Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Elle est une station thermale dont le bienfait des eaux minérales et médicinales a fait la réputation depuis l'antiquité romaine. Outre la tradition de thermalisme, la ville a également développé des activités d'écotourisme, liées à son implantation dans le parc naturel régional des Vosges du Nord.
Géographie
Localisation
Niederbronn-les-Bains est située en Alsace du nord, à 3,3 km de Reichshoffen[1], 7,7 km de Philippsbourg, 22,4 km de Haguenau et 45km de Strasbourg.
Commune située sur le territoire du parc naturel régional des Vosges du Nord, classé réserve mondiale de biosphère par l’UNESCO, conjointement avec son voisin allemand, le Naturpark Pfälzerwald, pour la diversité de sa faune et de sa flore au pied des Vosges septentrionales, dans un environnement de collines.
Sismicité
Commune située dans une zone de sismicité 3 modérée[2].
La commune bénéficie d'un plan de prévention du risque inondation (PPRi)[6].
Climat
Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[7].
Article détaillé: Climat du Bas-Rhin.
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.
Carte avec les communes environnantes.
Urbanisme
Typologie
Niederbronn-les-Bains est une commune rurale car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Reichshoffen-Niederbronn-les-Bains, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 14 654 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niederbronn-les-Bains, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 1 commune, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,2% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante: forêts (71,2%), terres arables (6,7%), zones urbanisées (6,6%), prairies (6,3%), zones agricoles hétérogènes (4,8%), cultures permanentes (2,5%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9%)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].
La commune bénéficie du plan local d'urbanismeintercommunal du Pays de Niederbronn-les-Bains[18].
Voies de communications et transports
Article connexe: Communauté de communes du Pays de Niederbronn-les-Bains: Transports.
La communauté de communes est devenue Autorité organisatrice de la mobilité (AOM).
Voies routières
En venant de Strasbourg: autoroute A4, sortie Brumath Nord, direction Haguenau puis D 1062 direction Niederbronn-les-Bains.
En venant de Sarreguemines: D 1062 direction Bitche puis direction Niederbronn-les-Bains.
Le Pedibus est un ramassage scolaire qui se fait à pied pour aller à l'école, en empruntant un circuit déterminé[19].
La commune est traversée par la ligne de Haguenau à Hargarten - Falck, actuellement inexploitée entre Niederbronn et Sarreguemines. La gare de Niederbronn-les-Bains est desservie par les trains du réseau TER Alsace qui effectuent la relation Strasbourg - Haguenau - Niederbronn.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Les premières traces de l'occupation par l'Homme remontent probablement à la préhistoire à partir de l'époque celtique, comme l'attestent les vestiges du camp situé dans le massif du Wintersberg ainsi que des inscriptions dédiées au dieu Voségus.
Des fouilles archéologiques successives ont établi l'existence d'une cité romaine entre le Iersiècle et le IVesiècle de l'ère chrétienne, avec des installations thermales d'envergure. Les bains romains ont certainement connu une activité importante jusqu'aux invasions barbares du Vesiècle, comme en témoignent les centaines de pièces de monnaie romaine qui ont été retrouvées lors du curage de la source.
Les restes d’un oppidum au Ziegenberg sur le massif du Grand Wintersberg, sont parfaitement visibles et attestent de la présence des Triboques dans la région.
La présence de sources d'eaux minérales, dont la source «romaine», a incité les Romains à créer une cité dès le Iersiècle[21].
Vers l'an 90, un groupe de la VIIIe légion ancrée à Argentoratum surveillait la vallée du Falkensteinbach à partir d'un rocher en grès vosgien appelé le Wachfels(le rocher de veille) sur le site de l'actuel château du Wasenbourg. Les Romains y ont construit un temple dédié à Mercure. On peut encore y lire l'épigraphe suivant: "DEO MERCURIO ATTEGIAM . TEGULICIAM COMPOSITAM . SEVERINIUS SATULLINUS C. F. EX . VOTO POSUIT L. L. M." traduit ainsi: «Severinius Satullinus, fils de Caïus, a, en exécution d'un vœu librement fait, élevé et consacré ce petit édifice en tuiles au Dieu Mercure comme monument.» Le site romain a probablement été abandonné lors de l'invasion des Huns après 451.
Specula romaine à proximité du château de Wasenbourg.
Colonne romaine.
Valorisation des vestiges sur la place Jean-Marchi (2011).
Moyen Âge
Durant le Moyen Âge, on continue de prendre les eaux, mais dans des cuves chez l'habitant.
