Bourg est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
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Bourg-sur-Gironde redirige ici.
Bourg | |
![]() La citadelle et la Dordogne. | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Gironde |
Arrondissement | Blaye |
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Cubzaguais |
Maire Mandat |
Pierre Joly 2020-2026 |
Code postal | 33710 |
Code commune | 33067 |
Démographie | |
Gentilé | Bourquais |
Population municipale |
2 278 hab. (2019 ![]() |
Densité | 216 hab./km2 |
Population agglomération |
5 545 hab. (2019) |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 02′ 27″ nord, 0° 33′ 22″ ouest |
Altitude | Min. 1 m Max. 81 m |
Superficie | 10,54 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Bourg (ville-centre) |
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de l'Estuaire |
Législatives | Onzième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.bourg-gironde.net/ |
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Le nom officiel de la commune est bien Bourg, mais elle est souvent appelée Bourg-sur-Gironde[1].
Commune située en Haute Gironde et sur la Dordogne, au niveau de sa confluence avec la Garonne au début de l'estuaire de la Gironde. Elle est la ville-centre d'une unité urbaine de l'aire d'attraction de Bordeaux.
Les communes limitrophes sont Lansac, Ambès, Prignac-et-Marcamps, Saint-Seurin-de-Bourg, Samonac et Tauriac.
Samonac | Lansac | |
Saint-Seurin-de-Bourg | ![]() |
Tauriac |
Ambès | Prignac-et-Marcamps |
La superficie de la commune est de 1 054 hectares ; son altitude varie de 1 à 81 mètres[2].
La commune est traversée par le Moron.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gervais », sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 784,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 23 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Bourg[16],[17]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[18].
Hormis pour la partie riveraine de la Dordogne en aval de sa confluence avec le ruisseau des Marguerites, Bourg fait partie des 102 communes concernées par une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, La Dordogne[19],[20], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[21].
Bourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bourg, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[25] et 5 545 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[28],[29].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (64 %), eaux continentales[Note 7] (20,9 %), prairies (8,2 %), zones urbanisées (6,7 %), forêts (0,3 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
La principale voie de communication routière qui traverse la ville est l'ancienne route nationale 669, devenue route départementale 669, entre Blaye et Saint-André-de-Cubzac.
Le territoire de la commune de Bourg est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[33]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[34]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1988, 1992, 1999, 2009 et 2013[35],[31].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[36]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 81,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 001 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 001 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1994, 1999 et 2001[31].
Le nom de la commune vient du bas latin burgus d'origine germanique, burg, qui désigne une fortification, une tour fortifiée ou une redoute.
La forme Bourg-sur-Gironde vient du fait qu'autrefois le bec d'Ambès étant plus court, c'était la Gironde et non la Dordogne qui baignait le pied de la falaise sur laquelle est construit le bourg[39].
Le nom de la commune est Borg en gascon.
S'il est une cité girondine dont le passé historique fut mouvementé, c'est bien Bourg, la coquette cité que baigne la Dordogne, près de son confluent avec la Garonne.
Bourg a été créée au IVe siècle par la famille des Paulin. Tout d'abord centre commercial très important, elle devient par la suite une ville fortifiée. Au début du Ve siècle, les Wisigoths envahissent l'Aquitaine, et s'établissent très fortement à Bourg. C'est l'ère des grandes invasions : au cours des quatre siècles suivants, cette région est ravagée successivement par les Mérovingiens, les Gascons, les Sarrazins, les Carolingiens et les Normands.
Durant la guerre de Cent Ans, Blaye, clé militaire de la défense de l'Aquitaine en sa qualité de dernier bastion fortifié en aval du port de Bordeaux, est plusieurs fois prise et reprise par les belligérants. La commune contracta, en juillet 1379, une alliance de défense contre les troupes françaises avec Bordeaux, laquelle favorisa de nombreux échanges commerciaux avec la capitale girondine.
La ville haute a par la suite accueilli Charles VII (après que Bertrand IV de Montferrand, seigneur de Langoiran, se soit rendu à Dunois), Charles IX et François Ier. Louis XIV y a également résidé pendant la Fronde du 27 août au 2 octobre 1650.
À la suite des révoltes de la Fronde, Louis XIV ordonne en 1664 la destruction de la citadelle et des remparts de la ville turbulente[40].
En 1723, une chartreuse est construite à cet emplacement par l'architecte Étienne Dardan (dit Francoeur)[41].
La ville de Bourg est chef-lieu de district de 1790 à 1795. Elle absorbe Lalibarde (217 habitants en 1800) avant 1806[42].
D'anciennes carrières de pierre situées dans la falaise, sous le château de la citadelle, ont été transformées en cuves à pétrole en 1939[43]. Sept cuves de 44 à 65 mètres de long sont alors creusées, sur une hauteur de 11 mètres sous plafond et 8,50 mètres de large[44]. En juin 1940, l'armée allemande en prend possession. Elle y stocke des produits pétroliers livrés par des cargos italiens jusqu'en 1944. Un pétrolier italien, le Clizia[45], est sabordé par la Kriegsmarine en août 1944. Son épave gît encore dans la Dordogne[46].
