Lège est une commune française située dans le sud-ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
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Lège | |
![]() Village de Lège, vu de la route menant à Cazaux du Haut. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Arrondissement | Saint-Gaudens |
Intercommunalité | Communauté de communes Pyrénées Haut Garonnaises |
Maire Mandat |
François Martin 2020-2026 |
Code postal | 31440 |
Code commune | 31290 |
Démographie | |
Gentilé | Légeois |
Population municipale |
36 hab. (2019 ![]() |
Densité | 13 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 52′ 41″ nord, 0° 36′ 42″ est |
Altitude | Min. 560 m Max. 1 740 m |
Superficie | 2,72 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Bagnères-de-Luchon (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bagnères-de-Luchon |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
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Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Pique et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lège est une commune rurale qui compte 36 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 308 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bagnères-de-Luchon. Ses habitants sont appelés les Légeois ou Légeoises.
La commune de Lège se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 105 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 27 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture, et à 10 km de Bagnères-de-Luchon[3], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Bagnères-de-Luchon[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Cazaux-Layrisse (0,5 km), Baren (1,1 km), Guran (1,5 km), Cier-de-Luchon (2,2 km), Burgalays (2,3 km), Bachos (2,4 km), Gouaux-de-Luchon (2,5 km), Binos (2,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Lège fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].
Lège est limitrophe de quatre autres communes, dont une dans le département des Hautes-Pyrénées.
Guran | ||
Sost (Hautes-Pyrénées) |
![]() |
Baren |
Cazaux-Layrisse |
La superficie de la commune est de 272 hectares ; son altitude varie de 560 à 1 740 mètres[7].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Pique, le ruisseau de Lit, le ruisseau des Canaus et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[9],[Carte 1].
La Pique, d'une longueur totale de 32,9 km, prend sa source dans la commune de Bagnères-de-Luchon et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Chaum, après avoir traversé 17 communes[10].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Paul-d'Oueil », sur la commune de Saint-Paul-d'Oueil, mise en service en 1999[16] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9,8 °C et la hauteur de précipitations de 989,6 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 44 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[22].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[24], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[25].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[26] : « chaînon du sommet d'Antenac au cap de Pouy de Hourmigué » (5 751 ha), couvrant 22 communes dont 16 dans la Haute-Garonne et six dans les Hautes-Pyrénées[27] et la « rivière de la Pique, entre Luchon et la Garonne. » (143 ha), couvrant 16 communes du département[28] et trois ZNIEFF de type 2[Note 7],[26] :
Lège est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[32],[I 2],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bagnères-de-Luchon, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,4 %), prairies (14,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,4 %)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès par l'autoroute A64 sortie no 17 puis la route nationale 125 et avec le réseau Arc-en-ciel ainsi qu'en gare de Marignac - Saint-Béat située sur la ligne de Montréjeau à Luchon.
Le territoire de la commune de Lège est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Pique. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[37],[35].
Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Lège est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif des Pyrénées. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[38],[39]
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[40]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 20,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 48 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 15 sont en en aléa moyen ou fort, soit 31 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[41],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[42].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[35].
La commune est en outre située en aval du barrage de Naguilhes sur le Gnoles (affluent de l'Ariège, département de l'Ariège). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[43].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Lège est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[44].
Historiquement, la commune était réputée au début du siècle pour sa fabrication du charbon à base de bois de hêtre. On y prélevait également de la glace pour la conservation des aliments car il s'y trouve de grands couloirs d'avalanche ombragée dans lesquels la neige s'accumule en hiver. On peut alors aisément venir prélever de la glace toute l'année.
Le charbon et la glace était généralement acheminés vers Bagnères-de-Luchon grande ville thermale toute proche. Des chemins permettent d'accéder à ces ravines.
Côté ouest, la commune se termine par là crête de Hourdouch en limite avec la Barousse et le département des Hautes Pyrénées. La faune y est abondante. On y trouve le Gypaète barbu, le percnoptère d'Égypte, le tichodrome échelette.
Ses eaux pures sont réputées pour le cingle plongeur et le desman des Pyrénées. D'autres mammifères sont présents comme le cerf élaphe, le chevreuil, le sanglier et depuis les années 2000 l'isard qui a été réintroduit et dont la population est en forte croissance.
Les montagnes de la commune sont également répertoriées comme zone de présence régulières de l'ours brun. Plusieurs observations visuelles ont d'ailleurs chaque année depuis 2017.
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de sept[45],[46].
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Lège faisait partie de l'ex-canton de Saint-Béat) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du canton de Saint-Béat.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 2001 | 2008 | Roger Pénella | PS | |
mars 2008 | 2020 | Jean-Pierre Gonzales | DVG | Retraité |
Juillet 2020 | En cours | François Martin[47] | Commerçant | |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].
En 2019, la commune comptait 36 habitants[Note 10], en diminution de 14,29 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
200 | 120 | 218 | 225 | 222 | 228 | 252 | 262 | 308 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
302 | 301 | 225 | 231 | 198 | 173 | 173 | 150 | 156 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
148 | 141 | 140 | 120 | 122 | 108 | 119 | 107 | 90 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
80 | 72 | 62 | 39 | 55 | 39 | 41 | 41 | 41 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
42 | 36 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[52] | 1975[52] | 1982[52] | 1990[52] | 1999[52] | 2006[53] | 2009[54] | 2013[55] |
Rang de la commune dans le département | 482 | 553 | 540 | 523 | 561 | 563 | 564 | 563 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Lège fait partie de l'académie de Toulouse.
Panthéon pyrénéen
Chasse, randonnée pédestre,
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises[56].
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 11,1 % | 22,7 % | 0 % |
Département[I 6] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 16 personnes, parmi lesquelles on compte 69,2 % d'actifs (69,2 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 30,8 % d'inactifs[Note 11],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bagnères-de-Luchon, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 8]. Elle compte 2 emplois en 2018, contre 1 en 2013 et 4 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 11, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 32,1 %[I 9].
Sur ces 11 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 travaillent dans la commune, soit 11 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, la totalité des habitants utilise un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues[I 11].
Aucun établissement[Note 12] relevant d’une activité hors champ de l’agriculture n’est implanté à Lège au [I 12].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 4 | 2 | 1 | 2 |
SAU[Note 13] (ha) | 30 | 3 | 3 | 47 |
La commune est dans les « Pyrénées centrales », une petite région agricole occupant le sud du département de la Haute-Garonne, massif montagneux où s’étagent les vallées profondes, la forêt et les zones intermédiaires, les estives[57]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 5]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de 47 ha[59],[Carte 6],[Carte 7].
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Blasonnement : |
Le blason de Lège placé sur la mairie.
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