De la Renaissance au XVIIIesiècle
Les bains vont connaître une nouvelle période de prospérité à la fin du XVIesiècle avec Philippe V de Hanau-Lichtenberg héritier des Deux-Ponts-Bitche par sa femme Louise-Marguerite, qui procède à la construction d'une maison des bains, au recaptage de la source et à la première analyse des eaux. Cette initiative permet rapidement de faire reconnaître, de manière unanime, les effets bienfaisants des sources.
C’est à la même époque que la Réforme protestante est introduite en Alsace et à Niederbronn-les-Bains. Les deux confessions catholique et protestante célèbrent leurs offices religieux dans la même église, en vertu du «simultaneum», jusqu'à la fin du XIXesiècle. La guerre de Trente Ans amène son lot de misère et de ruines avec la destruction de la ville et des thermes.
En 1793, pendant la révolution française, Niederbronn est brièvement occupée par les Autrichiens. Ils sont délogés par le général Lazare Hoche.
De la Restauration à la guerre de 1870
Vue générale et voie du chemin de fer à Niederbronn vers 1920.
Le cimetière de la ville abrite la tombe du premier soldat français tombé lors de la guerre franco-allemande de 1870. Il s'agit du maréchal-des logis Claude Ferréol Pagnier, du 12e régiment de chasseur à cheval mort lors d'un engagement contre une patrouille de reconnaissance badoise à Schirlenhof sur la commune de Gundershoffen.
Article détaillé: Claude Ferréol Pagnier.
Sa tombe porte la cocarde du Souvenir français. Dans les années 2000, elle est en état très délabré: la stèle présentait trois gros éclats et la croix qui la surmonte avait une branche cassée. Le Conseil général 67, après l'inventaire des tombes du conflit, a entrepris leur rénovation. Durant l'été 2010, celle de Claude Ferréol Pagnier est rénovée par la section locale du Souvenir français.
La période allemande: 1871-1918
Comme les autres communes d'Alsace et de l'actuel département de la Moselle, Niederbronn, qui prend le nom de Bad Niederbronn, est cédée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. Aussi, lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les habitants de la commune se battent sous uniforme allemand. Sujets loyaux de l'empereur, ils accueillent cependant avec joie la fin des hostilités et la paix retrouvée. La ville redevient française en 1918.
Époque contemporaine
Développement du thermalisme et ouverture du casino municipal
Niederbronn-les-Bains est la première station hydrominérale d'Alsace, classée station thermale par arrêté ministériel le . Elle possède à la fois une source minérale et une source médicinale.
Le casino dans les années 1920 (Chemins de fer d'Alsace et de Lorraine).
La ville demande l'autorisation d'établir un casino, autorisation qui lui est accordée par le ministère de l'Intérieur et le président de la République en 1926[22]. Au début des années 1930, le casino de Niederbronn-les-Bains accueille plusieurs fois par semaine des représentations musicales d'artistes locaux et internationaux radiodiffusées par la station Radio Strasbourg.
Article détaillé: Casino de Niederbronn-les-Bains.
La Seconde Guerre mondiale et l'occupation nazie
L'intérieur de la synagogue a été dévasté par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale et de nombreux juifs ont été déportés[23]. À la Libération, un petit oratoire est aménagé dans le bâtiment, l'intérieur restant dans son état de désolation. La synagogue a été par la suite cédée à une institution catholique[24].
XXIesiècle: thermalisme et tourisme vert
Niederbronn est une cité réputée pour ses activités liées au thermalisme et à l'accueil de curistes. L'ancien établissement de bains a laissé place à un centre de cure et plus largement, de remise en forme.
Elle a également développé des activités liées au tourisme vert, grâce notamment à son implantation dans le parc naturel régional des Vosges du Nord. Elle détient le label «station verte», qui souligne la mise en valeur sur le plan touristique du patrimoine naturel, culturel et historique.
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes du Bas-Rhin.
Les armes de Niederbronn-les-Bains se blasonnent ainsi: «D'azur au bassin d'or dans lequel tombe un jet d'eau d'argent issu d'une nuée du même mouvant du canton dextre du chef, dont l'eau aussi d'argent s'écoule en pointe par une ouverture au bas du bassin»[25]. Autre blasonnement: «D'azur, canton à nuée avec cours d'eau le tout d'argent qui s'écoule dans un puits d'or avec évacuation d'eau d'argent vers le bas»[26].
Politique et administration
Hôtel de ville de Niederbronn-les-Bains.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans le Bas-Rhin.