En 1963, la ville fait reconstruire la chartreuse de la citadelle en ne conservant que les murs extérieurs[41].
Aujourd'hui, Bourg est une ravissante cité bâtie sur un piton rocheux, on y trouve des remparts, le château de la Citadelle, un lavoir, des ruelles étroites et pittoresques qui dévalent vers le port... La richesse patrimoniale et architecturale de cette cité lui vaut le classement en « Village ancien ».
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1947 | 1959 | Henri Géraud | Notaire | |
1959 | 1989 | Henri Groulier | Gaulliste | Médecin |
1989 | 2008 | Guy Maingot | UDF | Dentiste |
2008 | 2014 | Denis Levraud | DVG | Viticulteur |
2014 | En cours | Pierre Joly | DVD | Retraité de l'EDF |
Les données manquantes sont à compléter. |
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2005[47].
Salers, département du Cantal (France)
Les habitants sont appelés les Bourquais[48] et la contrée autour de la ville est appelée le Bourgeais.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].
En 2019, la commune comptait 2 278 habitants[Note 8], en augmentation de 4,16 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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3 200 | 2 704 | 2 534 | 2 233 | 2 306 | 2 466 | 2 564 | 2 666 | 2 694 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 687 | 2 781 | 2 810 | 2 735 | 2 864 | 2 771 | 2 734 | 2 780 | 2 890 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 832 | 2 688 | 2 555 | 2 470 | 2 334 | 2 306 | 2 182 | 2 057 | 2 199 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
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2 518 | 2 560 | 2 318 | 2 107 | 2 158 | 2 115 | 2 198 | 2 209 | 2 141 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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2 243 | 2 278 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 101 hommes pour 1 158 femmes, soit un taux de 51,26 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,06 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,8 | 90 ou + | 3,3 |
5,6 | 75-89 ans | 10,3 |
16,4 | 60-74 ans | 15,7 |
21,6 | 45-59 ans | 21,7 |
19,4 | 30-44 ans | 18,9 |
17,1 | 15-29 ans | 12,5 |
19,1 | 0-14 ans | 17,6 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,7 | 90 ou + | 1,9 |
6,4 | 75-89 ans | 8,7 |
15,5 | 60-74 ans | 16,5 |
19,8 | 45-59 ans | 19,4 |
20 | 30-44 ans | 19,1 |
19,5 | 15-29 ans | 18,3 |
18,1 | 0-14 ans | 16 |
Bourg fait partie de l'académie de Bordeaux.
Tennis, football, pétanque, basket-ball, Badminton, yoga.[réf. nécessaire]
La commune doit, en bonne partie, sa renommée à son vignoble qui produit un vin d'appellation d'origine contrôlée, le côtes-de-bourg sur quelque 3 920 hectares de surface plantée sur environ 550 exploitations, pour une production annuelle d'à peu près 220 000 hectolitres de vin rouge et 1 200 hectolitres de vin blanc.
Ce village abrite de nombreux sites tels que le château de la Citadelle abritant dans ses jardins le musée « Au temps des calèches ». On y trouve également un lavoir couvert de 1828, un petit port, la villa mauresque ou encore de nombreuses maisons du XVIIIe siècle construites en pierres du Bourgeais et ornées de mascarons ou balcons en fer forgé.
La seule trace héraldique subsistant de la période anglaise de Bourg surmonte la face extérieure de la porte de la Mer, encore dite du Port. Léo Drouyn décrit ainsi cet écusson :
« à deux mètres environ au-dessus de l'arcade extérieure, on a incrusté un écusson dont la position inclinée est fort rare dans nos contrées. Il est surmonté d'un casque de face, et il a pour tenants deux oiseaux, dont celui de droite est un coq ; la tête de l'autre est si fruste, qu'on n'en peut voir sa forme ; mais je crois que c'est un autre coq[64]. »
Ces armoiries sont attribuées à l'un des Andron, seigneurs de Lansac, qui tiennent le château de Bourg pour le roi d'Angleterre jusqu'au XVe siècle[65].
En 1453, le roi Charles VII autorise la ville à porter les armes de France en plein[66].
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Les armes de Bourg se blasonnaient ainsi : D'azur à trois fleurs de lis d'or 2 et 1[67]. |
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Utilisées sous l'ancien régime (sceau de la mairie en 1599[66], blason de l'Armorial général de France[68]), elles sont à nouveau utilisées sous la IIIe République (cachet de 1872[69], armoiries peintes à la clef de voûte d'un bâtiment public[70]), mais leur représentation évolue ensuite, pouvant se blasonner : D'azur aux trois fleurs de lis d'or, à la filière d'argent.
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Les armes de Bourg sont blasonnées ainsi aujourd'hui : D'azur à trois fleurs de lys d'or, à la bordure d'argent Les armoiries (armes et ornements extérieurs) sont les suivantes : Armes de France pleines d’azur à 3 fleurs de lis d’or. Deux sont en chef et une en pointe. En cimier : un ange. L’écu a une bordure d’argent, il est supporté par deux branches de laurier liées en pointe par un ruban[71]. |
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La figue de Bourg[72].
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