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Le Vésinet est une commune française située à l'est du département des Yvelines en région Île-de-France.

Le Vésinet

L'hôtel de ville.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité CA Saint Germain Boucles de Seine
Maire
Mandat
Bruno Coradetti
2020-2026
Code postal 78110
Code commune 78650
Démographie
Gentilé Vésigondins, Vésigondines
Population
municipale
15 943 hab. (2019 )
Densité 3 189 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 41″ nord, 2° 07′ 59″ est
Altitude Min. 26 m
Max. 47 m
Superficie 5,00 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Chatou
Législatives 5e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Le Vésinet
Géolocalisation sur la carte : France
Le Vésinet
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Le Vésinet
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Le Vésinet
Liens
Site web http://www.levesinet.fr

    Officiellement érigée en commune autonome le , elle présente la particularité d'être née d'un des premiers lotissements créés en région parisienne à la fin du XIXe siècle.

    C'est une commune résidentielle de l'Ouest parisien s'ordonnant autour de parcs, lacs et rivières artificiels, desservie par des artères vertes aux arbres plus que centenaires (4 fleurs et Grand Prix National de Fleurissement au concours des villes et villages fleuris en 2013[1]). Site résidentiel classé, Le Vésinet est protégée au titre des sites (loi de 1930) et des monuments historiques (loi de 1913).

    Ses habitants sont appelés Vésigondins.


    Géographie


    Position du Vésinet dans les Yvelines.
    Position du Vésinet dans les Yvelines.
    Le lac des Ibis.
    Le lac des Ibis.

    Localisation


    La commune du Vésinet se trouve au milieu d'un méandre de la Seine, sans accès au fleuve, à 19 kilomètres à l'ouest de Paris et à quatre kilomètres à l'est de Saint-Germain-en-Laye. Les communes limitrophes sont Chatou à l'est, Croissy-sur-Seine au sud, Le Pecq à l'ouest et au nord, Montesson au nord.

    Le territoire est constitué par une plaine alluviale s'étageant entre 28 mètres (au niveau du rond-point du Pecq) et 45 mètres d'altitude (à l'extrémité est de la route de Montesson), en légère pente du nord-est vers le sud-ouest.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes


    Le Vésinet a été créée par prélèvement de territoires sur Chatou à l'est, Croissy-sur-Seine au sud, Le Pecq à l'ouest, Montesson La Borde au nord.


    Urbanisme



    Typologie


    Le Vésinet est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 816 803 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].

    C'est une commune entièrement urbanisée, formée très majoritairement d'habitations individuelles. Les espaces verts représentent 20 % du territoire. Dans ces espaces verts, distribués dans la commune, ont été aménagés des plans d'eau : le lac Supérieur, le lac Inférieur, le lac de la Station, le lac de Croissy et le Grand lac, possédant une grande île centrale, l'île des Ibis ; le Grand Lac est aussi appelé « Lac des Ibis »[10] ou « Grand Lac des Ibis »[11]. Ces plans d'eau sont reliés les uns aux autres par près de quatre kilomètres de ruisseaux artificiels appelés « Les petites rivières », sous la forme de deux réseaux indépendants séparés par la voie de chemin de fer.

    La commune est une ville résidentielle. Selon plusieurs palmarès, Le Vésinet est une des villes regroupant le plus d'expatriés et la plus chère de l'immobilier d'Île-de-France avec un prix médian des maisons de 1 000 000 [12].


    Voies de communication et transport



    Voies routières

    Les communications sont assurées par quatre grands axes rayonnant à partir de la place de la République située sur l'emplacement de l'étoile forestière : la route de Sartrouville (RD 121) en direction du nord, la route de Montesson (RD 311) en direction du nord-est, le boulevard Carnot (RD186) en direction de l'est et la route de Croissy (RD 121) en direction du sud-est. Le boulevard Carnot relie le pont du Pecq au pont de Chatou et constitue l'artère principale de la commune.

    La commune est reliée à l'A86 via le pont de Chatou et à l'A13 via les échangeurs de Saint-Germain-en-Laye ou de Rocquencourt.


    Transport en commun

    Le Vésinet est desservi par deux stations du RER A : Le Vésinet-Centre et Le Vésinet - Le Pecq, qui la relient à Paris via La Défense et à Saint-Germain-en-Laye.

    Il dispose également de gares de bus dans les deux stations du RER.


