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Situé dans la région naturelle du Hurepoix, Mennecy est traversée par la rivière Essonne. Le parc de Villeroy est connu pour son allée d'arbres remarquables: l'allée des Séquoias.
La rivière l'Essonne et ses marais délimitent au nord-ouest le territoire de la commune sur 2,144 km.
Les aqueducs de la Vanne et du Loing traversent la commune du sud vers le nord sur 3,512 km[12].
Voies de communication et transports
La gare de Mennecy.
La commune dispose sur son territoire de la gare de Mennecy desservie par la ligne D du RER d'Île-de-France.
Elle est également desservie par les lignes de bus de la société STA Keolis qui la relient aux communes de Champcueil, Chevannes, Corbeil-Essonnes, Évry-Courcouronnes, Le Coudray-Montceaux et Ormoy. Les lignes de la société CEA Transports la relient à Ballancourt-sur-Essonne, au lycée de Corbeil, à La Ferté Alais ainsi qu'à Paris (Denfert-Rochereau). Un ramassage scolaire organisé par la municipalité et la communauté de communes dessert les écoles de la Jeannotte et de la Sablière. Des lignes de ramassage scolaire à destination du lycée Marie-Laurencin existent également, exploitées par la société STA et le syndicat intercommunal des transports scolaires basé à Cerny. Un service de navettes gratuites pour les personnes âgées est proposé par la municipalité. Des bus "de nuit" permettent de pallier le fait que les trains RER D s'arrêtent à Corbeil-Essonnes à partir de 20 h 30. Ils desservent les gares de Corbeil-Essonnes, Moulin-Galant, Mennecy, Ballancourt-sur-Essonne, Maisse, Malesherbes, Buno-Bonneveau, Boutigny et La Ferté-Alais[réf.nécessaire].
Climat
Article connexe: Climat de l'Essonne.
Mennecy, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique et semi continental dégradé.
Urbanisme
Typologie
Mennecy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[16] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].
Occupation des sols simplifiée
Le territoire de la commune se compose en 2017 de 49,15% d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 12,34 % d'espaces ouverts artificialisés et 38,51% d'espaces construits artificialisés[21]
Lieux-dits, écarts et quartiers
Les différents quartiers de Mennecy: le Vieux-Mennecy, le Petit-Mennecy, la Jeannotte, la Verville (alias "Le village Levitt"[22]), le Bel-Air, les Châtries. L'Insee découpe la commune en cinq îlots regroupés pour l'information statistique soit le Centre-ville, Buisson Houdart, Mennecy Sud, la Verville Est et la Verville Ouest[23].
La commune compte 72 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés consultables ici[24]
Toponymie
Dans des provisions de la cure effectuées en 1479, le lieu est nommé Maneciacum[25],[26], mais aussi Manassiacum[25] et Manaciacum[27].
L'origine du nom de la commune provient d'un ancien propriétaire terrien gallo-romain dénommé Minacius ou Manacius[27] suivi du suffixe gaulois de localisation et de propriété -acum. Le suffixe -acum fait souvent référence à une villa «domaine rural».
Avant la Révolution française, la localité est nommée Mennecy-Villeroy[27], du nom de la seigneurie qui appartenait au ducs de Neufville de Villeroy.
La commune fut créée en 1793 sous son nom actuel[28].
Histoire
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L'église Saint-Pierre de Mennecy est construite au XIIIesiècle à l'emplacement d'une ancienne église, probablement romane[29]. Ce qui constitue aujourd'hui la localité de Mennecy forme au XIVesiècle trois possessions bien distinctes:
le village de Mennecy dépend de la collégiale Notre-Dame de Corbeil[29],[30] ;
la ferme de la Verville dépend de l’abbaye des Vaux-de-Cernay ;
Villeroy dépend de Notre-Dame de Paris. Le domaine comprend un petit village et une église, dédiée à Notre-Dame[29].
