Laveissenet est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
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Laveissenet | |
![]() | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Cantal |
Arrondissement | Saint-Flour |
Intercommunalité | Hautes Terres Communauté |
Maire Mandat |
Claire Teissedre 2020-2026 |
Code postal | 15300 |
Code commune | 15100 |
Démographie | |
Population municipale |
131 hab. (2019 ![]() |
Densité | 12 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 04′ 56″ nord, 2° 53′ 23″ est |
Altitude | Min. 949 m Max. 1 480 m |
Superficie | 10,79 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Flour (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Murat |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Le village est situé sur la Planèze de Saint-Flour, haut plateau formé par l'ancien volcan du Cantal.Les sommets de la commune sont : Le calvaire de Niermont 1464 mètres , le Puy des Cerfs 1319 mètres...
La Chapelle-d'Alagnon | ||
Albepierre-Bredons | ![]() |
Ussel |
Paulhac | Valuéjols |
Laveissenet est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Flour, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 1],[I 2].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (61,3 %), forêts (18,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %)[4].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 84, alors qu'il était de 77 en 2013 et de 71 en 2008[I 3].
Parmi ces logements, 72,3 % étaient des résidences principales, 15,7 % des résidences secondaires et 12 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,8 % des appartements[I 4].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Laveissenet en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (15,7 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 5].
Typologie | Laveissenet[I 3] | Cantal[I 6] | France entière[I 7] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 72,3 | 67,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 15,7 | 20,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 12 | 11,9 | 8,2 |
L'église paroissiale Saint-Cyr et Sainte-Julitte[Note 3] appartenait aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La paroisse faisait partie du membre de Loubizargues dépendant de la commanderie de Montchamp au sein du grand prieuré d'Auvergne[5].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
mars 2001 | juillet 2020 | Bernard Rispal[6] | Agriculteur | |
juillet 2020 | En cours | Claire Teissèdre |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[7]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[8].
En 2019, la commune comptait 131 habitants[Note 4], en augmentation de 23,58 % par rapport à 2013 (Cantal : −1,59 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
346 | 341 | 365 | 357 | 354 | 370 | 344 | 386 | 384 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
371 | 318 | 349 | 335 | 310 | 321 | 347 | 401 | 308 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
309 | 307 | 303 | 225 | 231 | 231 | 212 | 174 | 204 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
181 | 165 | 149 | 144 | 116 | 104 | 95 | 93 | 97 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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123 | 131 | - | - | - | - | - | - | - |
Puis acquisition par les de L'Estrange (Claude de Lestrange de Boulogne, marié en 1558 à Catherine de Chabannes-Curton ; Catherine était la fille de Joachim et la petite-fille de Jean Ier de Chabannes-Curton, ce dernier étant le cousin germain du maréchal de La Palice ; surtout, Catherine était la belle-sœur de François vicomte d'Estaing qui avait épousé en 1540 sa demi-sœur aînée homonyme, autre Catherine de Chabannes-Curton), continués par les Hautefort, les Saint-Nectaire et les Crussol-Florensac (la fille de Claude, Marie de L'Estrange épouse René de Hautefort vers 1580, et en 1620 leur fils Claude de Hautefort du Teil marie Paule de Chambaud dame de Privas ; la fille de ces derniers, Marie de Hautefort, transmet Cheylane vers 1635 à son mari Charles de Saint-Nectaire-Châteauneuf, frère cadet du maréchal Henri ; le fils de Charles et Marie, Henri de Saint-Nectaire-L'Estrange, a une fille, Marie-Louise-Thérèse de St-Nectaire-Lestrange, qui épouse en 1688 Louis de Crussol-Florensac, † 1716, fils puîné de François de Crussol duc d'Uzès : leur fille Anne-Charlotte devient duchesse d'Aiguillon en épousant Armand-Louis de Vignerot du Plessis d'Aiguillon, et leur fils François-Emmanuel de Crussol-Florensac épouse Marguerite Colbert de Villacerf, d'où Pierre-Emmanuel, marié à Marguerite-Charlotte Fleuriau de Morville et père d'Emmanuel-Henri-Charles et Alexandre-Charles-Emmanuel de Crussol-Florensac).[réf. nécessaire]
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