Lacapelle-Livron est une commune française située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le causse de Caylus, au sud du causse de Limogne, occupant une situation de carrefour à la limite du Quercy et du Rouergue.
Pour les articles homonymes, voir Lacapelle et Livron.
Lacapelle-Livron
La halle couverte de Lacapelle-Livron.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Tarn-et-Garonne
Arrondissement
Montauban
Intercommunalité
Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Bonnette et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lacapelle-Livron est une commune rurale qui compte 196 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 795 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Livronais ou Livronaises.
Géographie
Localisation
La commune est située dans le Rouergue, en bordure du camp militaire des Espagots, sur le causse de Caylus.
Communes limitrophes
Lacapelle-Livron est limitrophe de quatre autres communes.
Carte de la commune de Lacapelle-Livron et de ses proches communes.
La superficie de la commune est de 1 379 hectares; son altitude varie de 211 à 389mètres[2].
Voies de communication et transports
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Bonnette, le ruisseau de Bagnères, le ruisseau de Barayrou, le ruisseau d'Escaude et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Bonnette, d'une longueur totale de 24,9 km, prend sa source dans la commune de Puylagarde et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Saint-Antonin-Noble-Val, après avoir traversé 7 communes[5].
Réseaux hydrographique et routier de Lacapelle-Livron.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]
Moyenne annuelle de température: 12,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 11,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Ginals», sur la commune de Ginals, mise en service en 2000[12] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2°C et la hauteur de précipitations de 914 mm pour la période 1981-2010[14].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 44 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6°C pour 1981-2010[16] à 14°C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[18]:
le «causse de Caylus, vallée de Sietges et haute vallée de la Lère» (8 815ha), couvrant 13 communes dont cinq dans le Lot et huit dans le Tarn-et-Garonne[19];
la «vallée de la Bonnette et vallée de la Seye» (6 289ha), couvrant 12 communes du département[20].
Urbanisme
Typologie
Lacapelle-Livron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[I 1],[22].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,9% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (31,1%), forêts (28%), prairies (25%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,2%), terres arables (7,8%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lacapelle-Livron est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Bonnette. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2018[27],[24].
Lacapelle-Livron est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 7],[28].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lacapelle-Livron.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[29].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 82,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 160 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 87 sont en en aléa moyen ou fort, soit 54%, à comparer aux 96% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].
Toponymie
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Histoire
Deux actes de donation, en occitan, datés de 1225 et 1230, sont reproduits dans la Monographie de Lacapelle-Livron publiée en 1888 par Antonin Perbosc. Suivent: la liste des anciennes mesures, les listes des Commandeurs, des consuls et des maires depuis 1782, celles des curés, des instituteurs et institutrices.
Les Templiers et les Hospitaliers
Article détaillé: Commanderie de La Capelle-Livron.
Le village a conservé les vestiges d'une commanderie de l'ordre du Temple, dévolue à l'ordre de l'Hôpital au début du XIVesiècle[33],[34]. L'ancienne chapelle est classée monument historique depuis 1901[35].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[36],[37].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Montauban de la communauté de communes du Quercy Rouergue et des Gorges de l'Aveyron et du canton de Quercy-Rouergue (avant le redécoupage départemental de 2014, Lacapelle-Livron faisait partie de l'ex-canton de Caylus).
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2020 en Tarn-et-Garonne.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2001
Léopold Viguié
DVD
Agriculteur retraité Conseiller général puis départemental
mars 2008
En cours
Didier Marty
Les données manquantes sont à compléter.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2019, la commune comptait 196 habitants[Note 8], en augmentation de 0,51% par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne: +4,13%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
622
755
719
780
795
649
644
656
667
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
660
631
623
586
583
544
525
513
468
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
426
418
403
339
325
289
261
235
197
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
151
153
149
157
166
179
186
188
195
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
200
196
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Lacapelle-Livron fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture et festivités
Activités sportives
Randonnée pédestre, chasse,
Écologie et recyclage
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 89 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 202 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 410 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 124 personnes, parmi lesquelles on compte 75,8% d'actifs (61,3% ayant un emploi et 14,5% de chômeurs) et 24,2% d'inactifs[Note 10],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 15 emplois en 2018, contre 19 en 2013 et 21 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 76, soit un indicateur de concentration d'emploi de 19,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,6%[I 10].
Sur ces 76 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 20% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84,2% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3% les transports en commun, 3,9% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,5% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
8 établissements[Note 11] sont implantés à Lacapelle-Livron au [I 13].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 75 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 8 entreprises implantées à Lacapelle-Livron), contre 9,6% au niveau départemental[I 14].
La commune est dans les Causses du Quercy, une petite région agricole située dans l'est du département de Tarn-et-Garonne[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 5]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (21 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 694ha[48],[Carte 6],[Carte 7].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Chapelle Notre-Dame-des-Grâces de Lacapelle-Livron. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1948[49].
Église Saint-Pétrone de Saint-Peyronis. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[50]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[50].
Chapelle Notre-Dame de la commanderie des Templiers de Lacapelle-Livron.
Chapelle Saint-Jean de Saint-Jean.
Camp militaire des Espagots.
Pigeonnier des Templiers inscrit aux monuments historiques le [51].
Maison du XVesiècle inscrit aux monuments historiques le [52].
Halle de Lacapelle-Livron inscrite aux monuments historiques
Commanderie de La Capelle-Livron inscrite aux monuments historiques
Chapelle Notre-Dame-des-Grâces de Lacapelle-Livron
Chapelle Notre-Dame de la commanderie des Templiers de Lacapelle-Livron
Personnalités liées à la commune
Antonin Perbosc y fut instituteur durant l'année scolaire 1882-1883), il y résida jusqu'en 1887, Commençant à s'intéresser à l'histoire et à la géographie locales il rédige une monographie communale d'une quarantaine de pages, intitulée Monographie de Lacapelle-Livon, qu'il publie en 1888 à Montauban (impr. Forestié)..
Pour approfondir
Bibliographie
Antonin PERBOSC, Monographie de Lacapelle-Livron, Montauban, Impr. Forestié, 1888.
Articles connexes
Liste des commanderies templières en Midi-Pyrénées
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Antoine du Bourg, Ordre de Malte: Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , p.552-555, lire en ligne sur Gallica.
Voir l'article Dévolution des biens de l'ordre du Temple pour plus de précisions sur le transfert des biens templiers aux hospitaliers.
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