Le Rouget est une ancienne commune française située dans le département du Cantal en région Auvergne. Le , elle fusionne avec Pers pour constituer la commune nouvelle du Rouget-Pers[1].
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Via la RN 122 toute proche, le Rouget est situé à 8 kilomètres au sud-ouest de Saint-Mamet, le chef lieu de canton, et 25 kilomètres d'Aurillac, la préfecture du Cantal et 20 kilomètres au nord de Maurs. Depuis le Rouget, la RD 7 conduit à Laroquebrou au nord-ouest, tandis que la RD 20 conduit à Sousceyrac à l'ouest et Latronquière au sud-ouest.
Le Rouget possède une gare située sur la ligne de chemin de fer Clermont-Ferrand - Toulouse.
L'installation d'une gare sur la ligne reliant Clermont-Ferrand et Toulouse favorisa le développement économique de la zone, alors composée de plusieurs lieux-dits, principalement grâce à l'industrie du bois. Parallèlement, la volonté d'émancipation des habitants grandit.
La commune du Rouget n'est constituée que le par une ordonnance du général de Gaulle[2],[3] créant officiellement la commune du Rouget sur son territoire actuel, constitué de zones ayant appartenu aux communes voisines de Saint-Mamet, Pers et Cayrols. En mémoire de cet événement, la rue principale reçut, dans les années 1990, le nouvel odonyme de «Avenue du 15-Septembre-1945».
L'industrie du bois, bien qu'encore présente aujourd'hui, n'est plus l'activité principale de la commune qui est centrée maintenant sur le tourisme vert avec la création d'un plan d'eau, puis de chalets et d'un centre de remise en forme[4].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1946. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[7],[Note 1].
En 2013, la commune comptait 976habitants, en diminution de −0,51% par rapport à 2008 (Cantal: −1,2%, France hors Mayotte: 2,49%).
Évolution de la population [modifier]
1946
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2007
600
611
834
918
963
902
910
901
964
Évolution de la population [modifier], suite (1)
2010
2013
-
-
-
-
-
-
-
981
976
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-
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-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[9].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Sainte-Thérèse-de-l'Enfant-Jésus[10], dont les vitraux ont été dessinés par Jean Labellie[11]
Plan d'eau de 1recatégorie avec zone de baignade surveillée, chalets et centre de remise en forme[12].
Jean Labellie, artiste peintre né au Rouget en 1920.
Pierre Valadou (médecin et longtemps maire, décédé en???)
Michel Lafon[14] (ancien maire, président de la communauté de communes entre Cère et Rance, conseiller général du Cantal)
Notes et références
Notes
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016,etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
«Recueil des actes administratifs N°65 du 10 décembre 2015 - Arrêté n°1546 - pages 33-34», Recueil des actes administratifs du Cantal, (lire en ligne[PDF]).
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