Prignac-et-Marcamps est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
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Prignac-et-Marcamps | |
La mairie et le monument aux morts. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Gironde |
Arrondissement | Blaye |
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Cubzaguais |
Maire Mandat |
Francis Bérard 2021-2026 |
Code postal | 33710 |
Code commune | 33339 |
Démographie | |
Gentilé | Prignacais |
Population municipale |
1 374 hab. (2019 ![]() |
Densité | 142 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 02′ 00″ nord, 0° 29′ 32″ ouest |
Altitude | Min. 2 m Max. 42 m |
Superficie | 9,66 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Bordeaux (banlieue) |
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de l'Estuaire |
Législatives | Onzième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.prignacetmarcamps.fr |
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La commune se trouve dans la partie nord du département de la Gironde, avec le département de la Charente-Maritime à 26 km au nord.
Elle est située sur la D.669 entre Blaye à 22 km au nord-ouest, Saint-André-de-Cubzac à 6 km au sud-est et la rive droite de la Dordogne formant sa limite sud[1],[2].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux et de son unité urbaine. Elle faisait auparavant partie de l'unité urbaine de Saint-André-de-Cubzac absorbée par celle de Bordeaux selon la délimitation de 2020.
Bordeaux est à 31 km au sud[2]
|
Tauriac | Saint-Laurent-d'Arce | |
Bourg | ![]() |
Saint-Gervais |
Ambès | Saint-Vincent-de-Paul |
La Dordogne arrose le sud de la commune ; sa confluence avec la rive droite de la Garonne est à 7,7 km en aval.
Le Moron arrose l'ouest de la commune et se jette dans la Dordogne en rive droite[1].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gervais », sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 784,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 24 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Prignac-et-Marcamps[16],[17]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[18].
Prignac-et-Marcamps fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[19],[20], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[21].
Prignac-et-Marcamps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[25] et 986 879 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[28],[29].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,2 %), prairies (24,5 %), eaux continentales[Note 7] (13,2 %), zones urbanisées (9,9 %), forêts (9,5 %), terres arables (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Prignac-et-Marcamps est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[33]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[34]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2010[35],[31].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[36]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 90,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 610 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 610 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[31].
Le nom de la commune proviendrait, pour la partie Prignac, de l'anthroponyme latin Prinius[39] augmenté du suffixe locatif -ac(um).
Pour la partie Marcamps, l'origine en serait la contraction de l'anthroponyme latin Marcus et du terme latin campus, les « terres », la « ferme » et désignerait donc la ferme de Marcus[39].
En gascon, le nom de la commune est Prinhac e Marcamps.
Datant du Paléolithique supérieur et habitée environ 40 000 ans avant le présent, Pair-non-Pair a été découverte en 1881 et est classée au titre des monuments historiques depuis 1900[40].
La grotte des Fées de Prignac-et-Marcamps est découverte en 1873 par F. Daleau, qui la fouille en compagnie de J.-B. Grassies. Elle se trouve près de la grotte de Pair-non-Pair, à la sortie du village de Marcamps, en rive gauche et en haut du massif calcaire qui domine la vallée du Moron[1],[41].
Sa surface est d'environ 40 m2[41]. C'est un gisement préhistorique du « Magdalénien à pointes de Lussac-Angles »[42],[43], bien qu'elle présente plusieurs stades du Magdalénien, principalement M. supérieur[41].
Parmi le mobilier collecté, quatre pièces de la collection Daleau ont peut-être servi comme lampes-brûloirs[41].
Les premières comparaisons ethnologiques concernant des fours enterrés (« fours polynésiens ») semblent avoir été effectuées à propos des structures découvertes à la grotte des Fées (de Prignac-et-Marcamps en Gironde) et à la grotte des Scilles (grottes de la Save, Lespugue, Haute-Garonne), en contexte Paléolithique[44].
Le musée d'Aquitaine (à Bordeaux) abrite une partie du matériel trouvé dans la grotte des Fées[41].
Il se trouve en contrebas de la grotte des Fées, sur un large talus abrupt qui descend jusqu'à la vallée[45].
Site du Magdalénien moyen connu pour avoir livré de nombreuses navettes en os[46],[47]. C'est le seul abri sous roche connu pour avoir livré un « porte-lumière » fait d'une simple plaquette (lampe no 16)[48]. Les autres lampes trouvées dans cet abri ont des cupules. L'une d'elles (la no 13) a été utilisée avec du suif de bœuf[49], trois autres (les nos 1, 5 et 6) avec un corps gras ressemblant à du lard de porc[50]. Une autre encore (la no 2) porte 3 lignes gravées[51] traversant la margelle[52].
Le fut célébré le mariage de Mathe d'Albret, fille d'Amanieu VII et veuve du dernier vicomte de Tartas, avec Élie Rudel, seigneur de Bergerac, dans l'église Saint-Michel de Marcamps[53].
