Méailles est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Annot auquel appartient Méailles est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Méailles est également exposée à quatre autres risques naturels[8]:
avalanche,
feu de forêt,
inondation,
mouvement de terrain: quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[9].
La commune de Méailles n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[10]; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] et le Dicrim n’existe pas non plus[11].
Sismicité
Le seul tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui du 31 octobre 1997, dont l’épicentre se situait à Prads-Haute-Bléone, avec une intensité macro-sismique ressentie de IV et demi sur l’échelle MSK[12],[13].
Toponymie
Le nom de Méailles (du bas latin "Medullœ", Mazella en 1200, Mazulla en 1300, Mealha en 1351) dérive de l’occitan mistralien "Mealho"[14] ou classique «Mealhas», qui désigne une taxe ou une redevance[15],[16],[17].
Mais, selon un prêtre de 1840, «L’étymologie du nom Méailles viendrait de «moelle» parce que le terrain est très fondé et fertile, ressemblant ainsi à de la moelle".
Méailles est une commune rurale[Note 1],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (46,9%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,5%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17,6%), zones agricoles hétérogènes (4%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 53 personnes, dont huit chômeurs[25] (cinq fin 2011[26]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (32 sur 45)[27] et travaillent majoritairement hors de la commune (28 actifs sur 45)[27].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait neuf établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et un emploi salarié[28].
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de six en 2010. Il était de cinq en 2000[29], de 17 en 1988[30] (soit une perte des deux tiers des exploitations en 22 ans). Les activités de ces exploitations sont variées[29]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement diminué, de 230 à 97ha[30]. La SAU a légèrement augmenté lors de la dernière décennie, à 117ha[29].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait quatre établissements, employant sept salariés[28].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 11 établissements (sans emploi salarié), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant quatre personnes[28].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[31]. La seule capacité d'hébergement est celle des résidences secondaires: au nombre de 143, elles représentent 68% des logements[32],[33],[34].
Histoire
Les grottes de la barre de Méailles (notamment le pertuis de Méailles et la grotte du Pertus II) sont fréquentées au néolithique, le territoire de la commune étant toujours occupé lors du chalcolithique[35]. Le nom du peuple installé dans la vallée à l’arrivée des Romains n’est pas certain, mais il peut s’agir des Nemeturii[36]. Après la Conquête (achevée en 14 av. J.-C.), Auguste organise les Alpes en provinces. Le territoire de l’actuelle commune de Méailles dépend de la province des Alpes-Maritimes et est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas[37].
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIesiècle (Maldagas)[38], puis Mezallia au XIIIe[3]. Bien que l’ordre du Temple ait eu quelques droits sur le village, et donc des revenus, les Templiers n’y eurent aucun établissement[39]. Les Pontevès et les Glandevès se partageaient la seigneurie du lieu au XIVesiècle; du XVe au XVIIe, ce sont les Villeneuve qui ont la seigneurie[3]. Jusqu’en 1245, la communauté de Méailles relevait de la baillie d’Outre-Siagne, circonscription administrative du comté de Provence. Celle-ci est ensuite démembrée en plusieurs circonscriptions plus petites, et après une période de stabilisation, on sait qu’en 1264 Méailles faisait partie de la viguerie de Puget-Théniers[40]. Elle est ensuite rattachée à la viguerie d’Annot à sa création au XVIIIesiècle[38].
Le bois des forêts de Méailles était coupé et acheminé par flottage sur le Var pour être utilisé dans la construction de navires à l’arsenal de Toulon, à partir de la seconde moitié du XVIIesiècle. Cette pratique a perduré jusqu’au début du XXesiècle et l’arrivée du chemin de fer, avec d’autres usages pour le bois, dont la construction du port de Nice à partir de 1749[41].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[42].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1830 que le cadastre dit napoléonien de Méailles est achevé[43].
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression s’abat sur ceux qui se sont levés pour défendre la République, dont un habitant de Méailles[44].
Comme de nombreuses communes du département, Méailles se préoccupe de l’instruction primaire de ses enfants bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, elle compte déjà une école ouverte aux garçons et aux filles[45]. La loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants, donc Méailles n’était pas obligée de l’ouvrir. Mais si la première loi Duruy (1867) abaisse ce seuil à 500 habitants, et donc rend l’école de filles obligatoire à Méailles[46], la commune ferme son école de filles[47]. Ce n’est donc qu’avec les lois Ferry que les filles sont définitivement scolarisées à Méailles.
La ligne de chemin de fer de Nice à Digne est inaugurée, après l’achèvement du tunnel de la Colle est achevé en 1903, du 5 au 7 août 1911 en présence de Victor Augagneur, ministre des Travaux Publics[48].
L’éclairage du village a été réalisé en 1928.[réf.nécessaire]
Le soir du 2 novembre 1943, quatre gestapistes montent de Nice en Citroën noire et s’arrêtent au village. Ils vont à l’hôtel Latil où ils contrôlent les identités de tous ceux qui y sont présents, se montrant violents et hurlant. Les cinq juifs qui y étaient assignés à résidence par Vichy sont raflés et descendus à la gare d’Annot avec une charrette louée à un habitant. De là, ils sont emmenés le 3 novembre à Nice en train, puis déportés pour être exterminés, sauf une jeune fille qui peut s’évader et est guidée par des jeunes gens vers La Colle-Saint-Michel[49].
En 1947, sévit un orage des plus violents: fortes pluies, grêle, tout fut dévasté dans les champs, les rues elles-mêmes étaient transformées en véritables torrents.[réf.nécessaire]
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: D'or, à un arbre de sapin de sinople, accosté à deux étoiles de gueules[50],[51].