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Budget et fiscalité 2020
En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[27]:
total des produits de fonctionnement: 6 006 000 €, soit 1 338 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 5 772 000 €, soit 1 286 € par habitant;
total des ressources d'investissement: 1 132 000 €, soit 252 € par habitant;
total des emplois d'investissement: 1 562 000 €, soit 348 € par habitant;
endettement: 2 811 000 €, soit 626 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d'habitation: 15,85%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 14,90%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 63,72%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0%;
cotisation foncière des entreprises: 0%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018: médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation: 22 540 €[28].
La maison de l'Archéologie des Vosges du Nord[30].
Commerces
Niederbronn-les-Bains bénéficie d'un réseau d'une soixantaine de commerces de proximité[31].
La commune abrite le siège de la Fonderie de Niederbronn (qui a appartenu au groupe De Dietrich de 1769 à 2004) qui emploie 183 salariés à fin 2016, pour un chiffre d'affaires de 28 millions d'euros[32].
Savonnerie Alcedo, entreprise de fabrication artisanale de savons et cosmétiques bio[33].
Liste des maires
En 2012, la commune de Niederbronn-les-Bains a été récompensée par le label «Ville Internet @@@»[34]. (@ en 2008, @@ en 2009/2010, @@@ en 2011 & 2012/2013)
Professeur agrégé de mathématiques Député de la 8ecirconscription du Bas-Rhin (2002 → ) Conseiller général du canton de Niederbronn-les-Bains (1998 → 2002)
En cours (au 31 mai 2020)
Anne Guillier[38],[39] Réélue pour le mandat 2020-2026
DVD
Cadre du secteur privé
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2019, la commune comptait 4 381 habitants[Note 3], en augmentation de 1,04% par rapport à 2013 (Bas-Rhin: +2,76%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 542
1 438
1 952
2 315
2 467
2 680
2 922
3 071
3 224
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1871
1875
1880
1885
1890
1895
3 319
3 203
3 391
3 194
3 176
3 161
3 132
3 029
2 984
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1900
1905
1910
1921
1926
1931
1936
1946
1954
3 056
3 120
3 323
3 131
3 088
3 350
3 501
3 491
3 701
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
4 074
4 407
4 461
4 446
4 372
4 319
4 329
4 387
4 366
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
4 355
4 381
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Football: US Niederbronn-les-Bains[55] qui dispose de deux stades rue des abricotiers dans la zone de loisirs du Montrouge. Il s'agit du stade Paul-Weber 1 avec une surface de jeu en pelouse naturelle et du stade omnisports du Montrouge avec une surface de jeu en gazon synthétique. Le club se compose de 8 équipes.
Randonnée: présence de 3 boucles de randonnée possibles avec des niveaux de difficultés différents.
Escalade: présence d'un parcours d'escalade sur falaise.
Athlétisme: stade d'athlétisme (stade omnisports du Montrouge).
Natation: piscine municipale les Aqualies disposant des installations suivantes: un bassin sportif (25 mètres), un bassin d'apprentissage, un bassin de loisirs extérieur, une pataugeoire, un toboggan.
L'ancienne usine d'électricité (1900), partiellement inscrite aux Monuments historiques en 1991[69],[70], maintenant intégrée dans le centre de secours de la ville.
L'église protestante Saint-Jean[80],[81],[82], avec son orgue à positif[83] et son presbytère[84].
Personnalités liées à la commune
Albert de Dietrich (1802-1888), Maître de forges, maire de Niederbronn-les-Bains.
Élisabeth Eppinger, née à Niederbronn le et morte le , fondatrice de la Congrégation des Sœurs du Très Saint Sauveur, dites Sœurs de Niederbronn.
Mgr François-Louis Fleck, évêque de Metz né à Niederbronn en 1824.
Adolphe Ury, né à Niederbronn le , grand-rabbin du Haut-Rhin, puis grand-rabbin du Bas-Rhin.
Louis-Gustave Binger, explorateur, premier gouverneur de la Côte d'Ivoire (1856-1936). Il passa son enfance à Niederbronn.
Ernest Münch, né à Niederbronn en 1859, organiste de l'église Saint-Guillaume de Strasbourg, il crée en 1884 le chœur de Saint-Guillaume, le pendant de celui de la cathédrale. Il est décédé à Strasbourg en 1928. Il est le père du chef d'orchestre Charles Münch.
Gustave Émile Haug, né le à Drusenheim et mort le à Niederbronn, est un géologue et paléontologue français connu pour ses contributions à la théorie des géosynclinaux.
Adrien de Turckheim, né à Niederbronn en 1866, industriel.