Au XVesiècle, le fief de Villeroy appartient à Jean du Monceau. En 1497, ce dernier le cède à Jean Le Gendre. Le fils de celui-ci, Pierre Le Gendre[31], lègue le fief en 1524 à son neveu, Nicolas Ier de Neufville[32]. La terre de Villeroy va appartenir aux Neufville jusqu'à la Révolution[29]. Aux alentours de 1560, Nicolas III de Neufville de Villeroy, dit «Legendre», construit un château, entouré d'un grand parc[33]. À la fin du XVIesiècle, Nicolas IV acquiert les droits seigneuriaux sur le village de Mennecy et la ferme de la Verville. L'ensemble forme dès lors une seule paroisse, Mennecy-Villeroy. L'église Notre-Dame de Villeroy est rasée en 1607[29].
Restitution de la vision depuis le château de Villeroy sur les jardins bas et le canal. Vers 1740.
Louis XIII érige la terre et seigneurie de Villeroy en châtellenie en 1610, puis cette dernière en marquisat en 1615. Louis XIV érige le marquisat en duché-pairie en 1651[34]. Le , la reine-mère Anne d'Autriche emmène Henriette d'Angleterre quelques jours à Mennecy chez le maréchal de Villeroy, puis à Dampierre, chez la duchesse de Chevreuse. Il s'agit de l'éloigner du roi[35][réf.incomplète].
En 1732, Denis Jossenay, sous les ordres de Robert de Cotte, transforme le château Renaissance. En 1735, François Barbin, protégé de Louis François de Neufville, duc de Villeroy, crée la manufacture de porcelaine de Mennecy-Villeroy(en). Elle ferme en 1777[31].
Porcelaine tendre vers 1750
Porcelaine tendre vers 1750
Coq 1750
Pot à fard vers 1760
Pot à fard vers 1760
Plat 1760-1765
Quatre musiciens vers 1765-1770
Durant la Révolution française, Gabriel de Neufville, dernier duc de Villeroy, meurt sur l’échafaud en 1794, sans descendance légitime[31]. Devenu bien national, le château passe de main en main. Entre 1796 et 1819, il est démoli par ses propriétaires pour tirer profit des pierres et autres matériaux. Il n'en reste que les fondations, les communs et le parc[33].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du [36], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement d'Évry, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Essonne
Elle a fugacement été le chef-lieu du canton de Mennecy de Seine-et-Oise de 1793 à 1801, avant d'intégrer le canton de Corbeil-Essonnes de 1801 à 1964, année où il est scindé et la commune rattachée au canton de Corbeil-Essonnes-Sud. Lors de la mise en place du département de l'Essonne[37], elle redevient le chef-lieu du canton de Mennecy[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de 12 à 28 communes.
Intercommunalité
La commune est membre fondateur de la communauté de communes du Val d'Essonne, créée fin 2002.
Cadre financier Conseiller général de Mennecy (1988 → 1999) Président du conseil général de l'Essonne (1988 → 1998) Député de l'Essonne (1986 → 1995) Sénateur de l'Essonne (1995 → 2001) Mandat écourté par la condamnation à l'inéligibilité de X. Duguoin
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours
Élection présidentielle de 2002: 84,70% pour Jacques Chirac (RPR), 15,30% pour Jean-Marie Le Pen (FN), 78,49% de participation[53].
Élection présidentielle de 2007: 62,21% pour Nicolas Sarkozy (UMP), 37,79% pour Ségolène Royal (PS), 87,18% de participation[54].
Élection présidentielle de 2012: 57,82% pour Nicolas Sarkozy (UMP), 42,18% pour François Hollande (PS), 81,39% de participation[55].
Élection présidentielle de 2017: 70,89% pour Emmanuel Macron (LREM), 29,11% pour Marine Le Pen (FN), 75,72% de participation.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours
Élections législatives de 2002: 64,82% pour Franck Marlin (UMP), 35,18% pour Gérard Lefranc (PCF), 56,57% de participation[56].
Élections législatives de 2007: 52,71% pour Franck Marlin (UMP) élu au premier tour, 20,06% pour Marie-Agnès Labarre (PS), 61,36% de participation[57].
Élections législatives de 2012: 55,40% pour Franck Marlin (UMP), 44,60% pour Béatrice Pèrié (PS), 52,29% de participation[58].
