Le patrimoine architectural de la commune comprend six immeubles protégés au titre des monuments historiques: la Fontaine, classée en 1910, l'église Saint-Jean, classée en 1924, le château, classé en 1925, la Porte de ville, inscrite en 1928, la maison du Sénéchal, inscrite en 1979, et le pont Saint-Blaise, classé en 1987.
Géographie
Localisation
La commune est limitrophe du département de Tarn-et-Garonne.
La superficie de la commune est de 5 388 hectares; son altitude varie entre 158 et 507 mètres[2].
Le territoire de la commune matérialise une fraction sud du Massif central. Il s'étend sur une partie des gorges de l'Aveyron, à l'extrémité Sud de la grande faille de Villefranche-de-Rouergue (Sud-Sud-Ouest, Nord-Nord-Est) qui oriente le cours de l'Aveyron.
Les roches affleurantes sont réparties en compartiments délimités par la faille de Villefranche et une seconde moins étendue qui lui est parallèle. On trouve perpendiculairement aux failles (de l'Est vers l'Ouest) des terrains imperméables[3]:
des roches métamorphiques et magmatiques;
des schistes et grès du carbonifère. Ces roches, prélevées sur place, ont servi à bâtir la base du château;
des poudingues, grès et argilites (mélange d'argile et de quartz) du Trias et de l'Infra-Lias. Situées en rive droite de l'Aveyron, ces roches ont été acheminées de l'autre côté de la rivière pour la construction de la partie supérieure du château.
Urbanisme
Morphologie urbaine
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Logement
En 2016, la part des résidences secondaires (42,2%) était supérieure à la part des résidences principales (40,4%)[I 1].
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 18 315, alors qu'il était de 15 122 en 1999[a 1]. (cette information semble très peu probable étant donné le nombre d'habitants de la commune!!!)
Parmi ces logements, 87,9% étaient des résidences principales, 1,6% des résidences secondaires et 10,5% des logements vacants. Ces logements étaient pour 45,8% d'entre eux des maisons individuelles et pour 53,7% des appartements[a 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 37,4%, en hausse sensible par rapport à 1999 (29,9%). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était toujours inférieure au seuil légal de 20% et même en baisse: 17,0% contre 18,8% en 1999, leur nombre ayant diminué de 721 à 705[a 3].
Projets d'aménagements
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Toponymie
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Histoire
Moyen Âge
Le bourg, chef-lieu de la commune est l'une des cinq bastides du Rouergue.
Najac était le siège d'une viguerie qui fut par la suite transformée en tribunal d'appeaux et siège d'un bailliage dont dépendaient trente-neuf paroisses. Le siège de la justice du Rouergue qui se trouvait primitivement à Najac et qui relevait du comté de Toulouse fut transféré à Villefranche-de-Rouergue après sa fondation par le Sénéchal de Rouergue en 1252. La justice de Najac était exercée au civil par un viguier et juge, assisté de deux lieutenants et d'un procureur du roi; au criminel par ledit viguier et les consuls de la ville. Ceux-ci étaient seuls maîtres et juges de la police[4].
En 1252[5], Jean d'Arcis[Note 1], fait exécuter, à Najac, le consul Hugues Paraire après lui avoir confisqué ses biens ainsi qu'à d'autres habitants.
En 1255[5], le comte Alphonse engage la reconstruction du Château de Najac pour en faire une forteresse royale et il confirme une charte de coutumes concédées précédemment aux habitants par le comte Raymond. Un acte, daté de 1243[5], avec le sceau de la communauté, fait déjà mention de consuls. À la suite du décès du comte et de sa femme Jeanne, Najac avec le comté Toulousain est érigé en châtellenie royale en 1271[5].
En 1307, les templiers du Rouergue sont enfermés dans la forteresse.
En 1329[5], il est fait mention d'un viguier royal établi dans le bourg. Ce dernier remplace rapidement le baile
En 1368, le duc d'Anjou frère du Roi renouvelle les privilèges accordés à la cité de Najac, ils seront renouvelés jusqu'au XVIIesiècle (par Charles VI et Charles VII, Louis XIV les renouvela faisant apposer son sceau dans toute la ville et en exonérant Najac du logement des gens de guerre).
Seigneurie de Najac
Il a existé jusqu'au XIIesiècle une famille de Najac:
Guillaume de Najac, seigneur du lieu, avait une fille:
Alixand de Najac, héritière de la seigneurie qu'elle apporte par mariage à Fortanier de Valette, seigneur de Cuzoul, Prévinquières, né à Saint-Antonin, mort en 1190 en Terre-Sainte. Ils eurent six enfants, parmi lesquels:
Jourdain de Valette, baptisé en Terre-Sainte, seigneur de Najac.
