Comprise dans l'aire urbaine de Sarlat-la-Canéda, la commune de Saint-André-d'Allas est implantée en Périgord noir, cinq kilomètres à l'ouest de Sarlat-la-Canéda.
Communes limitrophes
Carte de Saint-André-d'Allas et des communes avoisinantes en 2016, avant la création des communes nouvelles de Castels et Bézenac, puis des Eyzies.
Saint-André-d'Allas est limitrophe de sept autres communes, dont Les Eyzies au nord-ouest sur environ 300 mètres.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-André-d'Allas est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3b-c, date du Coniacien moyen à supérieur, composée de calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille «no808 - Sarlat-la-Canéda» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Carte géologique de Saint-André-d'Allas.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup.: argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c5a(1) :
Campanien 1 (base): calcaire blanc à alvéolines
c4b-c :
Santonien moy. à sup.: calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac). Faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes
c4b :
Santonien moy.: Calcaires crayo-argileux, marnes et calcaires argileux à huîtres (P. vesicularis) (formation du Peuch)
c4a(Bs) :
Santonien inf.: marnes à huîtres, calcaires crayeux gris en plaquettes à bryozoaires, puis grès carbonatés et sables jaunes (formation de Boussitran)
c3b-c :
Coniacien moy. à sup.: calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies)
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.3)
non présent
Trias (201.3 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le bourg de Saint-André-d'Allas, entouré par la forêt.
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 106 mètres et 287 mètres[5],[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 28,77 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 29,49 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Petite Beune, le ruisseau de Pontou, le ruisseau d'Allas et le ruisseau de Puymartin, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[14],[Carte 1].
La Petite Beune, ou Beune du Paradoux dans sa partie amont, d'une longueur totale de 11,74 km, prend sa source dans la commune de Marquay et se jette dans la Grande Beune en rive gauche aux Eyzies, en bordure de la RD 47[15]. Elle arrose le nord-ouest de la commune sur près de deux kilomètres dont une partie sert de limite territoriale face à Marquay.
Son affluent de rive gauche le ruisseau de Puymartin baigne le nord-ouest du territoire communal sur plus de trois kilomètres et demi.
Le ruisseau d'Allas, affluent gauche du ruisseau de Puymartin, prend sa source sur la commune qu'il baigne sur 1,3 kilomètre.
Affluent de rive droite de la Dordogne, le ruisseau de Pontou prend sa source sur la commune et l'arrose en direction du sud sur plus de trois kilomètres et demi dont 800 mètres lui servent de limite naturelle, face à Vézac.
Réseaux hydrographique et routier de Saint-André-d'Allas.
Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Saint-André-d'Allas.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Dordogne amont» et «Vézère-Corrèze». Le SAGE «Dordogne amont», dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Le SAGE «Vézère-Corrèze», dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[17]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].
Au nord, près des deux tiers du territoire communal correspondent au bassin versant des Beunes et dépendent du SAGE Vézère-Corrèze. Au sud, la zone restante est rattachée au SAGE Dordogne amont.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]
Moyenne annuelle de température: 12,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Sarlat», sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[25] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,2°C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[27].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 24 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[29], à 12,7°C pour 1981-2010[30], puis à 13,1°C pour 1991-2020[31].
Urbanisme
Typologie
Saint-André-d'Allas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35],[36].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,1% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (71,1%), zones agricoles hétérogènes (24,8%), prairies (4,1%)[37].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Saint-André-d'Allas est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].
Saint-André-d'Allas est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[40]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[41],[42].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-André-d'Allas.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[43]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[44]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[45]. 8,1% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[46].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997 et 1999, par la sécheresse en 1989, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[38].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Sent Andriu e Alàs[47].
Histoire
Préhistoire
Moustérien et Aurignacien au site de plein air du Dau[48] (à 2,6 km au sud-ouest du bourg, près de la limite de commune avec Beynac-et-Cazenac[49]).
