Montferrand Écouter est une commune française, située dans le nord-ouest du département de l'Aude en région Occitanie.
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Montferrand | |
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![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Carcassonne |
Intercommunalité | Communauté de communes Castelnaudary Lauragais Audois |
Maire Mandat |
Christophe Pradel 2020-2026 |
Code postal | 11320 |
Code commune | 11243 |
Démographie | |
Gentilé | Montferrandais |
Population municipale |
602 hab. (2019 ![]() |
Densité | 34 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 21′ 55″ nord, 1° 49′ 12″ est |
Altitude | Min. 186 m Max. 301 m |
Superficie | 17,93 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Bassin chaurien |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
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Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal du Midi, le Fresquel, le Rigole du Canal Midi et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montferrand est une commune rurale qui compte 602 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Montferrandais ou Montferrandaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend trois immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Pierre, inscrite en 1948, le canal du Midi (Bassin de Naurouze, bief de partage des eaux et obélisque), inscrit en 1996, et les Vestiges archéologiques, classés en 1964.
Commune de l'aire urbaine de Toulouse située dans le Lauragais sur la rigole de la plaine en Pays Lauragais. C'est une commune limitrophe avec le département de la Haute-Garonne. C'est sur la commune que se trouve le seuil de Naurouze.
Montferrand est limitrophe de cinq autres communes dont une dans le département de la Haute-Garonne.
Montmaur | ||
Avignonet-Lauragais (Haute-Garonne) |
![]() |
Airoux |
Baraigne | Labastide-d'Anjou |
Saint-Pierre-d'Alzonne (Elusiodunum[2] Ier siècle av. J.-C., Mansio Elusione[3] IVe siècle, Eluso IVe siècle) dont le nom est une corruption par l'hydronyme Alzonne d'une racine préceltique Elus- de sens obscur (cf. Eauze, ancienne Elusa.
La superficie de la commune est de 1 793 hectares ; son altitude varie de 186 à 301 mètres[4].
Accès avec l'autoroute A 61 et les routes départementales D 6113 (ex-RN 113) et la D 218 ainsi qu'avec la via Tolosana, le canal du Midi et la voie verte du canal du Midi en Haute-Garonne.
La commune est desservie par la ligne 955 du réseau liO.
La commune est pour partie dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[5], et pour partie dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens », au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[6]. Elle est drainée par le canal du Midi, le Fresquel, la rigole du canal du Midi, la Cantarane et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le canal du Midi, d'une longueur totale de 239,8 km, est un canal de navigation à bief de partage qui relie Toulouse à la mer Méditerranée depuis le xviie siècle[8].
Le Fresquel, d'une longueur totale de 63 km, prend sa source dans la commune de Baraigne et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aude à Carcassonne, après avoir traversé 22 communes[9].
La rigole du canal du Midi, d'une longueur totale de 27 km, prend sa source dans la commune de Saint-Félix-Lauragais et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le canal du Midi sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[10].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[11].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1970 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2,4 | 2,7 | 4,5 | 6,6 | 10,4 | 13,6 | 15,6 | 15,7 | 12,8 | 10,3 | 5,7 | 3,1 | 8,6 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,4 | 9,2 | 11,5 | 15,5 | 19,2 | 21,9 | 21,8 | 18,5 | 14,4 | 9 | 6 | 13,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,5 | 10,2 | 13,8 | 16,3 | 20,7 | 24,9 | 28,1 | 27,9 | 24,1 | 18,6 | 12,3 | 8,9 | 17,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−19 16.01.1985 |
−13 10.02.1986 |
−9 01.03.05 |
−3 14.04.1986 |
−2 01.05.1976 |
4 07.06.1984 |
7 18.07.1984 |
5 31.08.1986 |
2 19.09.1977 |
−2 25.10.03 |
−8 23.11.1988 |
−12 31.12.1970 |
−19 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,5 25.01.1995 |
22,5 15.02.1998 |
27 21.03.1990 |
28,5 25.04.02 |
34,7 30.05.01 |
38,1 21.06.03 |
39 22.07.1990 |
41,3 12.08.03 |
34,2 05.09.06 |
29,5 01.10.1997 |
24 01.11.1970 |
21,2 18.12.1989 |
41,3 2003 |
Précipitations (mm) | 65,6 | 49,1 | 53,6 | 79,5 | 75,6 | 57,8 | 40,1 | 48,4 | 55 | 66,8 | 62,1 | 60,4 | 714 |
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 3] est recensée sur la commune[16] : les « collines de la Piège » (27 918 ha), couvrant 40 communes dont 38 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[17].
