Kingersheim (prononcé [kiŋ(ɡ)əʁsaim]; Kìngerscha en alsacien) est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. D'un village minuscule il y a quelques siècles, Kingersheim est actuellement la huitième commune du Haut-Rhin, dans la banlieue de Mulhouse. Le tissu urbain est essentiellement résidentiel mais comporte également une zone commerciale importante qui se poursuit vers Wittenheim. La commune est membre de Mulhouse Alsace Agglomération et fait partie des 20 communes de l'agglomération mulhousienne[1] ayant l'obligation de mettre en place une ZFE-m avant le 31 décembre 2024[2]. Ses habitants sont appelés les Kingersheimois et Kingersheimoises[3].
Située dans la plaine d'Alsace, la commune de Kingersheim ne présente quasiment pas de relief.
Elle connaît un fort accroissement de sa population depuis les années 1970, dû à sa situation dans l'unité urbaine de Mulhouse. Ces dernières années, l'urbanisation se densifie avec notamment plusieurs pôles de constructions d'habitats de types individuels ou HLM, ou le projet de construction d'un quartier éco-durable à la place de la friche AMECO. À l'issue de ces différents projets, la population de Kingersheim pourrait atteindre 15 000 habitants.
Passage obligé entre le nord de l'agglomération mulhousienne, notamment la commune peuplée de Wittenheim, et la ville-centre, Kingersheim subit des transits automobiles importants notamment au niveau du Kaligone (2ezone commerciale d'Alsace).
Kingersheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Elle appartient à l'unité urbaine de Mulhouse, une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes[7] et 246 692 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (86,3% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (70,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones urbanisées (55,5%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (19,1%), espaces verts artificialisés, non agricoles (9,2%), forêts (7,7%), terres arables (5,9%), mines, décharges et chantiers (2,5%)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Lotissements / Quartiers / Zones
Béarn
Centre historique (Tival, Place de la réunion et Place du Village)
Cité Jardin (1925)
Croix-Marie
Dahlia
Davério (1955)
Eselacker, site lieudit de l'ancienne décharge d’ordures ménagères gérée entre 1959 et 1974 par la ville de Mulhouse.
Fernand Anna (partagé entre Wittenheim et Kingersheim)
Friche industriel Ameco
Kaligone (zone d'activités commerciales, dans la continuité du Pôle430 de Wittenheim)
Strueth
Tilleul
Vert-Village
Village des Enfants (?)
Histoire
Kingersheim apparaît pour la première fois en 1195 sous la dénomination de Kemingsen et tire son origine d'une légende, concernant un pavillon de chasse érigé probablement dans le centre historique. La chronique de Schoenensteinbach parle de l'état des paroisses de Wittenheim et Kingersheim au cours des XIeetXIIesiècles. Cette chronique relate qu'en l'an 1199, l'évêque Lüthold de Bâle, ordonne que la chapelle de Kingersheim soit rattachée à la paroisse de Wittenheim. En 1202, le pape Innocent III, confirma les lettres d'ordonnance des deux évêques. En 1216, l'abbaye de Neuwiller fit don au couvent de Schoenensteinbach[14] d'une relique de saint Adelphe qui fut déposée dans la chapelle de Kingersheim.
Les nobles de Hus Wittenheim en étaient les seigneurs dès le XIVesiècle et, par la suite, leurs successeurs, les nobles d'Andlau[15]. De nombreux titres ou chartes d'investiture ont été rédigés, parmi lesquels le titre de 1351. Il y est écrit que Therry de Hust est investi du quart du château de Wittenheim ainsi que du village de Kingersheim. Le village de Wittenheim constitua jadis dans le régime féodal le corps d'un bourg ayant reçu une charte qui donnait aux seigneurs le droit de régir plusieurs villages entre autres celui de Kingersheim. En 1473, Lazare d'Andlau fut à son tour investi du village de Kingersheim par Pierre de Hagenbach, grand bailli de Charles le Téméraire. Lazare eut de son mariage avec Judith de Ramstein un fils nommé Louis (1474-1509). Chevalier, il fut le fondateur de la branche des Andlau de Kingersheim.
L'autonomie du village apparaît donc à la fin du XVesiècle. Louis d'Andlau de Kingersheim fut le premier des Andlau à construire le château de Kingersheim et à y habiter.
La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[16].
Sous le maire Eugène Béhé (maire de 1947 à 1971, élu après la Seconde Guerre mondiale), construction du réseau d’eau courante, des écoles du centre, des ateliers municipaux, un bureau de poste et l'hôtel de ville (mairie actuelle). Il a accueilli la visite du général Charles De Gaulle lors de sa tournée en Alsace le 1er août 1948 dans l’ancienne mairie (actuellement le Créa). Un pacte de jumelage avec Hirschau est signé le 14 novembre 1963.