    Transport actif

    Le Vésinet est parcouru par un réseau de sentiers piétonniers qui serpente le long des pelouses et lacs et a sécurisé la traversée piétonne de sa voie la plus passante, le boulevard Carnot (RD186).

    Le Vésinet, bien que parfaitement plat et disposant de grandes avenues très larges, favorise le stationnement et la circulation des véhicules motorisés sur l'ensemble de son territoire.

    La ville a adopté une signalétique de voies partagées entre automobiles et vélo sur les quelques axes secondaires.

    Elle n'a procédé à aucun aménagement cyclable des quatre départementales qui la traversent. Notamment, l'absence de tout aménagement sur le boulevard Carnot, l'importance du trafic routier et la présence de nombreux giratoires rendent cette voie particulièrement dangereuse pour les cyclistes et rompt la continuité avec les pistes existantes sur les communes proches, privant ainsi les cyclistes de la possibilité de parcourir en sécurité l'axe historique reliant Saint-Germain-en-Laye à la Porte Maillot via la Défense.

    Elle n'assure pas non plus la continuité des pistes cyclables réalisées sur la commune de Croissy, chemin de ronde et sur la RD121, ces pistes s'arrêtant brutalement à l'entrée du Vésinet[13].


    Toponymie


    La mention du Vésinet apparaît pour la première fois dans une charte de 704, du roi Childebert III sous l'appellation Visinolium[14], vesiniolum[15], visiniotum[16],[17], Visiniolo en 768[18],[19].

    Selon Dauzat, le nom « Vésinet » viendrait du latin vicinicum et signifierait « hameau ». Mais l'origine est visiniolum « lieu voisin ». Cette seconde hypothèse est plus probante, car au moment de la rédaction des documents les plus anciens, entre le VIIIe et le IXe siècle, lorsque apparaissent les mots visiniolum et visiniolo, il n'y a pas encore de hameau, mais seulement une terre, un bois qui est cédé à Alpicum (Le Pecq) en sous-fief. C'est une réserve de bois pour le modeste prieuré qui s'établit au Pecq et pour les quelques dizaines de familles qui se serrent autour du petit oratoire en bois de Saint-Wandrille, sur la rive gauche de la Seine[20],[21].


    Histoire



    Les origines


    Dans une charte de 704, le roi Childebert III octroie la terre du Pecq et son annexe Le Vésinet aux moines de l'abbaye de Fontenelle devenue Saint-Wandrille au XIIe siècle.

    Le territoire actuel du Vésinet est alors recouvert par une forêt, une partie de l'ancienne forêt d'Yveline, acquise par le roi François Ier au XVIe siècle et restant longtemps un domaine de chasse de la couronne.

    Du Moyen Âge au règne de Louis XIV, la forêt a mauvaise réputation ; cela n'empêche cependant pas Louis XIV d'y chasser au vol.

    Le cardinal de Noailles la fait défricher et y bâtit des maisons et une chapelle pour les cultivateurs.

    Le Vésinet est un hameau de Chatou avant 1726, puis de Le Pecq entre 1726 et 1874[22].

    Sous la Révolution, le 20 frimaire an II (soit le 10 décembre 1793), ce territoire est partagé entre les nouvelles communes de Croissy (qui en récupère 120 hectares), Chatou (138 hectares), Montesson (53 hectares et demi) et Le Pecq (97 hectares). Le territoire du Pecq a désormais un pied sur la rive droite de la Seine[23].

    La forêt du Vésinet dans une boucle de la Seine vers 1780 (carte de Cassini).
    La forêt du Vésinet dans une boucle de la Seine vers 1780 (carte de Cassini).

    Époque contemporaine


    Woodcottage.
    Woodcottage.
    Palmarès des villes fleuries décerné au Vésinet.
    Palmarès des villes fleuries décerné au Vésinet.
    La ligne de train et l'ancienne gare

    En 1837, la nouvelle ligne de chemin de fer de Paris-Saint-Lazare au Pecq est inaugurée. Le train ne pouvant franchir le dénivelé jusqu'à Saint-Germain-en-Laye, la gare se situe sur la commune du Pecq, sur la rive droite de la Seine, au pied du pont dit « pont du Pecq », reconstruit en 1963 et baptisé « pont Georges Pompidou » en 1996 . Grâce à un chantier pour un programme immobilier, des vestiges de cette gare ont été découverts début 2017.

    En 1848, la création d'un train dit « atmosphérique » permet le prolongement de la ligne jusqu'à Saint-Germain-en-Laye ; ce train subit un accident dans la gare du Vésinet le 6 septembre 1858 qui fait trois morts et 35 blessés[24].

    Le tracé de la ligne étant modifié, la première gare est abandonnée ; la gare du Vésinet (actuellement « Le Vésinet-Le-Pecq ») est ouverte en 1862.

    La création de la ville

    En 1855, Napoléon III décrète qu'il sera bâti au sud du bois du Vésinet un asile pour les ouvriers convalescents ou mutilés dans le cours de leurs travaux. Le , l'asile impérial du Vésinet est inauguré.

    Par ailleurs, Henri Place, banquier, possède de nombreux espaces boisés dans la région de Saint-Germain-en-Laye et Marly. Sa gestion de la banque donne des signes de fragilité, et le duc de Morny, demi-frère de Napoléon III, est inquiet pour les deux millions qu'il y a déposés.

    Morny (ou l’un de ses proches) a l’idée de provoquer l’échange de la plaine dite « de la Jonction » située entre Saint-Germain-en Laye et Marly, pour agrandir la chasse de l’État, contre les bois du Vésinet situé sur trois communes et peu propre à la chasse mais qui peuvent être d’un excellent rapport pour les créanciers du banquier. Pour diriger l’opération Morny pense à Alphonse Pallu, dynamique industriel installé en Auvergne, mais aussi maire et conseiller général.

    Le contrat provisoire d’échange est signé le 2 octobre 1855 entre Achille Fould, ministre des Finances, et Henri Place.

    Le est fondée la société Pallu et Cie, dont l'objectif est d'urbaniser la forêt du Vésinet afin de fonder une ville nouvelle. Le gérant est Alphonse Pallu, associé à Auguste Morny, à l'origine également de l'urbanisation de Deauville et Biarritz. Est donc ainsi acté l’échange de terrains avec Napoléon III, troquant 321 ha de terrains situés entre les forêts de Saint-Germain-en-Laye et Marly, ce qui permet de réunir les terrains de chasse en un seul tenant contre 436 ha au Vésinet et 49 ha dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye[25].

    La création du plan de la ville est confiée au comte de Choulot suivant un plan de cité-jardin « à l'anglaise » avec un plan en damier pour le centre-ville, mais des voies courbes en second réseau de circulation ainsi que des coulées vertes accompagnées de rivières artificielles. Les travaux de défrichement, de terrassement, de création des réseaux de lacs et rivières, d'installation du réseau d'eau potable ainsi que les ouvrages d'art sont réalisés par Pierre-Joseph Olive, architecte attitré de la société Pallu. Choulot et Olive cosignent la vue cavalière du Vésinet (mairie du Vésinet) datée de 1858. Comme le veut la tradition, le centre-ville comporte une église, Sainte-Marguerite, consacrée le 2 juillet 1865, l'un des premiers bâtiments publics réalisés en béton en France.

    La société Pallu aménage ce qui va devenir un des tout premiers lotissements de France et la vente par adjudication des premiers lots commence le . Des affiches sont éditées pour promouvoir le caractère de villégiature de la ville et attirer ainsi les bourgeois parisiens[26] : prendre le train à partir de la gare Saint-Lazare pour s'y rendre est très prisé.

    En 1858, un cahier des charges est établi et modifié en septembre 1865 et mai 1869. Il fixe les règles auxquelles doivent se conformer les acquéreurs pour préserver le caractère résidentiel du lotissement. En particulier, sont interdites toutes les activités industrielles ; seuls sont autorisés à s'installer « les commerces, métiers et industries utiles aux constructions ou aux besoins domestiques pourront seuls s'établir [...] sur ceux des lots seulement qui seront spécialement indiqués à cet effet par MM. Pallu et Cie. » Les jardiniers et fleuristes sont libres de s'installer où bon leur semble.

    C'est l'un des premiers règlements d'urbanisme établis en France.

    En 1866, est installé un champ de courses autour de l'actuel Grand Lac, appelé aussi lac des Ibis (appelé à l'époque « lac du Champ de Courses »)[27],[28].

    Le , le Vésinet est érigé en commune autonome[29]. Alphonse Pallu en est le premier maire.

    En 1934, la plus grande partie des pelouses et des rivières sont classés ou inscrits à l'inventaire des sites pittoresques protégés[30].

    Le tour de France

    Le tour de France part du Vésinet en 1925 puis, chaque année, de 1927 à 1939 inclus. Le démarrage de l'épreuve se fait à Paris, à proximité de l'Étoile, mais le départ réel est donné au Vésinet et parfois de nuit, vers deux ou trois heures du matin. L'organisateur du départ est Julien Rudolphe, coureur sur piste, cycliste de demi-fond d'avant la Première guerre mondiale. En 1917, il installe au Vésinet son atelier et son magasin de construction et de réparation de cycles dans l'immeuble qu'il fait construire au 15 bis boulevard Carnot, bâtiment qui appartient maintenant à la Ville. Une plaque commémorative est posée sur la façade.

    La Seconde Guerre mondiale

    La ville est bombardée notamment trois fois[31] :

    André Douminjou est fusillé par les Allemands le 21 août 1944 au Vésinet lors d'une prise d'otages devant le café de la Mairie, boulevard Carnot[32].

    L'après-guerre

    En 1970, l'ensemble des secteurs résidentiels d'habitations individuelles de la commune est à son tour inscrit à l'inventaire des sites pittoresques du département des Yvelines[33]. Enfin, en 1983 est classé l'ensemble des lacs, rivières, pelouses, coulées et autres espaces verts publics[34].

    Le lac des Ibis (ou Grand Lac ou lac du Champ de Courses) est acheté par la ville en 1914. Les quatre autres lacs et les rivières qui les relient, relevant d'un traité de concession conclu entre la Lyonnaise des Eaux et la ville (en 1949, renouvelé en 1974), sont intégrés au domaine public plus tard, en 2005[réf. nécessaire].

    Cet ensemble de mesures de protection permet au Vésinet de demeurer l'exemple unique en France de « ville-parc ». Par ailleurs, depuis 1997, Le Vésinet bénéficie de la distinction suprême des Quatre Fleurs au Concours des villes et villages fleuris[réf. nécessaire].


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[35], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye, après un transfert administratif effectif au .

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription des Yvelines.

    De sa création en 1875 à 1964, la commune faisait partie du canton de Saint-Germain-en-Laye, année où elle rejoint le canton de Chatou. Lors de la mise en place du département des Yvelines, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton du Vésinet[36]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle réintègre le canton de Chatou, dans une composition redéfinie.


    Intercommunalité


    La commune était membre fondateur de la communauté de communes de la Boucle de la Seine, créée fin 2004 et qui s'est transformée ultérieurement en communauté d'agglomération sous le nom de la communauté d'agglomération de la Boucle de la Seine.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante en Île-de-France, capables de dialoguer avec la métropole du Grand Paris, cette intercommunalité fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine, dont la commune est désormais membre.


    Tendances politiques et résultats


    Au second tour des élections municipales de 2014 marqué par une quadrangulaire, la liste menée par Bernard Grouchko (DVD) remporte la majiorité des voix avec 36,94 % des suffrages exprimés, suivi par la liste de Philippe Bastard De Crisnay (DVD, 24,15 %), celle de Stanislas Chesnais (DVD, 21,98 %) et celle d'André Michel (PS-PCF-EELV , 16,92 %)t[37].

    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans les Yvelines.

    Au second tour des élections municipales de 2020, quatre listes restent à,nouveau en présence. Celle de Bruno Coradetti, investi par LREM, qui obtient 32,53 % des suffrages exprimés (22 élus), suivi par celles de Thibault Gripoix (LR), 31,64 % (5 élus), celle du maire sortant Bernard Grouchko (DVD), 18,31 % (3 élus) et celle de François Bonnin : 17,50 % (3 élus)

    Article connexe : Élections municipales de 2020 dans les Yvelines.

    Politique locale


    Après avoir eu deux maires en 43 ans entre 1965 et 2008 (Alain Jonemann avec cinq mandats et Alain-Marie Foy avec deux mandats), la commune est marquée par une très forte instabilité politique avec quatre maires élus entre 2008 et 2014 dont trois ne sont pas parvenus au terme de leur mandat.

    Les conseils municipaux deviennent houleux et tendus[46].

    Le 29 mars 2019, le conseil municipal rejette le projet de budget primitif 2019 présenté par le maire. Le préfet des Yvelines saisit la Chambre régionale des comptes Île-de-France (article L.1612-2 du code général des collectivités territoriales).

    Le 24 mai 2019, la Chambre régionale des comptes procède à divers ajustements des dépenses et des recettes de la section de fonctionnement[47],[48].

    Lors des élections municipales de 2020, la liste du maire sortant Bernard Groucko est largement battue par celle du LREM Bruno Coradetti.