Montferrand est une commune rurale[Note 4],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), forêts (3,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le territoire de la commune de Montferrand est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 257 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 257 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].
Montferrand correspond probablement à l'ancien carrefour routier du bourg gallo-romain d'Elesiodunum, cité par Cicéron dans son discours Pro Fonteio (69 av. J.-C.), où un des péages instauré par le gouverneur romain Fonteius collectait une taxe sur le vin exporté d'Italie vers la Gaule indépendante. Pendant la croisade des Albigeois, un siège (oc) y eut lieu en 1210. Il est cité, sous le nom de Mansio Elusione, comme une des étapes du pèlerinage de Bordeaux à Jérusalem au IVe siècle. Sulpice Sévère y a résidé à la fin du siècle. Par la suite, l'insécurité a amené les habitants à déplacer leur habitat vers la hauteur qui a pris le nom de Montferrand[25].
Découvert en 1955 par un minotier, le complexe architectural et funéraire chrétien de l'Antiquité tardive et du haut Moyen Âge (IVe – VIIIe siècles après J.-C.) situé à Peyre Clouque est unique dans le Lauragais[26].
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Blason | D'azur, au monde d'or, au chef d'azur à trois fleurs de lys d'or. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[27],[28].
Commune faisant partie de l'arrondissement de Carcassonne de la communauté de communes de Castelnaudary Lauragais Audois et du canton du Bassin chaurien (avant le redécoupage départemental de 2014, Montferrand faisait partie de l'ex-canton de Castelnaudary-Sud) et avant le 1er janvier 2017 elle faisait partie de la communauté de communes de Castelnaudary et du Bassin Lauragais.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 2001 | En cours | Christophe Pradel | SE | Agriculteur |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2019, la commune comptait 602 habitants[Note 6], en augmentation de 14,89 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
740 | 776 | 752 | 815 | 889 | 961 | 960 | 990 | 940 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
962 | 974 | 863 | 830 | 792 | 710 | 730 | 608 | 640 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
597 | 574 | 561 | 535 | 569 | 565 | 539 | 485 | 497 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
480 | 438 | 395 | 352 | 356 | 410 | 459 | 467 | 496 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
533 | 602 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[33] | 1975[33] | 1982[33] | 1990[33] | 1999[33] | 2006[34] | 2009[35] | 2013[36] |
Rang de la commune dans le département | 114 | 128 | 167 | 138 | 136 | 136 | 137 | 131 |
Nombre de communes du département | 439 | 436 | 435 | 437 | 438 | 438 | 438 | 438 |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 213 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 544 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 910 €[I 4] (19 240 € dans le département[I 5]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 5,8 % | 5 % | 6,2 % |
Département[I 7] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 346 personnes, parmi lesquelles on compte 82,9 % d'actifs (76,8 % ayant un emploi et 6,2 % de chômeurs) et 17,1 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 93 emplois en 2018, contre 82 en 2013 et 74 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 277, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,2 %[I 10].
Sur ces 277 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 70 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,6 % les transports en commun, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
43 établissements[Note 9] sont implantés à Montferrand au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 43 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 4 | 9,3 % | (8,8 %) |
Construction | 7 | 16,3 % | (14 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 14 | 32,6 % | (32,3 %) |
Activités immobilières | 1 | 2,3 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 8 | 18,6 % | (13,3 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 2 | 4,7 % | (13,2 %) |
Autres activités de services | 7 | 16,3 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32,6 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 43 entreprises implantées à Montferrand), contre 32,3 % au niveau départemental[I 14].
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[37] :
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude[38],[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 6].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 23 | 19 | 21 | 19 |
SAU[Note 12] (ha) | 970 | 1237 | 1266 | 1797 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 19 en 2000 puis à 21 en 2010[40] et enfin à 19 en 2020[Carte 7], soit une baisse de 17 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[41],[Carte 8]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 970 ha en 1988 à 1 797 ha en 2020[Carte 9]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 42 à 95 ha[40].
Montferrand fait partie de l'académie de Montpellier.
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