Dammarie-les-Lys est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. En 2019, elle compte 22 128 habitants.
Pour les articles homonymes, voir Dammarie (homonymie).
L'altitude varie de 43 mètres à 93 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 67 mètres d'altitude (Hôtel de ville)[Carte 1].
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[4],[5].
Carte du relief de Dammarie-les-Lys.
Carte géologique vectorisée et harmonisée de Dammarie-les-Lys.
Géologie de la commune de Dammarie-les-Lys selon l'échelle des temps géologiques[4],[5].
Ères
Périodes géologiques
Époques géologiques
Nature des sols
Cénozoïque
Quaternaire
Holocène
X:
Dépôts anthropiques, remblais.
LP:
Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
Alluvions anciennes (basse terrasse de 0–10 m): sables et graviers colluvions alluvions et apports éoliens.
Fx:
Alluvions anciennes (moyenne terrasse de 10–20 m): sables et graviers .
Fv:
Alluvions anciennes (terrasse de 45–55 m): sables et graviers (= Cailloutis de Sénart).
Pléistocène
Néogène
Pliocène
non présent.
Miocène
non présent.
Paléogène
Oligocène
g1AR:
Argile verte, Glaises à Cyrènes et/ou Marnes vertes et blanches (Argile verte de Romainville) .
g1CB:
Calcaire de Brie stampien et meulières plio-quaternaire indifférenciées.
g1SF:
Sables de Fontainebleau, accessoirement grès en place ou peu remanié (versant).
Éocène
e7C:
Calcaire de Champigny, Calcaire de Château-Landon, Marnes de Nemours.
e7MS:
Marnes supragypseuses: Marnes blanches de Pantin Marnes bleues d'Argenteuil
Paléocène
non présent.
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[6].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Carte des réseaux hydrographique et routier de Dammarie-les-Lys.
Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé: la Seine, fleuve long de 774,76 km[7], en bordure nord-ouest de la commune.
Sa longueur totale sur la commune est de 0,78 km[8].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles: le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[9].
La commune fait partie du SAGE «Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés», approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[10]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de «structure porteuse»[11].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 11,3 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 2,9 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,7 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 3]: 15,4 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 692 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: 0,6 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: -1 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[12]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[14]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[15], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[16] à 11,6°C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19].
La réserve de biosphère «Fontainebleau et Gâtinais», créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544ha, est un espace protégé présent sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles: une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[20],[21],[22].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune, tant au titre de la «directive Habitats» que de la «directive Oiseaux»: le «Massif de Fontainebleau»[24]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. La forêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces de coléoptères, 1 200 de lépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées[25]
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Dammarie-les-Lys comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4],[26],[Carte 2],
le «Massif de Fontainebleau» (20 711,14ha), couvrant 18 communes dont 17 en Seine-et-Marne et 1 dans l'Essonne[27].
Urbanisme
Typologie
Dammarie-les-Lys est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[28],[29],[30].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[31] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[32],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[34],[35].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (63,58% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,99%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones urbanisées (43,31%),
forêts (31,16%),
zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17,68%),
eaux continentales[Note 7] (3,95%),
espaces verts artificialisés, non agricoles (2,59%),
terres arables (1,31%)[36].
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
644,95ha
62,99%
650,99ha
63,58%
6,04ha
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
12,78ha
1,25%
13,39ha
1,31%
0,62ha
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
325,69ha
31,81%
319,03ha
31,16%
−6,66ha
Surfaces en eau (eaux continentales, eaux maritimes)
40,40ha
3,95%
40,40ha
3,95%
0ha
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[37],[38],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Région melunaise, dont l'élaboration a été engagée de 2013 à 2015, puis poursuivie à partir de 2017 sur un périmètre différent et porté par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine[39].
La commune ne disposait pas en 2019 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[40].
Lieux-dits et écarts
Carte du cadastre de la commune de Dammarie-les-Lys.
La commune compte 28 lieux-dits administratifs[Note 8] répertoriés consultables ici[41] dont Vosves.