Sous le maire Marius Fischer (maire de 1971-1989), constructions/création du Cosec, de la salle des fêtes, de l'office municipal des sports des arts et de la culture, d'infrastructures scolaires, de la salle polyvalente et de la caserne des pompiers.
Mines
Article détaillé: Mines de potasse d'Alsace.
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes du Haut-Rhin.
Blason
D'or au tourteau de gueules chargé d'une croix d'argent[17].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Jumelages
Hirschau (quartier de Tübingen)(Allemagne)depuis 1963.
Politique et administration
Article connexe: Élections municipales de 2020 dans le Haut-Rhin.
Professeur d'EPS retraité Conseiller régional d'Alsace (1986 → 1998) Conseiller général du canton de Wittenheim (1988 → 2015) Président de la CAMSA (2005 → 2009)
Profession: Cadre Supérieur secteur des Télécommunications Autre mandat électif: Vice Président Mulhouse Alsace Agglomération (m2a) depuis 2017 Adjoint au Maire 2001 à 2020
Les données manquantes sont à compléter.
Démocratie participative
Jo Spiegel met en place à Kingersheim des conseils participatifs pour les grandes décisions de la commune, composés à 40% de volontaires, 20% de concernés et 40% de tirés au sort. Les membres reçoivent une formation préalable et les élus sont là plus en tant qu'animateurs que décideurs[20]. En 2016, 40 conseils participatifs avaient en 10 ans réuni 700 participants. Chaque conseil réunit un maximum de 50 personnes. Des professionnels du débat public aident à faire émerger la parole de ceux qui n’osent pas la prendre[21].
Budget et fiscalité 2015
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[22]:
total des produits de fonctionnement: 12 724 000€, soit 962€ par habitant;
total des charges de fonctionnement: 12 623 000€, soit 954€ par habitant;
total des ressources d’investissement: 4 825 000€, soit 365€ par habitant;
total des emplois d’investissement: 4 894 000€, soit 370€ par habitant;
endettement: 15 936 000€, soit 1 205€ par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 13,44%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 19,04%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 67,11%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00%;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Projets de la municipalité actuelle
Réalisation d'une structure Périscolaire maternelle à l'école du Centre.
Création d’une maison des préventions avec la Police Municipale, le conciliateur de justice et les services de sécurité ou de justice.
Maison de l’engagement: réhabilitation / mise aux normes de locaux (Foyer Saint-Adelphe) pour les associations et les acteurs de l’engagement, avec:
> Création d’un pôle d'échanges et de partage.
> Création d’un ”Centre ressources” Vélo pour les habitants.
Rénovation COSEC (principalement réfection de la toiture et de l'isolation).
Développement des Énergies Renouvelables (EnR) par le photovoltaique: après la centrale photovoltaique de la Salle Polyvalente, mise en service de celle de l'école du Centre, réalisation d'une nouvelle centrale au COSEC et ferme photovoltaique sur l'ancienne décharge du Eselacker.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[23],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 13 263 habitants[Note 4], en augmentation de 4,27% par rapport à 2013 (Haut-Rhin: +1,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
280
281
384
426
443
595
628
610
594
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1871
1875
1880
1885
1890
1895
676
718
720
708
667
673
719
728
750
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1900
1905
1910
1921
1926
1931
1936
1946
1954
811
846
868
911
1 358
2 711
3 186
2 798
3 637
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
5 607
5 920
7 928
9 655
11 258
11 961
13 154
12 955
13 151
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
13 263
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique
Vie Locale
Accès et transports
Bus
La commune est reliée au réseau de bus de l'agglomération de Mulhouse exploité par l'entreprise Soléa.
Plusieurs ligne de bus traversent la commune, permettant notamment de rejoindre Mulhouse:
La ligne «Chrono» C4 (Wittenheim (arrêt Sainte-Barbe) ↔ Mulhouse (arrêt Châtaignier); passe par Kingersheim) qui permet de rejoindre la ligne 1 du tramway (Kingersheim Châtaignier - Gare centrale de Mulhouse).
La ligne principale 8 (desservant Lutterbach, Pfastatt, Mulhouse, Kingersheim et Wittenheim)
La ligne principale 9 (desservant Rixheim, Illzach, Mulhouse et Kingersheim)
La ligne interurbaine 54 (desservant Bollwiller, Feldkirch, Staffelfelden, Pulversheim, Wittenheim, Kingersheim et Mulhouse).
Les lignes suburbaines du réseau, en réalité constituées de lignes régionales en intégration tarifaire, desservent les zones les plus éloignées de l'agglomération.
