Mauzé-sur-le-Mignon est une commune du centre-ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.
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Mauzé-sur-le-Mignon | |
L'ancien port de Mauzé-sur-le-Mignon. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Deux-Sèvres |
Arrondissement | Niort |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Niortais |
Maire Mandat |
Philippe Mauffrey (LR) 2020-2026 |
Code postal | 79210 |
Code commune | 79170 |
Démographie | |
Gentilé | Mauzéens |
Population municipale |
2 891 hab. (2019 ![]() |
Densité | 122 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 11′ 46″ nord, 0° 40′ 11″ ouest |
Altitude | Min. 6 m Max. 46 m |
Superficie | 23,62 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Mauzé-sur-le-Mignon (ville isolée) |
Aire d'attraction | Niort (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Mignon-et-Boutonne (bureau centralisateur) |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
![]() |
Cramchaban | Prin-Deyrançon | La Rochénard | ![]() |
N | ||||
O Mauzé-sur-le-Mignon E | ||||
S | ||||
Saint-Pierre-d'Amilly | Saint-Saturnin-du-Bois | Usseau |
Mauzé-sur-le-Mignon est située au sud des Deux-Sèvres au centre d'un triangle formé par les villes de Niort, La Rochelle et Rochefort.
Le nom de la ville provient en partie du nom de la rivière qui la traverse, le Mignon[1].
À partir de 1880, le cours du Mignon a été canalisé au nord-ouest de la ville et, ce, jusqu'à son site de confluence avec la Sèvre niortaise ; il prend alors le nom de canal du Mignon.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Prin-Deyrancon », sur la commune de Prin-Deyrançon, mise en service en 1983[8] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 832,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 22 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[14].
La commune est située sur la route nationale 11.
Mauzé-sur-le-Mignon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mauzé-sur-le-Mignon, une unité urbaine monocommunale[18] de 2 818 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), forêts (9,1 %), zones urbanisées (8,4 %), prairies (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Mauzé-sur-le-Mignon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Mignon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2010[26],[24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de terrains, notamment des tassements différentiels[27]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[29].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[24].
Le 10 mars 1039, le comte de Poitou et duc d'Aquitaine Eudes (Othon), 2e fils et successeur de Guillaume le Grand, fut tué en assiégeant Mauzé qu'il tentait de reprendre à Geoffroi Martel d'Anjou, le 2e mari de sa belle-mère la duchesse Agnès.
Aux temps féodaux[30], au XIe siècle, Guillaume Bâtard Ier, réputé fils naturel du comte-duc Guillaume le Grand (969-1030) ― ou du moins d'un membre de la famille comtale et ducale ― fut établi en 1063 à Milescu en Aunis par (son demi-frère ?) Guillaume VIII (vers 1024/1027-1086 ; demi-frère du duc Eudes) ; il reçut non seulement cette terre, mais aussi le péage de Mauzé qu'il céda en 1080, à un âge déjà avancé, à l'abbaye de Nouaillé. Son fils ou un proche parent fut - Guillaume Bâtard II, sénéchal (dapifer) du Poitou en 1096 et qui l'était encore en 1136 et 1145, 1er seigneur de Mauzé ; il était frère d'Othon de Mauzé, sire de Marans, et c'est sans doute leur sœur qui épousa un fils de Geoffroy de Rochefort, Guillaume de Rochefort dit de Mauzé (fl. vers 1096/1115).
