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Le Mée-sur-Seine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Le Mée-sur-Seine

La mairie.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité CA Melun Val de Seine
Maire
Mandat
Franck Vernin
2020-2026
Code postal 77350
Code commune 77285
Démographie
Gentilé Méens
Population
municipale
20 917 hab. (2019 )
Densité 3 917 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 32′ 00″ nord, 2° 37′ 44″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 80 m
Superficie 5,34 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune d'un pôle secondaire)
Élections
Départementales Canton de Savigny-le-Temple
Législatives 11e circonscription de Seine-et-Marne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Le Mée-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Le Mée-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Le Mée-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Le Mée-sur-Seine
Liens
Site web le-mee-sur-seine.fr

    Géographie



    Localisation


    La ville est située sur la rive droite de la Seine à l'ouest et dans la continuité de la ville de Melun.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes du Mée-sur-Seine
    Vert-Saint-Denis
    Boissise-la-Bertrand Melun
    Boissettes Dammarie-les-Lys

    Géologie et relief


    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 37 mètres à 80 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 70 mètres d'altitude (mairie)[2].

    La ville est bâtie en partie sur les coteaux de la Seine, mais principalement sur le plateau calcaire de la Brie datant de l'ère Tertiaire. Une station géothermique, située dans le quartier des Sorbiers et construite dans les années 1970, va chercher de l'eau chaude dans les couches profondes du sol pour chauffer une partie des logements et des équipements publics de la commune.


    Hydrographie


    Le système hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

    La Lyve ou Lives traverse le quartier du vieux-Mée pour se jeter dans la Seine[Note 1].

    La longueur globale des cours d'eau sur la commune est de 4,31 km[6].

    Le principal plan d'eau de la commune, le lac de Meckenheim, est situé dans le quartier des Courtilleraies.

    La station d'eau qui alimente le Mée en eau potable est situé sur le rond-point surplombant la Pénétrante, dans le quartier de Plein-ciel. Le retraitement des eaux se fait au sud-ouest de la commune à la limite de la commune limitrophe de Boissettes.


    Climat


    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2 4 5 9 12 14 14 11 8 5 3 7,4
    Température maximale moyenne (°C) 16 18 22 25 29 33 35 36 31 26 20 17 15,7
    Précipitations (mm) 56,3 43,1 44,9 53,6 58 42,4 60,9 52,1 52,9 64,8 58 61,6 658,5
    Source : MSN Meteo

    Voies de communication et transports



    Milieux naturels et biodiversité


    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal du Mée-sur-Seine comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[9],[Carte 1], les « Landes de Ste-Assise et bois de Boissise-la-Bertrand » (833,78 ha), couvrant 5 communes du département[10]. , et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[9] :


    Urbanisme



    Typologie


    Le Mée-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[16] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].


    Logement


    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 8 616 dont 27,1 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 72,5 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 90,6 % étaient des résidences principales, 2,8 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 42,5 % contre 56,4 % de locataires[21] dont, 44,7 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 1,1 % logés gratuitement.


    Occupation des sols


    En 2018[22], le territoire de la commune se répartit en 58,4 % de zones urbanisées, 29,7 % de forêts, 6,4 % d’espaces verts artificialisés non agricoles, 2,1 % d’eaux continentales[Note 8], 1,9 % de milieux à végétation arbusive et/ou herbacée, 1,4 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication et 0,5 % de terres arables[6],[6],[23].


    Morphologie urbaine


    La commune compte 25 lieux-dits administratifs[Note 9] répertoriés consultables ici[24].

    La commune est divisée en 5 quartiers (Le Mée Village, La Croix Blanche, Plein Ciel, Les Courtilleraies-Gare et Les Courtilleraies-Circé) et héberge 4 parcs (une partie du parc Debreuil, Pozoblanco, Meckenheim, Chapu. En 2015, Le Mée-sur-Seine compte 7.745 résidences principales, parmi lesquelles 3.793 (49,0 %) sont des logements sociaux[25].


    Quartiers


    Rue de l'Église dans le quartier du Mée-Village.
    Rue de l'Église dans le quartier du Mée-Village.
    La mairie actuelle est située dans ce quartier, au 555, route de Boissise. Le musée Henri-Chapu, situé rue Chapu est consacré à ce sculpteur ; il abrite des plâtres de plusieurs œuvres connues du sculpteur, et est un lieu régulier d'animations.
    L'ancienne gare du Mée se trouvait dans ce quartier, au bas de la rue Chapu ; il s'agissait d'une simple halte mise en service le et supprimée en 1979, au profit de la nouvelle gare, dans le quartier des Courtilleraies. On accédait au quai unique par une passerelle métallique[26].
    Au même emplacement se trouvait précédemment une première passerelle, mise en place dans les années 1930 lors de la suppression du passage à niveau qui permettait de circuler dans le village, de la rue Chapu à la rue de Lyve, de part et d'autre des voies ferrées[27].
    Quartier de la Croix Blanche, avec en premier plan, l'allée de la Bergerie.
    Quartier de la Croix Blanche, avec en premier plan, l'allée de la Bergerie.
    À côté du Mas, une grande cheminée verte dépasse du centre géothermique qui permet de chauffer une bonne partie du quartier depuis le début des années 1980, ainsi que le quartier des Courtilleraies. En 2008, 55 % des habitations bénéficient de cette énergie.
    De plus, en 2007, le collège Elsa-Triolet de ce quartier, fut totalement reconstruit pour le rendre conforme aux normes actuelles.
    Quartier Plein Ciel avec sa Tour et son centre commercial.
    Quartier Plein Ciel avec sa Tour et son centre commercial.
    La construction de cette tour fut interrompue faute de budget dans les années 1960 et reprise bien plus tard afin de lui rendre l'équilibre visuel attendu désiré par l'architecte de l'école de Le Corbusier. La dernière aile n'étant pas de cette école d'architecture.
    Ce quartier est le plus petit des quartiers du Mée-sur-Seine. Il comprend tout de même un groupe scolaire (école maternelle et primaire, une maison médicale et un centre commercial aux pieds de la tour).
    La gare du Mée, et derrière, le quartier des Courtilleraies.
    La gare du Mée, et derrière, le quartier des Courtilleraies.

    Une petite partie de l'île sur laquelle la ville de Melun s'est développée appartient à la commune du Mée. À la suite d'une demande commune des conseils municipaux de Melun le et du Mée le , une procédure est actuellement en cours pour rattacher la pointe ouest de l'île Saint-Étienne à Melun[28].


    Toponymie


    Le lieu était désigné Mas en 1225, Le Meez en 1383, puis Le Mez en 1496, Le Mée Les Melun en 1789[29]

    Le Mée, synonyme de mas, du Latin manere (demeurer), même racine que maison ; « exploitation rurale plutôt isolée »[30] ou de l'oïl mée « mesure de terre qui, pour l'ensemencement, exigeait un muid de grains ».

    Le Mée devient Le Mée-sur-Seine sur demande du conseil municipal en 1939[31].


    Histoire


    Le site ne contenait alors qu'une ferme, un mas. Celle-ci fut fermée dans les années 1970 mais on peut encore en voir les piliers à l'entrée nord-est de la ville, dans un petit parc. L'Allée de la Bergerie est la trace d'un endroit où venaient alors paître les moutons.

    La ville a connu une croissance spectaculaire depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, et est aujourd'hui divisée en cinq quartiers, Le Mée Village, Plein Ciel, Croix Blanche, Courtilleraies-Circé, et Courtilleraies-Gare.


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la onzième circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie de 1801 à 1975 du canton de Melun-Nord, année où elle intègre le nouveau canton de Savigny-le-Temple. Celui-ci est scindé en 1991 et la commune devient alors le chef-lieu du canton du Mée-sur-Seine[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la ville réintègre le canton de Savigny-le-Temple, dans une composition différente de sa création en 1991.


    Intercommunalité


    La commune est membre de la communauté d'agglomération Melun-Val de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001.


    Tendances politiques et résultats


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    Article connexe : Élections municipales de 2014 en Seine-et-Marne.

    Lors des élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne[32], la liste menée par le maire sortant Franck Vernin (UDI) remporte l'élection dès le premier tour avec 60,21 % des suffrages exprimés, devançant la liste de Nathalie Dauvergne-jovin (DVG) qui a obtenu 39,78 %, lors d'un scrutin marqué par 62,46 % d'abstention[33].

    Article connexe : Élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne.

    Liste des maires


    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1792 Jacques Lantien   Président de la Municipalité
    1792 1792 Pierre-Paul Gonin    
    1792 (frimaire an IV) 1795 Jacques Lantien    
    (frimaire an IV) 1795 (thermidor an IV) 1796 Leclerc   agent municipal
    (thermidor an IV) 1796 (prairial an VII) 1799 Georges Martin   agent municipal
    (prairial an VII) 1799 (prairial an VIII) 1800 Mangot   adjoint
    (prairial an VIII) 1800 (floréal an X) 1802 Rousseau    
    (floréal an X) 1802 mai 1810 Louis-Marie-Henri de Caulaincourt    
    mai 1810 1815 Armand de Fraguier (vicomte)    
    1815 1817 Benjamin Bernard    
    1817 1830 de Mauroy   Vicomte
    1830 1835 Claude Cordier   Marchand de laines
    Conseiller d'arrondissement
    1835 1849 Jean-Louis-Marie Ballu    
    1849 1852 Claude Cordier    
    1852 1853 Edmond de Fraguier (marquis)    
    1853 1857 Guillaume-Étienne Lantien    
    1857 1874 Edmond de Fraguier (marquis)    
    1874 1878 Alexis Waille    
    1878 1881 Edmond de Fraguier (marquis)    
    1881 1884 Jean-Baptiste Patillaud    
    1884 1896 Alexis Waille    
    1896 1898 Justin Viard    
    1898 1903 Jean-Pierre Bosse    
    1903 1913 Léon Germain    
    1913 1926 Lucien Vernet    
    1926 1935 Henri Charny    
    1935 1936 Émile Fougoux    
    1936 1944 Albert Dauvergne    
    1944 1947 Eugène Simon    
    1947 1949 André Colomb    
    1949 1959 Étienne Lallia    
    1959 1965 André Fenez    
    1965 1981 Maurice Dauvergne DVD  
    1981 2001 René André[35] UDF Conseiller général du Mée-sur-Seine (1992 → 1998)
    mars 2001 février 2003[36] Yves Agostini UDF Décédé en fonction
    2003 En cours
    (au 23 mai 2020)
    Franck Vernin UDI (NC) Agent de voyages
    Conseiller départemental de Savigny-le-Temple (2015 → )
    Président du Smitom-Lombric[37] (2014[38] → )
    Vice-président de la CA Melun Val de Seine (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[39],[40]

    Distinctions et labels


    Sa gestion raisonnée des espaces naturels et la qualité de son fleurissement lui ont valu d'obtenir 4 fleurs au Concours des villes et villages fleuris de France sans interruption depuis 1998[réf. nécessaire].


    Politique de développement durable


    La commune a engagé[Quand ?] une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[41].


    Jumelages


    Jumelages et partenariats de Le Mée-sur-Seine.
    Jumelages et partenariats de Le Mée-sur-Seine.
    VillePaysPériode
    Meckenheim[42]Allemagnedepuis
    Pozoblanco[42]Espagne

    Population et société



    Démographie


    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[43],[Note 10]

    En 2019, la commune comptait 20 917 habitants[Note 11], en augmentation de 0,98 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    238301281332401475483590617
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    577650656674634720813792701
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    6506536246787548398751 0401 220
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 3914 42610 05613 91720 93321 21720 58020 69320 749
    2019 - - - - - - - -
    20 917--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


    La commune dispose de six écoles maternelles, six écoles élémentaires[45], deux collèges (La Fontaine, Elsa-Triolet) et un lycée (George-Sand).


    Culture


    Frises peintes sur les pylônes d'un des ponts de la gare du Mée
    Frises peintes sur les pylônes d'un des ponts de la gare du Mée

    Sports


    La ville compte de nombreuses associations sportives où il est possible de pratiquer le sport comme activité de loisirs ou de compétition. En matière de résultats, elle compte chaque année des champions de niveau national et international dont en 2013 un champion d'Europe en Muay-Thai : Bobo Sacko[réf. nécessaire].

    Ses équipements sportifs sont nombreux et répartis dans les différents quartiers. On trouve ainsi[Quand ?] à Croix-Blanche une piscine, un stade, des courts de tennis, deux gymnases, un city-stade... Le quartier des Courtilleraies est également bien doté avec un complexe de football équipé de terrains synthétiques, un Dojo, un boulodrome, deux city-stades, des courts de tennis, un gymnase, et une plaine de loisirs ouverte à tous.

    À noter que la ville a lancé en 2012 une nouvelle activité à l'attention des seniors : les 3 S (Sport, Santé, Seniors) dont l'objectif est de favoriser l'éveil musculaire et d'entretenir sa forme[réf. nécessaire].


    Manifestations culturelles et festivités



    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 7 542 (dont 47 % imposés), représentant 19 964 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 17 860 euros[48].


    Emploi


    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 2 864, occupant 7 674 actifs résidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 59 % contre un taux de chômage de 13,5 %.

    Les 27,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,7 % de retraités ou préretraités et 10,4 % pour les autres inactifs[49].


    Entreprises et commerces


    En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 914 dont 4 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 33 dans l’industrie, 116 dans la construction, 638 dans le commerce-transports-services divers et 123 étaient relatifs au secteur administratif[50].

    Ces établissements ont pourvu 2 271 postes salariés.

    C'est à Le Mée-sur-Seine que se trouve la chambre d'agriculture de Seine-et-Marne.


    Culture locale et patrimoine


    l'Église Notre-Dame-de-la-Nativité.
    l'Église Notre-Dame-de-la-Nativité.

    Lieux et monuments


    Le retable du maître-autel porte un bas-relief en marbre blanc représentant le « Christ au tombeau visité par les Anges », copie du sculpteur Henri-Auguste Patey d'après un plâtre de son maître, Henri Chapu, originaire de la commune[52].

    Personnalités liées à la commune


    Article détaillé : Famille Ghica.

    Héraldique


    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
    d’azur à la divise d’argent accompagnée de trois grappes de raisin d’or, mantelé d’azur à la croix estrée d’argent cantonnée de deux quintefeuilles du même.



    Voir aussi


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Non rétérencé par Sandre
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    10. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. « Zones ZNIEFF duMée-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..

    Références


    1. « Plan séisme consulté le 8 décembre 2020 ».
    2. « Le Mée-sur-Seine » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Seine (----0010) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Seine (F44-4441) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commune du Mée-sur-Seine (F4471000) » (consulté le ).
    6. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 24 juillet 2018
    7. Le TRAM sur le site de la communauté de communes de Melun Val-de-Seine
    8. Transdev, ligne 30A
    9. « Liste des ZNIEFF de la commune duMée-sur-Seine », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « ZNIEFF les « Landes de Ste-Assise et bois de Boissise-la-Bertrand » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF le « Bois de Bréviande » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF les « Bois et landes entre Seine-Port et Melun » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duParis », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 11 septembre 2020
    22. Site Corine Land Cover Mises à jour.
    23. [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
    24. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
    25. Recensement général de la population 2015, document mentionné en liens externes, tableau LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
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    59. / Une photographie de la résidence de Karl Lagerfeld au Mée, prise en 1990

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    [de] Le Mée-sur-Seine

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    [en] Le Mée-sur-Seine

    Le Mée-sur-Seine (French pronunciation: [lə me syʁ sɛn] (listen), literally Le Mée on Seine) is a commune in the Seine-et-Marne department in the Île-de-France region in north-central France, next to Melun. It is located in the south-eastern suburbs of Paris 41.1 km (25.5 mi) from the center.
    - [fr] Le Mée-sur-Seine



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