Tribus est le nom du réseau de bus scolaire de l'agglomération mulhousienne[26]. Ces lignes circulent les jours de cours aux heures de début et de fin de cours et desservent de multiples collèges et lycées de l'agglomération. Des lignes de tribus passant par Kingersheim permettent des trajets vers les lycées Lambert et Lavoisier de Mulhouse. Voir les horaires et les arrêts desservis sur le site de Soléa.
Vélos
Aménagements:
Piste cyclable bidirectionnelle Claude Debussy
Bande cyclable sur le Faubourg de Mulhouse (avec voies de bus partagées)
Station de réparations en libre-service près de la place de la Réunion à côté de l'épicerie Les Sheds (station de gonflage intégrée, outils principaux d’entretien: 2 démonte-pneus, clefs hexagonales, tournevis, clefs plates, clefs Allen...).
Arceaux / abris pour vélos disponibles devant:
service public: la mairie, la médiathèque municipale, police municipale, la poste
commerces: bureau tabac Le Jackpot, Coiffeuse-Barbière Absolu'Tifs, E.Leclerc, LIDL, à proximité du Tabac Presse Réunion
Conseil Participatif Vélo
Projets possibles:
Création d’un ”Centre ressources” Vélo pour les habitants.
Culture
Le Festival MOMIX de Kingersheim, festival international jeune public présentant des spectacles dans la région mulhousienne, existe depuis1992. C'est une initiative du CRÉA possédant le label «Scène Conventionnée Jeune Public», depuis 2006 (label accordé par le Ministère de la Culture et de la Communication).
«Cabine téléphonique recyclée en cabine à livres (un "troc’livres"). Elle a été installée été 2015 au parK des Gravières et transférée sur la place du Village fin mars 2021. La «Kabine à livres» (nom donnée par la mairie) a été remise en état et recoloré en jaune, bleu, rouge et noire. C'est un clin d’œil aux œuvres du peintre Piet Mondrian; ainsi, la cabine a été renommée «la Kabine des Mondes Riants»[27].
Énergies
Eau
Distribution de l'eau du robinet gérée par la ville de Mulhouse depuis ~2020.
Électricité
Lampadaires LEDs.
Centrales photovoltaïques (2); installées par la coopérative Énergies Partagées en Alsace (EPA)[28], financées en partie par des citoyens via adhésion à la coopérative (une part de la coopérative = 103 €)
Panneaux photovoltaïques (~550 m2) sur la toiture de la salle polyvalente Pierre de Coubertin. Opérationnelle depuis le 1er août 2018. Puissance de 100 kWc. Alimente le quartier. Panneaux fabriqués sur Dinsheim-sur-Bruche, dans le Bas-Rhin.
Panneaux photovoltaïques (~550 m2, exposés au sud) sur la toiture de l'école du Centre Charles Perrault. Avec ombrières de toiture pour le premier étage et une rangée de panneaux photovoltaïques en ombrières pour le rez-de-chaussée.
Projet d'installation d'un champ photovoltaïque d’une surface de 7,5 hectares sur le site de l’Eselacker, l'ancienne décharge d’ordures ménagères gérée entre 1959 et 1974 par la ville de Mulhouse. Possible installation après dépollution du site.
À proximité de la pharmacie de la Croix Marie, 2 Rue de l'Entente (2):
Dr BENSAFI Ryad Boumediene
Dr KOUNI Nabil
Opticiens: La Boutique de l'Optique, Optical Center, Tival Optique
Pharmacies:
Pharmacie Croix-Marie - 62 Fbg de Mulhouse
Pharmacie Grim-stoffel (Centre) - 73 Fbg de Mulhouse
Pharmacie de la Strueth - 33 Rue de Guebwiller
Magasins de compléments alimentaires et vitamines: Nutri Body Store
Enseignement
La ville de Kingersheim est rattachée à l'Académie de Strasbourg.
Kingersheim a un collège public d'enseignement secondaire, le collège Émile Zola.
Kingersheim compte aussi huit écoles primaires: trois écoles élémentaires (écoles du Centre, de la Strueth et du Village des enfants) et cinq écoles maternelles (maternelles La Croix-Marie, Louise Michel, des Perdrix, des Tilleuls, du Village des enfants). La plupart de ces écoles primaires proposent aussi un accueil périscolaire.
Sport
Arts martiaux:
ASD2K - Association Self Défense Krav Kingersheim: Self defense
Aïkido-Club de Kingersheim (ACK): aïkido
Kingersheim Club Boxe Anglaise (KCBA): boxe anglaise
Judo Jujitsu Club de Kingersheim: judo, judo Ne-Waza, ju-jitsu, taïso
Sculptures de Maurice Munck (a vécu à Kingersheim): monument aux Morts de la rue de Hirschau et statue de la Vierge et l’Enfant («La mère et les enfants») située devant l’école du Centre.
