Montesson est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.
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Montesson | |
![]() L'hôtel de ville. | |
![]() Héraldique |
![]() Logo |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Yvelines |
Arrondissement | Saint-Germain-en-Laye |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine |
Maire Mandat |
Nicole Bristol 2020-2026 |
Code postal | 78360 |
Code commune | 78418 |
Démographie | |
Gentilé | Montessonais |
Population municipale |
14 991 hab. (2019 ![]() |
Densité | 1 960 hab./km2 |
Population agglomération |
15 394 hab. (2014) |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 54′ 27″ nord, 2° 08′ 57″ est |
Altitude | Min. 23 m Max. 56 m |
Superficie | 7,65 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton de Houilles |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.montesson.fr |
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Ses habitants sont appelés les Montessonnais.
La commune de Montesson se trouve dans le nord-est du département des Yvelines, à dix-huit kilomètres environ à l'ouest de Paris, à six kilomètres environ au nord-est de Saint-Germain-en-Laye, sous-préfecture, et à 14 km environ au nord de Versailles, préfecture du département.
C'est une commune riveraine de la Seine située dans un méandre du fleuve sur sa rive droite.
Son territoire est constitué par une plaine alluviale fertile consacrée de longue date aux maraîchage. Se sont succédé la vigne, l'arboriculture et désormais le maraîchage, principalement de salades, dont les agriculteurs montessonnais fournissent environ 5% de la production nationale française[réf. nécessaire].
Les communes limitrophes sont Sartrouville au nord-est, Carrières-sur-Seine à l'est, Chatou au sud-est, Le Vésinet au sud. Vers l'ouest, la Seine sépare Montesson du Mesnil-le-Roi et du Pecq.
Montesson est une ville atypique puisqu'elle ne dispose pas d'un centre ville mais d'un "centre plaine". En effet, celle ci, au 2/3 agricole et pour 1/3 naturelle, constituée de friches, de zones humides et d'espaces boisés, occupe une grosse partie de la superficie de la Ville.[réf. nécessaire]
Lors de l'urbanisation du quartier du centre, le cours d'eau (appelé ru) qui prenait sa source au niveau de l'actuelle bibliothèque municipale - et où les chevaux venait s'abreuver - a été canalisé et enterré. Ce petit cours d'eau souterrain - qui existe toujours, en témoignent la bonne santé des arbres de certaines résidences situées rue Henri-Richaume et les problèmes de fondations d'autres résidences de cette même rue - se jette dans la Seine[réf. nécessaire].
Certaines noms de rues témoignent également de ce passé humide, (chemin du ru de la folie, rue des Marais).
Les zones urbanisées se répartissent en trois quartiers nettement séparés :
Ces quartiers sont séparés par une zone agricole centrale, la plaine de Montesson, consacrée au maraîchage, qui couvre encore une majeure partie du territoire de cette commune pourtant située à proximité de Paris et de La Défense. Cette plaine a été protégée grâce à la création en 2020 d'une ZAP.
Les berges de Seine (rive droite) entre le Pont-du-Pecq et Sartrouville supportent deux tracés majeurs, une vélo-route internationale, l'Avenue verte London-Paris, qui relie Paris et Londres en 470 km et un sentier de grande randonnée, le GR2, au fil de Seine, qui relie en 776 km Dijon au Havre en suivant le cours du fleuve.
La commune de Montesson a également aménagé un solide réseau de pistes cyclables pour relier l'ensemble de ses quartiers : le long de la D121, pour relier les quartiers des Rabaux et de la Borde, des Rabaux au centre-ville, du centre-ville à La Borde par la Plaine de Montesson et la route de Sartrouville (D1021). Ces réseaux d'arrêtent malheureusement aux portes des communes du Vésinet, de Chatou et du Pecq qui n'ont pas réalisé les équipements nécessaires pour un cheminement continu[1].