Élections législatives de 2017: 53,06% pour Daphné Ract-Madoux (MoDem), 46,94% pour Franck Marlin (LR), 43,71% de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores
Élections européennes de 2004: 23,59% pour Harlem Désir (PS), 20,76% pour Patrick Gaubert (UMP), 45,27% de participation[59].
Élections européennes de 2009: 34,64% pour Michel Barnier (UMP), 19,97% pour Daniel Cohn-Bendit (Europe Écologie), 43,44% de participation[60].
Élections européennes de 2014: 23,58% pour Alain Lamassoure (UMP), 22,64% pour Aymeric Chauprade (FN), 42,60% de participation[61].
Élections européennes de 2019: 28,65% pour Nathalie Loiseau (LREM), 18,74% pour Jordan Bardella (RN), 51,68% de participation.
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores
Élections régionales de 2004: 47,94% pour Jean-François Copé (UMP), 41,60% pour Jean-Paul Huchon (PS), 65,98% de participation[62].
Élections régionales de 2010: 53,49% pour Valérie Pécresse (UMP), 46,51% pour Jean-Paul Huchon (PS), 47,59% de participation[63].
Élections régionales de 2015: 52,44% pour Valérie Pécresse (LR), 29,38% pour Claude Bartolone (PS), 54,75% de participation.
Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours
Élections cantonales de 2001: données manquantes.
Élections cantonales de 2008: 57,81% pour Patrick Imbert (UMP), 42,19% pour Christian Richomme (PS), 62,28% de participation[64].
Élections départementales de 2015: 48,41% pour Patrick Imbert et Caroline Paratre (UMP), 26,17% pour Valérie Girard et Julien Schénardi (FN), 45,84% de participation.
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours
Élections municipales de 2001: 36,11% pour Joël Monier (UMP), 33,07% pour Élisabeth Doussain (PS), 60,58% de participation[65].
Élections municipales de 2008: 48,01% pour Xavier Dugoin (UMP), 40,43% pour Christian Richomme (PS), 63,83% de participation[66].
Élections municipales de 2014: 51,56% pour Jean-Philippe Dugoin-Clément (UDI) élu au premier tour, 32,23% pour Christian Richomme (DVG), 16,20% pour Julien Schenardi (FN), 57,49% de participation.
Élections municipales de 2020: 77,74% pour Jean-Philippe Dugoin-Clément (UDI) élu au premier tour, 22,25% pour Patrick Polverelli (UG), 37,52% de participation.
Référendums
Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel: 75,51% pour le Oui, 24,49% pour le Non, 31,89% de participation[67].
Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe: 59,63% pour le Oui, 40,37% pour le Non, 72,73% de participation[68].
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[69],[Note 5]
En 2019, la commune comptait 15 292 habitants[Note 6], en augmentation de 15,9% par rapport à 2013 (Essonne: +3,81%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 200
1 025
1 161
1 021
1 244
1 294
1 301
1 378
1 409
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 326
1 412
1 460
1 596
1 465
1 575
1 502
1 632
1 641
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 622
1 545
1 569
1 531
1 670
1 760
1 780
1 786
1 928
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2 164
3 867
7 644
10 702
11 048
12 779
13 325
13 344
14 170
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
15 292
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[70].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,2%, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3% la même année, alors qu'il est de 20,1% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 7 095 hommes pour 7 584 femmes, soit un taux de 51,67% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[71]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
1,3
5,8
75-89 ans
7,3
13,1
60-74 ans
14,6
22,4
45-59 ans
21,7
17,9
30-44 ans
19,1
20,1
15-29 ans
18,0
20,3
0-14 ans
18,1
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2018 en pourcentage[72]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,2
5,2
75-89 ans
6,9
12,7
60-74 ans
13,6
20,2
45-59 ans
19,6
20
30-44 ans
20,2
19,9
15-29 ans
18,3
21,6
0-14 ans
20
Enseignement
Les établissements scolaires de la commune sont rattachés à l'académie de Versailles.
Elle dispose en 2010 des écoles primaires de la Jeannotte, de la Sablière, de l'Ormeteau, des Myrtilles et de la Colline de Verville, de l'école maternelle du Clos Renault et de l'école élémentaire de l'Ormeteau[73]. La commune accueille aussi le collège du Parc de Villeroy équipé d'une section d'enseignement général et professionnel adapté ainsi que le lycée Marie-Laurencin qui propose un enseignement général, technologique et professionnel[74].