Aymar de Valette, 24eabbé d'Aurillac († 1263).
Époque moderne
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de grands soldats furent capitaines de la, forteresse de Najac.
en 1440, Poton de Xaintrailles, un des pricinpaux commandants de l'armeée de Jeanne d'Arc devint Capitaine. et en 1525, Galiot de Genouillac, maître de l'artillerie de François Ier et un des vainqueurs de Marignan fut aussi capitaine avant de devenir Gouverneur du Languedoc.
Époque contemporaine
Najac dans les années 1900.
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À noter que le , Najac fusionne avec Villevayre[6].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[7].
Liste des maires
Liste des maires depuis 1944
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1944
1953
Georges Bories
1953
1965
Jean Laroussinie
1965
2008
Hubert Bouyssière
DVD
Conseiller général et vice-président du Conseil général de l'Aveyron
Najac relève du tribunal d'instance de Rodez, du tribunal de grande instance de Rodez, de la cour d'appel de Montpellier, du tribunal pour enfants de Rodez, du conseil de prud'hommes de Rodez, du tribunal de commerce de Rodez, du tribunal administratif de Toulouse et de la cour administrative d'appel de Bordeaux[10].
Politique environnementale
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[13].
En 2019, la commune comptait 699 habitants[Note 2], en diminution de 2,92% par rapport à 2013 (Aveyron: +0,67%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 029
2 181
2 157
2 251
2 417
2 201
2 070
2 130
2 189
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 388
2 406
2 415
2 455
2 266
2 040
2 029
1 870
1 771
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 660
1 623
1 515
1 246
1 207
1 138
1 098
996
825
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
767
1 029
928
818
766
744
751
752
720
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
697
699
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique
Au début du XXesiècle, la commune comptait 1 660 habitants[16]. Elle absorbe la commune de Villevayre en 1965.
Enseignement
Najac est située dans l'académie de Toulouse.
Elle administre une seule et unique école primaire communale (école maternelle + école élémentaire) baptisée "École Publique Jean Bouyssou" (du nom d'un ancien instituteur). Cette école comptait 40 élèves en 2012-2013[17] et ne compte plus que 20 élèves en 2016-2017 (classe unique depuis la rentrée scolaire 2016), malgré la fermeture de l'école primaire privée avec laquelle elle a longtemps co-existé.
La fête votive de la commune a lieu l'avant dernier week-end d'août: «Fête de Saint-Barthélemy et de la fouace» (Nota: le nom de la Fête de Najac n'a rien à voir avec les drames de la Nuit parisienne du même nom. Elle correspond à la fin des moissons). Outre concours de pétanque, concerts, bals traditionnels, tombola, retraite aux flambeaux, embrasement de la Forteresse et animation du marché, le clou de la Fête se déroule le dimanche après-midi dans les rues du village où sont promenées deux fouaces géantes (2 m de longueur chacune). Ces dernières sont ensuite dégustées le dimanche soir et le lundi après-midi.
Santé
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Sports
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Lacroux Joëlle championne de France du 100 mètres sur pente de plus de 25%.
Médias
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Cultes
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Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 353 ménages fiscaux[Note 3], regroupant 665 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 300 €[I 2] (20 640 € dans le département[I 3]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 387 personnes, parmi lesquelles on compte 75,5% d'actifs (66,4% ayant un emploi et 9% de chômeurs) et 24,5% d'inactifs[Note 4],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 7]. Elle compte 287 emplois en 2018, contre 255 en 2013 et 290 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 266, soit un indicateur de concentration d'emploi de 108% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,5%[I 8].
Sur ces 266 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 178 travaillent dans la commune, soit 67% des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 60,9% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5% les transports en commun, 12% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 25,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
115 établissements[Note 5] sont implantés à Najac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 6],[I 11].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
115
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
22
19,1%
(17,7%)
Construction
17
14,8%
(13%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
35
30,4%
(27,5%)
Information et communication
2
1,7%
(1,5%)
Activités financières et d'assurance
1
0,9%
(3,4%)
Activités immobilières
6
5,2%
(4,2%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
14
12,2%
(12,4%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
9
7,8%
(12,7%)
Autres activités de services
9
7,8%
(7,8%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,4% du nombre total d'établissements de la commune (35 sur les 115 entreprises implantées à Najac), contre 27,5% au niveau départemental[I 12].