Places:
Place de la Libération
Place Maurice-Munck: place publique devant les écoles du centre où se situe une des sculptures faites par Maurice Munck
Place de la Réunion
Place du village
Administratif / Service public / autres initiatives de la villes
Caserne de pompiers
Déchetterie
Epicerie solidaires L'Envol
Epicerie Les Sheds
La Poste (en manque d'effectifs donc souvent fermée; relais La Poste au Tabac Le Jackpot) - 8 Rue du Stade
Mairie / hôtel de ville
Maison de la Citoyenneté (ancienne ferme Schurch)
Place du village (depuis 2020)
Police municipale
Equipements communaux: sports, espaces de loisirs en plein air...
Foyer Saint-Adelphe
Maison bleue (devient la "Maison des Artistes", une hébergement pour artistes de passage à partir de 2022)
Maison du foot et du vélo
Salle des fêtes "le Hangar"
Salle de réunion Fernand Anna
Salles polyvalentes / de sport: Cité jardin (1978), Fernand Anna, Gounod, Strueth, Village des enfants
Stades: COSEC, Pierre de Coubertin, Fernand Anna, Plaine de foot et de loisirs
Parc des Gravières (2015)
Station de réparations en libre-service près de la place de la Réunion (station de gonflage intégrée, outils principaux d’entretien: 2 démonte-pneus, clefs hexagonales, tournevis, clefs plates, clefs Allen...)
Espaces verts
Forêts. Une portion de la Forêt communale de Kingersheim fait partie de la Forêt du Nonnenbruch, qui est classée "Forêt de protection". La gestion de la forêt communale de Kingersheim, régie par le Code Forestier, est assurée conjointement par la Ville et l’Office National des Forêts (ONF). La forêt communale de Kingersheim s'étend sur 2 communes (superficie d'environ 85 hectares en tout: 40,34 ha sur Kingersheim et 45,19ha sur Richwiller). Le droit de chasse s'exerce uniquement sur la partie située sur le ban communal de Richwiller. Essences d'arbres de la forêt communale: des chênes (chêne pédonculé et chêne sessile), des charmes, des frênes et d'autres feuillus; très petite part de pin sylvestre[36].
Canton Roedlé (dans le poumon vert)
Canton Kleinfeld (dans le poumon vert)
Canton Pferdeallmend
Canton Vorwald (extrémité nord-ouest près des étangs Seeboden)
Espace naturel "Poumon Vert" de 80ha: Promenade Vita (4,5 km aller/retour), Promenade Verte (1,5 km aller/retour, aux abords du Dollerbaechlein) et Promenade des étangs (3,5 km aller/retour)
Verger école (Gounod)
Eaux
Château d'eau
Le Dollerbaechlein (ruisseau)
Etangs (la plupart d'anciennes gravières et décharges sauvaged):
étang des Bosquets, à la Strueth - possédé par l’association de pêche Les Amis des Bosquets
étang communal, rue du Vieil-Armand - géré par l'Amicale des pêcheurs seniors depuis 2022
étang de Kingersheim (superficie de 1,5ha) - possédé par l'AAPPMA «Les Brochets de Mulhouse». Poissons: brochets, carpes, truites, gardons.
étang Legrand, faubourg de Mulhouse à côté de l'Ehpad Les Violettes - possédé par l’AAPPMA de Riedisheim.
dans le poumon vert - étang Savonitto (le plus large, en forme de S), étang Nicola, étang communal
autres: Communaux, Roses, Seeboden (trois)
Autres: Bassin du Totenkopf
Culture et salles de loisirs
Espace Tival (salle de spectacle et de conférence construite en 2000 sur l'ancien site Tival)
CRÉA (centre de rencontre, d'échange et d'animation) - fondé en 1989; siégeant dans le bâtiment de l'ancienne mairie-école
Maison de la musique
Médiathèque municipale (dans le bâtiment du Créa, au 2e étage)
Associations et clubs
Conseil Communal de la Vie Associative (CCVA): fédère toutes les associations sociales, culturelles et sportives de Kingersheim, y compris celles déjà regroupées au sein de l'Office Municipal des Sports (OMS)
Le , le père Jean Uhl, 68 ans, curé de la paroisse Saint-Adelphe de Kingersheim, est assassiné dans son presbytère. Son meurtrier, David Oberdorf, fervent de rites sataniques, a tué le prêtre de 33 coups de couteau[37].
(fr)Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Schoenensteibach: couvent de femmes de l'ordre de Citeaux, fondé en 1135 par Notker de Wittenheim. Passé sous la règle de saint-Augustin en 1159 et sous celle de Saint Dominique en 1397, le couvent fut victime de la Révolution
«Village», notice noIA00050892, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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