Nébian[ne.bjɑ̃] (en occitanNevian[ne.'βjan]) est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault en région Occitanie.
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Dourbie, le ruisseau du Lieutre et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 («le Salagou») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Nébian est une commune rurale qui compte 1 437 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle est dans l'agglomération de Clermont-l'Hérault et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Nébianais ou Nébianaises.
Géographie
Carte
Village héraultais proche de Clermont-l'Hérault. Son activité principale repose sur la culture de la vigne et la production du vin.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 17,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Le Pouget», sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6°C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Sete», sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 31 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15°C pour la période 1971-2000[10], à 15,4°C pour 1981-2010[11], puis à 15,8°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux: «le Salagou»[14], d'une superficie de 12 794ha, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espèces d'oiseaux ont également été prises en compte dans la délimitation de la ZPS, l'Outarde canepetière, le Blongios nain et le Busard cendré[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[16]:
le «massif de la Ramasse» (391ha), couvrant 3 communes du département[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[16]:
le «massif de Mourèze et la plaine agricole et garrigues de Péret» (8 126ha), couvrant 13 communes du département[18].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Nébian.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Nébian est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[19],[I 1],[20].
Elle appartient à l'unité urbaine de Clermont-l'Hérault, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 2] et 10 565 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5],[I 6].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,8% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
cultures permanentes (59,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,8%), zones urbanisées (8%), forêts (5,4%), zones agricoles hétérogènes (3,7%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Nébian est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier: le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dourbie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1997, 2016 et 2019[24],[22].
Nébian est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[25].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nébian.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,1% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 700 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 695 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Nébian est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[29].
Toponymie
La commune a été connue sous les variantes: in Nibiano (990), villa que vocant Nibiano (1008), castro Nibiano (1112), apud Nibianum (1122), ad Nibianum (1129), castel de Nebian (1160), terminio Nibiani (1174), P. Raimunz de Nebia (1185), parrochia S. Juliani de Nebiano (1234, 1252), Nebian (1643) etc.
Le nom dérive d'un domaine gallo-romain, gentilice latin Naevius + suffixe -anum[30].
Histoire
Héraldique
Blason
Coupé: au premier d'azur au soleil d'or, au second de gueules au cep de vigne au naturel feuillé de sinople et fruité d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1792
Antoine Desfours
1803
O. Arnihac
1807
J-P Delpon
1815
P. Vaisse
1819
G. Vernazobres
1822
B-L Beloury
1829
P-E Blanc
1834
M. Beloury
1843
L. Arnihac
1851
G. Vernazobres
1852
J. Vernazobres
1856
P. Blanc
1875
Samuel Donnadieu
1881
Ismael Crouzet
1896
Albert Desfours
1900
Léon Calvie
1908
Fortuné Audran
1925
Joseph Lecou
1935
Joseph Vidal
1945
1967 (décès)
Joseph Vidal
SFIO
Viticulteur, conseiller général (1945-1949)
1967
1971
Marcel Vidal (fils du précédent)
SFIO
Conseiller général (1967-2004)
1971
Julien Vidal
1990
Aimé Laurent
mars 2001
2014
François Lieb
2014
En cours
Francis Bardeau
PS
Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2019, la commune comptait 1 437 habitants[Note 10], en augmentation de 4,74% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
753
795
870
909
999
1 081
1 102
1 103
1 031
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 055
1 057
981
935
953
860
752
795
866
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
923
928
971
941
1 002
1 036
984
979
906
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
882
854
780
772
957
1 026
1 091
1 100
1 358
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 388
1 437
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 635 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 540 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 920 €[I 7] (20 330 € dans le département[I 8]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 886 personnes, parmi lesquelles on compte 75,9% d'actifs (63,3% ayant un emploi et 12,6% de chômeurs) et 24,1% d'inactifs[Note 12],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 183 emplois en 2018, contre 181 en 2013 et 155 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 564, soit un indicateur de concentration d'emploi de 32,4% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,2%[I 13].
Sur ces 564 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 114 travaillent dans la commune, soit 20% des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 88,6% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7% les transports en commun, 4,4% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
101 établissements[Note 13] sont implantés à Nébian au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 16].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
101
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
2
2%
(6,7%)
Construction
27
26,7%
(14,1%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
22
21,8%
(28%)
Information et communication
3
3%
(3,3%)
Activités financières et d'assurance
1
1%
(3,2%)
Activités immobilières
5
5%
(5,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
13
12,9%
(17,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
24
23,8%
(14,2%)
Autres activités de services
4
4%
(8,1%)
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,7 % du nombre total d'établissements de la commune (27 sur les 101 entreprises implantées à Nébian), contre 14,1% au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[35]:
E.pieces Froid, vente à distance sur catalogue spécialisé (344 k€)
Superette A Bieres, commerce de détail de boissons en magasin spécialisé (151 k€)
Jc-Farret Carrelages, travaux de revêtement des sols et des murs (0 k€)
Agriculture
La commune est dans le «Soubergues», une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 130 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 83 en 2000 puis à 43 en 2010[38] et enfin à 36 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 72% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67% de ses exploitations[39],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 536 ha en 1988 à 297 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 4 à 8 ha[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Jardin public, lieu de réunion de tous les jeunes Nébianais.
Stade municipal, stade du FC Nébian. À la suite de la décision de la mairie, le stade n’existe plus depuis l'année 2013 et sa destruction pour laisser place à un lotissement. En 2016, le chantier est toujours en l'état, les vestiaires existant encore.
Église Saint-Julien-de-Brioude, avec un sarcophage wisigothique.
Commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
Chapelle Saint-Jean-de-Lestinclières.
Place de la Liberté: tour de l'horloge et porte avec une herse, fontaine dite le "griffe".
Le village fortifié (avec tour et demi-tours).
Les vieilles rues.
La source de Navis, avec un système d'irrigation datant du Moyen Âge et une calade restaurée.
Mairie.
Salle des fêtes.
Église Saint-Julien-de-Brioude.
Sarcophage wisigothique dans l'église.
Mairie de Nébian.
Vue générale du village
Personnalités liées à la commune
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Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault: Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415p. (ISBN2-904624-00-7, lire en ligne), p.260
Léon Blanquet, «Histoire et folklore de notre région: les distractions à Nébian dans les années 1850-1860», Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, no17, , p.2-12
Jean Chevalier, «Le Château de Nébian», Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos83-85, , p.50-58
René Desfours et Claude Compan, «Nébian au temps du Chasselas», Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos173-175, , p.57-61
«Histoire et folklore de notre région: Nébian», Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, no18, , p.8-10
Laurent Schneider, «Recherches récentes sur la campagne lodévoise, le cas d'un terroir: Nébian de l'Antiquité à la fin du Moyen–Âge», Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos7-8, 1991-1992, p.69-87 (lire en ligne)
Fonds d'archives
Série: Délibérations du conseil municipal (1790-1983) [10 registres]. Fonds: Archives consulaires et communales de Nébian; Cote: 1 MI 634. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (lire en ligne).
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