Mayres est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.
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Mayres | |
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![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Ardèche |
Arrondissement | Largentière |
Intercommunalité | Communauté de communes Ardèche des Sources et Volcans |
Maire Mandat |
Guy Laurent 2020-2026 |
Code postal | 07330 |
Code commune | 07153 |
Démographie | |
Population municipale |
264 hab. (2019 ![]() |
Densité | 8,8 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 39′ 59″ nord, 4° 06′ 54″ est |
Altitude | Min. 499 m Max. 1 538 m |
Superficie | 30,07 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Aubenas (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Haute-Ardèche |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.mayres-ardeche.fr |
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Mayres présente l'aspect d'une vallée longue et étroite orientée est-ouest, deux puissantes montagnes enserrent cette vallée : celle d'Abraham et des Poignets, et celle de Chaumienne et du rocher Girard. La première, le serre de la Croix de Bauzon, sépare Mayres de la vallée du Lignon (La Souche) et la seconde de Montpezat-sous-Bauzon. Entre le plateau ardéchois et les sites touristiques de la basse Ardèche, Mayres longe l'Ardèche qui sculpte en ces lieux de profondes vallées naturelles.
Mayres est limitrophe de cinq communes[1], toutes situées dans le département de l'Ardèche et réparties géographiquement de la manière suivante :
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Mazan-l'Abbaye | ![]() | ||
Astet | N | Barnas | ||
O Mayres E | ||||
S | ||||
Borne | La Souche |
Le climat méditerranéen domine, l'été chaud et sec est souvent ponctué d'orages violents.
L'automne est marqué par les fameux épisodes cévenols et/ou méditerranéens. Mayres, situé au pied d'un bassin versant orienté au sud, est particulièrement exposé à ce genre de phénomène. Il se caractérise par des pluies intenses apportant un cumul de plusieurs centaines de millimètres en quelques heures. Ce qui explique une normale annuelle des précipitations de 2 015 mm.
L'altitude et l'influence du plateau ardéchois rendent l'hiver frais voire froid, froid souvent accentué par le vent de nord dominant en cette saison. Plutôt sec, l'hiver peut être marqué par des épisodes neigeux remarquables. Le gel est souvent présent au petit matin mais les journées sans dégel sont rares. Les hivers remarquables sont ceux connus à l'échelle nationale, 1954, 1956, 1962, 1985, 1986, 1991, -, hiver 2010-2011, .
Avec le printemps, les périodes anticycloniques offrant de belles journées printanières sont souvent suivies par des périodes humides quand les courants de sud-ouest redeviennent dominants. Pluies abondantes et ambiance lourde, les orages en fin de journée sont fréquents.
Au printemps et surtout en été, le phénomène de brises de vallée est observable. Par temps anticyclonique, en matinée le vent orienté à l'est remonte du bas de la vallée, puis l'air réchauffé s'élève et ouvre la porte à l'air frais venu du plateau, le vent s'oriente alors à l'ouest jusqu'au coucher du soleil. Cette petite brise peut souffler jusqu'à 30 km/h et limite la hausse de la température.
C'est en automne qu’on constate les plus fortes pluies et le plus de victimes et de dégâts. Récemment, le record, à Mayres a été constaté du 1er au avec 800 mm en 5 jours, dont 367 mm le jeudi mais il n’y a pas eu de gros dégâts. On relève aussi 480 mm les 7 et . Les événements les plus tragiques ont eu lieu les 21 et où 3 personnes périrent à Lalevade et Labégude et où l’on déplora d’importants dégâts matériels. L’Ardèche est montée de 6 mètres en 2 heures à Pont-de-Labeaume ! Et pourtant, ces jours-là, on n’avait relevé « que » 302 mm à Mayres. Ce qui a provoqué la catastrophe c’est que les pluies diluviennes étaient très étendues, sur tout le bassin de l’Ardèche et du Chassezac.
Ainsi l’Ardèche, petit cours d’eau de 120 km peut prendre des allures de grand fleuve. Les 7 et , elle débitait 4 550 m3/s au pont d’Arc et atteignait une hauteur de 11,20 m. Son débit moyen est de 60 m3/s ! Ce qui n’est pas étonnant étant donné la pente et l’intensité des précipitations. Autres exemples de précipitations à Mayres : 386 mm en 2 jours les 20 et ; 204 mm en 7 heures le , dont 93 mm en 2 heures ; 200 mm en 3 heures le .
Dans ces conditions, heureusement rares, on déplore des morts et des dégâts matériels importants.