XIXesiècle
En 1825, la commune d'Allas-l'Évêque fusionne avec Saint-André-d'Allas. Ladite commune d'Allas-l'Évêque porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom d'Allas-la-Liberté[50].
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[51],[52].
Dans le domaine judiciaire, Saint-André-d'Allas relève[55]:
du tribunal de proximité et du tribunal paritaire des baux ruraux de Sarlat-la-Canéda;
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
Jusqu'en 1825, les communes d'Allas-l'Évêque et de Saint-André étaient indépendantes. En 1825, Allas-l'Évêque fusionne avec Saint-André qui devient Saint-André-d'Allas.
Démographie de Saint-André, puis de Saint-André-d'Allas
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[57].
En 2019, la commune comptait 856 habitants[Note 10], en augmentation de 4,01% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
757
522
516
398
817
956
908
937
1 027
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 049
1 049
963
965
927
898
846
795
759
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
716
728
679
579
582
555
539
471
419
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
393
355
351
444
529
592
658
683
772
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
830
856
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Emploi
En 2015[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 392 personnes, soit 47,3% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinquante-quatre) a augmenté par rapport à 2010 (trente-quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,8%.
Établissements
Au , la commune compte 71 établissements[60], dont quarante-huit au niveau des commerces, transports ou services, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatre dans la construction, et deux dans l'industrie[61].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château du Roc ou du Roch, XVIIIesiècle, inscrit au titre des Monuments historiques en 1948[62];
Les cabanes du Breuil, XIXesiècle, cabanes en pierres sèches, classées au titre des Monuments historiques en 1995[63];
L'église Saint-André, église du bourg de Saint-André-d'Allas, du XIVesiècle-XVesiècle, inscrite au titre des Monuments historiques en 1926[64];
L'église Saint-Barthélemy, église du hameau d'Allas-l'Evêque, du XIIIesiècle, inscrite au titre des Monuments historiques en 1926[65];
Autel, dit aussi croix de Lassagne, du XVIesiècle, classé au titre des Monuments historiques en 1931[66]
Grotte du Pas-Estrét, gisement du Roch et abri sous roche, classés au titre des Monuments historiques en 1932[67].
Le château du Roc.
Les cabanes du Breuil.
Les cabanes du Breuil.
L'église Saint-André de Saint-André-d'Allas.
L'église Saint-Barthélemy d'Allas-l'Evêque.
Personnalités liées à la commune
Édouard Kauffmann (1895-1944), lieutenant-colonel qui appartenait au réseau de résistance Alliance et qui fut fusillé par les Allemands, inhumé à Saint-André-d'Allas[68].
Max Favalelli (1905-1989), journaliste français, homme de lettres, concepteur de mots croisés et juge arbitre de jeux télévisés, inhumé à Saint-André-d'Allas[68].
Maurice Southgate (1913-1990), agent secret britannique inhumé à Saint-André-d'Allas.
Maurice Pinguet (1929 - 1991), directeur de l’Institut franco-japonais de Tokyo de 1963 à 1968, professeur à la Sorbonne de 1968 à 1969, professeur de littérature française à l’Université de Tokyo à partir de 1979. Auteur de nombreuses publications en revue sur la littérature et les civilisations française et japonaise, il publia en 1985 La Mort volontaire au Japon, inhumé à Saint-André-d'Allas[68].
Héraldique
Blason
De gueules à la cabane de pierre cousue d'azur et ouverte du champ; au chef cousu d'azur chargé d'un sautoir réduit cousu de gueules.
* Ces armes emploient le terme «cousu» dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs: elles sont fautives.
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
[White 2002] Randall White, «Une nouvelle statuette phallo-féminine paléolithique: «la vénus des Milandes» (commune de Castelnaud-la-Chapelle, Dordogne)», Paléo, no14, , p.177-198 (lire en ligne[sur researchgate.net], consulté le ), p.179.
«Saint-André-d'Allas, carte interactive» sur Géoportail. Couches «Cartes IGN classiques», «Limites administratives» et «Hydrographie» activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
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