Cinq lignes de bus du transporteur Transdev Île-de-France[2] desservent la commune reliant les gares RER A Le Vésinet-Le Pecq (située au Vésinet), Chatou-Croissy (située à Chatou), Houilles - Carrières-sur-Seine et Sartrouville (gares SNCF-RATP RER ligne A).
Montesson pourrait bénéficier d'une amélioration des transports en commun avec le Grand Paris, notamment avec les lignes desservant La Défense.
L'autoroute A14 traverse la commune d'est en ouest sans causer d'importantes nuisances à la suite d'un cahier des charges du maire Jean-François Bel plutôt strict (enfouissement partiel, talus, nombreux ponts) afin de préserver la qualité de vie sur la commune. Une barrière de péage (en cours de démantèlement pour passage en flux libre[3]) s'y trouve et ne dispose pas d'un échangeur. Pour rejoindre la commune par la route depuis Paris, deux possibilités : la jonction tunnel A14 / A86 via le pont de Chatou ou pont de Bezons (gratuit) ou bien en continuant sur l'A14 jusqu'à l'échangeur de Chambourcy (payant). Le sujet de l'échangeur a été étudié à plusieurs reprises par la commune de Montesson et la communauté d'agglomérations (CASGBS), certains élus de la boucle de Seine soutenaient sa création au motif que cela désengorgerait leur commune (Le Pecq et Chatou notamment).
Cependant, les différentes études, dernière en 2014 commandée par la CASGBS, n'ont pas apporté la preuve d'un impact positif sur la circulation des ponts de Chatou, de Bezons et du Pecq. Au contraire, sa création ferait peser un risque substantiel d'augmentation du trafic sur la commune de Montesson. Par ailleurs, cela créerait une spéculation désastreuse sur les terres agricoles mettant en danger l'existence même de la plaine de Montesson en tant que poumon vert de l'ouest Parisien, au même titre que le bois de Boulogne ou la forêt de Saint-Germain-en-Laye. Il faut noter que le schéma directeur de l'île de France (SDRIF), un document de planification stratégique à l'échelle régionale qui permet d'aguiller les élus sur les thématiques urbaines, mobilités et transports, ne prévoit pas de création d'un échangeur. L'exploitant (SANEF) n'est également pas persuadé de sa pertinence car les usagers yvelinois qui empruntent cette voie payante pour accéder à Paris se verrait bloquer dès le péage de Montesson, soit plusieurs km en amont du tunnel de l'A14, point de blocage actuel du fait de l'arrivée des flux de véhicules de l'A86. Compliqué à justifier auprès de ses clients vu le prix (8,7 € en heures pleines depuis le 02/19) que coûte l'utilisation de cette autoroute qui permet d'accéder rapidement à Paris depuis la vallée de la Seine.
Pour désengorger la zone, la création d'une route départementale longeant l'autoroute, déclarée d’utilité publique le , est entrée en phase de réalisation en 2011[4]. Projet porté par le Conseil départemental des Yvelines, cette voie nouvelle fait partie de ses grands projets d’infrastructures visant à améliorer les conditions de circulation et de sécurité des Yvelinois. Elle a pour objectif d'apaiser les conditions de circulation dans les centres-villes de Sartrouville et Montesson tout en préservant le cadre de vie des habitants et l’activité agricole. Une portion partielle est ouverte à la circulation depuis . La mise en service de la totalité des aménagements a lieu fin septembre 2020[5].
Autrement, d'autres solutions existent pour soulager les accès et les sorties de la boucle aux heures de pointe :
Montesson est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[9] et 10 816 803 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Monte Tessonis au XIVe siècle[14].
Il s'agit d'une formation médiévale en Mont- « colline, mont », suivi du nom de personne Tesson, surnom à l'origine, basé sur le nom du blaireau[15] en ancien français : taisson[16].
Des traces d'activité humaine, sous forme de haches en silex, permettent de supposer que le territoire de l'actuelle commune de Montesson a été occupé à l'époque préhistorique.