Culture
Le conservatoire de musique, de danse et d'art dramatique de Mennecy, installé dans d'anciennes dépendances du château de Villeroy, propose de nombreuses activités et formations, en musique, comédie, danse classique, contemporaine et jazz.
Il permet une initiation artistique aux plus jeunes via le jardin musical.
Il comprend également deux ensembles vocaux, les Chœurs de Villeroy et l'Ensemble Vocal[75].
Le conservatoire de Mennecy est officiellement jumelé avec le conservatoire de Renningen.
Depuis 2012, un festival de heavy metal, le Mennecy Metal Fest, se déroule dans le parc de Villeroy au mois de septembre[76].
Sports
La commune dispose[Quand?] d'équipement sportifs, dont le complexe sportif du Parc de Villeroy, comprenant le dojo Gérard-Pizzonéro (utilisé pour l'aïkibudo-kobudo, le judo et le karaté), le gymnase René-Guitton (salle omnisports), une salle d'armes pouvant également servir de salle polyvalente, d'équipements destinés au tennis (quatorze courts dont cinq couverts, ainsi qu'un mur d'entraînement), le stade nautique départemental Maurice-Herzog (l'une des trois piscines olympiques que compte le département de l'Essonne), des terrains de boules lyonnaises ainsi que de pétanque, et un jardin d'arc destiné à la pratique du tir Bersault; le complexe sportif Alexandre-Rideau, comprenant les gymnases Alexandre-Rideau I et II (salles omnisports équipées pour le tir à l'arc), le gymnase André-Violette spécialement destiné à la gymnastique artistique, une piste d'athlétisme, et un terrain de football en herbe et stabilisé; le gymnase de la Jeannotte, comprenant le gymnase Maurice-Nivot (salle omnisports) et un terrain de plein air public réservé à la pratique du basket-ball; le stade Jean-Jacques-Robert (du nom d'un ancien maire de la commune), comprenant un terrain de football et un terrain de rugby, tous deux en herbe[77].
Mennecy abrite[Quand?] de nombreux clubs sportifs, dans des disciplines très variées: arts martiaux, basket-ball, boules lyonnaises, boxe, cyclisme, équitation, football, golf, handball, gymnastique rythmique ou d'entretien, natation, pétanque, rugby à XV et à XIII, tennis de table, tir à l'arc, volley-ball[78]. Le club de gymnastique rythmique de Mennecy représente tous les ans la commune au niveau national et se classe parmi les cinq premiers clubs de France.[réf.nécessaire]
Santé
La commune dispose en 2012 sur son territoire des maisons de retraite les Étangs[79], Édouard-Gauraz et le Clair Logis. Un centre de la protection maternelle et infantile[80] et un centre de planification familiale[81] sont implantés dans la commune.
Autres services publics
La commune dispose en 2011 sur son territoire d'une agence postale[82], d'une trésorerie principale[83], d'une brigade de gendarmerie nationale[84] et d'un centre de secours de sapeurs-pompiers volontaires[85].
Réseaux techniques
La municipalité a commencé le déploiement en 2010 d'un réseau de fibre optique privé pour relier ses principaux sites (mairie centrale, mairies Jacques-Broz et Monique-Saillet)[réf.nécessaire].
Lieux de cultes
L'église Saint-Pierre.
La paroisse catholique de Mennecy est rattachée au secteur pastoral de La Ferté-Alais-Val d'Essonne et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose en 2009 de l'église Saint-Pierre située en centre-ville et du relais paroissial Sainte-Claire située dans le quartier de la Verville[86].
La communauté protestante dispose en 2010 dans la commune d'un temple affilié à la fédération évangélique de France[87].
Médias
L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif et de la radio locale du sud Île-de-France EFM. L’information institutionnelle est assurée par plusieurs publications périodiques: Mennecy Actualités, magazine municipal d’information diffusé par la ville[88]; Val d'Essonne Infos, magazine d’information de la Communauté de communes du Val d'Essonne[89]; le Magazine de l’Essonne, mensuel diffusé par le conseil général de l'Essonne[90] et le Journal du Conseil régional, bimensuel diffusé par le conseil régional d'Île-de-France[91].
