Lacourt-Saint-Pierre, connu sous la Révolution sous le nom de Lacourt[1], est une commune française située dans le centre du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.
Pour les articles homonymes, voir Lacourt (homonymie) et Saint-Pierre.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal de Montech, le ruisseau de Larone et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lacourt-Saint-Pierre est une commune rurale qui compte 1 239 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération de Montauban et fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Lacourtois ou Lacourtoises.
Géographie
Localisation
Commune de l'aire d'attraction de Montauban située dans son unité urbaine, à 8 km au sud-ouest de Montauban entre Montech et Montauban.
Communes limitrophes
Lacourt-Saint-Pierre est limitrophe de cinq autres communes.
Carte de la commune de Lacourt-Saint-Pierre et de ses proches communes.
La superficie de la commune est de 1 477 hectares; son altitude varie de 81 à 111mètres[3].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les lignes 22 et 26 du réseau TM péri-urbain, ainsi que par le TAD Zone 2.
Accès par la route départementale D 928, ancienne route nationale 128.
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Lacourt-Saint-Pierre.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par le canal de Montech, le ruisseau de Larone, le ruisseau de la Garenne, le ruisseau de la Loube, le ruisseau de la Plaine, le ruisseau de Perséguet, le ruisseau des Acacias et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[5],[Carte 1].
Le canal de Montech, d'une longueur totale de 10,9 km, prend sa source dans la commune de Montech et s'écoule du sud-ouest vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Montauban, après avoir traversé 3 communes[6].
Le ruisseau de Larone, d'une longueur totale de 23,6 km, prend sa source dans la commune de Montech et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Castelsarrasin, après avoir traversé 8 communes[7].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]
Moyenne annuelle de température: 13,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, mise en service en 1885[14] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,6°C et la hauteur de précipitations de 711,9 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 8 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6°C pour 1981-2010[17] à 14°C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[19]:
la «forêt d'Agre et d'Escatalens, bois de la Moutette, de la Barraque et de Fromissard» (671ha), couvrant 6 communes du département[20], et
la «forêt d'Agre-Montech» (1 561ha), couvrant 4 communes du département[21].
Urbanisme
Typologie
Lacourt-Saint-Pierre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 1],[23].
Elle appartient à l'unité urbaine de Montauban, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[I 2] et 80 020 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (47,9%), zones agricoles hétérogènes (41,3%), forêts (8,6%), mines, décharges et chantiers (1,7%), zones urbanisées (0,4%), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lacourt-Saint-Pierre est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal de Montech et le ruisseau de Larone. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[27]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1999 et 2006[28],[25].
Lacourt-Saint-Pierre est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[29].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lacourt-Saint-Pierre.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 477 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 477 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 96% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1998, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[33].
Toponymie
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Lacourt[34].
Petite seigneurie aux mains de la famille de Saint-Étienne (capitouls de Toulouse), cette terre est achetée par Jean de Viçose, lieutenant du sénéchal de Montauban à la fin du XVIesiècle. Ses neveux Benjamin, puis Guy de Viçose portent le titre de baron de Lacourt et comptent parmi les grandes familles de Montauban. Ils émigrent en Angleterre peu après la révocation de l'édit de Nantes (1685).
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[36],[37].
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie du CA du Grand Montauban et du canton de Montech. Avant elle faisait partie de la communauté de communes Garonne et Canal jusqu'au puis de la communauté de communes Grand Sud Tarn et Garonne jusqu'au .
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 en Tarn-et-Garonne.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001
mars 2008
Bernadette Bon
SE
mars 2008
mars 2014
Denis Lopez
SE
mars 2014
En cours
Françoise Pizzini
DVG
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].
En 2019, la commune comptait 1 239 habitants[Note 9], en augmentation de 7,55% par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne: +4,13%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
387
393
392
413
460
479
512
579
557
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
534
577
571
566
544
536
565
518
527
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
532
508
463
404
561
575
530
550
588
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
636
561
583
665
782
870
1 005
1 030
1 130
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 201
1 239
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[40].)
Lacourt-Saint-Pierre fait partie de l'académie de Toulouse.
Santé
Culture et festivité
Belote, loto,
Activités sportives
Pétanque, chasse,
Écologie et recyclage
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 439 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 177 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 940 €[I 7] (20 140 € dans le département[I 8]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 769 personnes, parmi lesquelles on compte 76% d'actifs (68,5% ayant un emploi et 7,6% de chômeurs) et 24% d'inactifs[Note 11],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 12]. Elle compte 122 emplois en 2018, contre 101 en 2013 et 141 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 530, soit un indicateur de concentration d'emploi de 22,9% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,4%[I 13].
Sur ces 530 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 79 travaillent dans la commune, soit 15% des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 91,7% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1% les transports en commun, 3% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
86 établissements[Note 12] sont implantés à Lacourt-Saint-Pierre au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 16].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
86
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
7
8,1%
(9,6%)
Construction
24
27,9%
(14,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
15
17,4%
(29,7%)
Information et communication
1
1,2%
(1,9%)
Activités financières et d'assurance
1
1,2%
(3,4%)
Activités immobilières
2
2,3%
(3,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
24
27,9%
(14,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
5
5,8%
(13,6%)
Autres activités de services
7
8,1%
(9,3%)
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,9% du nombre total d'établissements de la commune (24 sur les 86 entreprises implantées à Lacourt-Saint-Pierre), contre 14,1% au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[45]:
Fernandez Manie Bois, fabrication de charpentes et d'autres menuiseries (156 k€)
Agriculture
La commune est dans les «Vallées et Terrasses», une petite région agricole occupant le centre et une bande d'est en ouest du département de Tarn-et-Garonne[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 47 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 39 en 2000 puis à 29 en 2010[48] et enfin à 21 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 55% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57% de ses exploitations[49],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 795ha en 1988 à 592ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 17 à 28 ha[48].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Clocher de l'église de Lacourt-Saint-Pierre.
Château de Verlhaget, château inscrit au titre des monuments historiques depuis 1979[50].
Église Saint-Pierre de Lacourt-Saint-Pierre.
Personnalités liées à la commune
Georges Caussanel.
Héraldique
Blason
Écartelé: au 1er d'azur au château de trois tours d'argent, ouvert, ajouré et maçonné de sable, au 2e d'argent à deux bandes de gueules et à la clé contournée d'or, posée en barre et brochant sur le tout, au 3e de gueules à la bande d'argent et à la croix cléchée et pommetée de douze pièces d'or, brochant sur le tout, au 4e d'azur au lion d'argent[51].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Roger de Figuères, Les noms révolutionnaires des communes de France: listes par départements et liste générale alphabétique, Paris, Société de l'histoire de la Révolution française, (BNF35460306), p.67
Carte IGN sous Géoportail
Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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