Quartiers
La Justice, Farcy, la Plaine-du-Lys, la Croix-Saint-Jacques.
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 9 552 dont 36,8% de maisons et 59,8% d’appartements.
Parmi ces logements, 93,3% étaient des résidences principales, 0,8% des résidences secondaires et 5,8% des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 44,9% contre 53,7% de locataires[42] -[Note 9], dont 35,8% de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 10] et 1,4% logés gratuitement.
Voies de communication et transports
Voies de communication
La ligne de chemin de fer de Corbeil-Essonnes à Montereau traverse le nord du territoire de la commune en longeant la rive gauche de la Seine.
Plusieurs routes départementales relient Dammarie-les-Lys aux communes voisines:
la D 132, à Melun, au nord-est; et à Villiers-en-Bière et à Fontainebleau, au sud;
la D 142, à Boissise-le-Roi, au nord-ouest; et à Fontainebleau et à La Rochette, au sud-est;
la D 372, à Melun, au nord-est; et à Villiers-en-Bière, au sud-ouest.
Transports
La gare de Vosves.
La gare de Vosves, située à l'ouest de la commune, est desservie par les trains de la ligne D du RER qui assurent des liaisons entre les gares de Corbeil-Essonnes et de Melun. La gare de Melun, située à quelques centaines de mètres au nord-est de Dammarie-les-Lys, est desservie par les trains de la ligne D qui relient Melun à Paris, ainsi que par les trains de la ligne R du Transilien qui relient Melun à Paris, à Montereau-Fault-Yonne et à Montargis.
La commune est desservie par plusieurs lignes de bus du réseau Transdev Île-de-France[43],[44]:
six lignes du réseau de bus Transdev Saint-Fargeau-Ponthierry[45]:
la ligne no9, qui relie Arbonne-la-Forêt à Melun (gare de Melun);
Le nom de la localité est attesté sous les formes Danemarie en 1253[47],[48]; Domna Maria subtus Lilium vers 1350 (Pouillé); Dannemarie lez le Lys en 1379[49]; Dannemarie en 1385[50]; Dannemarie lez Meleun en 1454[51]; Dammarie sur le Lis en 1695[52]; Dammarie les Fontaines en 1793[53] pendant la Révolution française[54],[Note 11]; Dammarie en l'an IX[55].
L'hagiotoponyme caché de la commune provient d'un oratoire dédié à la Vierge Marie. Le préfixe dam, similaire au titre dom, marque la sainteté, comme dans les nombreux lieux-dits Dammartin par exemple. Dammarie est donc un hagiotoponyme caché, qui peut être mis en évidence par la graphie «Dame Marie (mère de Jésus)».
À Dammarie est accolé, à l'aide de la préposition lès, le nom de l'abbaye du Lys, qui est située sur le territoire de la paroisse. Historiquement, on a donc Dammarie-lès-Lys, qui signifie l'oratoire de la Vierge situé à côté de l'abbaye du Lys.
De nos jours, on écrit Dammarie-les-Lys (sans accent). Cette orthographe est reprise par le Code géographique français et est donc la seule orthographe officielle.
Histoire
De l'Antiquité à la Résistance
Dammarie-les-Lys existait déjà (sous une forme différente) dans l'Antiquité[56] mais est mentionnée dès le Xesiècle.
Le village était formé de plusieurs hameaux: Dammarie-lès-Lys, Vosves et Farcy-lès-Lys.
La ville comporte les ruines de l'abbaye royale du Lys, abbaye cistercienne pour femmes, fondée en 1251 par Blanche de Castille et Saint Louis.
Sa construction débuta en 1244 et se termina vers 1253 sur une ancienne parcelle de vigne. En 1252, Blanche de Castille y fit sa dernière aumône. L'abbaye fut saccagée par les révolutionnaires vers 1793. Vendue en 1797, elle continua à se délabrer malgré les différentes restaurations entreprises.