Des traces écrites datent de 1050 et 1144 et indiquent Montesson, tout comme Chatou, comme ville, au sens de villa tel que compris par les Romains.
Chatou et Montesson étaient propriétés des abbayes de Saint-Denis et de Malnoue d'Émerainville, avant d'appartenir au seigneur séculier Guillaume Escu-au-Col en 1295[17].
C'est au XIIe siècle et XIIIe siècle que Montesson se développe et revendique une indépendance de Chatou. Un procès qui dura de 1310 à 1333 donna raison aux Montessonnais et leur permit de paître leurs bestiaux sur l'île de Chatou[17], mais le différend persistera jusque sous la Révolution. Montesson a été érigée en paroisse autonome, séparée de Chatou, en 1360[17].
Le village fut complètement détruit pendant la guerre de Cent Ans, la population fut réduite à 4 habitants en 1470, ce dont témoigne le livre de l'élection de Paris[17].
En 1577, les possessions restantes de l'abbaye de la Malnoue sont vendues à Guillaume le Pilleur qui devient propriétaire du bac[17].
La commune de Montesson reçoit en 1803 une partie de la forêt royale du Vésinet[18]
En 1875, la création de la commune du Vésinet ampute Montesson d'une partie de son territoire.
Il testa son avion sur la plaine de Montesson. Vuia réalisa le vol historique du , où après une accélération sur 50 m, il décolla à 1 m de hauteur sur une longueur d'environ 12 m. Il prouva ainsi au monde entier que le vol mécanique était finalement possible.
Dans les années 1920, l'urbanisation se développe sous forme de lotissements dans le quartier de la Borde, près de Sartrouville.
En 1996, l'autoroute A14 est mise en service. La voie rapide traverse la plaine de Montesson dans toute sa longueur en franchissant la Seine par le viaduc autoroutier de Montesson (dit aussi "de Mesnil-le-Roi") de 501 mètres.
Antérieurement à la loi du [19], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye après un transfert administratif effectif au .
Pour l'élection des députés, la ville est rattachée à la cinquième circonscription des Yvelines depuis 1988.
Elle faisait partie de 1793 à 1895 du canton d'Argenteuil, année où elle intègre le canton de Saint-Germain-en-Laye, puis, en 1964, celui de Chatou du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place des Yvelines, elle est rattachée en 1967 au canton du Vésinet[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Montesson est désormais intégrée au canton de Houilles.
Montesson était le siège de la communauté de communes de la Boucle de la Seine créée en 2004 et transformée en communauté d'agglomération en 2015 sous le nom de communauté d'agglomération de la Boucle de la Seine.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes, et la constitution d'intercommunalités de plus de 200 000 habitants en seconde couronne d'Île-de-France afin qu'elles soient en mesure de dialoguer avec la Métropole du Grand Paris, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former la communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine, dont Montesson est désormais membre.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1800 | 1802 | Antoine Jouannot père | entrepreneur de maçonnerie | |
1802 | 1808 | Jean Barrière | ||
1808 | 1813 | Jean-Baptiste Castel | régisseur de domaine | |
1813 | 1815 | Thomas Bunel | ||
1815 | 1823 | Antoine Jouannot fils | propriétaire | |
1823 | 1827 | Louis Prudent Leduc | Fermier domaine de la Borde | |
1827 | 1830 | François Charnaud | entrepreneur de bâtiment | |
1830 | 1834 | Philippe Dreux | ||
1834 | 1840 | François Guyon | propriétaire | |
1840 | 1848 | Jacques Rosset | rentier | |
1848 | 1850 | Jean-Baptiste Soyer | ||
1850 | 1858 | Augustin Visbet | maréchal ferrant | |
1858 | 1860 | Jean-Baptiste Johnson | pharmacien | |
1860 | 1866 | Louis Michel Dapoigny | receveur buraliste | |
1866 | 1870 | Auguste Faullain de Banville | Architecte | |
1870 | 1881 | Félix Antoine Philippe | ||
1881 | 1887 | Auguste Faullain de Banville | Architecte | |
1887 | 1892 | Louis Ferdinand Chauvin | Charron | |
1892 | 1900 | Jean Philippe | capitaine en retraite | |
1900 | 1917 | Jean Baptiste Martial Marcel Marigné | cultivateur | |
1917 | 1919 | Pierre Louis Guyard | cultivateur | |
1919 | 1928 | Léon Johnson | armurier | |
1928 | 1945 | Gaston Voillereau | champignonniste | |
1945 | 1947 | Jean Lemoine | Ouvrier | |
1947 | 1964 | Gaston Voillereau | Champignonniste | |
1964 | 1965 | Jean Pouzergues | Médecin | |
mars 1965 | mars 1989 | Édouard Béhuret | DVG | Maraîcher |
mars 1989 | juin 1995 | Pierre Gesta[22]. | Ingénieur | |
juin 1995 | 2020[23] | Jean-François Bel | RPR puis UMP → LR |
Ingénieur civil des mines retraité Conseiller général du canton du Vésinet (1992 → 2015) |
2020 | En cours (au 9 juillet 2020) |
Nicole Bristol | DVD | Vice-présidente de la CA Saint Germain Boucles de Seine (2020 → ) |
La commune a engagé une politique de développement durable et lancé une démarche d'Agenda 21 en 2008[24].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[25],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 14 991 habitants[Note 4], en diminution de 1,26 % par rapport à 2013 (Yvelines : +2,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 098 | 1 064 | 1 076 | 1 149 | 1 261 | 1 242 | 1 206 | 1 188 | 1 190 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 221 | 1 425 | 1 515 | 1 579 | 1 576 | 1 581 | 1 709 | 1 588 | 1 903 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 254 | 2 473 | 2 657 | 2 915 | 4 008 | 5 332 | 5 532 | 5 054 | 6 284 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
7 085 | 9 353 | 9 494 | 11 192 | 12 365 | 13 750 | 14 760 | 15 270 | 15 277 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
14 991 | - | - | - | - | - | - | - | - |
.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 7 249 hommes pour 7 764 femmes, soit un taux de 51,72 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,2 | 90 ou + | 1,3 |
4,8 | 75-89 ans | 6,1 |
14,2 | 60-74 ans | 14,2 |
22,6 | 45-59 ans | 23,8 |
18,5 | 30-44 ans | 18,7 |
18,8 | 15-29 ans | 16,5 |
20,8 | 0-14 ans | 19,4 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 1,3 |
5,7 | 75-89 ans | 7,7 |
13,4 | 60-74 ans | 14,5 |
20,6 | 45-59 ans | 20,3 |
19,8 | 30-44 ans | 19,9 |
18,4 | 15-29 ans | 17 |
21,5 | 0-14 ans | 19,4 |
La municipalité propose des infrastructures diverses, qui accueillent des clubs sportifs de :
Le centre-ville très animé autour de la mairie et de l'église, comporte néanmoins de nombreux commerces.
Le quartier de la Borde regroupe les principaux commerces, notamment l'immense centre commercial Carrefour ; les alentours comprennent divers magasins spécialisés (Décathlon, Gémo, Picard Surgelés…).
Un plan de réorganisation de la zone commerciale de la Borde a vu le jour en 2007. Il prévoit le déplacement des enseignes et commerces situés sur l'avenue Gabriel-Péri vers l'arrière du magasin Carrefour, en direction de la plaine de Montesson. En lieu et place des commerces actuels seraient construits des logements (dont une partie serait des logements sociaux). À cette zone serait couplé un pôle sportif et culturel. Le déplacement du conservatoire de musique y est envisagé, ainsi que la construction d'un complexe sportif.
Montesson est aussi une commune maraîchère, qui produit beaucoup de laitues avec notamment 5 % de la production nationale de salade et 40 % de celle d'Île-de-France[29].
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Les armes de Montesson se blasonnent ainsi : Ces armes sont celles de la famille de Montesson[33]. |
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