Moulézan est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.
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Moulézan | |
![]() | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Nîmes Métropole |
Maire Mandat |
Pierre Lucchini 2020-2026 |
Code postal | 30350 |
Code commune | 30183 |
Démographie | |
Gentilé | Moulézanais |
Population municipale |
665 hab. (2019 ![]() |
Densité | 58 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 55′ 49″ nord, 4° 07′ 37″ est |
Altitude | Min. 69 m Max. 284 m |
Superficie | 11,39 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Quissac |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | moulezan.fr |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Courme, le ruisseau de Teulon et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Moulézan est une commune rurale qui compte 665 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Moulézanais ou Moulézanaises.
Le village de Moulézan est situé à 23 km de Nîmes, au sud de Lédignan et d'Alès.
Aigremont | ||
Saint-Théodorit, Cannes-et-Clairan | ![]() |
Montagnac |
Montmirat | Fons, Saint-Mamert-du-Gard (par un quadripoint) |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vic-le-Fesq », sur la commune de Vic-le-Fesq, mise en service en 1966[6] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 827,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 21 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[13] : le « bois de Lens » (8 318 ha), couvrant 19 communes du département[14].
Moulézan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[I 1],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].
Moulézan est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) du Sud du Gard et fait également partie des 41 communes du pays Garrigues et Costières de Nîmes.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (41,3 %), forêts (28,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,5 %), zones urbanisées (4,5 %), mines, décharges et chantiers (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Moulézan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le ruisseau de Teulon et la Courme. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 2001, 2002, 2005 et 2014[20],[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 83,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 291 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 291 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].
Provençal Moulesan, du roman Molesanum, Molazanum[24].
Les habitants s'appellent des Moulézanais et Moulézanaises.
La commune de Moulézan est, depuis l'antiquité, le principal site d'extraction de la pierre de Lens, un calcaire oolithique de faciès urgonien blanc à l'extraction, dont le grain très fin dépourvu de fossiles et la grande résistance n'avaient pas d'équivalent en Gaule narbonnaise pour la sculpture ornementale et la statuaire, au point de faire concurrence au marbre de Carrare[25],[26]. Transportée par voie d'eau ou terrestre on la retrouve ainsi de Nice à Narbonne, ainsi qu'à Beaucaire, Arles, Béziers, Fréjus et surtout à Nîmes situé 20 km à l'Est, notamment dans les décors de la Maison Carrée[27],[28],[29]. Sur les 19 carrières répertoriées du Bois des Lens, regroupées en trois zones du Nord au Sud, dont 10 situées à Moulézan, celles de tradition hellénistique du Roquet à Montmirat et de la Figuière à Fons, qui remonteraient au IVe siècle av. J.-C. et d'où proviendraient les pierres de la tour de Mauressip à Saint-Côme, comptent parmi les 15 carrières exploitées ensuite par les Romains à partir de 30 avant J.C. et, pour certaines d'entre elles, jusqu'au VIe siècle apr. J.-C. En 1987, la carrière de Mathieu à Montagnac et la carrière du Roquet ont ainsi été inscrites monuments historiques. Les deux carrières les plus méridionales, situées à Combas, ont été à nouveau exploitées du haut Moyen Âge jusqu'au XVIe siècle. Mais c'est surtout à partir du milieu du XIXe siècle que l'exploitation de la pierre de Lens de la meilleure qualité a repris à Moulézan, où se situent les trois carrières toujours en activité, dont deux de pierre de taille, en grande partie sur les sites des carrières de Bone et d'Hérald-Nègre d'origine romaine. Cette pierre est alors exportée dans plusieurs pays d'Europe et même en Amérique[26] (mais pas, comme il a pu parfois être écrit, et comme l'ont fait de même d'autres sources tout aussi erronées à propos de multiples lieux d'extraction à travers la France, pour le socle de la statue de la liberté de New York, qui en fait est constitué de murs de béton coulé et de blocs de granit rose extrait d'une carrière du Connecticut), tout en étant également appréciée pour la statuaire, avec notamment la sculpture du Christ qui orne la façade de l'église Sainte-Perpétue et Sainte-Félicité de Nîmes[27] ou la version de l'ours blanc de François Pompon, réalisée de 1927 à 1929 et conservée au musée d'Orsay.
Le village est mentionné Ecclesia Sancte-Crucis de Molasano en 1119 dans le bullaire de Saint-Gilles[30].
Le , Moulézan-et-Montagnac devient Moulézan, Montagnac, sur son promontoire, devenant commune à part entière.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
2001 | 2008 | Jean-Paul Thouzelier | DVG | |
2008 | En cours | Pierre Lucchini | [Sans étiquette] | Retraité Armée de Terre |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2019, la commune comptait 665 habitants[Note 7], en augmentation de 4,23 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
255 | 272 | 326 | 481 | 536 | 548 | 556 | 567 | 601 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
576 | 586 | 599 | 580 | 534 | 502 | 521 | 509 | 506 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
501 | 525 | 516 | 507 | 466 | 434 | 411 | 311 | 282 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
278 | 280 | 284 | 300 | 330 | 396 | 415 | 597 | 633 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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665 | - | - | - | - | - | - | - | - |
La commune dépend de l'académie de Montpellier. Les élèves commencent leur scolarité à Moulézan. L'école primaire accueille 48 enfants[35]. Le collège le plus proche se situe à Saint-Geniès-de-Malgoirès et le lycée le plus proche à Saint-Christol-lez-Alès[36].
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 255 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 612 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 310 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 10,5 % | 10,5 % | 19 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 406 personnes, parmi lesquelles on compte 79,9 % d'actifs (60,9 % ayant un emploi et 19 % de chômeurs) et 20,1 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 84 emplois en 2018, contre 64 en 2013 et 46 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 249, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,5 %[I 10].
Sur ces 249 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 56 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9 % les transports en commun, 4,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
52 établissements[Note 10] sont implantés à Moulézan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 52 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 7 | 13,5 % | (7,9 %) |
Construction | 9 | 17,3 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 11 | 21,2 % | (30 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 1,9 % | (3 %) |
Activités immobilières | 6 | 11,5 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 6 | 11,5 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 5 | 9,6 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 7 | 13,5 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,2 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 52 entreprises implantées à Moulézan), contre 30 % au niveau départemental[I 14].
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 32 | 26 | 20 | 17 |
SAU[Note 13] (ha) | 429 | 350 | 315 | 307 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 32 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 26 en 2000 puis à 20 en 2010[39] et enfin à 17 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 47 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[40],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 429 ha en 1988 à 307 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 13 à 18 ha[39].
La pierre de Lens, exploitée depuis l'antiquité, compte parmi les calcaires les plus réputés de France[41], en raison de sa blancheur sans défauts et, à la différence du tuffeau, de sa dureté adaptée à la sculpture, même si son utilisation pour la statuaire est moins mise en avant actuellement par les carriers industriels qui l'exploitent surtout pour la construction. La formation dont la qualité est la plus recherchée se situe à Moulézan, sur le versant oriental du massif dans une zone relativement restreinte d'environ 2 km de large, contrainte par la demande de préservation depuis les années 1970 des carrières antiques, qui subsistent en hauteur plus à l'Ouest.
À l'extrémité orientale de la commune, coexistent trois carrières, rouvertes après plusieurs décennies d'arrêt, dont celle de « Rocamat Pierre Naturelle » d'origine romaine, reprise depuis 1982, renouvelée en 2009 et rachetée en 2019 par la société Polycor France[42] et celle moderne de la société « Pierre de Taille du Midi », en activité depuis 1999 et renouvelée en 2014[43], alors que la troisième carrière, également d'origine romaine, exploitée par OMYA, ne produit que des granulats. L'intérêt patrimonial des deux premières carrières réside dans le fait qu’elles sont les dernières à extraire les blocs de pierre de taille de Lens, afin de pérenniser l’accès à ce matériau historique, qui a notamment été utilisé pour la nouvelle façade de la gare Saint-Charles à Marseille.
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Blason | D'argent, à un pal losangé d'or et de sable[30]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |