world.wikisort.org - France

Search / Calendar

Montans est une commune française située dans le département du Tarn en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gaillacois, un pays qui doit sa notoriété à la qualité de ses vins.

Montans

Four à céramique.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Gaillac Graulhet Agglomération
Maire
Mandat
Gilles Crouzet
2020-2026
Code postal 81600
Code commune 81171
Démographie
Gentilé Montanais
Population
municipale
1 513 hab. (2019 )
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 52′ 02″ nord, 1° 53′ 10″ est
Altitude 106 m
Min. 95 m
Max. 209 m
Superficie 32,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gaillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Deux Rives
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Montans
Géolocalisation sur la carte : France
Montans
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Montans
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Montans
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tarn, le riou Frayzi, le ruisseau des Rodes, le Rieutort, le ruisseau d'Avignon, le ruisseau de Badaillac, le ruisseau de Banis, le ruisseau de labordes et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Montans est une commune rurale qui compte 1 513 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac. Ses habitants sont appelés les Montanais ou Montanaises.


    Géographie



    Localisation


    Commune située au sud-ouest de Gaillac[1]. Le village est construit à l'extrémité d'une terrasse dominant le Tarn. On y produit du vin d'appellation gaillac.


    Communes limitrophes


    Montans est limitrophe de sept autres communes :

    Carte de la commune de Montans et de ses proches communes.
    Carte de la commune de Montans et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Montans[1]
    Gaillac Brens
    Lisle-sur-Tarn Técou
    Loupiac Parisot Peyrole

    Géologie et relief


    La superficie de la commune est de 3 243 hectares ; son altitude varie de 95 à 209 mètres[1],[2].


    Voies de communication et transports


    Accès avec l'autoroute A68 sortie no 9 et la Route nationale 88[1].

    La ligne 710 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Gaillac et à Lavaur[3].


    Hydrographie


    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par le Tarn, le Riou Frayzi, le ruisseau des Rodes, le Rieutort, le ruisseau d'Avignon, le ruisseau de Badaillac, le ruisseau de Banis, le ruisseau de labordes, le ruisseau de la Nègre le ruisseau de Pisse-Saume et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 45 km de longueur totale[5],[Carte 1].

    Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source sur le mont Lozère, dans le nord de la commune du Pont de Montvert - Sud Mont Lozère en Lozère, et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave, en Tarn-et-Garonne.

    Le Riou Frayzi, d'une longueur totale de 11,5 km, prend sa source dans la commune de Peyrole et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn sur le territoire communal, après avoir traversé 3 communes[6].

    Le ruisseau des Rodes, d'une longueur totale de 11,8 km, prend sa source dans la commune de Peyrole et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Lisle-sur-Tarn, après avoir traversé 4 communes[7].

    Réseaux hydrographique et routier de Montans.
    Réseaux hydrographique et routier de Montans.

    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[8].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 750 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1992 à 2017 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[13]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records MONTANS (81) - alt : 129 m 43° 52′ 06″ N, 1° 51′ 18″ E
    Statistiques établies sur la période 1992-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1992 au 31-12-2017
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,9 3,8 6,3 10,5 13,8 15,4 15,4 11,5 9,2 4,8 2,3 8,1
    Température moyenne (°C) 5,7 6,8 9,7 12,2 16,6 20,2 22,2 22,1 18,2 14,6 9,1 6,1 13,7
    Température maximale moyenne (°C) 9,8 11,6 15,5 18,1 22,7 26,6 28,9 28,9 24,8 20,1 13,3 9,9 19,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −8,5
    13.01.03
    −12,4
    09.02.12
    −9,6
    01.03.05
    −2
    20.04.17
    1,7
    06.05.02
    3,9
    01.06.06
    7,7
    17.07.00
    6,2
    31.08.10
    2,8
    28.09.02
    −3,6
    31.10.1997
    −7,5
    17.11.07
    −10,2
    25.12.01
    −12,4
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    19
    25.01.16
    23,6
    19.02.1998
    26,9
    15.03.12
    31,3
    29.04.05
    33,6
    30.05.01
    39,9
    22.06.17
    39,2
    13.07.03
    41,6
    26.08.10
    37,1
    03.09.05
    32,6
    02.10.11
    26,3
    07.11.15
    20,8
    07.12.10
    41,6
    2010
    Précipitations (mm) 57,2 43,8 47,2 82 77,8 64,7 42,7 61 66,6 74,7 67,7 68,5 753,9
    Source : « Fiche 81171001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Milieux naturels et biodiversité


    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[14] : les « étangs de Montans et Peyrole » (91 ha), couvrant 3 communes du département[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[14] : la « basse vallée du Tarn » (3 623 ha), couvrant 49 communes dont huit dans la Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne[16].


    Urbanisme



    Typologie


    Montans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[I 1],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), forêts (6,9 %), cultures permanentes (2,7 %), eaux continentales[Note 7] (2,4 %), zones urbanisées (1,8 %), prairies (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Montans est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].


    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tarn, le Riou Frayzi et le ruisseau des Rodes. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[22]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 1996, 2003 et 2014[23],[20].

    Montans est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montans.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montans.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[25]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 615 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 615 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].


    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].

    La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].


    Toponymie


    Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

    Histoire



    Préhistoire


    Le site de Montans présente des traces d'occupation depuis la Préhistoire[31].


    Protohistoire


    Le lieu-dit le Rougé était occupé au premier âge du fer (Hallstatt), puis au second âge du fer (la Tène). Cette dernière époque a laissé de la céramique commune de tradition gauloise (urnes peignées, coupes à bord rentrant, jattes carénées) et quelques vestiges de poterie campanienne B[32].

    En 1982 des fouilles de prévention et de sauvetage dans le quartier de Labouygue[33] ont mis au jour sept fours de potiers rudimentaires de la Tène III, à sole pleine et à foyer ouvert. En activité dans la première moitie du Ier siècle av. J.-C., ils ont produit des jarres décorées d'un cordon incisé sur leur épaulement, des jattes carénées, des écuelles à bord rentrant et des urnes ovoïdes. Un habitat de cabanes de la même époque a laissé des trous de poteaux, des sols et des foyers domestiques. Le mobilier inclut de la céramique commune, des tessons d'amphores italiques Dressel 1A, de la poterie campanienne A et trois monnaies à la croix en argent[34]. Un large chemin aménagé de la même époque a été repéré sur plus de 100 m[34].

    L'environnement était favorable à la fabrication de poterie : les alluvions qui recouvrent la terrasse de Montans comportent des poches d'argile et le Tarn est une voie de communication très ancienne.[réf. nécessaire]

    Le site, défendu naturellement par sa position en surplomb du Tarn et du ruisseau du Rieutort, a été occupé par un oppidum gaulois rutène au deuxième âge du fer (période de La Tène).[réf. nécessaire]


    Antiquité



    Atelier de poterie gallo-romain

    Céramique sigillée de Montans.
    Céramique sigillée de Montans.
    Sigillée de Montans.
    Sigillée de Montans.
    Article détaillé : Ateliers de poterie antique de Montans.

    Les premiers vestiges d'ateliers de potiers à Montans sont mentionnés en 1868[35]. T. Martin effectue des fouilles de 1972 à 1974 et recueille plus de 500 estampilles de potiers[36] (ce qui ne veut pas dire que 500 potiers ont travaillé à Montans : il s'agit seulement de différentes formes d'estampilles ; mais le nombre est cependant assez élevé).

    L'époque tibérienne (14-37) a livré des sigillées et de nombreux vestiges d'amphores vinaires de type Pascual 1 signées TARANI, plus trapues que les amphores catalanes ou languedociennes[32]. Datées du tout début du Ier siècle, ces amphores accompagnent les débuts du vignoble de Gaillac[37].
    Deux vases décorés Drag. 37 de la Graufesenque et un fragment de moule de la même provenance illustrent les liens de Montans avec ce très grand centre de production céramique aveyronnais du Ier siècle[33]. La similarité de structure des engobes des sigillées de Montans et de la Graufesenque indique des procédés d'élaboration proches[38].

    Avec l'occupation romaine, le site devient au Ier siècle un centre de production important de poteries sigillées de la Gaule du sud. On trouve de nombreuses poteries de Montans dans tout l'Ouest de la France, jusqu'en Espagne, en Bretagne, ainsi qu'en Grande-Bretagne. On fabrique également à Montans d'autres productions en céramique : des antéfixes, des lampes à huile, des statuettes[réf. nécessaire], des vases à engobe blanc[39], de la céramique commune, des tuiles…[réf. nécessaire]. Au IIe siècle apr. J.-C., la production décline, puis s'arrête, sans doute en raison de divers facteurs (concurrence, perte de qualité, effet de mode, exploitation intensive des ressources naturelles : argile, bois...).[réf. nécessaire]

    Ce patrimoine archéologique est conservé et étudié à l'Archéosite de Montans, à la fois musée et centre de conservation et d'étude inauguré en 1995[40],[41].

    Autres vestiges antiques

    L'occupation de la fin de l'Antiquité puis du haut Moyen Âge à Montans est encore mal connue mais des fouilles préventives sont régulièrement menées au gré des aménagements dans la commune.

    Des tessons de sigillée montanaise de l'époque tibérienne (14-37) accompagnant une amphore espagnole produite par l'atelier de l'Aumedina (à km au nord-ouest de Tivissa, province de Tarragone) ont été découverts en 1994 lors du creusement d'une tranchée dans la place de l'église de Montans. L'amphore, de type Oberaden 74, est estampillée SEX. DOMITI[42].

    En un dolium est découvert sous une rue lors de la réfection d'une conduite d'eau[35].


    Politique et administration



    Administration municipale


    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[43],[44].


    Rattachements administratifs et électoraux


    Commune faisant partie depuis le de Gaillac Graulhet Agglo ancienne communauté d'agglomération du Rabastinois - Tarn et Dadou - Vère Grésigne et Pays Salvagnacois et du canton des Deux Rives (avant le redécoupage départemental de 2014, Montans faisait partie de l'ex-canton de Gaillac) et de la communauté de communes Tarn et Dadou jusqu'au .


    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Tarn.

    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Alexis Marre    
    mars 2008 En cours Gilles Crouzet    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

    En 2019, la commune comptait 1 513 habitants[Note 10], en augmentation de 9,96 % par rapport à 2013 (Tarn : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7571 2301 2181 4201 5161 5341 5591 5801 512
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5131 4641 3871 3701 3141 2901 2241 1611 126
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1301 0651 0278689019029299411 011
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 0099749089039721 0611 1991 2181 332
    2014 2019 - - - - - - -
    1 3781 513-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[49] 1975[49] 1982[49] 1990[49] 1999[49] 2006[50] 2009[51] 2013[52]
    Rang de la commune dans le département 54 58 58 58 58 56 54 53
    Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

    Enseignement


    Montans fait partie de l'académie de Toulouse.

    La commune possède un groupe scolaire Amandus (maternelle et élémentaire)[53]. Pour le collège, il faut allé dans la commune voisine de Lisle-sur-Tarn.


    Culture et festivités


    Salle des fêtes, comité des fêtes, bibliothèque,


    Activités sportives


    Rugby à XV, pétanque, gymnastique, tennis, chasse, VTT,


    Écologie et recyclage



    Économie



    Revenus


    En 2018, la commune compte 587 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 485 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 750 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).


    Emploi


    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]6,1 %7,4 %8 %
    Département[I 7]8,2 %9,9 %10 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 927 personnes, parmi lesquelles on compte 79,2 % d'actifs (71,2 % ayant un emploi et 8 % de chômeurs) et 20,8 % d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gaillac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 599 emplois en 2018, contre 456 en 2013 et 414 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 673, soit un indicateur de concentration d'emploi de 89,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63,9 %[I 10].

    Sur ces 673 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 112 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].


    Activités hors agriculture



    Secteurs d'activités

    122 établissements[Note 13] sont implantés à Montans au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble122100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1713,9 %(13 %)
    Construction2419,7 %(12,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3629,5 %(26,7 %)
    Information et communication32,5 %(2,1 %)
    Activités financières et d'assurance64,9 %(3,3 %)
    Activités immobilières54,1 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1713,9 %(13,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    54,1 %(15,5 %)
    Autres activités de services97,4 %(9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,5 % du nombre total d'établissements de la commune (36 sur les 122 entreprises implantées à Montans), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].


    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[54] :


    Agriculture


    La commune est dans le Gaillacois, une petite région agricole au sous-sol argilo-graveleux et/ou calcaire dédiée à la viticulture depuis plus de 2000 ans, située dans le centre-ouest du département du Tarn[55]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations79473432
    SAU[Note 16] (ha)2 1852 3782 2402 075

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 79 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 47 en 2000 puis à 34 en 2010[57] et enfin à 32 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[58],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 185 ha en 1988 à 2 075 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 28 à 65 ha[57].


    Culture locale et patrimoine


    Article détaillé : Cuisine tarnaise.
    Église Saint-Martin de Montans
    Église Saint-Martin de Montans

    Lieux et monuments



    Archéosite

    L'Archéosite de Montans, inauguré en 1995, devenu un service de la Communauté de communes Tarn et Dadou en 2010, retrace l'occupation du site de Montans mais aussi des communes alentour, de la Préhistoire au Moyen Âge (territoire de la communauté de communes). Une rue gallo-romaine reconstituée à partir des vestiges de la rue principale de Montans, ainsi qu'une maison de propriétaire d'officine de céramique sigillée permettent de s'immerger dans ce que pouvait être cette agglomération potière au Ier siècle apr. J.-C. Toute l'année, des animations, événements, démonstrations, expositions, ateliers et spectacles rythment la vie du musée[59].