Dammarie-lès-Lys entrera définitivement dans le XXesiècle avec l'apparition de l'industrie sur ses terres.
La fonderie Delatre & Frouard fut édifiée en 1911 par Pierre Courtier et inaugurée en 1917. Elle se situait à l'emplacement de l'ancienne fonderie Frébault. En 1949, elle se changea en laminoir. Sa fermeture définitive intervint en 1965. De cette société naîtra un ensemble de maisons individuelles construites après la Première Guerre mondiale en 1919.
La confiserie-chocolaterie Jacquin fut inaugurée en 1872. Elle se situait sur l'avenue de Chailly. L'entreprise fut cédée au groupe Perrier en 1962, puis une fusion d'entreprise s'opéra 1968 avec un déménagement sur Le Mée-sur-Seine en 1971. Sa fermeture définitive intervînt en 1980.
L'usine Everitube fut édifié en 1927. Sa fermeture définitive intervint en 1996.
En 1959, un arrêté ministériel met en place la zone à urbaniser en priorité (ZUP) de la Plaine du Lys: 2 359 logements sont construits de 1965 à 1973. Louis Arretche, architecte ayant déjà officié dans les quartiers nord de Melun, en est l'urbaniste en chef. Elle regroupe de nos jours près de la moitié des habitants de la ville.
Les premières constructions se cantonnèrent aux alentours de l'abbaye puis sur le site des anciennes cités de l'usine Delattre et Frouard à partir de 1972. Plutôt que de réhabiliter le quartier le maire de l'époque a préféré y édifier un ensemble d'immeubles à l'image des villes voisines alors que le tissu industriel était déjà sur le déclin avec la fermeture définitive des fonderies Delattre et Frouard (+/- 800 pers.) en 1965, Ideal Standard (environ 1 200 pers.) en 1975 et le déménagement de la confiserie Jacquin en 1971.
En 1997, le quartier de la Plaine du Lys connaît de violentes émeutes à la suite du décès d'un jeune de la cité (Abdelkader Bouziane) lors d'une intervention de police. En 2002, deux autres jeunes de la ville, Xavier Dem et Mohamed Berrichi, décédèrent à deux jours d'intervalle, toujours dans le cadre d'opérations de police. S'ensuivit alors une longue bataille judiciaire et médiatique entre la municipalité et l'association Bouge qui bouge notamment, qui a fait l'objet d'un reportage sur Canal+, dans l'émission 90 minutes. Tour à tour l'OPHLM, puis la mairie et son maire Jean-Claude Mignon, furent condamnés à l'issue des actions en justice intentées par l'association Bouge qui bouge[réf.nécessaire].
Article détaillé: Bavure policière en France.
De 2011 à février 2014, la ville accueillait un parc d'attractions situé sur le terrain de la Cartonnerie, «Ty' Bamboo», dont les attractions étaient conçues pour des enfants entre 0 et 12 ans et dont Marcel Campion était le créateur[réf.nécessaire].
Dans la Résistance
Un groupe de Résistants était formé dans la ville durant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945)[57].
Politique et administration
L'hôtel de ville.
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de Seine-et-Marne.
La commune a adhéré en 1997 au DAM - District de l'Agglomération Melunaise (ancienDistrict Melun – Le-Mée-sur-Seine), qui s'est transformé en 2002 en communauté d'agglomération sous le nom de la communauté d'agglomération Melun Val de Seine.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne.
La ville, gérée depuis 1959 par le parti communiste, est passée à droite en 1983.
Liste des maires
Article détaillé: Liste des maires de Dammarie-les-Lys.
Liste des maires successifs depuis la Libération de la France[58]
Directeur d'entreprise Député de Seine-et-Marne (1re circ.) (1988 → 2017) Conseiller général de Perthes (1982 → 1995) Président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (2012[63] → 2014)
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [68],[69].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Dammarie-les-Lys est assurée par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [70],[71],[72].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[73]. La communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[70],[74].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [70],[75],[76].
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[77],[Note 12].