Guillaume II participa à la Croisade de 1147-1149, revint en France et survécut jusque vers 1150/1155 (Guillaume II semble vivre très longtemps : il se peut qu'il faille le décomposer en deux personnages ?) ; mari d'Aldéarde, il était père de sept fils : Guillaume III, Porteclie, Gilbert, Geoffroy et Charles qui le suivirent en Terre sainte, Hugues et Geoffroy le Jeune. - Guillaume Bâtard III, † vers 1178, maria Agnès et laissa Porteclie (dapifer) et Guillaume († ap. 1217 ; peut-être père de Constantin ou Guillaume de Mauzé, maire de La Rochelle en 1225). - Porteclie, fl. depuis 1170, aussi sgr. de Marans, La Jarrie et Laleu, sans doute marié à Berthe, disparut au siège de Damiette en 1218/1219 ; il était père de Geoffroi, Guillaume, Agnès et Létice de Mauzé. - Geoffroi, sire de Mauzé et de Marans, † vers 1223, fut suivi de son frère - Guillaume Bâtard IV, fl. depuis 1221, † vers 1240/1245, époux d'Aénorde de Virson, qui suivit le parti d'Henri III Plantagenêt : vers 1224, Louis VIII donna alors Mauzé à Hugues X de Lusignan, beau-père du roi Henri III et comte de la Marche, comme châtelain. Mais le roi reconnut ensuite - Guillaume Ier d'Apremont, le mari d'Agnès de Mauzé et donc le beau-frère de Guillaume IV, comme seigneur de Mauzé (le maréchal Renaud de Précigny, le mari de Létice de Mauzé, devenant le sire de Marans et de Laleu). Même chose sous Louis IX, avec Thibaud de Blaison, sénéchal du Poitou, châtelain et maître effectif de Mauzé en 1229. Les armes de la 1re famille de Mauzé portaient d'azur à la croix engrêlée d'or mouvant du canton droit (du coin gauche). Agnès de Mauzé († entre 1262 et 1276) et son mari Guillaume Ier d'Apremont furent suivis de leur fils Guillaume II d'Apremont. Les d'Apremont (de gueules au lion d'or couronné d'azur) eurent Mauzé jusque vers 1300.
Ensuite, on trouve les Chenin (d'azur à la croix engrêlée d'or ; peut-être apparentés aux premiers Mauzé), (des sires de Lussac), comme seigneurs de Mauzé et de La Jarrie : cf. - Guillaume Chenin, fl. 1361 ; puis - Renaud Chenin (fl. 1365, 1376, † av. 1384 ; fils de Gauvain Chenin et frère d'autre Gauvain), peut-être le neveu de Guillaume, marié à Jeanne d'Angles, fille de Guichard d'Angle, du parti anglais : d'où - Marguerite Chenin, dame de Mauzé, Montpipeau et Château-Larcher, qui marie 1° Guillaume, fils aîné d'Aimery II de Rochechouart-Mortemart, puis 2° Geoffroi, vicomte de Rochechouart (1375-1440) ; et Jeanne Chenin, sœur cadette de Marguerite.
Les Rochechouart de la branche aînée vicomtale gardèrent la baronnie de Mauzé jusque vers 1590 (sauf de 1494 à 1511 environ : Mauzé passe alors à la branche cadette de Mortemart par le mariage en 1494 de Jeanne de Rochechouart-Pontville, dame de Mauzé, Château-Larcher et Montpipeau, fille des vicomtes Anne de Rochechouart et Jean de Pontville, avec Aymeri III de Rochechouart-Mortemart, sénéchal de Saintonge et gouverneur de St-Jean d'Angély ; mais leur fils François de Rochechouart-Mortemart cède vers 1511 Mauzé, en échange de Tonnay-Charente, à son lointain cousin et oncle maternel François de Pontville, vicomte de Rochechouart de 1499 à 1523, le frère de Jeanne de Pontville ; François et Jeanne de Pontville étaient les enfants de Jean de Pontville-vicomte Jean III et d'Anne de Rochechouart, petite-fille du vicomte Geoffroi et de Marguerite Chenin) : le vicomte - Claude de Rochechouart-Pontville (fils du vicomte François), puis sa sœur - Françoise qui cède Mauzé à son neveu le vicomte - Louis (fils de Claude) en 1581.
Entre 1584 et 1590, Louis de Rochechouart-Pontville vend à - François de Lostanges et sa femme Jeanne de Gillier de La Villedieu (mariés en 1584 ; François † vers 1590/1592 et Jeanne † ap. 1620) ; puis entre décembre 1611 et 1614, deux des fils du vicomte Louis, Jean du Bâtiment et René de St-Ouen et Montmoreau, agissent de manière que Mauzé soit confirmé à - Claude Gillier de La Villedieu († 1627 ; époux de Marie de Vivonne, † 1638), le frère de Jeanne Gillier (les Gillier de La Villedieu étaient une famille protestante). Deux fils cadets de Claude Gillier et Marie de Vivonne, - René Gillier († ap. 1657), puis - Pierre Gillier d'Esparmes († 1678) furent barons de Mauzé, puis après eux leur neveu - Olivier Gillier († vers 1684 ; fils de leur dernier frère Antoine Gillier de Miseré) et leur nièce - Elisabeth Gillier, sœur d'Olivier.
