiècles)[85].
Le pont de Gueydan est signalé par Raymond Collier[86].
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.Clocher de l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
Article détaillé: Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Castellet-lès-Sausses.
L’église romane Saint-Pierre-et-Saint-Paul (ou Sainte-Magdeleine), à Castellet, du XIVesiècle, est classée monument historique[88]. Construite au sommet du village, elle domine la vallée du Var d’environ 300 m[89]. Construite à la fin du XIIIesiècle, elle dépendait de l’abbaye San Dalmazzo da Pedona (Piémont). Les trois travées sont coupées par des arcs doubleaux simples, celle du chœur est moins élevée. Elle possède une abside derrière le chœur. Elle se signale surtout par sa position, au sommet de la montagne rocheuse qui porte le village, roc qu’elle semble prolonger[90]. Elle est ornée de peintures «en bon état et d’assez bon goût» (Raymond Collier), dont les motifs sont peints dans des quadrilobes[91]. La croix de procession, en cuivre argenté, est ornée, au bout de chaque branche, de représentations en bas-relief, une sur chaque face. Cette croix, datant du XVIesiècle, est classée monument historique au titre objet[92].
L’église Saint-Martin, à Enriez, XIXesiècle: elle remplace en 1866 une ancienne église de 30 m2 (dont la démolition a permis de dégager l’actuelle place). Le clocher est construit en 1878. Le sol est pavé de terre cuite[93].
Chapelle Sainte-Madeleine.
L’église Saint-Pons, à Aurent (entre 1600 et 1650): la voûte en berceau est recouverte intérieurement d'un lambris enduit. Les bardeaux ont été recouverts de tôle plate, le clocher est couvert de lauzes. Au XIXe, elle était pavée de galets[94].
La chapelle Sainte-Madeleine (XIIIesiècle)[95], sur la place du village de Castellet, en pierre bien taillée. Elle a été voûtée, mais est actuellement plafonnée[96]. Elle a été réparée avant 1892 et en 1967[39]. Autres chapelles:
Boeuf (Victor, Antonin, Firmin), né le 16 mars 1905 à Castellet-lès-Sausses (Basses-Alpes), décédé le 18 avril 1945 à Bergen (Allemagne), personne morte en déportation[105].
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Groupe Chiroptères de Provence (2008). Étude des terrains de chasse du Petit rhinolophe sur les sites N2000 des «Entraunes» FR9301549 et de «Castellet les Sausses et Gorges de Daluis» FR9301554. 39 p.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Références
Roger Brunet, «Canton d’Entrevaux», Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7)
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 22 novembre 2011, consultée le 5 juillet 2012
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p. 169
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, vol.3: Formations dialectales (suite); formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll.«Publications romanes et françaises» (no195), , 1852p. (lire en ligne). § 26665, p 1466
Joseph-Antoine Durbec (préf.Jacques Juillet), Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes, Grenoble, Le Mercure Dauphinois, , 430p. (ISBN978-2-9138-2613-7, présentation en ligne), p 132
Ernest Nègre, op. cit., § 27445, p 1518
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, vol.1: Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll.«Publications romanes et françaises» (no193), , 1869p. (ISBN978-2-600-02884-4, lire en ligne). § 10616, p 641
Charles Rostaing, «Toponymie d’origine pré-gauloise» in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
Brigitte Beaujard, «Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s.», Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
Daniel Thiery, «Castellet-lès-Sausses», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 20 décembre 2010, consulté le 5 juillet 2012
P. Jansen, op. cit., p. 14
Luc Thévenon, «Le flottage des bois sur le Var et ses problèmes», La forêt et le bois en Provence, Actes des 11es journées d’étude de l’espace provençal, Mouans-Sartoux, 13-14 mai 2000, Mouans-Sartoux, Centre régional de documentation occitane, (ISBN2-9509775-7-X), p.67.
Patrice Alphand, «Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p 296-298
Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIesiècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains: Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN978-2-86004-016-7), p.10.
Ministère de l'Agriculture, «Orientation technico-économique de l’exploitation», Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien: attention, le fichier fait 4,4 Mio)
La grotte des Chamois a pour coordonnées 44° 03′ 03″ N, 6° 41′ 56″ E.
Jean-Claude Nobécourt, Philippe Audra, «La Grotte des Chamois», Chroniques de Haute-Provence, 2012, no 368, p. 47-68
Sylvain Kahn, « L'eau souterraine est elle l'avenir de la planète? », émission Planète terre sur France Culture, 3 octobre 2012.
Jean-Claude d’Antoni-Nobécourt et Philippe Audra, Fédération française de spéléologie, «Un –1 000 dans les Alpes-de-Haute-Provence?», Spelunca., Paris, Fédération française de spéléologie, no133, , p.25-31 (ISSN0249-0544, lire en ligne).
G. D., «Victoire pour les explorateurs de la grotte des Chamois», La Provence, 2 novembre 2013, p.3.
Raymond Collier, Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p., p 345
Raymond Collier, op. cit., p 270
Raymond Collier, op. cit., p 422
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Castellet-lès-Sausses, p. 245
Arrêté du 25 octobre 1971, Notice noPA00080363, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 octobre 2008
Jacques Morel, Guides des Abbayes et des Prieurés: chartreuses, prieurés, couvents. Centre-Est & Sud-Est de la France, Éditions aux Arts, Paris, 1999. (ISBN2-84010-034-7), p 60
Raymond Collier, op. cit., p 116
Raymond Collier, op. cit., p 488
Notice noPM04000066, base Palissy, ministère français de la Culture croix de procession
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