Économie
En 2011, un marché se tient les mercredis et samedis matin en centre-ville[92].
Emplois, revenus et niveau de vie en 2006
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En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 892€, ce qui plaçait la commune au 452erang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au quarante-quatrième rang départemental[93].
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
Agriculteurs
Artisans, commerçants, chefs d’entreprise
Cadres et professions intellectuelles supérieures
Professions intermédiaires
Employés
Ouvriers
Mennecy
0,0%
6,6%
18,9%
30,7%
29,5%
14,2%
Zone d’emploi d’Évry
0,3%
4,0%
20,2%
29,6%
28,2%
17,7%
Moyenne nationale
2,2%
6,0%
15,4%
24,6%
28,7%
23,2%
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
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Zones d'activités
La ZAC Montvrain, d'une superficie de 15ha, abrite un supermarché et des enseignes d'habillement et de restauration ainsi que diverses entreprises commerciales ou industrielles[97]. L'extension de cette zone d'activité, nommée Montvrain II et d'une superficie de 25ha, accueille en 2013 un grand magasin de bricolage, des commerces, des artisans et des entreprises[98],[99].
Culture locale et patrimoine
L'ancienne porte de Paris et l'église Saint-Pierre.Allée des séquoias, parc de Villeroy.
Patrimoine environnemental
Les berges de l'Essonne et les bois qui l'entourent ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil départemental de l'Essonne[100].
Lieux et monuments
On peut noter:
L'église Saint-Pierre, datant du XIIIesiècle, Inscrite MH(1926, inscription par arrêté du 6 mars 1926)[101].
Construite sur l'emplacement d'une ancienne église romane, son clocher carré, dont les fondations sont indépendantes de celles du corps de l’édifice, est soutenu par deux contreforts. Divers tassements de terrain lui donne une allure penchée par rapport au reste de l'église.
L'ancienne porte de Paris, datant du XVIIIesiècle, Inscrite MH(1948, inscription par arrêté du 10 février 1948)[102].
Ses deux pilastres ont été érigés par le dernier duc de Villeroy, Gabriel Louis de Neufville de Villeroy, en 1775[103].
La mairie de Mennecy, datant du milieu du XIXesiècle, a été élevée sur l'emplacement d'une ancienne halle bâtie en 1737 par le duc de Villeroy Louis François Anne de Neufville de Villeroy[103].
Le parc de Villeroy, parc communal de 108ha au sud-ouest de la ville, Inscrit MH(2022, inscription par arrêté du 1er mars 2022)[104],[105]. Il est réputé pour ses 134 séquoias plantés au XIXesiècle, dont certains ont une circonférence qui dépasse 4 m.
Personnalités liées à la commune
Nicolas IV de Neufville (vers 1542-1617), marquis de Villeroy, principal ministre de Marie de Médicis et d'HenriIV.
Nicolas V de Neufville (1598-1685), 1erduc et pair de Villeroy, maréchal de France, gouverneur de LouisXIV.
François de Neufville (1644-1730), 2educ et pair de Villeroy, maréchal de France, ministre d'État, gouverneur de LouisXV.
Louis Nicolas de Neufville (1663-1734), 3educ et pair de Villeroy, lieutenant-général.
Louis François Anne de Neufville (1695-1766), 4educ et pair de Villeroy. Il est le protecteur de François Barbin, qui crée la manufacture de porcelaine de Mennecy-Villeroy(en).
Joseph Jullien (1725-1774), peintre sur porcelaine, exerce à la manufacture.
Gabriel Louis François de Neufville de Villeroy (1731-1794), 5e et dernier duc et pair de Villeroy. C'est un grand bâtisseur, auquel la ville doit beaucoup. Il meurt sur l'échafaud[31].
Auguste Béhal (1859-1941), pharmacologue et chimiste, meurt à Mennecy.
Madeleine Jaeger (1868-1905), pianiste, professeur de musique et compositrice, naît à Mennecy.
André Beaudin (1895-1979), artiste peintre, naît à Mennecy.
Luv Resval (1998-2022), Rappeur-Compositeur, grandit à Mennecy.