Au XVe siècle, Bertrand IV de Montferrand, baron de Montferrand et de Langoiran est seigneur de Marcamps[54].
La commune est le résultat de la fusion de trois paroisses : Prignac (sur la route de Blaye), Marcamps (plus au nord, sur les coteaux au-dessus de la vallée du Moron), Cazelle (plus au sud, en descendant vers la Dordogne). Les trois églises existent encore. À cela il faut ajouter l'ancienne chapelle du prieuré de Lurzine, non loin du bourg de Prignac.
À la Révolution, la paroisse Saint-Pierre de Prignac forme la commune de Prignac et son annexe, Saint-Michel de Marcamps, forme la commune de Marcamps. La paroisse Saint-Félix de Cazelles et son annexe, Sainte-Quitterie de Magrigne, forment la commune de Cazelles. En l'an XII, la commune de Cazelles est rattachée à celle de Prignac qui devient Prignac-et-Cazelles. Le , la commune de Marcamps est rattachée à celle de Prignac-et-Cazelles qui devient Prignac-et-Marcamps[55].
Le la commune change de région : l'Aquitaine, à laquelle appartenait Prignac-et-Marcamps, fusionne avec le Limousin et Poitou-Charentes pour devenir la région « Nouvelle-Aquitaine » (cette dernière réunie à la nouvelle région « Occitanie » pour former le « Grand Sud-Ouest français »).
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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avant 1981 | ? | Raymond Prévot | PS | |
18 mars 2001 | 31 mars 2013 | Max Jean-Jean | PS | Conseiller général du canton de Bourg (2004-2013) décédé en fonctions |
7 juin 2013 | 30 mars 2014 | Hervé Granchère (intérim) | ||
30 mars 2014 | juillet 2020 | Michel Gaillard | DVD | Retraité |
juillet 2020 | juillet 2021 | Marie-Christine Bouchet | ||
juillet 2021 | octobre 2021 | Jean-Luc Bardeau | maire par intérim | |
octobre 2021 | En cours | Francis Bérard | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
Les habitants sont appelés les Prignacais[56].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[58].
En 2019, la commune comptait 1 374 habitants[Note 8], en diminution de 1,43 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
272 | 259 | 784 | 446 | 440 | 440 | 466 | 475 | 425 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
425 | 414 | 421 | 406 | 410 | 424 | 423 | 422 | 425 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
462 | 447 | 430 | 389 | 353 | 361 | 359 | 309 | 364 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
410 | 812 | 1 069 | 1 262 | 1 268 | 1 286 | 1 353 | 1 362 | 1 384 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 379 | 1 374 | - | - | - | - | - | - | - |
Elle est classée monument historique depuis 1900[40].
Gisement préhistorique du Magdalénien.
Site du Magdalénien moyen.
Vestiges d'un prieuré bénédictin du XIIe siècle. Les ruines sont inscrites[61] aux Monuments Historiques en 1925.
L'église Saint-Félix datait du XIIe siècle. Le , le cardinal François Uguccione prend une ordonnance réunissant le prieuré de Saint-Laurent d'Arces avec l'église Saint-Félix de Cazelles. Entre 1401 et 1870, pas de trace connue de l'église dans les archives. En 1870 l'église est démolie, à l’exception de son abside qui est vendue à un particulier. L'abside est fermée par un nouveau mur de façade et transformée en chapelle funéraire.
Elle a été construite dans la seconde moitié du XIXe siècle en style néo-gothique à la demande du cardinal Donnet[62].
D'architecture romane, construite au XIIe siècle, agrandie au XVIIe siècle et restaurée au XIXe siècle, elle est devenue un établissement culturel pour manifestations diverses, concerts ou expositions par exemple[63].
Édifié en 1763 sur les bases d'une ancienne demeure, le château Grand-Jour a appartenu aux familles de Lavergne, Mirande de Peyredoulle et de Lachassaigne. En 1830, il est acheté par Pierre Castanet qui restaure la demeure[65]. En 1986, Mme Gaignerot, sa descendante, vend le château. Il a été depuis le lieu de tournage du téléfilm La Bicyclette bleue avec Lætitia Casta, puis de la saga La Maison des Rocheville.
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Blason | D'argent au mammouth contourné au naturel défendu du champ sur une terrasse isolée de sinople, le tout soutenu de l'inscription PMC en lettres capitales d'argent accolées 2 et 1 et surmonté de l'inscription « PRIGNAC et MARCAMPS » de sable. |
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Détails | La représentation du mammouth renvoie à la période préhistorique et évoque la grotte de Pair-non-Pair ; les lettres P, M, C signifient Prignac, Marcamps, Cazelles. Officiel, présent sur le site internet de la commune[66] (création : Raymond Prevot). |
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Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 1, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne) : article 2.XIV, pages 270-271.