    Autres lieux


    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Blason
    D'or à l'épée basse d'argent accostée de deux capes affrontées de gueules et appendues à la garde de l'épée et soutenue d'une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces de gueules; au chef palé d'argent et de sinople de quatre pièces[65].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Montans
    Alias du blason de Montans
    Palé d'argent et de sinople de quatre pièces.

    Pour approfondir



    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[29].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[56].
    1. « Réseau hydrographique de Montans » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références



    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gaillac » (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montans » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montans » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montans » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montans » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Montans, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. « Documents - Site web de la région Occitanie » (consulté le ).
    4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    5. « Fiche communale de Montans », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    6. Sandre, « le Riou Frayzi »
    7. Sandre, « le ruisseau des Rodes »
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Fiche du Poste 81171001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montans », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « étangs de Montans et Peyrole » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF la « basse vallée du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Montans », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    23. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    24. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    25. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montans », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    28. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    29. Article R214-112 du code de l’environnement
    30. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    31. http://nikoland.com/montans.html
    32. [Lequément 1983] H. Lequément (Chef d'équipe de chercheurs), « Circonscription de Midi-Pyrénées », Gallia, vol. 41, no 2, , p. 473-503 (lire en ligne [sur persee]), p. 499.
    33. Lequément 1983, p. 500.
    34. Lequément 1983, p. 501.
    35. [Martin 1974] Thierry Martin, « Deux années de recherches archéologiques à Montans (Tarn) », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 13, nos 1-2, , p. 123-143 (lire en ligne [sur persee], consulté en ), p. 124.
    36. Martin 1974, p. 123.
    37. [Laubenheimer 2009] Fanette Laubenheimer, « Des amphores et des hommes », Dialogues d'histoire ancienne, , p. 183-196 (lire en ligne [sur cairn.info]), paragr. 31.
    38. [Dejoie et al. 2005] Catherine Dejoie, Sabrina Relaix et Philippe Sciau, « Les sigillées des ateliers de la Graufesenque et de Montans. Étude comparative des pâtes et engobes », dans Teresa Carreras Rossell (coord.) et al., La difusió de la terra sigillata sudgallica al nord d'Hispania [La diffusion de la sigillée sud-gauloise dans le nord d'Hispania], Barcelone, Museu d'Arqueologia de Catalunya, , sur s3.amazonaws.com (lire en ligne), p. 10.
    39. [Martin 1977] Thierry Martin, « Note sur quelques vases à engobe blanc de Montans », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 16, nos 1-2, , p. 165-171 (lire en ligne [sur persee]).
    40. [Pech et al. 2017] Julien Pech, Fanny Maury, Daniel Schaad et al., Atlas archéologique de Montans, éd. Archéosite de Montans, (ISBN 9782953464344, OCLC 1010325464, présentation en ligne).
    41. « Archéosite de Montans », sur archeosite.ted.fr.
    42. [Martin 1996] Thierry Martin, « Découverte à Montans d'une amphore Oberaden 74 estampillée SEX. DOMITI », Pallas (Revue d'études antiques), no 44 « L'antiquité à la page », , p. 109-117 (lire en ligne [sur persee]).
    43. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    44. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    49. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    50. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    51. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    52. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    53. https://www.montans.fr/ecole-amandus
    54. « Entreprises à Montans », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    55. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    56. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    57. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Montans - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    58. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).
    59. (plus d'infos ).
    60. G.L., « Montans. L'Étoile Sportive XV au challenge de l'offensive », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
    61. [Granat & Peyre 2012] Jean Granat et Evelyne Peyre, « Les fossiles humains (125-200 ka) de la grotte du Coupe-Gorge - Montmaurin (Haute-Garonne-France), nouvelle interprétation. Émergence de la parole », Biométrie Humaine et Anthropologie (revue de la Société de biométrie humaine - SBH), vol. 29, nos 3-4, , p. 89-105 (lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consulté le ).
    62. « Jean Marc », vidéo, sur youtube.com (consulté le ).
    63. R. M., « Montans. Un clown de « Jean-Marc » offert à la ville », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
    64. « Alain Marc, artiste peintre », sur alain-marc.fr (consulté le ).
    65. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=15325

    На других языках


    [de] Montans

    Montans (okzitanisch: Montant) ist eine französische Gemeinde mit 1.513 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019) im Département Tarn in der Region Okzitanien. Montans gehört zum Arrondissement Albi und zum Kanton Les Deux Rives.

    [en] Montans

    Montans is a commune in the Tarn department and Occitanie region of southern France.
    - [fr] Montans

    [ru] Монтанс

    Монта́нс[1] (фр. и окс. Montans) — коммуна во Франции, находится в регионе Юг — Пиренеи. Департамент — Тарн. Входит в состав кантона Дё-Рив. Округ коммуны — Альби.



    Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

    Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

    2019-2024
    WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии