Rochette est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
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La Rochette | |
La mairie. | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Seine-et-Marne |
Arrondissement | Melun |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Melun Val de Seine |
Maire Mandat |
Pierre Yvroud 2020-2026 |
Code postal | 77000 |
Code commune | 77389 |
Démographie | |
Gentilé | Rochettois |
Population municipale |
3 778 hab. (2019 ![]() |
Densité | 645 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 30′ 00″ nord, 2° 40′ 00″ est |
Altitude | Min. 36 m Max. 98 m |
Superficie | 5,86 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Melun |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ville-la-rochette.fr |
modifier ![]() |
En 2019, elle compte 3 778 habitants.
La commune de Rochette se situe au sud-ouest du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1]. Limitrophe de Melun, elle est bordée au sud par la forêt de Fontainebleau et à l'est par la Seine.
Elle se situe à 4,90 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département et . La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Livry-sur-Seine (1,6 km), Dammarie-les-Lys (2,2 km), Vaux-le-Pénil (2,4 km), Melun (3,4 km), Chartrettes (3,8 km), Le Mée-sur-Seine (3,9 km), Boissettes (4,2 km), Bois-le-Roi (4,7 km).
Melun | Vaux-le-Pénil | |
Dammarie-les-Lys | ![]() |
Livry-sur-Seine Chartrettes |
Fontainebleau | Bois-le-Roi |
L'altitude varie de 36 mètres à 98 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 57 mètres d'altitude (mairie)[Carte 1].
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[4],[5].
Ères | Périodes géologiques | Époques géologiques | Nature des sols | |||||||||||||||
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Cénozoïque | Quaternaire | Holocène |
| |||||||||||||||
Pléistocène | ||||||||||||||||||
Néogène | Pliocène | non présent. | ||||||||||||||||
Miocène | non présent. | |||||||||||||||||
Paléogène | Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent. |
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[6].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,19 km[9].
Par ailleurs, 4,6 % de la superficie de La Rochette, est couverte par des eaux continentales[Note 3].
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].
La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[11]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[12].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11,3 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[15]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[16], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[17] à 11,6 °C pour 1991-2020[18].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[19],[20].
La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est un espace protégé sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[21],[22],[23].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » : le « Massif de Fontainebleau »[25]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. La forêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces de coléoptères, 1 200 de lépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées[26]
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Rochette comprend une ZNIEFF de type 1[Note 5],[27],[Carte 2], le « Massif de Fontainebleau » (20 711,14 ha), couvrant 18 communes dont 17 en Seine-et-Marne et 1 dans l'Essonne[28]. , et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[27], la « vallée de la Seine entre Melun et Champagne-sur-Seine » (1 062,65 ha), couvrant 15 communes du département[29].
La Rochette est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[31],[32]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[33] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[34],[35].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire regroupe 1 929 communes[36],[37].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,74 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,62 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,74 %), zones urbanisées (18,38 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,02 %), eaux continentales[Note 9] (4,57 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,28 %)[38].
Type d’occupation | 1990 | 2018 | Bilan | ||
---|---|---|---|---|---|
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles) |
151,39 ha | 25,81 % | 156,57 ha | 26,69 % | 5,18 ha ![]() |
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes) |
0 ha | 0,00 % | 0 ha | 0,00 % | 0 ha ![]() |
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation) |
408,45 ha | 69,62 % | 403,27 ha | 68,74 % | −5,18 ha ![]() |
Surfaces en eau (eaux continentales, eaux maritimes) |
26,80 ha | 4,57 % | 26,80 ha | 4,57 % | 0 ha ![]() |
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[39],[40],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Région melunaise, dont l'élaboration a été engagée de 2013 à 2015, puis poursuivie à partir de 2017 sur un périmètre différent et porté par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine[41].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[42]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
La commune compte 14 lieux-dits administratifs[Note 10] répertoriés consultables ici[43] (source : le fichier Fantoir).
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 1 752 dont 41,5 % de maisons et 56,1 % d'appartements[Note 11].
Parmi ces logements, 89,4 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 59,2 % contre 36,3 % de locataires[44] dont, 8,8 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 12] et, 4,5 % logés gratuitement.
La ligne de chemin de fer de Paris à Marseille traverse l'est du territoire de la commune, du nord au sud, en longeant la rive gauche de la Seine.
Deux routes départementales relient La Rochette aux communes voisines :
La gare de Melun, située à quelques centaines de mètres au nord de La Rochette, est desservie par les trains de la ligne D qui relient Melun à Paris, et par les trains de la ligne R du Transilien qui relient Melun à Paris, à Montereau-Fault-Yonne et à Montargis.
La commune est desservie par deux lignes du réseau de bus Melibus[45],[46] :
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villa Rocheta en 1170[47] ; Rocheta vers 1350 (Pouillé)[48] ; La ville de la Rochette emprez Meleun en 1384[49] ; La Rochete lez Meleun en 1385[50].
Dérive du nord-provençal roucheto, désignant une petite fortification.
Le château de La Rochette est bâti sur un escarpement rocheux converti en terrasses, il domine le fleuve d'une trentaine de mètres.
Le document le plus ancien mentionnant la ville de La Rochette est une charte de 1047. La ville dépend alors du prieuré Saint-Sauveur de Melun qui fit construire l'église. La ville s'est ensuite étendue et a prospéré avec l'installation en 1753 de M. Moreau, directeur des fermes du roy. Il fut anobli en 1768 et pris le nom de François-Thomas Moreau de la Rochette. Il est à l'origine de la construction du château. La ville fut ensuite étendue au nord jusqu'à Melun par la vente du bois de l'Ermitage en lotissement en 1925[51].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1795 | Sectint | |||
1800 | 1810 | Moreau d'Olibon | ||
1810 | 1836 | Jean-Baptiste Moreau | Baron | |
1836 | 1838 | Bafset | ||
1838 | 1842 | Michel de Chavagnac | ||
1842 | 1848 | François Besnard | ||
1848 | 1889 | Charles Moreau | Droite | Baron |
1889 | 1925 | Armand de la Rochette | ||
1925 | 1945 | Louis de la Rochette | ||
1945 | 1947 | Marcel Jacqueau | ||
octobre 1947 | mars 1965 | Georges Marguerie | ||
mars 1965 | 1986 (décès) |
René Tabourot | UDF-CDS | Conseiller général de Melun-Sud (1979 → 1986) |
1986 | mars 1989 | Jean Clerc-Renaud | ||
mars 1989 | mars 2008 | Jean-Claude Agisson | UDF puis UMP | Chef d'entreprise Conseiller général de Melun-Sud (1986 → 2011) |
mars 2008 | En cours | Pierre Yvroud[53] | UDI | Retraité de la SNCF 6e vice-président de la CA Melun Val de Seine |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [54],[55].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de La Rochette est assurée par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [56],[57],[58].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[59]. La communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[56],[60].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [56],[61],[62].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[64].
En 2019, la commune comptait 3 778 habitants[Note 13], en augmentation de 16,68 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
177 | 138 | 163 | 186 | 201 | 198 | 187 | 217 | 194 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
195 | 179 | 179 | 182 | 168 | 208 | 184 | 178 | 159 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
163 | 159 | 171 | 197 | 222 | 174 | 255 | 530 | 1 172 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 903 | 2 877 | 3 096 | 2 992 | 2 861 | 2 759 | 2 930 | 3 151 | 3 365 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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3 778 | - | - | - | - | - | - | - | - |
Le lycée Benjamin-Franklin, métiers du bâtiment
Dans ce lycée ce sont les métiers du bâtiment qui sont appris, les diplômes qui peuvent être décernés sont le CAP, le BEP et le Baccalauréat professionnel. Une classe de Troisième Professionnelle est également présente pour apprendre les différents corps de métiers.
Le lycée est composé d'un internat, d'un self, de salles de cours et des ateliers correspondant au corps de métier.
Les métiers enseignés au lycée sont :
Le gymnase Tabourot abrite les rencontres du club de La Rochette volley (Melun Val de Seine La Rochette volley-ball jusqu'à la fin de la saison 2008-2009) dont l'équipe 1 senior féminine évoluait au niveau national en ligue A et régulièrement en coupe d'Europe.
Un autre salle de sport René-Huard au cœur du stade de La Rochette permet la pratique d'autres sports en salle. Elle est également la salle de repli de l'équipe de volley.
La ville dispose d'un tennis club avec 3 terrains extérieurs et 2 couverts (accueillant également le club de tir à l'arc).
Un centre équestre est également présent à la Rochette village.
La ville dispose de deux églises :
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 1 496 (dont 68 % imposés), représentant 3 354 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 440 euros[68].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 955, occupant 1 551 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69 % contre un taux de chômage de 9 %.
Les 22,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,9 % de retraités ou préretraités et 5,2 % pour les autres inactifs[69].
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 291 dont 11 dans l’industrie, 39 dans la construction, 197 dans le commerce-transports-services divers et 44 étaient relatifs au secteur administratif[70].
Ces établissements ont pourvu 1 087 postes salariés.
Les commerces sont regroupés au cœur de village et couvrent tous les métiers de bouche.
En bord de Seine, la zone d'activité est plus centrée sur les métiers du bâtiment.
La commune abrite également un stock pétrolier, site classé Seveso « seuil haut », donnant lieu à l'élaboration d'un plan de prévention des risques technologiques (PPRT).
La Rochette est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau[Carte 6].
![]() |
Les armes de La Rochette sont en fait celle de François-Thomas Moreau
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