Il faut parler aussi de 1890 et plus précisément des 20, 21, 22 et . Depuis plus d’un siècle, c’est la crue de référence. En 5 jours, il est tombé 971 mm d’eau à Montpezat. C’est ce qui a provoqué cette crue exceptionnelle. La rivière est montée de 21 m au pont d’Arc, c’est-à-dire tout près de la voûte. Elle atteignait 800 à 900 m de large et débitait presque 10 000 m3/s. Par comparaison, le débit du Danube, fleuve de 2 850 km de long s’établit à une moyenne de 6 000 m3/s. Il est bien évident qu’une crue pareille provoqua une catastrophe humaine et matérielle. À Mayres le pont dit « Ginhoux », bouché par des arbres résista, mais l’eau s’écoulait dans la rue de Saint-Martin en un torrent furieux qui « emportait les charrettes ». 28 ponts furent détruits dans la vallée de l'Ardèche et on dénombra 50 morts ou disparus.
Le village de Mayres se situe à 575 mètres d'altitude, et sur la route nationale 102, construite au XVIIIe siècle par les états Généraux du Languedoc. Cette dernière relie Le Puy-en-Velay (Haute-Loire) à Montélimar (Drôme) par des lacets très rapides. Elle passe de 600 à 1 200 mètres d'altitude en 10 kilomètres, elle est connue sous les noms de « côte de la Chavade » ou « côte de Mayres ».
Mayres est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aubenas, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), zones urbanisées (0,8 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Historiquement, le Vieux Mayres, à 2 km en amont dans la vallée, est le premier village du lieu. Mayres se compose en outre de plusieurs quartiers éparpillés sur les rives de l'Ardèche ou le long de la passante route nationale 102 menant au col de la Chavade. Pour les principaux, les écarts et lieux-dits sont : Aleyrac, Astet, Banne, Cautet, le Chambon, le Chambonnet, le Chazalet, le Claux, Conges, Malbos, la Pierrette, la Roche, Saint-Martin, Sédassier, le Travers.
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Les armes de Mayres se blasonnent ainsi :
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Mayres viens du latin Matribus, aux Mères.
La population était peu dense. Le Vieux Mayres, autrefois appelé Mayres, formait la principale agglomération, ailleurs ne se voyaient que des familles isolées.
Maîtres incontestés du pays, les Romains ou plutôt les mercantis qui les suivaient, réduisirent en servitude la faible population de Mayres et obligèrent les hommes à créer des prairies, des champs et à exploiter les mines de plomb argentifère.
Lors de fouilles en 1904, ingénieurs et ouvriers constatèrent que les Romains avaient découvert le principal filon et l’avaient exploité avec des moyens de fortune.
Les premiers et les seuls vrais seigneurs du pays, que mentionne l'histoire, sont les sires de Montlaur. Ils tiraient leur nom d'une petite seigneurie située sur les hauts plateaux, non loin des sources de la Loire, près du village de Coucouron. Établis en ce lieu dès le XIe siècle, ils avaient su en faire le point de départ d'une brillante fortune. Par leur habileté, leur vaillance, ils s'étaient constitués un vaste domaine qui s'étendait du Rhône à la Loire. Sur une partie du Velay, du Gévaudan et du Vivarais, ils s'étaient acquis une autorité prépondérante. Les évêques de Viviers (Ardèche) et les évêques du Puy, leurs suzerains immédiats, devaient compter avec eux, de même que le roi de France, haut suzerain éloigné. À ce domaine, il fallait un chef-lieu bien choisi. Les Montlaur le fixèrent à Aubenas, centre important de vie économique, dès l'époque romaine, forte position stratégique aux croisements des grandes voies de communication. Ils y construisirent le premier château au XIIe siècle. Pour se rendre de Coucouron à Aubenas, les de Montlaur suivirent la voie naturelle, l'Ardèche et Mayres. Aux approches de ce village, un point stratégique attira leur attention, le mamelon de Saint-Médard, inaccessible de partout, excepté du nord, et les engagea à y bâtir une forteresse pour protéger la vallée et le bourg de Mayres, leur propriété.
Cette forteresse d'abord ne comporta qu'une tour, la tour carrée du milieu, avec des fossés et quelques cases ou habitations pour soldats. Du reste, un coup d'œil rapide, jeté sur les ruines du château de Mayres, donne l'impression qu'il n'a jamais présenté de grandes dimensions, ni abrité les De Montlaur et que, sauf aux époques de danger, où les habitants des environs venaient y chercher un abri ou y former le guet, il n'a servi de demeure qu'à une escouade, c'est-à-dire à un sergent et à vingt hommes. La tour du milieu, que nous pourrions appeler le donjon, possède des murs de 1,15 m d'épaisseur, à l'intérieur elle mesure 2,75 m sur 3,4 m. Au nord-est, se voit encore, la porte romane, surélevée de trois ou quatre mètres au-dessus du sol. Aucun pont-levis n'en facilitait l'accès, seule une échelle retirée ensuite à l'intérieur, en permettait l'ascension aux défenseurs. Haute aujourd'hui seulement de neuf à dix mètres, cette tour mesurait autrefois davantage et des lauzes ou du chaume lui fournissaient une toiture. Des trous de poutres, pratiqués dans les murs, laissent supposer des étages superposés. Sur chaque face, à cinq mètres du sol et, d'étage en étage, des meurtrières en permettaient la défense. Deux fossés, au nord et au midi, creusés dans le roc vif, assez profonds et assez larges, complétaient le système primitif de défense.