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de l'Essonne.
Les armes de Mennecy se blasonnent: D'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux croisettes ancrées de même et en pointe d'un vase de porcelaine d'argent à la devise ondée du même en chef surmontée d'un clou aussi d'argent accosté de deux fleurs de lys d'or. L'écu est timbré de la couronne murale d'or à trois tours crénelées.[107]
Mennecy dans les arts et la culture
Mennecy a servi de lieu de tournage pour les films Le Journal d'une femme de chambre de Luis Buñuel sorti en 1964, Ma vie en rose d'Alain Berliner sorti en 1997, La Tour Montparnasse infernale de Charles Nemes sorti en 2000, Mais qui a tué Pamela Rose? d'Éric Lartigau sorti en 2003, Un ticket pour l'espace d'Éric Lartigau sorti en 2006, La Clef de Guillaume Nicloux sorti en 2007 et Assassinée de Thierry Binisti sorti en 2012[108]. La gare de Mennecy, renommée pour l'occasion «gare d'Auvernaux» a servi de lieu de tournage pour le film d'Ivan Govar Deux heures à tuer sorti en 1966[109].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
Réélu pour le mandat 2014-2020, Réélu pour le mandat 2020-2026
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'Abbé Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, t.IV, Paris, Librairie de Féchoz et Letouzey, (lire en ligne), p.242.
Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de Paris et sa banlieue (91-92-93-94-95), Saint-Jean-d'Angély, Nouvelles Éditions Bordessoules, , 350p. (ISBN978-2-916344-41-6), p.227.
«Parc de Villeroy», sur mennecy.fr, l'association Mennecy et son histoire interrogée par le conseil municipal des enfants, 2014 (consulté le 18 avril 2018).
Olivier Bertrand, «Un aventurier grisé par le succès facile. Parti de zéro, le président RPR de l'Essonne a toujours rêvé à un destin national.», Libération, (lire en ligne, consulté le )«Élu député, puis président du conseil général, il a besoin d'un ancrage local. Jean-Jacques Robert, maire de Mennecy, lui offre un siège de premier adjoint, en 1989. Un an après, Xavier Dugoin lâche en privé: «Je ne peux pas attendre 1995 pour devenir maire». Deux mois plus tard, Jean-Jacques Robert donne sa démission. Les deux hommes auraient négocié un contrat garantissant à l'ancien maire une multitude d'avantages, payés par le conseil général: voiture de luxe avec chauffeur, bons d'essence, recrutement de l'épouse et de la secrétaire, ligne de téléphone à la maison, etc».
«Mennecy Xavier Dugoin n'est plus maire», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
Franck Johannes, «La prise de pouvoir de Dugoin à Mennecy. Le patron de l'Essonne est devenu maire dans d'obscures circonstances.», Libération, (lire en ligne, consulté le )«Jean-Jacques Robert, écarlate sénateur RPR et jovial compagnon, était maire de Mennecy depuis 1965 et avait fait de ce village de 2.000 habitants, au sud d'Evry, une bourgeoise bourgade de 12.000 âmes. Il a fini par prendre sous son aile au milieu des années 80 un minuscule conseiller municipal d'opposition à Etampes, Xavier Dugoin, qui s'était cassé le nez à monter à l'assaut de la mairie. Le petit gars a fait du chemin, depuis. Il a été élu député en 1986, puis Robert lui a cédé sa place de conseiller général en 1988, et Xavier Dugoin est devenu le président du département».
Sandrine Binet, «Joël Monier débute son mandat express», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )«C'est à 9 h 30, dimanche prochain, lors d'un conseil municipal extraordinaire, que le RPR Joël Monier prendra officiellement la succession de Xavier Dugoin. Pas pour longtemps, puisqu'il devra remettre son mandat en jeu le 11 mars. Malgré ce calendrier pour le moins serré, l'ancien adjoint à la culture savoure sa victoire. Dimanche dernier, à l'issue de l'élection municipale partielle, il est arrivé largement en tête. Avec 45% des voix, il a distancé son adversaire socialiste Elizabeth Doussain, qui n'a réuni que 32% des suffrages. Quant à son rival de droite, le maire par intérim Claude Garro, il n'a réussi à convaincre que 22% des électeurs. Résultat, Joël Monier et ses colistiers récupèrent 25 sièges, Elizabeth Doussain 5 et Claude Garro 3».