    Liste des maires


    Liste des maires successifs[49]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1875 1879 Alphonse Pallu   Industriel
    1879 1887 Jean Laurent   Commerçant (restaurateur)
    1887 1888 Aimé Foucault Républicain radical Avoué
    1888 1892 Alphonse Ledru Union républicaine (clérical) Avocat
    1892 1904 Charles Drevet Union républicaine (clérical) officier d'académie
    1904 1908 Gaston de Casteran Union républicaine Avocat
    1908 1919 Gaston Rouvier Radical socialiste Journaliste, haut fonctionnaire
    1919 1929 Camille Saulnier Radical socialiste  
    1929 1934 Henri Cloppet Union républicaine démocratique Journaliste
    1934 1935 Émile Aubrun   Négociant
    1935 1941 Émile Thiébaut   Commerçant (horticulteur, fleuriste)
    Démissionnaire
    mai 1941[50] 1944 Georges Dessoudeix[51]   Journaliste, écrivain, critique littéraire
    Nommé conseiller départemental de Seine-et-Oise (1943 → 1944)
    Nommé par le Gouvernement de Vichy
    octobre 1944 1945 Max Boisville[52]   Électricien
    Membre du Comité de Libération du Vésinet
    Nommé par le préfet de la Libération
    avril 1945 1953 Jean-Marie Louvel[53],[54],[55] MRP Polytechnicien
    Ministre de l'industrie et du commerce (1950 → 1954)
    Sénateur du Calvados (1959 → 1970)
    Député du Calvados (1945 → 1958)
    Maire de Caen (1959 → 1970)
    1953 1965 Marc Ferlet[56]   Ingénieur
    1965 1995 Alain Jonemann[57] RI puis
    UDF-PR puis RPR
    Journaliste puis chef d'entreprise (transports)
    Député des Yvelines (5e circ) (1988 → 1993)
    Conseiller général du Vésinet (1967 → 1992)
    Vice-président du conseil général des Yvelines (1970 → 1992)
    Conseiller régional (1976 → 1986)
    1995 2008[58] Alain-Marie Foy[59] RPR puis UMP Cadre de banque
    Président de la CC Boucle de la Seine (2005 → 2008)
    2008 janvier 2012[38] Robert Varèse[60] UMP Ingénieur civil du Génie maritime
    Vice-président de la CC Boucle de la Seine (2008 → 2012[61])
    Démissionnaire
    janvier 2012[62] avril 2013[39] Philippe Bastard de Crisnay[63],[64] UMP Chef d'une grande entreprise
    Vice-président de la CC Boucle de la Seine (2012[61] ?)
    Mandat écourté à la suite de la démission de 11 conseillers municipaux
    avril 2013[65],[66] avril 2014[40] Didier Jonemann[67] DVD Médecin généraliste.
    Fils d'Alain Jonemann, maire de 1965 à 1995
    Déclaré inéligible en mai 2014 à la suite du rejet de son compte de mandat de la municipale partielle d'avril 2013
    avril 2014 juillet 2020 Bernard Grouchko[68] DVD Dirigeant de société
    Vice-président de la CA Saint Germain Boucles de Seine (2016 → 2020)
    juillet 2020[69] En cours
    (au 9 juillet 2020)
    Bruno Coradetti[70] LREM Cadre commercial
    Vice-président de la CA Saint Germain Boucles de Seine (2020 → )

    Jumelages



    Pacte d’amitié


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[71],[Note 3]

    En 2019, la commune comptait 15 943 habitants[Note 4], en augmentation de 0,61 % par rapport à 2013 (Yvelines : +2,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    2 2852 4653 3294 4604 3424 8955 4145 6806 353
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    7 6109 40511 22211 71213 02015 66517 96418 45917 986
    1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019 - -
    17 27215 94515 92116 41915 92916 04715 943--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[72].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,9 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 7 590 hommes pour 8 275 femmes, soit un taux de 52,16 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[73]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1 
    90 ou +
    2,0 
    7,6 
    75-89 ans
    9,9 
    13,8 
    60-74 ans
    15,4 
    22,1 
    45-59 ans
    21,6 
    17,8 
    30-44 ans
    18,7 
    16,5 
    15-29 ans
    14,7 
    21,1 
    0-14 ans
    17,8 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[74]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,3 
    5,7 
    75-89 ans
    7,7 
    13,4 
    60-74 ans
    14,5 
    20,6 
    45-59 ans
    20,3 
    19,8 
    30-44 ans
    19,9 
    18,4 
    15-29 ans
    17 
    21,5 
    0-14 ans
    19,4 

    Enseignement


    Le lycée Alain, vue du côté de la route de Croissy.
    Le lycée Alain, vue du côté de la route de Croissy.
    Enseignement public[réf. nécessaire]
    Enseignement privé sous contrat[réf. nécessaire]

    Par ailleurs, la fondation des Orphelins Apprentis d'Auteuil, possède l'Institution Saint-Charles au no 23 de l'avenue de Lorraine.


    Petite enfance


    Le Vésinet possède[Quand ?] six crèches, une halte-garderie et une crèche intercommunale[réf. nécessaire].


    Personnes âgées


    Il y a[Quand ?] trois foyers-logements et un Ehpad à l'hôpital du Vésinet , avenue de la Princesse[réf. nécessaire].


    Culture


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    La bibliothèque municipale est renommée en avril 2018 bibliothèque Marcel Gotlib, du nom du dessinateur qui habita longtemps la commune[75].

    Du 18 au 26 octobre 2019, pour commémorer les 150 ans de l'Asile, a lieu l'exposition « 1859 : inauguration de l’Asile impérial du Vésinet », dans la salle des spectacles de l’Hôpital du Vésinet, organisée par la Société d’Histoire du Vésinet et l’association historique La Mémoire de Croissy.

    Du 5 au 16 novembre l'exposition est visible dans le foyer du Théâtre du Vésinet puis en janvier 2020 dans la chapelle Saint-Léonard de Croissy.


    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


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    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 56 706 , ce qui place Le Vésinet au 71e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[76].

    En 2012, la part des ménages fiscaux imposables est de 84,9 %[77].


    Emploi


    En 2009, la commune du Vésinet fait partie de la zone d’emploi de Nanterre[78].

    Recensement de 2006

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    La commune compte 4 727 emplois dont 4007 salariés (84,8 %) et 720 non salariés (15,2 %). Ces emplois se répartissent massivement (4371 soit 92,7 %) dans le secteur tertiaire (administration, enseignement, santé, commerce, services, transports, immobilier).

    Répartition des emplois par domaines d'activité

      Agriculture Industrie Construction Tertiaire dont Commerce dont Services
    Le Vésinet 0,3 % 3,5 % 3,4 % 92,7 % 7,9 % 31,9 %
    Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 74,8 % 13,3 % 20,9 %
    Sources des données : INSEE[79]

    Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles

      Agriculteurs Artisans, commerçants,
    chefs d'entreprise
    Cadres, professions
    intellectuelles
    Professions
    intermédiaires
    Employés Ouvriers
    Le Vésinet 0,0 % 6,9 % 19,1 % 28,1 % 36,8 % 9,1 %
    Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
    Sources des données : INSEE[79]

    La population active compte 7 130 personnes, soit un taux d'activité de 72,2 %. Parmi celles-ci, 6 549 ont un emploi, soit un taux d'emploi de 66,3 % et 581 sont en chômage, soit un taux de chômage de 8,2 %[79], très proche du taux national (8,3 %) mais un peu plus élevé que la moyenne départementale égale à 6,3 %. Les moins de 24 ans sont les plus touchés, avec un taux de chômage de 16,8 %. Parmi les personnes ayant un emploi, près des deux-tiers (63,6 %) travaillent dans un autre département francilien, seulement 17,4 % dans la commune et également 17,4 % dans une autre commune des Yvelines[80]. Pour les déplacements domicile-travail, 43,2 % d'entre elles utilisent des véhicules automobiles et 43 % les transports en commun, ce dernier chiffre s'élevant à 60,7 % pour les personnes travaillant dans un autre département de la Région[81]. Ces chiffres reflètent l'importance de la liaison directe assurée par la ligne A du RER entre Le Vésinet et les zones d'emploi de La Défense et de Paris.


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Villa Olivia bâtie par l'architecte Pierre-Joseph Olive au bord du Lac de la Station.
    Villa Olivia bâtie par l'architecte Pierre-Joseph Olive au bord du Lac de la Station.

    Le Vésinet comporte de nombreuses villas à l'architecture pittoresque et très diverse en styles (anglo-normand, néo-gothique, « romain »...) des fin du XIXe siècle et début du XXe siècle.

    Beaucoup d'entre elles sont répertoriées dans l'Inventaire général du patrimoine culturel d'Île-de-France par le Ministère de la Culture[82].

    Cinq édifices sont classés ou inscrits comme Monuments historiques ISMH :

    Sortie de messe en 1913 à Sainte-Marguerite.
    Sortie de messe en 1913 à Sainte-Marguerite.

    Autres constructions :

    La ville du Vésinet est classée au Conseil national des Villes et Villages Fleuris. La ville présente un cadre paysager né des travaux du Comte Paul de Lavenne de Choulot, paysagiste français, réalisés à partir de 1830.


    Personnalités liées à la commune


    La maison du Vésinet où vécut le philosophe Alain de 1917 à 1951, au 75, rue Maurice-Berteaux.
    La maison du Vésinet où vécut le philosophe Alain de 1917 à 1951, au 75, rue Maurice-Berteaux.

    Héraldique


    Les armes du Vésinet se blasonnent ainsi :
    De gueules au cor de chasse d'or, contourné et virolé d'argent, au chef cousu d'azur, chargé d'une marguerite d'argent, boutonnée d'or, tigée et feuillée de sinople, accostée de deux feuilles de chêne d'or en bande et en barre..

    Les armoiries ont été dessinées par Eugène Bénard, deuxième secrétaire de mairie du Vésinet, et définitivement officialisées en 1898. Il n'y a plus de devise associée aux armoiries[96].

    Elles font apparaître un cor, rappelant la légende selon laquelle Ganelon avait préparé dans la forêt du Vésinet la défaite du col de Roncevaux où Roland avait fait retentir son olifant. Le cor est également associé aux parties de chasse que faisaient les rois dans la forêt du Vésinet.

    La guirlande de feuille de chêne entourant l'écu symbolise l'ancienne forêt.

    La marguerite, hommage à sainte Marguerite, patronne du Vésinet, évoque le prénom des deux filles d'Alphonse Pallu, le créateur de la commune, Marie-Marguerite et Marguerite-Marie.

    Pour finir, la couronne rappelle l'appartenance de la forêt au domaine royal durant de nombreux siècles[97].


    Dans la fiction


    Le Vésinet a servi de lieu de tournage pour quelques scènes du film Hibernatus (1968) d’Édouard Molinaro.

    Un pavillon du Vésinet, près du lac de Croissy, a servi d'extérieur à la maison de Lady Hodwin, l'un des personnages de la série française de 1965, Belphégor ou le Fantôme du Louvre, réalisée par Claude Barma.

    Le Vézinet (avec un Z) est aussi la commune où est censée résider l’héroïne de la série télévisée Maguy (1985-1993).

    Dans la saison 4 de la série Les Brigades du tigre, l'épisode 2 intitulé « Les demoiselles du Vésinet » se déroule dans la ville à la Belle Époque. Deux femmes âgées (« vieilles gamines » selon un auxiliaire de police au commissaire Faivre) séquestrent dans leur pavillon du Vésinet des parlementaires français dans le but d'obtenir le droit de vote des femmes.


    Voir aussi



    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes


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    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


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    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duParis », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Géolocalisation sur Geoloco », sur http://geoloco.inovagora.net.
    11. « Le Vésinet sur la carte 1/25000 de l'IGN » sur Géoportail..
    12. « blog-vesinet.fr, Le prix des maisons anciennes dans L'Express »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    13. « Aménagements cyclables, commune du Vésinet », sur geovelo.fr (consulté le ).
    14. Georges Poisson (préf. Alain Decaux), La curieuse histoire du Vésinet, Maury-Eurolivre, , p. 11
    15. Le Vésinet historique - Jean Delcour, Amelot éditeur, 1962.
    16. La Commune du Vésinet - Histoire, Urbanisme et Paysages - J. Schiffer, Imprimeries Oberthur, Rennes.
    17. http://www.levesinet.fr/le_vesinet/menu_haut/decouvrir_la_ville/histoire_1
    18. Dictionnaire étymologique des noms de lieux de France - Albert Dauzat & Charles Rostaing, Paris, 1963
    19. Ernest Nègre -Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 384.
    20. Jean-Paul Debeaupuis de la Société d'Histoire du Vésinet, (état des recherches au 10 août 2009).
    21. Louis Bigard-Les seigneurs du Pecq et du Vésinet.
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    23. Georges Poisson (préf. Alain Decaux), La curieuse histoire du Vésinet, Maury-Eurolivre, , p. 43
    24. L'accident du train atmosphérique en gare du Vésinet, le 6 septembre 1858
    25. Georges Poisson, La curieuse histoire du Vésinet, Le Vésinet, Ville du Vésinet, , 245 p. (ISBN 978-2-905891-01-3 et 2-905891-01-7), pages 60 à 63 - 2e édition - 1986.
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    30. Arrêté ministériel du 5 février 1934, Arrêté ministériel du 1er février 1934
    31. Les bombardements au Vésinet durant la Seconde Guerre mondiale
    32. Témoignage de Lucienne Douminjou
    33. arrêté ministériel du 10 juillet 1970
    34. arrêté ministériel du 25 juillet 1983.
    35. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
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    38. Laurent Mauron, « Le maire du Vésinet démissionne », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
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    47. Chambre régionale des comptes d'Île-de-France, « Avis n°A-07 : Commune du Vésinet (art. L. 1612-2 du CGCT) » [PDF], sur https://www.ccomptes.fr, (consulté le ).
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    55. « XIVe maire du Vésinet : Jean-Marie Louvel (1945-1953) », Liste des maires, Société d'Histoire du Vésinet - http://www.histoire-vesinet.org (consulté le ).
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    62. « Philippe Bastard de Crisnay élu maire de la ville », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Le conseil municipal du Vésinet a élu, hier soir, Philippe Bastard de Crisnay (UMP) au poste de maire en remplacement de Robert Varèse, officiellement démissionnaire depuis début janvier. Devant un nombreux public, l'élection s'est achevée vers 22 heures. Elle a donné lieu à un score surprenant car, avec 16 voix sur 33 possibles, le nouveau maire n'a dû son salut qu'à 4 bulletins blancs qui ont ramené les suffrages exprimés à 29 voix ».
    63. « XIXe maire du Vésinet : Philippe Bastard de Crisnay (2012 - 2013) », Liste des maires, Société d'Histoire du Vésinet - http://www.histoire-vesinet.org (consulté le ).
    64. « Le Vésinet : l’ancien maire quitte le conseil », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    65. « Didier Jonemann nouveau maire du Vésinet : Au deuxième tour des élections municipales anticipées, Didier Jonemann est élu maire du Vésinet avec 42,19% des voix. Il devance le maire sortant Philippe Bastard de Crisnay », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).
    66. « Le Vésinet : le maire sortant UMP battu par un candidat DVD », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Pour la quatrième fois en cinq ans, Le Vésinet (Yvelines) a un nouveau maire. Dimanche, lors de la municipale partielle, les habitants de cette commune ont élu Didier Jonemann (DVD) maire, avec 42,19â??% des voix. Arrivé deuxième, au premier tour, avec seulement 65 voix de retard sur le maire sortant, Philippe Bastard de Crisnay (UMP), Didier Jonemann a augmenté son score de 680 voix pour devancer son rival de plus de 300 voix au final ».
    67. « XXe maire du Vésinet : Didier Jonemann (2013 - 2014) », Liste des maires, Société d'Histoire du Vésinet - http://www.histoire-vesinet.org (consulté le ).
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    80. INSEE, recensement 2006, Tableaux détaillés, Déplacements domicile-travail
    81. INSEE, recensement 2006, Tableaux détaillés, Déplacements domicile-travail
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    96. Les armoiries sur le site municipal du Vésinet
    97. (Site de la Mairie du Vésinet)
    98. Le Vésinet - Alan Sutton Éditions
    99. Le Vésinet - Tome II - Alan Sutton Éditions
    100. Le Vésinet - Tome III - Alan Sutton Éditions
    101. Le Vésinet : le mémoire en images de Michèle Courbis
    102. Michele Courbis, une incollable du Vésinet

    На других языках


    [de] Le Vésinet

    Le Vésinet ist eine französische Gemeinde mit 15.943 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Yvelines in der Region Île-de-France. Seine Einwohner werden Vésigondins oder seltener Vésinettois genannt.

    [en] Le Vésinet

    Le Vésinet (French: [lə vezinɛ] (listen)) is a suburban commune in the Yvelines department in the Île-de-France region in north-central France. It is a part of the affluent outer suburbs of western Paris, 16.4 km (10.2 mi) from the centre of Paris. In 2019, it had a population of 15,943.
    - [fr] Le Vésinet

    [ru] Ле-Везине

    Ле-Везине (фр. Le Vésinet) — коммуна во Франции, в регионе — Иль-де-Франс, департамент — Ивелин.



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