De facture plus récente, deux tours d'angle, aux deux tiers rasées, se voient au nord et au sud-est. La tour du nord donne comme dimensions : épaisseur des murs 1,25 m, hauteur 2 m, mesures intérieures 3,25 m × 2,15 m; le côté sud, tout ouvert, ne présente pas de trace de bâtisse, on semble toutefois remarquer sur les murs est et ouest des pierres d'attente qui indiqueraient un travail inachevé ; une meurtrière apparaît au nord-est. Distante de 50 à 60 mètres environ de la tour principale, se voit au sud-est une autre bâtisse épaisse, rectangulaire, mesurant à l'intérieur 5 m sur 8 m, dite cimetière, mais tour d'angle probablement. Les murs en effet, présentent l'épaisseur de ceux d'une tour et des trous à mosquet s'y trouvent percés. Ajoutons à cela une citerne située tout à fait au sud, un mur d'enceinte fortifié peut-être par des lices ou palissades, quelques saillants, quelques redans, un corps de logis pour troupes, une chapelle dédiée à saint Médard et avec le donjon et les deux tours d'angle, on aura une idée assez juste du château de Mayres au moment de sa splendeur.
À cette époque, Mayres n'était desservi que par un chemin muletier passant au Travers, à Malbos, au Claux, au Chazalet, à Saint-Martin au-dessous du Chambon, à Conges et gagnant la chapelle Saint-Philibert par Astet et La Chavade. Le chemin qui de Thueyts montait sur Chaumienne présentait une tout autre importance et se trouvait bien plus suivi. Courant du reste sur les crêtes et offrant moins de retraite aux malfaiteurs, il tranquillisait le voyageur.
À Chaumienne existait une buvette pour les muletiers. Des logis à boire et à manger jalonnaient également le chemin de Mayres à Astet, près de Malbos et à Astet. Ces auberges, payant une redevance au seigneur, avaient seules le droit de fournir aux passants vin et nourriture.
Si le pays s'approvisionnait facilement en vin, il n'en était pas toujours de même pour les grains et les étoffes, dès lors chaque contrée devait songer à se suffire. C'est pour cela qu'à Mayres la culture du seigle tenait de grandes étendues. Chaque maison avait son chanabier (champ où se cultivait le chanvre), son jardin à légumes, mais ensuite presque tout le reste était ensemencé en seigle d'abord et en raves ensuite. Quand venait l'été, toutes les côtes de Mayres étagées en terrasses jaunissaient et produisaient le seigle. Les issarts, terrains défrichés et labourés, ajoutaient au rendement. L'écobuage se pratiquait, la cendre produite fournissait l'engrais, le terrain propre était ensemencé.
Ainsi le pays récoltait à peu près le blé nécessaire à la population: ce qui manquait venait des hauts plateaux. Les noyers, nombreux, fournissaient l'huile du ménage, on n'a jamais dû songer à en tirer de la faine, le fruit du hêtre. Cette huile était conservée dans de grosses auges en granit munies d'un couvercle en bois.
Le toile et le cadis comptaient parmi les principales étoffes, de la toile on tirait les draps de lit et les chemises, et du cadis les habits de dessus, tant pour les hommes que pour les femmes. L'aïeule, la mère et les jeunes filles filaient cette toile et ce cadis aux veillées, durant la garde des troupeaux et dans les moments libres. Quenouille ou rouet fonctionnaient selon que la fileuse travaillait dehors ou à la maison.
Nombreux à l'époque, les tisserands terminaient le travail de la quenouille. Au sortir des mains du tisserand, le cadis ou le drap réclamaient le foulage. Primitivement, le foulage se faisait en piétinant l'étoffe chiffonnée, de la même façon que le vigneron piétine sa cuvée de vendange. L'auge qui tenait lieu de fouloir était remplie d'eau savonneuse ou additionnée d'une certaine argile dite terre à foulon. Mais de bonne heure les montagnards du Vivarais songèrent à tirer parti de ce que nous appelons aujourd'hui les forces hydrauliques, ils avaient des moulins à blé ou à huile. Ils les adaptèrent à d'autres usages et notamment ils y annexèrent des roues pareuses munies de pilons verticaux et de maillets cannelés. Ce fut un grand progrès que de substituer au travail de la main le travail hydraulique. Du XVe siècle à la Révolution. Le paysan vit heureux en famille et en paix avec ses voisins.