Entreprises
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[18]:
L'officine, débits de boissons (109 k€)
Rouergue Energies Renouvelables, production d'électricité (34 k€)
Rudis, édition de livres (4 k€)
Agriculture
La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[19]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 79 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 54 en 2000 puis à 46 en 2010[21] et enfin à 33 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 58% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51% de ses exploitations[22],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 252ha en 1988 à 2 062ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 29 à 62ha[21].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune contient six monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques et aucun lieu répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[23].
Patrimoine civil
Porte de la Pique
La Porte de la Pique faisait partie de l'une des enceintes de la ville. Cette porte est inscrite depuis le [24].
Restes de la porte de Ville
Ponts sur l'Aveyron
Le pont de la Frégère originel remonte à 1288. Le pont actuel date de 1899[25].
Le pont Saint-Blaise enjambe la rivière Aveyron. Il fut construit entre 1259 et 1274 et restauré en 1404. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis le [26].
Pont Saint-Blaise
Arche principale
Pont Saint-Blaise
Maison du Gouverneur
La maison du Gouverneur, construite aux XIIIeetXVesiècles, a été restaurée entre 2017 et 2019 afin d'accueillir le Centre d'interprétation de l'architecture et du patrimoine des bastides du Rouergue.
La maison du Gouverneur.
La maison du Gouverneur.
Maison du Sénéchal
La maison du Sénéchal construite à partir du XIVesiècle, dont les façades et les toitures sont inscrites au titre des monuments historiques depuis le [27]. Ce bâtiment servait de logement au Sénéchal lorsque Najac était le siège de la sénéchaussée du Rouergue.
Maison du Sénéchal
Maison du Sénéchal
Fontaine monolithe
La fontaine publique, datée de 1350, est constituée d'une cuve octogonale creusée dans un seul monolithe de granit de plus de 2 m de diamètre. Elle est classée depuis le [28]. Elle est aussi appelée fontaine du Bourguet.
Fontaine
Détail du pourtour de la Fontaine
Fontaine en eau
Forteresse
Les vestiges du château et sa deuxième enceinte se composent d'un château primitif (construit par les seigneurs locaux et renforcé par les comtes de Toulouse) et de la forteresse royale du XIIIesiècle. Le donjon est un modèle de l'architecture francilienne. L'ensemble est classé depuis le [29].
Patrimoine religieux
Église Saint-Laurent de la Salvetat des Carts.
Église Saint-Hilaire de Mazerolles.
Église de l'Assomption de Villevayre.
Chapelle Saint-Barthélemy de Najac.
Église Saint-Jean, construite au XIIIesiècle. C'est un édifice gothique avec une nef unique à chevet plat comporte deux chapelles. Elle est classée depuis le [30].
Église Saint-Jean
Église Saint-Jean façade Est
Église Saint-Jean façade Nord et clocher
L’église Saint-Jean. Vue N-E.
La nef de l’église Saint-Jean.
Le chœur de l’église Saint-Jean.
La nef depuis le transept sud de l’église Saint-Jean.
L'intérieur de l'église contient dix objets classés à l'inventaire des monuments historiques[31]:
deux «plats de quête» en cuivre martelé daté du XVIesiècle, classés depuis le [32],[33];
un «encensoir» en bronze doré et argent repoussé daté du XVIIIesiècle, classé depuis le [34];
un «reliquaire-monstrance» en bronze doré daté du XVIIesiècle, classé depuis le [35];
une statue représentant la Vierge à l'enfant, en bois polychrome, datée du XVIesiècle, classée depuis le [36];
une statue représentant saint Jean, en bois peint, datée du XVIesiècle, classée depuis le [37];
un ensemble de deux verrières datées du XVesiècle et classées depuis le [38];
une statue représentant le Christ en croix, en bois peint doré, datée du XVIesiècle, classée depuis le [39];
un chandelier en fer forgé, daté du XIIIesiècle, classé depuis le [40];
une croix-reliquaire, croix de procession, en bois peint, datée du XIIIesiècle ou du XIVesiècle, classée depuis le [41].
Chapelle de la Sainte-Famille de Najac (ancien couvent)
La chapelle de l’ancien couvent de la Sainte-Famille.
La nef de la chapelle de l’ancien couvent de la Sainte-Famille.