En 2019, la commune comptait 22 128 habitants[Note 13], en augmentation de 4,9% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
601
677
613
719
802
880
894
882
905
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
936
999
1 097
1 209
1 219
1 284
1 447
1 552
1 683
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 734
1 947
2 191
2 755
3 441
5 074
4 893
5 861
7 057
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
10 246
12 057
19 741
19 794
21 148
20 659
20 838
20 661
21 891
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
22 128
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[78].)
Histogramme de l'évolution démographique
Le graphique montre bien l'industrialisation de la commune à partir du début du XXesiècle qui a entraîné l'arrivée d'une population importante. La construction des grands ensembles de l'Abbaye (années 1950) et de la Plaine du Lys (années 1970) font également progresser la population de plusieurs milliers d'habitants à ces périodes.
Enseignement
Dammarie-les-Lys est située dans l'académie de Créteil.
La ville administre six écoles maternelles et six écoles élémentaires communales[79].
Le département de Seine-&-Marne gère 2 collèges.
La région d'Île-de-France gère 1 lycée.
Enseignement public
Écoles primaires[Quand?]
Les 6 primaires sont François-de-Tessan, René-Coty, Paul-Doumer, Vosves, Maurice-de-Seynes, Henri-Wallon.
Collèges[Quand?]
Les deux collèges sont Georges-Politzer, Robert-Doisneau.
Lycée[Quand?]
Un lycée polyvalent Fréderic-Joliot-Curie.
Enseignement privé
Les deux écoles privées sont Sainte-Marie, École adventiste du Lys[Quand?].
Santé
La commune possédait autrefois la Clinique de l'Ermitage située au centre-ville, qui s'est ralliée aujourd'hui avec l'hôpital de Melun.[réf.nécessaire].
Sports
Combat au master d'escrime 2013 qui s'est déroulé à l'EPB (espace Pierre-Bachelet).
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Hockey sur glace: les Caribous de Seine-et-Marne sont le seul club de hockey à évoluer dans le département, ils jouent à «La Cartonnerie». Ils sont les héritiers du «Lys Hockey Club».
Patinage artistique: le Club des sports de glace est le seul club de patinage artistique de Seine-et-Marne. Parmi ses licenciés figurent les champions de France Yrétha Silete en «Dames» et Morgan Ciprès en «Couple» avec sa partenaire Vanessa James.
Taekwondo: ESD taekwondo est un club de taekwondo se localisant à Dammarie-lès-Lys.
Natation: Jean Boiteux est une piscine semi olympique. C'est aussi la piscine municipale, un club y est présent et des cours y sont enseignés. Dans cette piscine, il y a aussi possibilité de nager sans s'inscrire dans le club.
Un club de football, de voile (FFV), de basket-ball, de cyclisme, de karaté notamment, y sont implantés.
Équipements culturels et sportifs
La Cartonnerie
8 000 m2 entièrement consacrés au 7eart: 10 salles de cinéma dont 3 salles numériques permettant la diffusion de films en 3D, de 128 à 442 places pour accueillir 2 150 spectateurs au total. Le complexe possède aussi une partie consacrée aux jeux vidéo et d’arcades.
Un des plus grands kartings in door d’Europe
Surface de près de 4 000 m2 - un circuit de 500 m de développé - des karts de toute dernière génération - un espace détente avec écrans géants - à l’étage, un espace réunion destiné aux séminaires des entreprises.
Un bowling et des billards
Sur 3 000 m2 - 24 pistes de bowling - 10 billards anglais - espace jeux d’arcades
Une patinoire
Sur 4 000 m2 - une piste sportive (56 × 26 m) - une seconde piste plus ludique.
Des restaurants
Dans cet ensemble, on trouve de nombreux restaurants de diverses cultures culinaires, comme chinoise, japonaise, italienne ou française.
L'Espace Pierre-Bachelet [EPB]
Dans le complexe de la Cartonnerie, une salle de spectacles de 2 000 places et de nombreux espaces sportifs ont été construits pour les associations dammariennes, entre autres. Il s'agit de la plus grande salle de spectacle de Seine-et-Marne[80].
Deux autres structures s’installent également à la Cartonnerie: la Caisse Primaire d’Assurance Maladie et l’Institut RISE qui propose des formations.
Manifestations culturelles et festivités
Dans la ville est organisée «L'estival du Lys» depuis 2018[81].
Le 14 juillet a lieu un feu d'artifice, comme dans de nombreuses villes de France.
Médias
Le quotidien régional Le Parisien, dans son édition locale Seine-et-Marne, ainsi que l’hebdomadaire La République de Seine-et-Marne, relatent les informations locales.
La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France et d'IDF1.
L’information institutionnelle est assurée par plusieurs publications périodiques: le «Lys mag», journal municipal d’information diffusé par la ville; le magazine d’information de la communauté d'agglomération Melun Val de Seine; Seine-et-Marne Magazine, mensuel diffusé par le conseil départemental de Seine-et-Marne et le Journal du Conseil régional, bimensuel diffusé par le conseil régional d'Île-de-France73.
Cultes
Dans la ville sont bâtis une église catholique dans le centre-ville, une chapelle polonaise et une mosquée[réf.nécessaire].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 8 701 (dont 50% imposés), représentant 21 659 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 18 800euros[82].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 6 357, occupant 8 393 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 60,6% contre un taux de chômage de 11,8%.
Les 27,7% d’inactifs se répartissent de la façon suivante: 10,4% d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,1% de retraités ou préretraités et 12,1% pour les autres inactifs[84].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 1 346 dont 6 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 55 dans l’industrie, 187 dans la construction, 894 dans le commerce-transports-services divers et 204 étaient relatifs au secteur administratif[85].
Ces établissements ont pourvu 5 298 postes salariés.
Supermarchés
La commune compte un Aldi, un Lidl, un E.Leclerc ainsi qu'Ines market et marka maket.
Magasins non-alimentaires
La commune compte un Jardiland, un Distri-center, un Bricoman, une Foir'Fouille, un Cuisinella, un Schmidt, un Norauto et un Speedy
Secteurs d'activité
Agriculture
Dammarie-les-Lys est dans la petite région agricole dénommée le «Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau», couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau[Carte 5]. En 2010, aucune orientation technico-économique[Note 14] de l'agriculture ne se dégage sur la commune[86].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30% du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[87]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 2 en 1988 à 0 en 2010[86].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Dammarie-les-Lys, observées sur une période de 22 ans:
Évolution de l’agriculture à Dammarie-les-Lys entre 1988 et 2010.
Vue des ruines de l'abbaye royale du Lys.Le château des Bouillants.Le château de Soubiran.
Lieux et monuments
Ruines de l'abbaye royale du Lys
De l'abbaye cistercienne fondée par la reine de France Blanche de Castille (mère du roi Louis IX) subsistent les ruines de l'église abbatiale valorisées par leur classement aux monuments historiques en 1934 et les jardins et parc qui les entourent (parc de l'abbaye)[89].
Le ru du Lys a été recreusé en 2011.
Le château du Lys
Ancien «pavillon des Hôtes» de l'abbaye, il fut le château de Victor de Fay de Latour-Maubourg. Après avoir été un centre aéré et une école maternelle sous le nom d'Arthur-Chaussy, il abrite aujourd'hui le centre des musiques Didier Lockwood.
Le château des Bouillants 48° 30′ 41″ N, 2° 37′ 57″ E
Le château des Bouillants est une ancienne maison de maître, comme on en construisait beaucoup à Dammarie-lès-Lys au XIXesiècle, pour ces familles fortunées qui venaient s’y détendre non loin de Paris. Le général Julien Loizillon y a vécu et y est décédé[90].
Nommé également château des Hauts-Bouillants et villa Kéranic, le château fut acheté par la ville en 1986. Restauré, il est devenu, depuis 1993, l’espace municipal d’expositions. C’est ainsi qu’il accueille, chaque saison, des expositions touchant des domaines aussi divers que la peinture, la sculpture, la photographie, mais aussi la gravure, les sciences et l’histoire.
Le château de Soubiran 48° 30′ 47″ N, 2° 37′ 59″ E
Le château Soubiran[91], proche de la forêt de Fontainebleau, date du XIXesiècle et est entouré d’un parc d’environ 7 hectares. Le château, doté d’une source alimentant un plan d’eau, accueille une ferme enfantine, où l’on peut observer de nombreux animaux. On peut aussi y pique-niquer, et y pratiquer un parcours de santé.
Le château des Vives Eaux: célèbre notamment pour avoir accueilli les participants de l'émission de télévision française de télé-réalité Star Academy du au . Il accueille à nouveau l'émission à l'occasion de sa 10e saison à partir du 15 octobre 2022.
Le manoir de la Croix Saint-Jacques, avenue du Général-Leclerc.
Le pavillon de l'Horloge, avenue Anatole-France.
L'église Notre-Dame-de-la-Visitation, place Paul-Bert, reconstruite en 1859[93].
L’église Notre-Dame-de-la-Visitation de Dammarie-les-Lys.
Un oratoire consacré à la Vierge fut élevé à la fin du XIesiècle; l'église fut recons truite en 1535 et en 1859; elle possède un orgue[94].
L'église en plan allongé est orientée et dispose d'une nef avec une voûte en berceau et de collatéraux. Elle est terminée par un chevet polygonal. Elle a un clocher-porche couvert d'une toiture en pavillon.
L'intérieur de l'église est voûté d'ogives pour la nef et voûte d'arêtes pour les bas-côtés[95].
Article connexe: Église Notre-Dame-de-la-Visitation de Dammarie-les-Lys.
La Mosquée Al Salam (Mazhab Malki), située au 468 avenue du Colonel-Fabien.
L'"Espace Nino-Ferrer"
L’éducation publique devient la seule activité du bâtiment lors du déménagement de la municipalité, en 1934, dans l’actuel Hôtel de Ville; puis la bâtisse est réaménagée en salle des fêtes en 1937. Dans les années 1960, elle porte le nom du comédien Raymond Bussières. La ville y organise ses festivités et expositions et accueille les spectacles et concerts[94]. :En 2004, d’importants travaux sont engagés et c’est l’Espace Nino-Ferrer: une salle de spectacles de 285 places numérotées.
Le château de Bel-Ombre (ou de Bellombre) a été démoli par son dernier propriétaire[97].
Le château Gaillard bâti au XIIIesiècle, démoli en 1971 dont il ne subsiste que le parc et une statue d'Alfred Lenoir[98].
Patrimoine culturel
Dans la ville sont implantées les archives départementales de Seine-et-Marne.
Les bâtiments de l'usine de la Compagnie Nationale des Radiateurs (CNR), construite en 1926-1928 au lieu-dit le Champ de Manœuvre sur 28 000 m2 par Eugène Freyssinet. L'usine fut opérationnelle en 1929 et fermée en 1975[99].
Patrimoine naturel
Une partie de la commune (lieu-dit Vosves) est incluse dans le parc naturel régional du Gâtinais français.
Le Bois d'Étrangle-Veau inclus dans la forêt de la Rochette est classé espace naturel sensible.
Victor de Fay de La Tour-Maubourg (1768-1850), qui mourut en son château du Lys.
Julien Loizillon (1829-1899), général, ministre de la Guerre, mourut au château des Bouillants.
Personnalités de la Monarchie française
La reine Blanche de Castille, femme de Louis VIII le Lion, mère de Louis IX, a fondé l'abbaye en 1244[100]
Saint Louis, fils de la précédente, autorisa celle-ci de fonder l'abbaye.
Marie Mancini, nièce du cardinal Mazarin, a été enfermée à l'Abbaye[101].
Louis XVI et Marie-Antoinette furent le dernier couple royal à venir en pèlerinage à l'abbaye royale du Lys[102]
À noter que[102] la plupart des rois de France sont venus à l'Abbaye.
Artistes & sportifs
Michel Schneider (1944-2022), écrivain, critique musical et littéraire, spécialiste de la psychanalyse, né à Dammarie-lès-Lys
Delphine Racinet-Réau (1973), double médaillée olympique, conseillère municipale de Dammarie-lès-Lys[Quand?].
Stéphane Da Costa (1989), hockeyeur aux Senators d'Ottawa et en équipe nationale française, a passé son enfance à Dammarie-lès-Lys et y a été formé au hockey sur glace.
Didier Lockwood (1956-2018), violoniste, maire-adjoint à la culture (2014-2016)[103], créateur du Centre des musiques Didier Lockwood à Dammarie, où il avait une maison[104].
Héraldique, logotype et devise
Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui: parti, au premier d'azur semé de fleurs de lys d'or, au second de gueules semé de châteaux donjonnés de trois tours d'or maçonnées de sable.
D'après le site de la ville, le logo traduit la volonté de la commune d'afficher le visage vivant et coloré d'une ville de 20 262 habitants, fière de son passé et résolument tournée vers l'avenir. On y retrouve des éléments caractéristiques de Dammarie-lès-Lys: la silhouette de l'abbaye en gris, et la fleur du lys d'une couleur chaude et lumineuse, qui témoignent de l'histoire de la commune: la Seine évoquée par le fil bleu, la forêt symbolisée par la couleur verte qui évoque, également, le dynamisme de la ville". (voir image ci-contre)
La commune est dépourvue de devise mais a pour slogan Être proche, voir loin![réf.nécessaire].
La distance est mesurée entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluée à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100%.
Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
Pendant la révolution, on s'est attaché à supprimer «les-Lys», symbole royal, sans voir que Dammarie signifie «sainte Marie».
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
«Chronique de la vie communiste - Le PCF au 1ersemestre 1983», Communisme - Revue d'études pluridisciplinaire publiée avec le concours du CNRS, no4, , p.137 (ISBN2-13038147-2, lire en ligne).
Sophie Bordier, «Législatives. Pourquoi Jean-Claude Mignon ne briguera pas un 7emandat: Député depuis 1988 sur la 1recirconscription de Seine-et-Marne (Melun-Dammarie-les-Lys), Jean-Claude Mignon (LR), 67 ans, retire donc sa candidature après une investiture pourtant obtenue fin 2016», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
«Jean-Claude Mignon élu… et déjà attaqué», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
Gisèle Le Guen, «Municipales à Dammarie: Battail (UMP) succède à Mignon», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
Vanessa Relouzat, «Municipales à Dammarie: Gilles Battail (UMP) élu avec 64,47% des voix: Surprise à Dammarie-lès-Lys! Gilles Battail (UMP) est élu, dès le premier tour.», La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
Sophie Bordier, «Nemours-Melun: il va commercialiser le Chassebleau et les Bûchettes sénonaises: En rachetant les deux marques à leur propriétaire respectif, le patron de Des Lis Chocolat, Denis Jullemier, remet sur le marché ces deux bonbons dont la production et la vente s’étaient éteintes», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
Reines, Maîtresses & Favorites: MARIE MANCINI, Hachette histoire, , 55p., Page 49: L'ingratitude de Marie: Il est convenu que Marie doit se retiter à l'abbaye de Dammarie-lès-Lys.
Sophie Bordier, «Dammarie-les-Lys: Didier Lockwood quitte son poste d’adjoint à la Culture», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
Faustine Léo, «Dammarie-les-Lys n’oubliera pas les airs de violon de Didier Lockwood: Décédé ce dimanche à 62 ans, le violoniste Didier Locwood laissera son empreinte dans la ville, notamment à travers son Centre des musiques qui a formé les meilleurs musiciens de maintenant, dont ses beaux-fils David et Thomas Enhco», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé «Place Paul-Bert de Dammarie-les-Lys» (voir la liste des auteurs).
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