1er tour
Candidats | Partis politiques | Parts des suffrages | Nombres de voix |
---|---|---|---|
Olivier Besancenot | LCR | 3,74 % | 8 |
Marie-George Buffet | PC | 6,07 % | 13 |
Gérard Schivardi | -- | 0,47 % | 1 |
François Bayrou | MODEM | 15,42 % | 33 |
José Bové | Osez Bové | 0,47 % | 1 |
Dominique Voynet | Les Verts | 0,93 % | 2 |
Philippe De Villiers | MPF | 3,74 % | 8 |
Ségolène Royal | PS | 26,64 % | 57 |
Frédéric Nihous | CPNT | 3,27 % | 7 |
Jean Marie Le Pen | FN | 18,69 % | 40 |
Arlette Laguiller | LU | 0 % | 0 |
Nicolas Sarkozy | UMP | 20,56 % | 44 |
2d tour
Candidats | Partis politiques | Parts des suffrages | Nombres de voix |
---|---|---|---|
Ségolène ROYAL | PS | 50,70 % | 108 |
Nicolas SARKOZY | UMP | 49,30 % | 105 |
1er tour
Candidats | Partis politiques | Parts des suffrages | Nombres de voix |
---|---|---|---|
Eva Joly | EELV | 1,57 % | 3 |
Marine Le Pen | FN | 20,94 % | 40 |
Nicolas Sarkozy | UMP | 24,61% | 47 |
Jean-Luc Mélenchon | PG | 12,57 % | 24 |
Philippe Poutou | NPA | 1,57 % | 3 |
Nathalie Arthaud | LU | 0 % | 0 |
Jacques Cheminade | S&P | 0 % | 0 |
François Bayrou | MODEM | 9,95 % | 19 |
Nicolas Dupont-Aignan | LO | 1,05 % | 2 |
François Hollande | PS | 27,75 % | 53 |
2d tour
Candidats | Partis politiques | Parts des suffrages | Nombres de voix |
---|---|---|---|
François HOLLANDE | PS | 50,27 % | 93 |
Nicolas SARKOZY | UMP | 49,73 % | 92 |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
?? | mars 1819 | Estienne - Prévôt et Notaire Royal | ||
mars 1819 | juin 1821 | Antoine Pautu | ||
juin 1821 | juin 1824 | François Nury | ||
juin 1824 | juin 1830 | Claude Pons Deligans | ||
juin 1830 | août 1831 | Jean Agreil | ||
août 1831 | février 1835 | Louis Constant | ||
février 1835 | janvier 1838 | Michel Peilhon | ||
janvier 1838 | décembre 1843 | Claude Pons Deligans | ||
décembre 1843 | novembre 1846 | Jules Jandriac | ||
novembre 1846 | mars 1848 | Jean Aimé Deligans | ||
mars 1848 | novembre 1848 | Louis Constant | ||
novembre 1848 | février 1849 | Jean Aimé Deligans | ||
février 1849 | avril 1849 | Jules Jandriac | ||
avril 1849 | septembre 1870 | Jean Aimé Deligans | ||
septembre 1870 | février 1871 | Léon Comte | ||
février 1871 | octobre 1893 | Louis Deligans | ||
octobre 1893 | mai 1904 | Auguste Ferrand | ||
mai 1904 | août 1907 | Louis Coudène | ||
août 1907 | décembre 1916 | C. Dabrigeon | ||
1916 | 1928 | Jules Brun | ||
1928 | 1929 | Julien Chambon | ||
1929 | 1931 | Marcel Rivet | ||
1931 | 1935 | Louis Mounier | ||
1935 | 1944 | Jules Brun | ||
1944 | 1965 | Lucien Coudène | ||
1965 | 1971 | Henri Crouzet | ||
1971 | 1982 | Jean-Louis Robert | ||
1982 | 1991 | Aimé Pagès | ||
1991 | mars 1995 | Emile Jean | ||
mars 1995 | mars 2001 | Françoise Gelly | ||
mars 2001 | mars 2014 | Jean Pierre Leynaud | ||
mars 2014 | [9] | Roland Pontier[10] | DVD | Retraité |
[9] | En cours (au ) |
Guy Laurent[11] |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].
En 2019, la commune comptait 264 habitants[Note 3], en augmentation de 1,15 % par rapport à 2013 (Ardèche : +2,47 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 800 | 1 613 | 1 920 | 1 869 | 2 558 | 2 501 | 2 481 | 2 460 | 2 471 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 475 | 2 457 | 2 451 | 2 680 | 2 590 | 2 399 | 2 490 | 2 421 | 2 556 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 271 | 2 306 | 1 464 | 1 237 | 1 213 | 869 | 769 | 697 | 569 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
489 | 445 | 409 | 366 | 302 | 258 | 251 | 251 | 267 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
256 | 264 | - | - | - | - | - | - | - |
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