Autres lieux et monuments
Outre les monuments répertoriés à l’inventaire des monuments historiques, on peut citer les maisons suivantes:
Maison Gauchy
Maison Autheserre
Ancienne Boulangerie
Office de Tourisme
Patrimoine culturel
Labels
Najac est reconnu et distingué par quatre labels [réf.nécessaire]:
Alain Peyrefitte, homme politique français natif de Najac en 1925.
Jean-Henri Meunier, réalisateur français.
Héraldique
Les armes de la commune de Najac se blasonnent ainsi: De gueules, à la tour d'argent, au chef cousu d'azur, à trois fleurs de lis d'or.
Voir aussi
Bibliographie
J.-P. Burg, M. Guillaume, B. Alabouvette, G. Astruc, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Najac, Éditions du BRGM Service géologique national, Orléans, 1989 (ISBN2-7159-1906-9) (lire en ligne)
Marcel Gauchy, Najac en Rouergue, 1000 ans d'histoire et de vie économique, 4etrimestre 1982.
Élodie Cassan, Le bourg castral de Najac au Moyen Âge: formation et évolution d'un paysage urbain en Rouergue occidental, Société des Amis de Villefranche et du Bas-Rouergue, 2006.
Jean ALEGRE " Najac le Génie des lieux", biographie d'un village français - Editions Causse et diège, 2018
Marc Thibout, Najac - Église, p.203-212, dans Congrès archéologique de France. Figeac, Cahors et Rodez. 100esession. 1937, Société française d'archéologie, Paris, 1938.
Geneviève Rigal-Saurel (photogr.Michel Lombard), Au pays de Najac: de clocher en clocher, Portet-sur-Garonne, Loubatières, , 126p., couv. ill. en coul.; 24 cm (ISBN2-86266-222-4, BNF37069083).
Geneviève Rigal-Saurel (préf.Jean Delmas), Autrefois, au pays des Serènes, Rodez, Rémy & Canitrot, , 291p., ill., couv. ill. en coul.; 21 cm (BNF35762533).
Jean-Jacques Jouffreau et Marcel Gauchy, En descendant le Barriou: Najac en Rouergue et son canton au début du siècle, 1900-1925, Villefranche-de-Rouergue, Salingardes, , 120p., ill., couv. ill.; 29 cm (BNF34685430).
(oc) Ferdinand Déléris, Memòris: camins, pensaments e dolors d'un enfant de bòrs / Ferran Delèris, Puylaurens, IEO éd., , 244p., ill., couv. ill.; 21 cm (ISBN2-85910-323-6, BNF38925847).
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf.Bernard Vidal), Najac: La Folhada, Lunac, Montelhs, Sant-Vensa, Sent-Andriu, Vòrs e Bar / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Najac, Rodez, Mission départementale de la culture, coll.«Al canton», , 389p., ill., couv. ill.; 28 cm (ISBN2-907279-46-7, ISSN1151-8375, BNF38977008).
Études sur le bailliage de Najac
Jean-Louis Dega, Une contribution à l’étude de l’habitat rural et de l’onomastique dans le bailliage de Najac à la fin du XVe siècle dans Actes du colloque «Terre et paysannerie en Rouergue» organisé à Rodez le 4 et par la Société des lettres, sciences et arts de l’Aveyron et la Société centrale d’agriculture de l’Aveyron, p.79-95
Jean-Louis Dega, L’évolution des habitats ruraux et le repeuplement du bas-Rouergue méridional (XIVeetXVesiècles), Colloque CTHS «Terres et hommes du Sud», Université Toulouse-Le Mirail, , publié dans «Habitats et territoires du Sud», CTHS, 2004, p.215-233.
Jean d'Arcis, chevalier, est en 1247 châtelain royal de Cabrières. Il est ensuite sénéchal du Rouergue pour Alphonse de Poitiers, du 5 juillet 1251 jusqu'en 1253; sa charge ayant pris fin entre l'Ascension et la Toussaint. En 1252, il fonde la bastide de Villefranche-de-Rouergue et lance la construction du château neuf en 1253.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[20].
Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne]
Hydrogéologie du département du Lot et des Causses du Quercy - Carte au 1/100000e avec fond topographique de l'IGN - Dressée par J.C. Soulé, J. Astruc et R. Vernet - Éditions BRGM
Henri Affre, Inventaire sommaire des Archives départementales de l'Aveyron, volume II, p.162.
Gilles Séraphin, Christian Remy, Élodie Cassan, Najac, du castrum au château neuf, dans Congrès Archéologique de France, 2009, 167esession, Monuments de l'Aveyron, 2009, Société Française d'Archéologie, Paris, 2011, (ISBN978-2-901837-40-4), p.230.
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