Henri-Albert Haug (né le 16 novembre 1869 à Niederbronn - mort le 3 août 1921 à Strasbourg) est un germaniste français, traducteur de Friedrich Nietzsche.
Hans Haug, né à Niederbronn en 1890, conservateur et directeur des musées de Strasbourg de 1919 à 1963, il est notamment connu pour avoir créé le Musée de l'Œuvre Notre-Dame de Strasbourg entre 1931 et 1939.
Suzanne de Dietrich, née à Niederbronn en 1891, théologienne protestante.
Charles Munch, musicien, né à Strasbourg en 1891, issu d'une famille originaire de Niederbronn-les-Bains dont le collège porte son nom.
Rémy Bricka, né en 1949, musicien, homme-orchestre, aventurier et sportif de haut niveau.
Robert Pfeiffer, né en 1943, artiste peintre, vitrailleur, graveur, mosaïste.
Juste parmi les Nations: L'abbé Robert Bengel (né à Seltz en 1905, décédé en 1987), vicaire à la paroisse de Niederbronn-les-Bains, il y fonde la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC]. En 1936, Il devient aumônier à l’Ecole Normale Catholique Publique d’Instituteurs du Bas-Rhin à Obernai.
Voir aussi
Communes du Bas-Rhin
Aire urbaine de Niederbronn-les-Bains
Casino de Niederbronn-les-Bains
Bibliographie
Association d'Alsace pour la conservation des monuments napoléoniens, De Niederbronn à Lembach: histoire, sites, monuments, Y. Bonnel, 1986, 110 p. (ISBN2-904701-05-2)
Paul Gerbod, «Niederbronn, station thermale alsacienne de 1800 à 1939», in Revue d'Alsace, no111, 1985, p.99-110
Groupe Mémoire, Niederbronn-les-Bains: aux sources de la mémoire (ouvrage collectif réalisé avec la participation de la commune de Niederbronn-les-Bains), Carré blanc, Strasbourg, 2007, 240 p. (ISBN2-84488-099-1)
Edmond Jung, Niederbronn antique, E. Jung, Engwiller, 1994, 21 p.
Kuhn (Dr), Histoire de Niederbronn, Res Universis, Paris, 1991, 187 p. (ISBN2-87760-533-7) (réédition de l'éd. de 1866)
Jean Kuhn, Les Eaux de Niederbronn: description physique et médicale de cet établissement de bains, Berger Levrault, V. Masson, 1860, (3e éd.)
Francine Maggay, Les thermes de Niederbronn de l'antiquité au XVIIIesiècle, Université de Strasbourg, 1989, 222p. (thèse de Médecine)
Charles Matthis, «La Préhistoire de Niederbronn en Alsace», in Bulletin de la Société préhistorique française (Vve E. Monnoyer, Le Mans), , 16 p.
Michel Rauch, Ginette Rohmer (et al.), Balades enchantées à Niederbronn-les-Bains, Carré blanc, Strasbourg, 1998, 223 p. (ISBN2-84488-000-2)
Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 663p. (ISBN2-7165-0250-1)
Niederbronn-les-bains pp. 275-276
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Alain Soulier, «Histoire tumultueuse d'une “ville-jardin”», in Les Saisons d'Alsace, no72 (L'Alsace, ce beau jardin), printemps 2017, p.48-53
Guy Trendel, Le guide des Vosges du Nord, Barcelone, La Manufacture, , 311p. (ISBN2-7377-0164-3)
Collection ayant obtenu le grand prix national des guides touristiques 1986: Niederbronn-les-Bains, pp. 68 (Le thermalisme dans les Vosges du Nord), 123 (2. De Lembach à Niederbronn-les-Bains), 146 (De Reichshoffen à Niederbronn-les-Bains), 150-151 (Niederbronn-les-Bains, ville thermale),152 (Maison de l'archéologie des Vosges du Nord), 154 (Charles Munch, musicien de renom), 155 (La source "Lichteneck" de Niederbronn-les-Bains)
Paul Keller, Les Vosges du Nord, Guide de randonnées à la portée de tous dans le Parc naturel Régional, Bar-le-Duc, Editions Salvator-Mulhouse, , 198p. (ISBN2-7067-0031-9)
5-Niederbronn-les-Bains - Col de la Liese - Grqnd Wintersberg - Camp Celtique - Niederbronn-les-Bains, p.53; 6-Niederbronn-les-Bains - Wasenberg - Breitenwasen - Grand Arnsbourg - Wasenkoepfel - Wasenbourg - Niederbronn-les-Bains, p. 61
Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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