Vente entre 1685 et 1687 par les Gillier à Philippe de/Le Valois, marquis de Villette (1632-1707), petit-fils maternel d'Agrippa d'Aubigné (par sa mère Louise-Arthémise) et cousin germain de Madame de Maintenon ; il fut suivi par son fils < Philippe II Le Valois (né vers 1665), père de < Charles-Philippe Le Valois (1701-† entre 1762 et 1772), père < d'Angélique-Madeleine Le Valois, femme du marquis de Crillon (1742-1806) : ce furent les derniers barons de Mauzé.
Relié au réseau fluvial du marais poitevin via le canal du Mignon, Mauzé-sur-le-Mignon a connu jadis de nombreux échanges commerciaux grâce à son port, point de départ du canal.
Ces activités ont lentement périclité avec l'avènement du chemin de fer, puis des transports routiers.
En 1815, sur la route de l'exil qui le mène de Paris à Rochefort, le désormais ex-empereur Napoléon Ier passe par Mauzé[31].
Les communes de Mauzé-sur-le-Mignon et Petit-Breuil-Deyrançon fusionnent le [32].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1808 | 1825 | Augustin Giraud | ||
ca. 1830 | Charles Rivière | Nommé maire | ||
1er mars 1848 | 10 avril 1848 | Claude Durand[33] (1801-1895) | Propriétaire vigneron | |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
ca. 1978 | Paul Couturier | DVD | Conseiller général de Mauzé-sur-le-Mignon (1974 → 1994) | |
mars 1989 | mars 2008 | Jacques Tholotte | DVD | Maire honoraire |
mars 2008 | mars 2014 | Jean-Luc Morisset | DVG | Retraité |
mars 2014 | En cours (au 28 mai 2020) |
Philippe Mauffrey | UMP, LR | Retraité du personnel navigant 10e vice-président de la CA du Niortais (2014 → 2020) 6e vice-président de la CA du Niortais (2020 → ) Réélu pour le mandat 2020-2026[34] Conseiller départemental depuis 2021 |
Les données manquantes sont à compléter. |
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[35].
Les communes de Mauzé-sur-le-Mignon et Petit-Breuil-Deyrançon fusionnent en 1971.
La commune est créée en 1903 à partir de Prin-Deyrançon.
1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
402 | 399 | 422 | 398 | 348 | 354 | 392 | 416 |
1962 | 1968 | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|
408 | 379 | - | - | - | - | - | - |
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 457 | 1 600 | 1 613 | 1 740 | 1 797 | 1 714 | 1 824 | 1 821 |
1851 | 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 839 | 1 803 | 1 810 | 1 415 | 1 669 | 1 603 | 1 670 | 1 602 |
1891 | 1896 | 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 597 | 1 563 | 1 539 | 1 536 | 1 520 | 1 450 | 1 458 | 1 463 |
1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 390 | 1 433 | 1 591 | 1 940 | 2 107 | - | - | - |
À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Mauzé-sur-le-Mignon, cela correspond à 2008, 2013, 2018[38], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2009, etc.) sont des estimations légales.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].
En 2019, la commune comptait 2 891 habitants[Note 9], en augmentation de 4,94 % par rapport à 2013 (Deux-Sèvres : +0,87 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 | 2018 | 2019 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 502 | 2 405 | 2 378 | 2 385 | 2 639 | 2 711 | 2 755 | 2 848 | 2 891 |
Mauzé-sur-le-Mignon abritait un pôle industriel important autour du bois avec l'usine ROL du groupe Saint-Gobain fermée en 1992 et l'usine Mussy Emballages du groupe Rougier devenue CEPAM en 1980.
L'entreprise CEPAM reste une des dernières représentantes du secteur. Après une année 2008 difficile, l'entreprise a été reprise sous forme de SCOP par ses salariés depuis le . Cette société a été le sujet d'un reportage tourné par une équipe de TF1 sur les Français qui se battent contre la crise économique. Il a été diffusé au journal de 20 heures de TF1 le [43].
La métallurgie est également présente avec l'entreprise Pierre Guérin Technologies fondée à Mauzé-sur-le-Mignon. Elle est une ancienne filiale du groupe Fives-Lille et est spécialisée dans la fabrication d'équipements pour l'industrie laitière et l'industrie pharmaceutique.
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Blasonnement :
D’azur au chevron écimé d’or mouvant du chef soutenu d’un carreau du même[45]. |
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