«Une rue Philippe-Séguin et un conservatoire Joël-Monier», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )«Le conservatoire municipal, jamais baptisé depuis son ouverture en 1981, portera le nom de Joël Monier, maire (toujours vivant) de la commune de 2001 à 2008. «Joël Monier avait créé cet équipement alors qu'il était adjoint à la culture de Jean-Jacques Robert», rappelle l'actuel édile. Se posant en rassembleur depuis le début de son mandat en janvier dernier, Jean-Philippe Dugoin fait ainsi un geste vers Joël Monier qui s'était présenté aux municipales contre les Dugoin en 2001 et 2008».
«Xavier Dugoin laisse la mairie à son fils: L'ex-patron RPR du conseil général a annoncé hier soir qu'il démissionnait de son poste de maire de Mennecy. Son fils, actuel adjoint aux finances, lui succédera le 15 janvier», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )«A 63 ans, l'ancien parlementaire déchu n'entend pas prendre sa retraite. Il continuera à siéger au conseil municipal «au poste que le nouveau maire voudra bien me confier». Et en septembre, il devrait viser les sénatoriales. Pour cela, il compte une nouvelle fois faire une campagne marathon, sa marque de fabrique».
Julien Monier, «Xavier Dugoin, de l’état de grâce à la case prison: La carrière de Xavier Dugoin est émaillée de succès politiques incontestables, comme en témoignent ses dix années passées à la présidence du Département. Ses soucis judiciaires l’auront néanmoins conduit à trois ans d’inéligibilité», Essonne Info, (lire en ligne, consulté le ).
«Les Dugoin, une histoire de famille: Demain, Xavier Dugoin remettra l'écharpe de maire de Mennecy à son propre fils, dix ans après l'avoir impliqué dans ses affaires politico-judiciaires. Une manière de se racheter?», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )«En 2000, c'est la descente aux enfers. Abus de biens sociaux, emplois fictifs, Xavier est rattrapé par les affaires. Il lâche sa mairie de Mennecy et désigne — déjà — son fils Jean-Philippe, 25 ans alors, comme successeur. Une mise en orbite ratée. Inconnu, le garçon est battu avec 13,7% des voix au premier tour. Mais le principal coup de bâton tombe en 2001. Père et fils sont condamnés pour le vol de 1 200 bouteilles dans les caves du conseil général. Les faits s'étaient déroulés en 1998: Jean-Philippe était venu prêter main-forte à ce père qu'il voyait pourtant si peu».
Lucie Manister, «Le nouveau Maire de Mennecy s’appelle Jean-Philippe Dugoin-Clément: Jean-Philippe Dugoin a pris dimanche, les commandes de Mennecy. Le nouveau maire succède ainsi à son père Xavier Dugoin. Tandis que la minorité de droite rejoint les rangs de la majorité municipale, l’opposition socialiste crie au «népotisme», Essonne Info, (lire en ligne, consulté le )«Sans grande surprise, Jean-Philippe Dugoin-Clément (Parti Radical) a été élu à 27 voix contre 6, avec le soutien du groupe d’opposition «Ensemble pour Mennecy». Jouda Prat et Claude Garro, disposant maintenant d’une délégation, ont rejoint les rangs de la majorité municipale».
Pauline Darvey, «Municipales à Mennecy: le maire sortant lance sa campagne: À la tête de cette ville depuis 9 ans, Jean-Philippe Dugoin-Clément a officialisé sa candidature il y a quelques jours», Le Parisien édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )«À la tête de Mennecy depuis 2011, Jean-Philippe Dugoin-Clément (UDI) est candidat à sa propre succession. Il mènera la liste sans étiquette «Forts pour Mennecy», qui sera «en partie renouvelée». «C'est un mandat dur mais passionnant et complet», poursuit celui qui a succédé à son père, Xavier Dugoin, dans ce fauteuil».
S.M., «Essonne: le maire de Mennecy réélu à la tête de l’UDI 91», Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
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