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[55]:
total des produits de fonctionnement: 192 000 €, soit 1 681 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 148 000 €, soit 1 300 € par habitant;
total des ressources d'investissement: 90 000 €, soit 786 € par habitant;
total des emplois d'investissement: 159 000 €, soit 1 394 € par habitant;
endettement: 35 000 €, soit 306 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d'habitation: 11,67%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 11,46%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 82,73%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 58,73% ;
cotisation foncière des entreprises: 22,50%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014: médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation: 15 781 €[56].
Intercommunalité
Méailles fait partie:
de 2004 à 2016, de la communauté de communes Terres de Lumière;
à partir du , de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[57].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019, Méailles comptait 121 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Méailles). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
Évolution démographique
1471
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
30 feux
500
593
559
583
536
587
567
613
622
Évolution démographique, suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
637
548
607
565
527
491
451
466
464
419
Évolution démographique, suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
720
360
530
335
299
278
260
253
214
148
Évolution démographique, suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2009
2019
-
-
153
102
80
69
87
89
117
121
-
-
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999; population municipale depuis 2006 (Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[3], EHESS[58], Insee à partir de 1968[59],[60],[61],[62])
L’histoire démographique de Méailles est marquée par une période d’«étale» où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure toute la première moitié du XIXesiècle, jusqu'en 1861. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée[63]. En 1926, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1851[63]. Le mouvement de dépopulation se prolonge très tardivement, jusqu'aux années 1990, puis s'inverse jusqu'à nos jours.
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
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Santé
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Cultes
Chrétien catholique
Lieux et monuments
L’église paroissiale Saint-Jacques (titulaire d’origine, mais Notre-Dame est parfois citée concurremment, saint Jacques serait alors patron[38]) date du XIIIesiècle, et a été agrandie par la suite (parties des XIVe et XVesiècles)[64]. La nef est restée de style roman[65]. Les arcs doubleaux sont soutenus par des corbeaux sculptés de figurines animales[66]. Assez exceptionnellement pour la région, elle possède un bas-côté, d’époque gothique et voûté de croisées d’ogives[65]. La chapelle latérale sud est probablement contemporaine, mais sa voûte d’arêtes date du XVIIesiècle[65]. Sur la façade, un cadran solaire date de 1897, ce qui est une date très tardive (l’heure légale date en France de 1881) et porte la légende «Fugit irreparabile tempus », d’après Virgile(en latin: Le temps fuit sans pouvoir être rattrapé). Il est orné d’entrelacs de lignes droites, et a été restauré[67]. La restauration de la toiture de l'église côté nord et la création de 2 cloches coulées sur site ont été réalisées en 2016[68].
Elle possède un retable représentant la déposition de Croix, du XVIIe[69] classé aux Monuments historiques[70]. Il est orné notamment d’une Vierge à l’Enfant, d’une Annonciation, et d’autres peintures, datées de la fin du XVesiècle[71]. Plusieurs tableaux de l’église sont classés au titre objet:
un tableau représentant ensemble saint Jacques le Majeur, saint Jacques le Mineur, saint Pierre, saint Barthélemy, saint Antoine et sainte Agathe, peint par Jean André en 1656[72];
une donation du Rosaire de 1647, où Louis XIII est représenté[73].
Sa croix de procession du XVIesiècle est classée[74].
Sur le bord de l’escarpement où est bâti le village, une maison est datée de 1554[75].
La route longeant la Vaïre (descente de la Colle-Saint-Michel) offre des vues superbes.
Il existe plusieurs chapelles sur le territoire de Méailles:
La commune comportent quelques grottes, dont le Trou Miette, la grotte du Trou-Madame, le pertuis de Méailles et la grotte du Cul de Bœuf[77].
Une des entrées du système souterrain de la grotte des Chamois (Castellet-lès-Sausses) s'ouvre sur le territoire de la commune de Méailles: le trou des Fantasmes dans le ravin du Pasqueiret.
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Références
Roger Brunet, «Canton d’Annot», Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7)
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p.183.
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 2 août 2012
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, vol.3: Formations dialectales (suite); formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll.«Publications romanes et françaises» (no195), , 1852p. (lire en ligne)., notice 27095, p 1494
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Ministère de l'Agriculture, «Orientation technico-économique de l’exploitation», Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien: attention, le fichier fait 4,4 Mio)
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p., p.8-9.
Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 «Peuples et habitats de l’époque pré-romaine», in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire.
Brigitte Beaujard, «Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s.», Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
Daniel Thiery, « Méailles», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 4 décembre 2011, consulté le 2 août 2012
Joseph-Antoine Durbec (préf.Jacques Juillet), Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes, Grenoble, Le Mercure Dauphinois, , 430p. (ISBN978-2-9138-2613-7, présentation en ligne), p.28 et 121.
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Patrice Alphand, «Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no307, 1er trimestre 1989, 108e année, p.296-298.
Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXesiècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIesiècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains: Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013 (ISBN978-2-86004-016-7), p.10.
Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, «Arrestations-condamnations», 1851-Pour mémoire, Les Mées: Les Amis des Mées, 2001, p.72.
Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN978-2-86-004-015-0), p.9.
Jacqueline Ribot-Sarfati, «Camps d'internement et de déportation des juifs dans les Basses-Alpes, de la guerre aux occupations italienne et allemande (1939-1944)», in Robert Mencherini (directeur), Provence-Auschwitz: de l'internement des étrangers à la déportation des juifs (1939-1944), Aix-en-Provence: Publications de l'Université de Provence, 2007. (ISBN978-2-85399-693-8), p. 264
Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition: Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
Terres de Lumière: Méailles, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
André Pascal est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Jacques Cheminade (Solidarité et progrès) à l’élection présidentielle de 1995, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1995, page 5736, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Méailles», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
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